Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 27-03-2012 11:36

Bien mal acquis:decheances des moralisateurs par Charles Mve Ellah


Trois faits importants ont marqué ces derniers temps, la vie politique de notre pays. D'abord la victoire éclatante remportée par le Parti Démocratique Gabonais (PDG), lors des dernières élections législatives de Décembre 2011, suivie de l'organisation conjointe par le Gabon et la Guinée-équatoriale, de la 28ème édition de la Coupe d'Afrique des Nations de Football (CAN Orange 2012) et, enfin, la formation d‘un nouveau Gouvernement de missions pour donner un coup d'accélération au projet de société L'Avenir en confiance, prôné par le Chef de l'Etat, Son Excellence Ali Bongo Ondimba.

 


 

Pour l'essentiel, ces faits qui sont relatifs à un ordre de réalité s'attachent à montrer qu'il existe inexorablement un calendrier, une logique de progression dans l'action politique du Président de la République depuis qu'il a pris l'engagement de s'astreindre à la consultation, d'être à l'écoute de ses compatriotes pour espérer améliorer qualitativement et quantitativement leur quotidien.Dans la mouvance de l'action et des efforts qui contrastent avec toutes les formes d'immobilisme, les Gabonaises et Gabonais sont de plus en plus conscients et convaincus de la franchise d'Ali Bongo Ondimba qui a pris l'option de dire ce qu'il fait et de faire ce qu'il dit.Le chemin sera long. Certes. L'important c'est de démarrer cette révolution par le changement des mentalités. Car, dans son adresse à la Nation, le Chef de l'Etat a compris la nécessité qu'il y avait d'établir désormais de nouvelles méthodes d'organisation, de gestion et d'évaluation avec rigueur et détermination pour parvenir à des solutions adéquates et immédiates aux préoccupations des populations.Rigueur et détermination. Les mots sont lâchés montrant ainsi le cap, le principal objectif poursuivi par l'Etat étant la puissance. Ce qui explique par exemple le succès de la fête du football organisée récemment par notre pays, l'engouement autour d'un projet que les esprits obtus et défaitistes donnaient comme irréalisable au départ mais qui, contre toute attente, s'est révélée comme un facteur déterminant de rassemblement, de ferveur, de partage et d'unité nationale.Alors que la plupart s'accordent aujourd'hui sur le sens de la Vision d'avenir que le Chef de l'Etat appelle Gabon Emergent, que le respect des valeurs fondatrices et primordiales que sont l'Union, le Travail et la Justice sont de plus en plus suscitées pour forger le présent et l'avenir de chacun dans une société de partage, que la composition du Gouvernement actuel répond au souci d'accélérer les réformes qui ont pour objectif majeur de renforcer la bonne gouvernance et l'Etat de droit…, l'on est surpris par le retour sur la scène d'une curieuse affaire ayant trait aux pseudos ‘'biens mal acquis''.En effet, une certaine presse internationale aux objectifs non avoués se fait le plaisir de relancer l'affaire en France. Naturellement cette presse tient ses sources des modèles qu'inspire ce pays visiblement jaloux de ses prérogatives.Alors nous serions tentés de dauber sur cette France-là, ce seul pays d'Europe qui brille par sa santé économique, son taux de croissance, ses emplois stables, ses constructions légales, sa justice impartiale, son administration performante, son commerce excédentaire, sa politique irréprochable…bref, une France qui offre tous les privilèges, cultive toutes les formes d'égalité sociale…On peut s'en douter, une telle énumération ne peut que susciter de convoitises, faire naître des envies auprès de bougres et pitoyables « africains » qui ne pensent qu'à aller « planquer » l'argent détourné en France et d'y acquérir des biens jugés finalement mal acquis, puisque ces derniers - selon les définitions autorisées - sont le produit d'activités artificielles ou criminelles qui ont permis à des dirigeants (africains pour la plupart) un enrichissement que leurs revenus ne peuvent justifier.Dans ce sens qu'ils sont les résultats de détournements de fonds, de vols ou de transferts illicites d'argent public entre les comptes nationaux et leurs comptes personnels.Qu'à cela ne tienne. Il y a très longtemps que la formule des biens mal acquis est archi-usée. Le défunt Président de la République en a fait les frais, sans que les uns et les autres puissent démontrer que les biens, meubles ou immeubles qu'il détenait en France étaient constitués des fonds susceptibles d'appropriation privative soustrait illégalement du patrimoine public gabonais à l'effet d'appauvrir le patrimoine de l'Etat. A l'époque, et pour des considérations d'éthique et de respect des valeurs cardinales de notre société, nous dénoncions à cette même tribune, l'acharnement sur les morts. Simple question de culture. Et nous n'aurons jamais les mêmes manières d'agir, de penser et de sentir.Après le défunt Président Omar Bongo Ondimba, les ‘'experts en bien mal acquis'' n'ont pas trouvé d'autres moyens que de s'attaquer cette fois à Ali BONGO ONDIMBA. Ce qui a fait dire justement à ce dernier - au cours d'une récente interview accordée à un journaliste de Radio France Internationale - qu'il était victime du délit de patronyme.Et pourquoi pas du délire ahurissant de pseudo-moralisateurs à la conquête d'autres biens présents… N'ayant rien trouvé de sérieux dans cette quête permanente de « perturbation » de la vie tranquille mais rassurée du Chef de l'Etat, cette presse aux allures burlesques s'en prend aujourd'hui aux dépenses effectuées par la Première Dame, au cours de ses récents séjours parisien.En tout cas, cette dérive a pour conséquence l'indifférence généralisée face à un sujet que les Gabonais ont rangé dans les rayons du Kongossa (les on-dit) à la faveur des sujets plus préoccupants.Car, disent-ils, si l'existence des biens mal acquis venait à être démontrée, c'est la France qui devrait en profiter en toute logique, du fait de l'implantation sur son territoire de ces biens mobiliers et immobiliers.N'ayons pas peur des mots.Une question fondamentale se pose et mérite une réponse claire : connaissant le caractère de la puissance publique française, sachant que l'Etat ne saurait autoriser des privilèges, des passe-droits, des prérogatives, des attitudes arbitraires qui vaudraient les pires ennuis au commun des administrés, par quel type de manipulation a -t-il réussi à favoriser l'entrée sur son territoire des dirigeants africains reconnus coupables de détournements de fonds, de vols ou de transferts illicites d'argent public ?En référence à ses principes de Liberté, d'Egalité et de Fraternité, pourquoi ce pays France a–t-il opté pour le recel des biens au détriment des populations africaines spoliées ?Il faut se garder de faire preuve de naïveté devant une affaire qui s'enlise dans une sorte de déchéance morale. Il faut que les initiateurs de cette démarche aux relents de néo-colonialisme comprennent exactement que le monde est devenu un énorme chantier avec diverses connexions et des courants transversaux.Pour paraphraser justement un chanteur du nom de Jacques Brel : « Dès qu'il y a des gens qui bougent, les immobiles disent qu'ils fuient ». Evidemment, parmi les plaignants et les ONG établies sur le territoire ou à l'étranger, l'on se gargarise sur la relance du pseudo-débat sur les biens mal acquis. A l'intérieur- l'Opposition, du moins ce qu'il en reste - a tenté d'inventer l'alternance en dénonçant dans un passé encore récent l'illégitimité du pouvoir en place.Puis elle a surfé sur la vague d'une probable cohabitation sophistiquée dans le but d'amener le Président Ali BONGO ONDIMBA à un partage de pouvoir. A l'extérieur, les ONG pensent toujours tirer profit de ces affaires de biens mal acquis pour aboutir à une soumission des Etats africains à un dictat économique et financier. Toutes ces tentatives ayant échoué, notre pays peut se targuer de posséder la légitimité que lui donne le monopole de l'usage légitime de la force sur son territoire. L'action politique du Chef de l'Etat a commencé par la Vision. Elle va se fortifier par la clarté, le sens du juste équilibre pour la construction d'une nation unie et prospère.

 

Source:Charles Mvé Ellah

 

 
 


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le 23-03-2012 01:26

Le Président Ali BONGO ONDIMBA à Londres a Prôné pour un leadership pour conduire notre monde vers un avenir stable pour nous tous


Le Chef de l’Etat Gabonais, le Président Ali BONGO ONDIMBA, s’est adressé, à l’invitation du Gouvernement Britannique, ce jour à Lancaster House, à la conférence « climat et sécurité des ressources pour le 21ème siècle ».

Cette manifestation a été une belle occasion pour le Président Ali BONGO ONDIMBA qui joue un rôle majeur au niveau international sur les questions d’environnement et de développement durable, d’exprimer quelques réflexions sur les conséquences probables de changements climatiques permanents sur la sécurité en Afrique.

Remontant à 500 ans avant le Christ, le Président Gabonais a mis en évidence que “le changement climatique est une menace sécuritaire à laquelle les Africains ont été confrontés toute leur vie durant. Lorsqu’on envisage l’avenir, l’Afrique aura à cheminer sur une corde raide pour assurer une croissance durable car nous ne pouvons améliorer nos niveaux de vie tout en détériorant notre environnement naturel. Nous faisons face au défi de la croissance et de la prospérité pour nos populations dans une période de tension environnementale aiguë pour laquelle notre marge de lutte est restreinte."

Analysant le changement climatique dans le contexte de la menace sécuritaire qui changera la nature du débat global, le Président a fait remarquer que “la prolifération de conflits armés peut avoir un impact sur nous tous et pas seulement sur ceux qui vivent dans les pays directement affectés” avant de rappeler sa “ participation active au projet Rainforest de Son Altesse Royale le Prince de Galles” , son“ voyage à Copenhague en 2009, la récente réunion du GEO à Libreville sur le cycle de l’eau en Afrique” qui ont tous renforcé sa conviction que nous serons bientôt confrontés à des défis sécuritaires de plus en plus importants, comme conséquence du réchauffement global ».

Le Président Ali BONGO ONDIMBA a aussi abordé le fait que “les ressources pour lesquelles nous nous battrons à l’avenir ne seront pas le pétrole, l’or et les diamants : les guerres du futur porteront sur l’eau, l’alimentation et la terre” ajoutant :” Si nous voulons éviter des perspectives si sombres pour l’avenir, nous devons adhérer à un strict respect de notre environnement aujourd’hui. La Paix, la Sécurité et l’Environnement sont interdépendants. Nous ne pouvons œuvrer à instaurer une paix durable si nous ne nous confrontons pas aujourd’hui aux causes qui nous le savons, conduiront aux guerres à l’avenir.”


Mettant en exergue sa forte conviction aux vertus de la diplomatie préventive, le principal orateur du jour a fait le point sur le potentiel du Gabon et son “PLAN CLIMAT” disant fort à propos que :” Le Gabon est dans une position unique aujourd’hui. Nous sommes riches en minerais, pétrole et gaz et malgré tout notre environnement naturel est encore relativement vierge. Nous avons des experts reconnus internationalement en première ligne des débats sur l’environnement et nous avons la volonté politique de trouver des solutions et de nous engager dans les réformes nécessaires pour leur mise en œuvre". 

La nouvelle structure gouvernementale est une indication claire de l’itinéraire du Gabon et de ses ambitions car“ pour accélérer ce travail” dira-t-il “nous venons juste de restructurer le gouvernement, en créant un Ministère de l’Economie et du Développement durable. Notre intention est claire – nous avons l’intention d’intégrer le principe du développement durable et de la sensibilité climatique dans notre stratégie globale de développement national. Nous percevons l’environnement comme une question transversale qui impacte l’économie entière de nos jours et avons le sentiment que ceci sera de plus en plus le cas à l’avenir”.

En conclusion, le Chef de l’Etat Gabonais a réitéré sa croyance forte qu’il est “impératif que la Communauté Internationale se réveille et s’engage pour une stratégie commune de lutte contre le changement climatique”.

Des réunions de ce genre dira-t-il “nous permettent de confronter divers points de vue, dans le but d’avoir une vision partagée pour l’avenir de notre planète. Œuvrons ensemble pour démontrer un leadership et conduire notre monde vers un avenir stable pour nous tous”.
 
Source: Présidence de la République 
 


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le 22-03-2012 21:14

Le Président Malien Amadou Toumani Touré, Renversé par un Coup d'Etat Militaire à Bamako


Des soldats du rang se sont emparés dans la nuit du palais présidentiel à Bamako. Le président Amadou Toumani Touré aurait été exfiltré vers un lieu tenu secret. 

Une mutinerie a tourné dans la nuit de mercredi à jeudi au coup d'État au Mali. Des militaires affirment avoir renversé le pouvoir du président Amadou Toumani Touré, dit ATT, après s'être emparés du palais de Koulouba, situé sur une colline dominant Bamako. Le bâtiment présidentiel a été en partie incendié et le chef de l'État aurait été exfiltré par sa garde vers un lieu tenu secret.

 

Les putschistes étaient apparus au milieu de la nuit à la télévision nationale, qu'ils occupaient depuis plusieurs heures. Leur porte-parole, le lieutenant Amadou Konaré, a annoncé la «fin d'un régime incompétent», la dissolution de «toutes les institutions», la suspension de la Constitution et la mise en place d'un couvre-feu.
 

Rébellion touareg

 

 Il a indiqué avoir agi avec des hommes de rang pour répondre «à l'incapacité» d'ATT «à gérer la crise dans le nord du pays» en proie à une rébellion touareg depuis le 17 janvier et à une instabilité orchestrée par des groupes armés islamistes tel al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Le lieutenant parlait au nom d'un énigmatique Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'État (CNRDRE). La junte a pris l'engagement de restaurer le pouvoir civil et de mettre en place un gouvernement d'union nationale lorsque l'«intégrité du territoire sera rétablie».

 

Les mutins sont issus de la caserne de Kati, située hors de Bamako. Ils se sont soulevés à l'occasion de la visite du ministre de la Défense, qui était allé à leur rencontre pour tenter de calmer leur grogne. Les soldats protestaient contre le «manque de moyens» déployés sur le terrain pour contrer la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), conduite par des centaines de combattants surarmés ayant servi en Libye dans les rangs des troupes d'élite du colonel Kadhafi. Ils reprochent à Amadou Toumani Touré sa mollesse.
 
Une première vague de contestation militaire avait déferlé en février sur Bamako après le massacre à Aguelhok de soldats maliens, tués par des rebelles au moyen de balles tirées à bout portant ou égorgés. Le régime avait vacillé. ATTun général démocrate qui avait rendu le pouvoir après un putsch voici vingt ans et avait ensuite été élu président, semblait au crépuscule de son règne. Il avait prévu de ne pas se représenter à l'élection présidentielle qui devait se tenir fin avril.
 
 Le coup de sang des mutins de Kati semble avoir donné un coup d'accélérateur aux projets de coup d'État qui se tramaient dans l'ombre.Les troupes maliennes se disent démoralisées par les discours du gouvernement, qui cacherait la réalité du conflit dans le nord du pays. Ils accusent également des membres de leur hiérarchie de corruption.
 
Désorientée, l'armée malienne est en difficulté dans son bras de fer avec le MNLA. Elle a abandonné plusieurs garnisons et n'apparaît pour l'instant pas en mesure de reprendre l'initiative.
 
Sources: Le Figaro.fr 
 

 


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le 22-03-2012 21:07

Quid du Plan d’Urgence National ?


Libreville, 21  mars 2012 (Infos Gabon)  – Les experts de la lutte contre les pollutions par les hydrocarbures et autres substances nuisibles vont s’approprier le Plan d’Urgence National du Gabon...

 Les experts de la lutte contre les pollutions par les hydrocarbures et autres substances nuisibles vont s’approprier le Plan d’Urgence National du Gabon en la matière, à la faveur d’un Atelier-exercice ouvert le lundi 19 mars dernier à Libreville par le Ministre gabonais en charge du Développement Durable, Luc Oyoubi, qui était accompagné de son collègue des Eaux et Forêts, Gabriel Ntchango. A-t-on constaté.

L’objectif de ces assises, organisées par la Direction Générale de l’Environnement en partenariat avec l’Organisation Maritime Internationale (OMI) et l’Association Mondiale de l’Industrie Pétrolière pour l’Environnement et les Affaires Sociales (IPIECA), est la mise en œuvre du Plan d’Urgence de lutte contre les déversements accidentels d’hydrocarbures et autres substances nuisibles en milieu marin.

Avec une façade maritime de plus de 800 km, une importante activité halieutique et un potentiel touristique avéré, le Gabon dont l’industrie pétrolière est parmi les plus anciennes du continent fait partie des pays les plus exposés aux marées noires.

En effet, de multiples navires relativement dangereux par la nature de leurs cargaisons, croissent chaque jour aux larges des côtes gabonaises lorsqu’ils n’accostent pas aux ports.

La voie maritime étant depuis longtemps la plus exploitée dans le cadre des échanges avec les partenaires extérieurs, doit faire l’objet d’actions préventives. Il est donc impérieux de prévenir la survenue des sinistres écologiques.

A en croire les organisateurs, cet Atelier va se poursuivre à Port-Gentil, capitale provinciale de l’Ogooué Maritime (ouest) et le clou sera donc marqué par un premier exercice depuis 2010, qui interviendra le vendredi 23 mars prochain dans cette ville. Afin de tester ce Plan d’urgence.

Ainsi, le bateau de la Marine Nationale, qui simule le tanker, sera chargé de déverser l’huile de palme avant de donner l’alerte. L’objectif de cette simulation est de jauger la capacité de réaction du Gabon pour endiguer de tel sinistre.

Le Plan d’Urgence National a été élaboré depuis 2006 sur la base d’un décret de 2003. Adopté dans un premier temps en 2005, ce plan a été ensuite approuvé par un groupe de travail interministériel en mars 2010 après amendement.

 


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