L'opposant historique au gabon Pierre Mamboundou décédé le 15 octobre a été inhumé samedi à Ndendé (sud) d'où il était originaire et dont il fut le député au sein de son parti l'Union du peuple gabonais (UPG).
La visite au Gabon a pris fin mardi après l'étape de Franceville, la 2ème ville gabonaise qui accueillera les rencontres de la CAN Orange 2012. La délégation a inspecté les chantiers (stades, hôtels et routes d'accès) mais aussi la qualité des télécommunications (téléphone et Internet). Le Gabon mettra à disposition deux stades de compétition (Libreville et Franceville), plus de 5.000 chambres d'hôtel de différent standing et des villages olympiques. Après le Gabon, la délégation comprenant tout le staff du comité exécutif de la CAF se rendra le 26 octobre en Guinée Equatoriale pour le même exercice. Cette visite d’inspection sera conclue par un discours d’ Issa Ayatou à Malabo, capitale de la Guinée Equatoriale, avant le tirage au sort des différentes poules le 29 octobre.
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Plus de doute : la bouderie par certains médias privés gabonais de l'information relative à la saisie d'un stock important d'armes par les Forces de Défense Nationale du Gabon vient mettre à nu leur intention de gêner les actions des institutions de l'Etat.En effet des armes de guerre et des munitions viennent d'être saisies par les forces de sécurité. Celles-ci ont été découvertes au domicile d'un mercenaire de nationalité espagnole, qui est également entre les mains des militaires.Quand à ses complices , parmi lesquels on compterait des officiers supérieures des forces de sécurité, les principaux ténors de l'opposition et d'une certaine société civile, ils vont naturellement bientôt être entendus.Quand on sait les ravages qu'une grenade ou un seul fusil peut occasionner, il n'y a pas lieu de comprendre comment les mêmes médias qui veulent toujours donner l'impression d'être les plus préoccupés par la sécurité et les droits de l'homme se permettraient de faire fi d'une opération d'une si grande taille.Très peu de média gabonais ont donné ces informations au public, non pas parce qu'ils n'étaient pas informés, mais parce qu'ils n'ont pas voulu étaler le caractère belliqueux des comportements des opposants alimentaires de Rio et leur suppôt de la pseudo société civile qu'ils soutiennent farouchement.Tout cela prouve à suffisance qu'il existe quelques gabonais égarés qui gardent en eux le venin de la guerre.Et le fait qu'une importante section des médias gabonais se passe des pièces d'information aussi vitale pour la sécurité du pays constitue un signe éloquent que les cris qui proviennent de certaines rédactions ne sont pas du tout sincères.Ils sont, comme je ne cesse de le montrer, en connivence avec les opposants malhonnêtes de Rio et leur suppôt de la société civile alimentaire de Rio qui veulent maintenir le pays dans le statu quo et semer la zizanie au sein de la population. Bien plus, ils soutiennent et encouragent ouvertement tous ses malfaiteurs alimentaires de Rio qui veulent semer la terreur dans le pays.La population doit donc rester très vigilante face à toute sorte de manipulation de ses sorciers nocturnes.Pour en revenir au coup d'Etat avorté d'AMO et de ses suppôts de la société civile alimentaire de Rio , seul un journal d'investigation très sérieux " La Griffe " a dévoilé le pot au rose au grand jour dans sa dernière édition.Selon " La Griffe " :le mode opératoire quoiqu'ayant longtemps circulé sous la forme d'une rumeur, était pourtant connu de tous.Le chef de l'Etat devait être assassiné comme Laurent Désiré Kabila , c'est à dire dans son bureau.Le cancan était d'autant plus crédible que l'attitude attentiste des uns et des autres ne s'expliquait pas autrement.Il ne fallait pas trop se mouiller pour un régime dont on savait les jours désormais compter . Surtout que de l'autre côté de l'opposition , Mba Obame et Myboto prenaient un certain plaisir à brandir la menace des représailles, au métal , qu'ils lanceront , une fois au pouvoir , contre tous les serviteurs zélés de l'Émergence.Cette peur se lisait et se lit toujours sur les visages de plusieurs membres du gouvernement et de la plupart des institutions constitutionnelles. Et la ridicule mesure qui nous a frappé le week-end n'était rien d'autre qu'un clin d'oeil de bonnes gages en direction de l'opposition, notamment la très communautaire ex-Union nationale.Il fallait bien montrer qu'on a été utile avant la fatidique date du 5 novembre 2011, jour choisi pour le déclenchement des hostilités. De fait , tout était planifié. Tant en éléments de langage qu'en élément d'action.Pour les premiers , distillés avec une assurance , qui frisait l'arrogance et l'insolence réunies , les porteurs étaient sûrs de leur coup. Côté politique , Zac tenait le front et n'hésitait pas à entonner le menaçant « pas de biométrie, pas d'élection » .Avant de jurer , sur la tête de tous ses ancêtres , qu'il ne s'agira pas d'un boycotte , mais que les élections « n'auront tout simplement pas lieu ». Evidemment , il n'y a qu'un seul moyen pour empêcher la tenue d'une élection : la guerre.Un discours directement puisé dans la fontaine idéologique de son idole Mba Obame AMO ( Echos du Nord 26/9 :Lorsque Monsieur Ban Ki Moon est venu au Gabon en juillet 2010 , nous lui avons aussi remis un mémorandum pour réclamer la transparence électorale au Gabon. Et dans ces deux mémorandums , on indique bien que pas de conditions de transparence au Gabon , pas d'élections législatives. Mais qu'on ne les boycotterait pas . Que nous prendrions toutes les dispositions , et nous en avons les moyens , pour empêcher la tenue de l'élection au Gabon.Grâce à l'initiative de la société civile un an après , nous pouvons non seulement réaffirmer cette position, mais s'organiser pour rendre celle-ci effective. En d'autres termes , pas de conditions de transparence , notamment la biométrie entre autres , pas d'élections législatives au Gabon.Cela ne veut pas dire qu'il y aura boycott , cela voudrait dire que les dispositions sont prises. Je le répète , nous avons les moyens pour empêcher toute tenue au Gabon d'élections législatives. Et je pèse mes mots quand je vous dis que nous en avons les moyens . Effectivement , effectivement ....Au regard de ce qui a été saisi, et nos sources sont formelles , ce ne sont pas seulement les « mots » d'AMO qui « pèsent » , ce sont surtout les fameux « moyens ». Ils pèsent tellement que la société civile , alliée plus qu'entreprenante , a vite été séduite par ces « moyens » au point qu'habitée par la même assurance et la même suffisance , elle a fait sienne les éléments de langage d'AMO autant qu'elle a décidé de perfectionner les éléments d'actions à même d'« empêcher toute tenue au Gabon d'élections législatives » Des éléments d'actions qui , visiblement , sont loin de se limiter à l'empêchement du scrutin puisqu'à la fin , le véritable objectif est l'assassinat de Zeus.La question reste maintenant à savoir si la société civile était au fait de cet objectif, sachant bien la propension de l'élément à « ne jamais aller là où on l'attend » , peu sûr qu'il leur ait clairement précisé qu'en montrant le chemin des élections , lui-même pensait plutôt au coup d'Etat.Ce qui ne veut cependant pas dire qu'il ne leur a pas soufflé un mot tant leur coaching a quand même été mené entre Johannesburg et Dakar...Ces faits ne font plus partie de la rumeur . Les armes et les munitions ont bel et bien été saisies. Elles existent puisqu'elles sont toujours entre les mains des forces de sécurité. Il ne s'agit pas de quelques armes , mais de tout un arsenal dénombré en milliers.Le chef des opérations militaires actuellement , un certain Bescos Turullenque Jose, détenu est un ressortissant espagnol. Du coté des Affaires étrangères , on a confirmé à « La Griffe » que les autorités diplomatiques espagnoles à Libreville ont été saisies pour cette affaire.Qui , il faut bien le préciser , n'est pas la première entre Libreville et Madrid puisque le ton était déjà monté d'un cran en 2009 avec la profanation par Mba Obame , de la chambre d'hôpital où Omar Bongo Ondimba avait rendu l'âme. Une opération morbide menée avec la complicité et la sournoiserie des autorités de Madrid.En entendant de revenir la semaine prochaine avec tous les détails , puisque , dit-on , les interrogatoires ont commencé et ont révélé de véritables petites bombes tant les complicités iraient jusqu'au-delà de nos frontières , deux éléments fondamentaux viennent de s'ajouter dans cette affaire.Primo : contrairement à l'argument médical distillé aux siens , c'est plutôt la capture du mercenaire espagnol qui a dissuadé AMO de revenir au Gabon comme il l'avait promis et avait été annoncé , à grands roulements de tambours , par sa propagande .Secundo : le gouvernement gabonais est plongé dans un profond embarras depuis que cette affaire a éclaté. On a verrouillé l'information pour qu'elle ne transpire. Or les gabonais ont le droit de savoir ce qui devait leur arrivé le 5 novembre prochain.Le gouvernement n'a pas le droit de continuer ainsi à garder silence sur une affaire aussi grave. Au fait , il parait que la presse est le 4ème pouvoir . En bon entendeur .....Source : La Griffe du vendredi 21 octobre 2011MICHEL OGANDAGA
Une semaine après la désignation de François Hollande comme candidat socialiste à l’issue des primaires citoyennes, LH2 en partenariat avec Yahoo ! a réalisé une nouvelle mesure des intentions de vote des Français dans la perspective de l’élection présidentielle. Il s’agit de la cinquième vague de ce dispositif qui permettra de suivre la campagne jusqu’à l’issue du scrutin, le 6 mai 2012. Les primaires, une « machine à gagner » ?Avec 39% d’intentions de vote au premier tour de l’élection présidentielle François Hollande semble porté par le succès des primaires. En hausse de 8 points en comparaison avec la dernière vague (30 septembre/1er octobre), l’ancien Premier Secrétaire du Parti socialiste se positionne 15 points devant Nicolas Sarkozy (24%, + 3 points). En écho à un programme tourné vers les jeunes générations, François Hollande recueille de fortes intentions de vote auprès des 18-24 ans (45%) et des 25-34 ans (47%). Avec 41% des intentions de vote des catégories sociales dites inférieures (CSP-) et 44% auprès des foyers dont les revenus mensuels sont inférieurs à 1200€, il semble aussi avoir le soutien des catégories populaires.
Communiqué de presse officiel du service de presse de la Présidence de la République GabonaiseLibreville, le 23 octobre 2011 - Le Président Ali Bongo Ondimba partira aujourd'hui pour un voyage de quatre jours dans trois pays d'Europe de l'Ouest. Il assistera à Genève à l'ITU Telecom World, à la 36e session de la Conférence générale de l'UNESCO à Paris puis à une réunion de haut niveau sur les changements climatiques, à Londres.Genève - 24 et 25 Octobre 2011Le chef de l'Etat participera au sommet mondial des leaders de services à large bande (DSL) et à l'ITU Telecom World, organisé par l'ITU (l'institution spécialisée des Nations Unies pour les technologies de l'information et de la communication - TIC), ayant pour thème le « Haut débit ».L'ITU Telecom World rassemble les représentants les plus influents des secteurs public et privé (leaders de l'industrie de pointe, chefs d'Etat ou de gouvernement, innovateurs digitaux et technologiques) intéressés par la résolution, par les TIC, des problèmes techniques, sociaux et économiques. Durant ce forum mondial, le président Ali Bongo Ondimba, résolu à améliorer la connexion du Gabon au reste du Monde, s'exprimera sur l'importance des TIC dans le développement des pays.Paris - 26 0ctobreLe 26 octobre, le Chef de l'Etat se rendra à Paris afin de prendre part au « Forum des Dirigeants » de la 36e session de la Conférence générale de l'UNESCO.Ce Forum, qui permet notamment d'explorer de nouveaux moyens de promouvoir la paix et la prospérité à l'ère de la mondialisation, aura pour thème : « Comment l'UNESCO contribue-t-elle à l'édification d'une culture de la paix et au développement durable ? ».Les dirigeants présents se pencheront ainsi sur les questions de développement international et les priorités futures de l'UNESCO dans ces domaines.La première session sera, entre autres, ouverte par le Président Ali Bongo Ondimba et se poursuivra par un échange de vues entre ministres.Londres - 27 OctobreInvité à Londres par le Prince Charles, qu'il avait déjà rencontré en mars 2011, le chef de l'Etat s'entretiendra avec ce dernier sur les problèmes de réchauffement climatique. Il assistera ensuite à la réunion de haut niveau sur le climat organisée par le Prince de Galles, au cours de laquelle, le président gabonais fera un discours.Durant ce séjour à Londres, Ali Bongo Ondimba rencontrera aussi, Zac Goldsmith, envoyé spécial du Premier Ministre Britannique pour les changements climatiques et la forêt, Justin Mundy, Directeur International Sustainability Unit du Prince Charles et le ministre en charge de l'Afrique et des Nations Unies, Henry Bellingham.
Lu par , Mick Mebalondo , rapporteur général de la CENAP.
Lu par , Mick Mebalondo , rapporteur général de la CENAP.
Lu part , Jean Claude Franck Mendome, Ambassadeur , porte parole du ministère des affaires étrangères.
Pierre Mamboundou, 1946-2011
« L’Opposant historique », le président de l’Union du peuple gabonais (UPG opposition), Pierre Mamboundou, décédé samedi dernier, sera inhumé le samedi 29 octobre à Ndéndé dans la Ngounié (sud du Gabon), a indiqué mercredi le directoire de l’UPG.
le Président Ali Bongo Ondimba et son épouse réconfortent la veuve et la famille de feu Pierre Mamboundou.Mercredi 19 octobre 2011 , le Chef de l'Etat, SEM Ali Bongo Ondimba et la première Dame, Sylvia Bongo Ondimba , ont rendu un hommage posthume à son domicile familial, au Député Pierre Mamboundou Mamboundou , décédé le samedi 15 octobre à 23h d'une crise cardiaque.
Libreville/Gabon: C'est un président de la République, bien bouleversé par le décès de Pierre Mamboundou, qui nous a reçus, dimanche 16 octobre 2011, en fin de matinée, dans le Salon marocain, dans le cadre d'un entretien exclusif sollicité plusieurs jours plus tôt, à l'occasion du deuxième anniversaire de son arrivée à la tête du Gabon.Dans un style direct et sans fioriture, il a répondu à nos questions. Lesquelles ont tourné essentiellement sur les réformes engagées depuis deux ans, les chantiers lancés et les rapports avec l'opposition, les prochaines élections législatives, la Can 2012 et l'avenir. Sur toutes ces questions et sur bien d'autres, le numéro un gabonais situe les uns et les autres. Lecture.- L'Union :Monsieur le président de la République, comment vous sentez-vous au bout de deux ans d'exercice du pouvoir et dans quel état d'esprit entamez-vous la suite de votre mandat, d'autant que cela intervient quasiment au terme d'une tournée à l'intérieur du pays ?- Ali Bongo Ondimba :C'est un plaisir pour moi de vous recevoir en cette date anniversaire de mes deux ans de pouvoir.
LE PDG ( PARTI DEMOCRATIQUE GABONAIS ) GONFLE SES MUSCLES , HAUSSE LE TON ET DAMNE LE PION A L'OPPOSITION ALIMENTAIRE DE RIO ET LEURS COPAINS DE GALERES DE LA SOCIETE CIVILE ALIMENTAIRE DE MARCO .
Son sourire de carnassier ne fait rire personne. Ni du côté du Mal qu'incarne, selon lui, le régime laissé par son frère, ni du côté du Bien que représente son écurie de l'opposition. Encore moins, et c'est le moins épatant, dans sa propre famille.
Le scoop a été largué par sa presse (« Echos du Woleu Ntem »). Officiellement, le génie de Medouneu vient pour assister aux funérailles de son défunt frère.Va-t-il pour autant retourner en Afrique du Sud poursuivre ses soins. Rien n'est moins sûr. Et pour cause…On attendait la diffusion de la deuxième partie de son interview, consacrée, cette fois-ci, à la jeunesse, c'est finalement le film de son retour au bercail dont on aura droit. Un film largement annoncé par sa propagande, comme à la belle époque de l'URSS.Pourtant, il n'y aura rien de nouveau. Mais, en politique, comme dans la com', la nouveauté c'est justement l'art de faire comme si tout était nouveau.C'est le deuxième retour au pays en moins d'un an, c'est toujours un évènement qui mérite le box office de la propagande. Et prière de le prendre ainsi car, aussi vrai que l'est la vérité, tout ce qui vient du camp du Bien est bon d'être entendu et vécu. Le temps de goûter au délice d'une belle randonnée à l'aéroport.Dans le Retour I, l'acteur est revenu les mains bien chargées. Avec la cargaison de spécimens de « L'Express » et des DVD du Film qu'il a coproduit sur la « Françafrique », le fret était intéressant. Plus qu'intéressant même si on ajoute les drapeaux, le pupitre et le long tapis rouge qui ont servi à la cérémonie de prestation de serment. Ce retour là, le I, était indiscutablement regardant et aurait amplement mérité une breloque de Cannes ou un bout de bois de Ouaga.Pour le Retour II, il serait sincèrement méchant d'affirmer qu'AMO va revenir les mains vides. Ce ne sera pas humain de le dire, le pauvre traversant un deuil. Et pas du tout réel de l'insinuer puisqu'il a quand même maintenant une canne. Même si elle n'a pas la même valeur et le même chic que celle de Mobutu, il reste que cette canne, pour médicale qu'elle soit, aura l'avantage de soulever l'émotion de ses « Noirs » et, pourquoi pas, la sympathie de la communauté internationale.Vu comment l'intéressé l'expose, dans un réflexe dont aucune bonne foi ne peut douter de la spontanéité, cette canne ne manquera pas non plus de précéder l'insensibilité du B2.C'est plus qu'un principe pour AMO, qui en fait la signature de sa page Facebook : « En politique, il ne faut jamais passer par là où on vous attend ». On l' « attend » pour un deuil, mais il ne vient pas pour ça. Il vient donc pour autre chose. Le deuil, c'est juste pour ne pas « passer par là où on » l' « attend ». On s'en doutait un peu aussi…Pour autant que l'on sache, rarement, pour ne pas dire jamais, on a vu des médecins délivrer un bon de sortie à un patient, venu à des centaines de milliers de kilomètres, se tenant à peine debout et en pleine rééducation, pour aller assister aux funérailles. Si AMO a obtenu son bon de sortie, c'est qu'il est tout à fait apte à affronter quatre heures de vol.Autrement dit, sa rééducation est donc totalement achevée. Il est guéri et peut venir tranquillement terminer ses soins à la maison. Ce qui ne veut cependant pas dire que le dandy n'aurait pas aimé prolonger son séjour en Azanie. Sûr que c'est ce qu'il envisageait, mais les moyens lui ayant fait défaut, il a dû se résoudre à la cruelle réalité.
Une plate-forme d'ONG de la société civile souhaite participer à l'élection législative gabonaise du 17 décembre prochain "comme observateur", et demande l'intégration de "la Société civile dans l'organisation des élections" dans un communiqué samedi.Le Haut Conseil des Acteurs Non Etatiques du Gabon (HCANEG) a affirmé vouloir "participer à ce processus comme observateur. Aussi, sollicite-t-il une rencontre entre le gouvernement et la Société civile (Associations et Syndicats légalement reconnus par les différents ministères) afin (...) d'intégrer la Société civile dans l'organisation des élections" législatives qui se tiendront le 17 décembre.La tenue de ces élections fait l'objet de nombreuses critiques de l'opposition, qui en a réclamé le report pour pouvoir introduire la biométrie dans le processus électoral.Après une concertation du président Ali Bongo Ondimba avec l'opposition et la société civile en avril, le gouvernement avait saisi la Cour constitutionnelle pour demander un report à 2012 des élections pour "cas de force majeure" afin de permettre l'introduction de la biométrie.La Cour constitutionnelle a refusé ce report. L'opposition - dont les deux principaux partis, l'Union nationale (UN, dissoute) et l'Union du peuple gabonais (UPG) - a ainsi suspendu depuis juillet sa participation à la Cénap, estimant que la commission ne pourrait aller au bout du processus électoral sans elle.Selon le communiqué, le HCANEG "constate avec regret l'engagement sans réserves de certains membres de la Société civile dans un camp politique et sa prise de position ferme pour la non tenue d'élections législatives sans biométrie".Fidèle Waura, secrétaire général de l'Union du peuple Gabonais (UPG, opposition), avait réaffirmé la volonté de l'opposition "à empêcher ces élections""Le cas de force majeur n'a pas été constaté par la cour constitutionnelle (...) Le gouvernement tient à respecter les délais constitutionnels, nous présenterons des candidats à cette élection.", a quant à lui affirmé Jean Boniface Asselé président du Centre des libéraux réformateurs (CLR, parti de la majorité) lors d'un meeting de la majorité samedi.
A l'entame des travaux, le Président de la République, Chef de l'Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, conformément à sa politique de protection et de préservation de l'environnement et des écosystèmes, laquelle soutend le développement du pilier « Gabon Vert », a décidé de la création d'un arboretum, dans la zone nord de Libreville.Cet arboretum sera baptisé du nom d'un illustre fils de notre pays, Monseigneur André RAPONDA WALKER, humaniste, écrivain et chercheur qui a contribué à l'œuvre d'édification de la connaissance de notre patrimoine sous diverses formes.AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRESMINISTERE DE L'INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L'IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATIONSur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté deux (2) projets de décrets relatifs à l'organisation des élections législatives de décembre 2011 :le premier, pris en application de l'article 59 de la loi n° 7/96 du 12 Mars 1996, fixe la date limite de dépôt des déclarations de candidature à l'élection des députés à l'Assemblée Nationale de 2011, au Lundi 31 Octobre 2011, à 18 heures.le deuxième, quant à lui, pris en application des articles 69, 73 et 74 de la loi n° 7/96 du 12 Mars 1996, porte ouverture de la campagne électorale et convocation du collège électoral pour l'élection des députés à l'Assemblée Nationale de 2011.
Le camarade Faustin BOUKOUBI Secretaire Général du Parti Démocratique Gabonais ( PDG ) et Secretaire permanent des Partis de la Majorité Républicaine pour l'Émergence , informe les militants et sympathisants desdits partis que les leaders de cette plate forme politique organisent un grand meeting à Libreville samedi 15 octobre 2011 dans la matinée à 11 heures au carrefour de Rio baptisé place de la tolérance , mise en place terminée à 10 heures.La présence de tous les militants et sympathisants desdites formations politiques est vivement souhaitée .
Le Ministre en charge de l’Habitat, de l’Urbanisme, de l’Écologie et du Développement durable, Blaise Louembé, a informé les Gabonais sur tous les contours de la nouvelle Agence nationale de l’Habitat (ANH), dont la création a été décidée à l’issue du 8 Conseil des Ministres délocalisé à Mouila.
Le Ministre en charge de l’Habitat, de l’Urbanisme, de l’Écologie et du Développement durable, Blaise Louembé, a informé les Gabonais sur tous les contours de la nouvelle Agence nationale de l’Habitat (ANH), dont la création a été décidée à l’issue du 8 Conseil des Ministres délocalisé à Mouila.
L'international gabonais Daniel Cousin a signé au FC Sapins, un club de première division gabonaise. A 34 ans, l'ancien lensois pourra ainsi disputer la Coupe d'Afrique des Nations 2012, qui se déroulera au Gabon et en Guinée équatoriale.
Crash d'un avion de la compagnie aérienne privée gabonaise « La Nationale » à l'aéroport de Port-Gentil, la capitale économique du Gabon, ce mercredi matin 12 octobre 2011 à 8h. Aucune perte en vie humaine n'est a deplorer
Les Panthères du Gabon amenées par leur capitaine, Daniel Cousin, de retour en équipe nationale, ont étrillé Genoa, club de série 1 du championnat italien sur le score sans appel de 3 buts à 0, en match amical international ce mardi.
Le Chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, a reçu dernièrement à Libreville en audience, le Ministre équato-guinéen délégué aux Affaires Etrangères, Eustaquio Nzeng Esono, porteur d’un message du Président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo à son homologue gabonais. A-t-on appris de source officielle.
Les éliminatoires de la CAN Orange 2012 ont livré leur verdict. Plusieurs grosses cylindrées africaines sont éliminées : à l'Egypte, au Cameroun et à l'Algérie, sont venus s'ajouter le Nigeria et l'Afrique du Sud, alors que le Niger décrochait son billet. Retour sur un week-end étonnant et détonant.
Le huitième Conseil des Ministres délocalisé s’est tenu à Mouila ce jeudi 6 octobre 2011.Il intervient après ceux de Port Gentil, Oyem, Tchibanga, Makokou, Koula-Moutou, Lambaréné et Franceville.Notre séjour dans la Ngounié a permis au Gouvernement et à moi-même de toucher du doigt les réalités profondes de la province qui sont identiques à celles des provinces précédemment visitées.Les préoccupations exprimées par les populations sont largement prises en compte dans mon programme économique. La mise en œuvre de celui-ci par le Gouvernement permettra leur résolution progressive.Les points ci-après ont été abordés.I. SUR LE PLAN NATIONAL :A. Reforme de l’Habitat et accès à la propriété :Lors du Conseil des Ministres délocalisé de Koula-Moutou, j’ai pris la décision de réformer l’Administration de l’Urbanisme et du Cadastre, et plus largement le secteur de l’accès à la propriété.Cette réforme était devenue impérative car la forte urbanisation, ainsi que la faiblesse des infrastructures économiques de base ont favorisé la pauvreté dans les quartiers périphériques des grandes villes, notamment Libreville et Port Gentil, qui regroupent, à elles seules, plus de la moitié de la population nationale.Pour lutter contre la multiplication des bidonvilles et quartiers précaires et combler le déficit en infrastructures de logements, le Gouvernement s’est donné l’objectif ambitieux de construire 5 000 logements par an. Cependant, ce renforcement de l’offre de logement a nécessité une révision en amont du cadre institutionnel et réglementaire, ainsi que la mise en place d’un environnement des affaires capable d’attirer un important flux de capitaux privés.La législation foncière et domaniale en vigueur contraint les demandeurs de parcelles à attendre jusqu’à cinq (5) ans pour prétendre à un titre foncier, lequel ne s’obtient qu’au bout d’un parcours du combattant de 134 étapes ! La procédure d’obtention d’un permis de construire est aussi jalonnée de multiples obstacles qui la rendent anormalement longue.De fait, le système tel qu’il est conçu ne peut fournir légalement et en quantité suffisante les terrains à bâtir.Les faibles capacités techniques des services de l’Administration Publique en charge de la production directe de logements et de parcelles, les coûts élevés des facteurs de production et l’absence d’une politique hardie pour promouvoir l’initiative privée en matière immobilière constituent d’autres freins au développement de l’offre foncière.De plus, la croissance urbaine s’est faite en dehors de toute planification. L’actualisation du Schéma Directeur d’Aménagement et d’Urbanisme (SDAU) de Libreville, entreprise depuis plusieurs années, n’est pas achevée. Les documents de planification des autres villes sont obsolètes. A l’échelle nationale, le Schéma d’Aménagement du Territoire, qui date de 1984, ne peut plus tenir lieu de référence. L’absence de surveillance et de contrôle dans l’occupation et l’utilisation des sols a favorisé les installations et les occupations des parcelles non aménagées et équipées, difficilement accessibles, souvent en forte pente ou en zone inondable.Ces installations spontanées, irrégulières et anarchiques ont multiplié les risques d'inondation, d’éboulements, de glissements de terrain et d’incendies. Ces phénomènes occasionnent d’importants dégâts et des réparations très coûteuses à l'Etat et aux particuliers. Aussi, afin de ne pas retomber dans les erreurs du passé, j’ai voulu m’assurer que cette réforme soit conduite de manière sereine et exemplaire, en intégrant précisément les deux principaux axes que j’ai retenus pour transformer notre politique foncière, de l’habitat et de l’urbanisme, à savoir : une organisation administrative moderne, souple et efficace au bénéfice des populations; des procédures d’accès à la propriété simplifiées.
Les élections législatives gabonaises, dont la classe politique réclamait le report pour pouvoir introduire la biométrie dans le processus électoral, auront lieu le 17 décembre, a annoncé jeudi le rapporteur de la Commission électorale sur la chaîne publique RTG1.
Le meeting de la coalition, pseudo société civile représenté par Marc Ona Essangui et ses copains de galères de l'opposition alimentaire gabonaise, tant annoncé pour le samedi 1er octobre 2011 n'a finalement été qu'un marché de village. Ils ont honteusement mordu la poussière.Ce meeting ,des copains de galères alimentaires, avait au départ fait couler ancres et salives. Au final, une terrible déception , un camouflet mémorable . Le ‘'griot'' de fortune Marc Ona Essangui et ses copains de galères alimentaires ont accouchés d'une souris. Heureusement que nous sommes au Gabon où le ridicule ne tue pas.LA HONTE , ILS SONT NÉS DEDANS !!!Cette coalition qui regroupaient une vingtaine de pseudos partis et associations ont eu une cinglante leçon, le nombre de curieux autour de la place de Rio dépassait largement les militants de ces 20 partis et associations. A chacun de tirer la leçon.
Un prêt de 230 millions d’Unités de Compte (MUC) soit 370,3 millions de dollars EU, pour financer la deuxième phase du Programme Routier(PR2) au Gabon. C’est ce qui ressort du Conseil d’administration de la Banque Africaine de Développement (BAD) tenu ce vendredi à Tunis en Tunisie. Annonce une source proche de cette institution.
Un prêt de 230 millions d’Unités de Compte (MUC) soit 370,3 millions de dollars EU, pour financer la deuxième phase du Programme Routier(PR2) au Gabon. C’est ce qui ressort du Conseil d’administration de la Banque Africaine de Développement (BAD) tenu ce vendredi à Tunis en Tunisie. Annonce une source proche de cette institution.
Ces deux structures devront s'atteler à renforcer la discipline au sein du parti pour l’une et de permettre à ce dernier de recouvrer les financements nécessaires à son fonctionnement pour l’autre.
Ces derniers temps, des politiciens en mal de vitesse ( les chefs alimentaires du gang dissout) se bornent à salir le parti au pouvoir, le PDG , comme quoi il serait en train de mettre sur pied une combine qui lui assure la victoire en 2011. UN DELIRE DE PLUS !
"Tout sera prêt" pour l'accueil de l'édition 2012 de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) de football, prévue du 21 janvier au 12 février au Gabon et en Guinée équatoriale, a assuré le comité d'organisation.
Voici le texte intégral ayant sanctionné les travaux du Conseil des Ministres du 29 septembre 2011, présidé par le Chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba.
Voici le texte intégral ayant sanctionné les travaux du Conseil des Ministres du 29 septembre 2011, présidé par le Chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba.