Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 28-09-2010 19:08

sortie en novembre du nouvel album de la diva Patience Dabany


Patience Dabany, diva de la chanson gabonaise et par ailleurs mère du président gabonais Ali Bongo Ondimba, vient de sortir un single, "On vous connaît", en prélude à son prochain album qui paraîtra en novembre, a annoncé mardi à l'AFP son manager.

Sorti à Libreville le 21 septembre, "+On vous connaît+ est une mise en bouche" en attendant l'album intitulé "+La Mama 2010+. +La Mama+, c'est comme ça que tout le monde l'appelle maintenant", a affirmé Edgar Yonkeu, qui travaille depuis 12 ans avec Patience Dabany et est aussi son producteur.

Cet album, actuellement "en finalisation", a été enregistré entre le Gabon, les Etats-Unis, Cuba, Porto Rico, les Antilles et Haïti. Il fait partie "d'un projet global, comprenant un best-of de plusieurs de ses chansons revues et re-enregistrées et un DVD qui résume l'histoire de l'artiste. La sortie est prévue mi-novembre", a ajouté M. Yonkeu.

Née en 1945 et issue d'une famille de musiciens, Patience Dabany est le nom de scène de Patience Marie Joséphine Kama Dabany, ex-épouse du deuxième président gabonais Omar Bongo Ondimba (décédé en 2009), le père d'Ali Bongo.

Depuis les années 1980 et son divorce avec Omar Bongo, elle se consacre à sa carrière artistique et est l'auteur de nombreux albums et titres à succès ("Associé", "Gaëlla", "Chéri ton disque est rayé"...), principalement sur le registre de la variété - mêlant également rythmes locaux et sonorités pop mais aussi, dans ses récentes productions, zouk africain et rumba. Son dernier album, "No Comment", est sorti en 2007.

Elle est restée trois ans sans sortir d'album "parce que +No Comment+ tournait et il continue de tourner. En plus, +La Mama+ n'est pas du genre à faire un album tous les ans", a expliqué Edgar Yonkeu.

Dans "On vous connaît", elle fustige les commérages et brocarde les gens qui sont, d'après les paroles, "nés avant la honte", faisant allusion à ceux qui ignorent tout scrupule, toute pudeur ou retenue.

"C'est une photographie de la société africaine. Tout le monde connaît quelqu'un qui connaît quelqu'un qui dit des +kongossa+ (ragot)" pour nuire à autrui, a commenté Edgar Yonkeu.

 


Commentaires

 
 
 
le 28-09-2010 19:05

L’opposant Pierre Mamboundou reçu par Ali Bongo Ondimba à Paris



 
L’opposant gabonais historique , Pierre Mamboundou et leader de l’Union du peuple gabonais (UPG, opposition) a été reçu lundi dernier à Paris (France) par le Président de la République Gabonaise, Chef de l'Etat  Ali Bongo Ondimba, qui effectue une visite d’amitié et de travail dans la capitale française.

«On m’avait dit mort, je suis bien là et je suis d’aplomb pour reprendre le combat politique», a déclaré Pierre Mamboundou à sortie d’audience.

Interrogé sur la vie politique nationale, M. Mamboundou qui a estimé qu’il était malsain de parler du pays à l’extérieur, s’est plutôt borné à dire qu’il le fera le moment venu dès son retour prochain au Gabon.

Cet échange entre les deux personnalités gabonaises a par ailleurs tourné autour de l’actualité internationale, notamment des travaux de l’assemblée générale de l’ONU, du sommet sur la pauvreté qui se sont tenus la semaine dernière à New York (USA).

Selon la source, M. Mamboundou s’est réjoui de la place accordée de plus en plus au Gabon, qui est associé à toutes les négociations portant sur les grands problèmes du monde.

«Nous pensons que notre pays va bien, car nous apportons une contribution importante dans la recherche de la paix dans le monde», a-t-il dit.

L’entretien entre le chef de l’Etat et le principal leader de l’opposition gabonaise est le premier depuis son entrée en fonction en octobre dernier

L’opposant Mamboundou, arrivé en seconde position lors de l’élection présidentielle anticipée du 30 août 2009 remportée haut la main par Ali Bongo Ondimba, séjourne depuis quatre mois en France où il s’était rendu pour y subir des soins médicaux. 
 


Commentaires

 
 
 
le 28-09-2010 14:46

L'ONU va nommer un ambassadeur des extraterrestres !


Elle s'appelle Mazlan Othman, et devrait se rendre cette semaine à Londres pour y présenter ses nouvelles fonctions. A en croire le Telegraph, cette astrophysicienne malaisienne devrait être nommée par les Nations Unies porte-parole de l'humanité au cas où des intelligences étrangères entraient en contact avec nous.
 
© L'ONU va nommer un ambassadeur des extraterrestres !
 
Interrogé par le Telegraph, le professeur Richard Crowther estime que le premier contact avec une civilisation intelligente extraterrestre se fera à travers les ondes radio ou des signaux de lumière plutôt qu'à travers l'arrivée d'êtres extraterrestres sur Terre.

Il suggère même l'idée selon laquelle si nous rencontrons des extraterrestres, il s'agirait davantage de microbes que d'êtres intelligents...
 


Commentaires

 
 
 
le 28-09-2010 08:57

Ali Bongo Ondimba- Nicolas Sarkozy, à l’Elysée : Relations bilatérales, coopération franco-gabonaise et dossiers internationaux au


Comme prévu, le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, s’est entretenu, lundi en fin d’après-midi, à l’Elysée, avec son homologue français, Nicolas Sarkozy, sur  les  relations bilatérales, la coopération entre les deux pays et les principaux dossiers internationaux,  a rapporté, dans la soirée,  la première chaine de télévision gabonaise. 
 


Le raffermissement de l’axe Libreville-Paris, bâti sur une relation séculaire, a été évoqué par les deux hommes même si le Gabon multiplie ses partenaires au nom de l’ouverture vers de nouveaux marchés et de la diversification de son économie.

Quant à la  coopération, elle  repose sur un cadre juridique issu des Accords signés au lendemain de l’indépendance du Gabon, en 1960. Ils ont été, pour la plupart, revisités conformément aux évolutions qu’ont connues les rapports entre  Paris et Libreville.

Parmi les dossiers internationaux de l’heure  qui interpellent aussi bien  le Gabon  (membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies)  et  la France  (membre permanent),   on  note les questions liées à la sécurité.

L’entretien Ali Bongo – Nicolas Sarkozy septembre  s’est déroulé au moment où se poursuit la prise d’otages de cinq  français,  un togolais et  un malgache enlevés,  au Niger,le 16 septembre dernier, par Al-Quaïda au Maghreb Islamique (AQMI) et qui seraient détenus au nord-est du Mali, dans une région frontalière de l’Algérie.

En outre, la rencontre des deux dirigeants se situait à quelques trois semaines de la réunion de Nagoya (Japon)  concernant  la Convention sur la diversité biologique et pour laquelle, le Gabon, à travers Ali Bongo Ondimba, sera, après New-York récemment, parole de l’Afrique.

Déjà,   La France a  injecté près de 260 millions d’euros au titre de sa contribution à la préservation de la biodiversité  après l’ annonce faite, le 17 septembre dernier,  dans la capitale gabonaise , par le secrétaire d’Etat français en charge de l’Ecologie, lors de la tenue de la  « première conférence panafricaine sur la biodiversité »qui avait abouti à une déclaration de Libreville.

Autant  la France, autant le  Gabon et le reste du continent  demeurent attachés au succès du rendez-vous de Nagoya où la  contribution de la communauté internationale est « très » attendue  pour le financement de l’économie « verte », singulièrement  en Afrique qui dispose par l’entremise le Bassin du Congo du second poumon de l’humanité, après l’Amazonie.

« A Nagoya nous ne reproduirons pas ce qui est arrivé à Copenhague », avait déclare, à Libreville,  le vice-ministre japonais de l’Environnement, Hideki Minamikawa.

La perspective de la présidence française du G20 (groupe des  20 pays riches et émergents) a également figuré au menu  des  échanges  entre les numéros un gabonais et français.

Principal forum de coopération économique mondial, le G20 s’est engagé à soutenir les pays pauvres  mais , in fine , qui ont été victimes  de la réduction de l’aide publique au développement à la suite de la crise économique  ayant secoué les nations plus nanties.  

Le G20, rappelle-t-on,  se réunit sous trois formes : au niveau  des chefs d'État et de gouvernement ;  ministres des finances et les gouverneurs des banques centrales et, depuis peu l’on a registré le  G20 sociaux, réunissant les ministres de l'emploi.
 


Commentaires

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article