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le 13-04-2011 00:35

« Le Gabon prend acte de la situation politique actuelle en Côte d’Ivoire», communiqué

 Dans un communiqué  le Gabon prend acte de la situation politique actuelle en Côte d’Ivoire qui a abouti au retrait du Président sortant Monsieur Laurent Gbagbo le lundi 11 Avril 2011.

« Le Gabon, à l’instar de la Communauté internationale, prend acte de la situation politique actuelle en Côte d’Ivoire qui a abouti au retrait du Président sortant Monsieur Laurent Gbagbo le lundi 11 Avril 2011.

Suivant avec une extrême attention l’évolution de la nouvelle situation politique, institutionnelle et militaire en Côte d’Ivoire, le Gabon salue l’appel du Président Alassane Dramane OUATTARA à la réconciliation nationale et au pardon et forme le vœu que la Côte d’Ivoire, pays frère et ami, recouvre les valeurs qui ont jadis fait sa prospérité et sa stabilité en faisant à nouveau du dialogue, de la tolérance et du respect des droits de l’homme, la trame de sa reconstruction.

Considérant la Résolution 1975 du Conseil de Sécurité des Nations Unies, le Gabon, par ailleurs membre non Permanent du Conseil de Sécurité, est attaché au dialogue et à la paix. Aussi, tient-il à réaffirmer que la paix et la sécurité demeurent un fondement essentiel de son action diplomatique sur la scène internationale.

En outre, le Gabon exprime sa satisfaction pour la fermeté avec laquelle les nouvelles autorités ivoiriennes font preuve face aux velléités de vengeance ou de violence que pourraient nourrir certains ex-belligérants. Il accueille favorablement les assurances données par le Président Alassane Dramane OUATTARA qui a promis « d’assurer l’intégrité physique du Président sortant, Monsieur Laurent Gbagbo, de son épouse et de tous ceux qui ont été appréhendés ».

Aussi, le Gabon salue-t-il la déclaration du Président sortant, Monsieur Laurent Gbagbo, qui a appelé ses partisans à l’arrêt des hostilités et à un retour au processus de dialogue.

Enfin, face à l’ampleur de la crise post-électorale ivoirienne, le Gabon exhorte le Président Alassane Dramane OUATTARA à s’atteler d’urgence avec toutes les forces vives de la nation ivoirienne à la difficile mais salutaire œuvre de réconciliation  et de gouvernance démocratique.

Fait à Libreville, le 12 Avril 2011 »

 


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le 12-04-2011 21:04

Le Ministre de l'Education Nationale Recadre les Enseignants Grévistes Par Une Mise Au Point Qui Mérite Toute l'Attention

En réaction au mouvement de grève récemment lancé par un syndicat d'enseignants du secteur de l'Education Nationale, le Ministre de l'Education Nationale et de l'Enseignement Supérieur a tenu, à travers un communiqué à faire une mise au point claire sur la situation qui prévaut dans le secteur dont il a la charge.

Voici le texte intégral:

 

« De façon intempestive, la vie du système éducatif gabonais est demeurée, durant les dix (10) à quinze (15) dernières années, rythmée par des grèves et des solutions approximatives dictées par des circonstances, mais dont nous pouvons tous constater que, tout cela a abouti à une très grave dégradation des infrastructures et équipements scolaires sur toute l’étendue du territoire national, ainsi qu’une baisse sans précédent du niveau et du rendement scolaires. En ce qui concerne, particulièrement nos bacheliers, pour les raisons indiquées ci-haut, rares sont ceux qui rentrent au Supérieur et qui accomplissent leur cycle universitaire sans être aux prises avec des pires difficultés d’adaptation ; ce qui compromet gravement leur réussite.

 

A cet titre, nos bacheliers, orientés dans les pays partenaires durant les cinq (05) à six (06) dernières années, ont eu beaucoup de mal à être inscrits sans un ensemble de tests préalables ou encore sont orientés dans des établissements supérieurs privés ; les Universités d’Etats des pays amis, n’étant plus suffisamment prédisposées à les accueillir.

 

Pour remédier à cette situation et permettre à notre système éducatif de retrouver sa crédibilité nationale et internationale, un ensemble de réformes sont envisagées et mises en œuvre depuis fin 2009 début 2010 ; réformes renforcées par les conclusions des Etats Généraux de l’Education, de la Recherche, et de la Formation, tenus à Libreville les 17 et 18 mai 2010.

 

Mais, force est de constater que certaines forces d’inertie, regroupées au sein de certains syndicats poursuivant des objectifs extra-professionnels, tentent à chaque fois, sans succès jusqu’à présent, de bloquer la mise en œuvre des réformes en cours.

 

C’est à cette fin, qu’en octobre 2009, les syndicats regroupés au sein de la CONASYSED, ont lancé un mot d’ordre de grève, qui a abouti au non paiement des salaires de certains enseignants qui les ont suivis, pour les mois d’octobre et novembre 2009. Mais comme le plus grand nombre d’enseignants a continué à exercer, avec conscience professionnelle, l’année scolaire 2009-2010, quoique perturbée, a été sauvée.

 

A la rentrée d’octobre 2010, les mêmes nostalgiques de l’ordre ancien et des déviances qui les nourrissaient à souhait, ont à nouveau tenté, mais en vain, d’appeler les enseignants du Pré-primaire, du Primaire et du Secondaire, à une grève.

 

Cette nouvelle tentative, quoique vaine, ayant été orchestrée en violation du statut général de la Fonction Publique et des textes qui régissent l’exercice du droit syndical dans un service public, ont donné lieu à la traduction, devant le Conseil de Discipline, des agents de l’Etat ayant ainsi gravement porté atteinte au principe fondamental de continuité du service public, du fait simplement de leur tentative hors la loi.

 

Le Conseil de Discipline, après audition des intéressés, a proposé à leur encontre, des sanctions extrêmes de licenciement. Mais, suite à la sollicitation de la Haute Chambre du Parlement, le Sénat, qui a souhaité une atténuation des sanctions, le Ministre en charge de l’Education Nationale a saisi, en date du 25 mars 2011, le Ministre en charge du Budget et de la Fonction Publique, pour que les sanctions à infliger à ces enseignants hors la loi, ainsi qu’à ceux du SECEG ne se limitent, pour la dernière fois, qu’à un blâme avec inscription au dossier assorti d’une mise en débet pour les quinze (15) jours de grève qu’ils avaient lancés.

 

Par ailleurs, le Ministre en charge de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, en synergie avec celui en charge du Budget et de la Fonction Publique, continuent à honorer les échéances de paiement de rappels, chaque trimestre, et poursuivent aussi bien les intégrations que la régularisation des situations administratives des Enseignants, des Chercheurs et d’autres personnels.

 

Dans ce registre, et après la séance de travail organisée conjointement par les deux Ministres, avec les syndicats de l’Enseignement Supérieur et les syndicats de l’Enseignement scolaire dont les membres n’étaient pas traduits en Conseil de Discipline, l’Education Nationale a saisi le Budget et la Fonction Publique par courrier en date du 16 mars 2011 pour communiquer la liste des responsables de l’Administration et des représentants des syndicats, aux fins du suivi des dossiers concernant l’ensemble des personnels du système éducatif national. Ces personnels enseignants, ainsi que d’appui multiforme, peuvent noter que la Prime d’Incitation à la Fonction Enseignante (PIFE) de l’année dernière leur a été payée au mois de mai 2010. La Prime d’Incitation à la Fonction Enseignante de 2011 (PIFE), sera payée au mois de mai prochain comme expliqué dans tous les bassins pédagogiques.

 

En 2010, et pour la première fois, les enseignants désignés pour organiser les examens et concours dans d’autres provinces, ont perçu des frais de mission en plus des vacations. Les arriérés des vacations 2009 que nous avons trouvés, ont été payés pour un montant de deux cent (200) millions de Francs CFA. Les vacations des examens et concours de 2010, ont été intégralement payées sans plus jamais accumuler des arriérés. Pour les vacations des examens et concours 2011, qui vont commencer au mois de mai, leur paiement se fera également avec la même célérité et la même transparence dans chaque Trésorerie Provinciale. Pour la première fois, la Journée de l’Enseignant a été organisée sur toute l’étendue du territoire national, en impliquant tous les Enseignants et Chercheurs ainsi que tous les personnels d’appui administratif, technique et logistique.

 

Devant tous ces efforts fournis par le Gouvernement, force est de constater, que les mêmes qui visent d’autres objectifs, ces quelques enseignants regroupés au sein de la CONASYSED, pour mieux faire diversion,  essayent de distiller dans l’opinion, au moyen des tracts, des messages téléphoniques et de l’usage de l’internet, des rumeurs en tous genres, notamment en essayant de dévoyer la mesure prise pour garantir la réfection des salles de classe avant chaque rentrée scolaire, faisant croire que les inscriptions budgétaires à cet effet, d’un montant de cinq cent treize millions deux cent seize mille cent vingt (513.216.120) Francs CFA, pour tout le pays, seraient destinés à enrichir les Directeurs d’Académie Provinciales dont ils disent qu’ils seraient tous originaires d’un même groupe ethnique.

 

A cet effet, le Ministère fait la mise au point suivante :

 

1-    Cette dotation est inscrite au Budget de l’Etat et répartie, province par province. Elle sera gérée par les différentes Trésoreries provinciales, conformément à la note circulaire prise à cet effet, dans le cadre d’un comité de gestion collégiale, pour éviter tout détournement et en choisissant librement une à trois entreprises installées dans chaque province, afin qu’à la rentrée prochaine, enseignants et élèves, trouvent les établissements attrayants comme ce fut le cas dans l’ancien temps.

 

2-   Les Directeurs d’Académies provinciales sont au nombre de neuf (09) et sont choisis en raison d’un (01) originaire de chaque province, depuis toujours.

 

3-    Sur 131 Chefs d’établissements d’enseignement secondaire, cette année, les nominations ont été effectuées sur la base d’une liste d’aptitude aux fonctions de Chef d’établissement selon trois critères : l’expertise, les capacités managériales, la citoyenneté civiquesociale et sociétale. Sur la base de ces critères scientifiques, sur cent trente et un (131) Proviseurs et Principaux, trente quatre (34) sont Fang, dix huit (18)  sont Punu, treize (13) sont  Nzébi, neuf (09) sont Eshira, sept (07) sont Myènè, six (06) sont Tsogho, quatre (04) sont Obamba, deux (02) sont Ndoumou, deux (02) sont Kota ; deux (02) sont Vili, un (01) Aduma, un (01) Awandji, un (01) Téké, un (01) Kaningui, un (01) Vungu, un (01) Kuélé, un (01) Lumbu, un (01)Okandè, un (01) Massango, un (01) Puvi (et les vingt quatre autres sont des expatriés Chefs d’établissements privés reconnus d’utilité publique).

 

4-    Au niveau de l’Administration Centrale, sur neuf (09) Directeurs Généraux choisis en raison de leur expertise et de leur esprit civique ainsi que sur la base de leurs capacités managériales, et non pas sur des bases géopolitiques, il y a trois (03)Fang, un (01) Punu, un (01) Awandji, un (01) Obamba, un (01) Puvi, un (01) Vili et un (01) Nzébi.

 

L’application des critères scientifiques n’a marginalisé, ni favorisé un groupe ethnique comme cela s’est toujours passé durant ces dix (10) à quinze (15) dernières années.

 

En appelant à cette nouvelle grève, ces auteurs et instigateurs croient pouvoir perturber les examens de fin d’année. A  cet effet, les Directeurs d’Académies Provinciales, les Chefs de Circonscriptions Scolaires, les Chefs de Bases Pédagogiques et les Chefs d’Etablissements, chacun en ce qui le concerne, et sous la supervision nationale de l’Inspection Générale des Services, sont chargés depoursuivre le processus engagé depuis toujours, d’identification des enseignants et d’autres personnels qui ne font pas preuve de ponctualité et d’assiduité et qui ne remplissent pas avec efficacité, soit leurs tâches pédagogiques, soit leurs tâches administratives, soit encore leurs tâches d’appui logistique ou technique.

 

A ce titre, les uns et les autres de ces responsables, sont instruits de renforcer ce contrôle à partir du lundi 11 Avril 2011 et de nous faire rapport, en fin de chaque journée, de la présence effective des personnels qui leur sont affectés ainsi que de l’effectivité de l’accomplissement de leurs tâches. Chaque Chef d’Etablissement et chaque Chef de Circonscription Scolaire, sous le contrôle des Directeurs d’Académies Provinciales, est instruit de proposer, parmi les enseignants et autres personnels, qui seront appelés à être enrôlés dans le processus de l’organisation des examens et concours, rien que ceux qui, durant l’année, auront, de façon avérée, fait preuve de ponctualité, d’assiduité et d’efficacité dans l’accomplissement des tâches pédagogiques ou autres, afin que les résultats desdits examens puissent refléter  réellement le niveau de l’enseignement.

 

 La PIFE 2011 et celles futures, ne seront également payées qu’en proportion du nombre de jours de travail effectif.

 

Pour ce qui est de la grève lancée par le Syndicat National des Enseignants et Chercheurs (SNEC), le Ministère constate que la procédure a été respectée mais demande, dans ce cadre partenarial    franc, que la circulaire d’application des modalités du service minimum soit respectée pour ne pas tomber dans l’illégalité et notamment en faisant poursuivre les examens, en cours, dans chaque Faculté ou dans chaque Grande Ecole.

 

Enfin, dans tous les cas, la Commission Administrative Paritaire prévue pour le Statut Général de la Fonction Publique, et organisée par l’Arrêté de Monsieur le Premier Ministre pris en février 2010, reste le cadre de dialogue et de consultation avec les partenaires sociaux ainsi que les audiences éventuelles auxquelles nous sommes toujours ouverts.

 

Je vous remercie. »

 

Séraphin MOUNDOUGA, Ministre de l'Education Nationale et de l'Enseignement Supérieur.

 


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le 12-04-2011 21:01

le Haut débit comme gage d’un développement de l’Afrique centrale

Le Ministre de la Communication et de la poste, Paul Ndong Nguema, assisté de son collègue chargé des relations avec le Parlement, des droits de l’homme, chargé du Népad, Aurélien Ntoutoume, a ouvert, le 11 avril 2011 à Libreville, les travaux de l’atelier de validation des projets de lois types, relatifs à l’établissement et à l’exploitation des infrastructures et des réseaux de communication électroniques en zone C.E.E.A.C Organisé en partenariat avec la Communauté économique des états de l’Afrique centrale (C.E.E.A.C) dont le secrétaire général,  Louis Sylvain Goma était présent et l’Union internationale des télécommunications, la rencontre de la capitale gabonaise, prévue du 11 au 14 avril 2011 a pour but principal de revoir, d’amender et de valider les avant-projets de lois types portant sur le cadre juridique et institutionnel du développement  des infrastructures, des réseaux et des services de communications électroniques.

Plusieurs autres projets de lois seront portés à l’appréciation des délégués venus de nombreux pays du continent et du reste du monde. Il s’agit du projet de loi relatif sur le service universel et les mécanismes de financement, ainsi que celui relatif aux fréquences radioélectrique.

Dans son allocution de circonstance, le Secrétaire général de la C.E.E.A.C, le général Louis Sylvain Goma  a indiqué que la sous-région d’Afrique centrale pouvait, compte tenu des potentialités dont elle regorge, anticiper sur certaines situations liées à l’émergence des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC). « Les pays d’Afrique centrale se doivent d’anticiper sur leur avenir fondé sur les NTIC, plus précisément le haut débit, parce qu’il est prouvé que non seulement 10 points de croissance des abonnements aux services internet haut débit entraînent une croissance de l’ordre de 1,3 à 2 points du PIB.

 Mais, aussi, les investissements privés étrangers  sont principalement dirigés vers les régions du monde  qui sont bien desservies en infrastructures de communication, notamment les routes, les ports, les télécommunications et les aéroports, avec une main d’œuvre qualifiée en NTIC » a t-il déclaré. Le général Louis Sylvain Goma appelle à un renforcement des acquis et à un véritable engagement afin que le haut débit soit désormais à la portée de tous à l’horizon 2020.

Le Ministre de la Communication, dans son mot d’ouverture, a fait remarquer que, l’Afrique, disposant d’un important potentiel de développement et compte tenu de sa position centrale, en fait, un espace stratégique en termes de zones d’échanges commerciaux, d’opportunités d’investissement  et d’interconnexion des infrastructures des télécommunications continentales.

 Il a aussi déclaré que le projet HIPPSA, projet continental d’harmonisation des politiques des TIC en Afrique subsaharienne  et financé par l’UE après une mise en œuvre de l’Union internationale des télécommunications (UIT), constituait la base de la présente rencontre. Les travaux de cet atelier se poursuivent jusqu’au 14 avril 2011 avec plusieurs thèmes de débats prévus.

 


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le 12-04-2011 21:01

le Ministre Alexandre Barro Chambrier sur les sites des minerais

Le Ministre des Mines, du Pétrole et des hydrocarbures, Alexandre Barro Chambrier, rejoint par son collègue des Eaux et Forêts, Christian Magnagna a effectué une descente dans la province du Haut Ogooué, du 8 au 10 avril 2011 pour y évaluer l’évolution des différents chantiers relatifs à l’exploration de l’or de Bakoudou et des travaux de construction du complexe silico- manganèse de Moanda. Il était question pour le membre du gouvernement, de toucher du doigt l’état des travaux des trois usines minières en construction dans cette province. Le complexe métallurgique de Moanda, l’usine de production de manganèse et la mine d’or de Bakoudou. Pour le complexe, les responsables ont confirmé au ministre de la livraison dans les délais de l’ouvrage avec une entrée en exploitation prévue en 2013.

La mise en service de ce complexe, suivant les explications des responsables permettra la création de près de 400 emplois directs et plusieurs indirects. Avec une production d’environ 20.000 tonnes par an de manganèse métal haute pureté et 65 000 tonnes par an de silici-manganèse, cet ouvrage, selon le ministre Barro Chambrier sera l’un des points culminants de la matérialisation des objectifs liés à la politique du Gabon industriel, tel que préconisé par le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba.

A Bakoudou, le ministre des Mines, accompagné de son collègue des eaux et forêts, Christian Magnagna, du gouverneur de la province du Haut Ogooué, Bertrand Moundounga, d’Egide Boundono Simangoye et de Célestin Bayogha Nembé, tous les deux fils de la localité, il a reçu les assurances des responsables de la société BHP Billiton, filiale de Managem sur les résultats encourageants de la phase d’exploration qui permettront, selon leurs dires, d’allonger la durée de vie de ce vaste projet.

L’autre point évoqué par le Ministre des mines a été celui relatif à la protection de l’environnement. Les responsables de la Comilog ont indiqué que leur société avait reçu des certifications Iso 9002 en mai 1998 et Iso 9001/2008 en 2009. De même que les filiales étaient certifiées Iso 9000. Une manière de dire que ce complexe minier avait un souci majeur de respect et cde protection de l’environnement.

S’agissant du climat au sein de l’entreprise, Alexandre Barro Chambrier s’est dit satisfait de savoir que des efforts ont été faits dans l’utilisation rationnelle de la main d’œuvre étrangère. Pour lui, les responsables de la société doivent continuer à faire confiance aux nationaux en privilégiant l’emploi des nationaux. « La gabonisation des postes dans les secteurs miniers et est un préalable pour le gouvernement de la République »  A-t-il déclaré. 

 


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