La mise en exploitation de ce gisement par l'entreprise Shell Gabon assurera une production de 25.000 barils par jour soit une augmentation de 10 % de la production nationale estimée aujourd'hui à 12 millions de tonnes.
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE ET DE LA FRANCOPHONIE
MINISTERE DE LA SANTE, DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SOLIDARITE ET DE
LA FAMILLE
Madame le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l'accord pour l'organisation d'une campagne de vaccination contre la poliomyélite dès la semaine prochaine sur toute l'étendue du territoire national.
AU TITRE DES MISSIONS, SEMINAIRES ET CONFERENCES
MINISTERE DES TRANSPORTS
Le Ministre des Transports a sollicité et obtenu l'accord du Conseil des Ministres pour se rendre à Dakar à l'effet d'y signer, le 27 Décembre 2010, le contrat de délégation de gestion qui va régir, à compter du 1er Janvier 2011, les activités aéronautiques nationales. Les nouveaux principes de gestion adoptés par le Comité des Ministres de tutelle de l'ASECNA, en Juillet 2010 à MORONI, consacrent en effet la séparation des activités communautaires des activités nationales ; ces dernières étant désormais organisées à part, sous l'autorité d'un délégué supervisé par un Comité de gestion.
Le président Ali Bongo a reçu le 15 décembre à Libreville les responsables des partis politiques de la majorité républicaine pour l’émergence. Le chef de l’Etat et sa majorité ont notamment évoqué les prochaines élections législatives prévues en 2011. |
Une délégation des partis politiques de la majorité républicaine pour l’émergence conduite par Jean Boniface Assélé, président du Centre des Libéraux réformateurs (CLR), s’est entretenue le 15 décembre à Libreville avec le chef de l’Etat, Ali Bongo. Il a notamment été question lors de cet échange, des prochaines échéances électorales. «Nous avons parlé de prochaines élections législatives et de l’actualité nationale», a commenté Jean Boniface Assélé à la sortie de la rencontre. Un accent particulier a été mis sur la nécessité de réexaminer les stratégies de travail et de campagne pour les rendre plus efficaces, a confié un autre leader politique. Selon la presse présidentielle, le Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) et les formations alliées ont à cœur d’avancer comme un seul homme pour préserver les acquis, notamment une majorité confortable de représentants dans les deux chambres du Parlement. En effet, les prochaines législatives suscitent l’engouement de l’opposition qui espère ravir la majorité au camp présidentiel et peser sur le cours des événements. Les vingt partis de la majorité Républicaine pour l’Emergence sont le PDG (au pouvoir), le CLR, l’ADERE, le PGCI, le RDP, le RDR, le RPG, l’UDC, Gabon Avenir, le FDC, le PT, l’UPN, le Morena Originel, le Morena Unioniste, le CCDG, le PSU, l’UDIS, le Groupe Tchango, le Groupe Ivala et Convergence. |
Le ministre de le Santé, Alphonsine Mbié N’Na vient d’annoncer que le délai accordé à un agent de la santé pour rejoindre son poste de travail, après publication de l’arrêté portant affectation ou mutation, passe de 15 à 30 jours. Le ministre prévient également que passé ce délai, les agents s’exposent notamment à une suspension de solde. | |||||
«Cependant, compte tenu des difficultés inhérentes aux déplacements, 15 jours supplémentaires sont accordés. Passé ce délai maximum de 30 jours, tous les agents qui n’ont pas rejoint leur poste de travail sont passibles de sanctions disciplinaires notamment la suspension de solde», a prévenu le ministre Alphonsine Mbié N’Na. A cet effet, «tous les agents affectés ou mutés par arrêté N° 000378/MSASSF/SG/DGRHMG/DGA/DGP et N°000560/MSASSF/SG/DGRHMG/DGA/DGP/SGCCE qui n’ont pas encore rejoint leur poste de travail doivent immédiatement le faire dans les 7 jours après publication du présent communiqué». S’agissant enfin des agents contractuels, le ministre souligne que «l’absence à leur poste de travail au terme de ce délai de 7 jours sera considérée comme un refus d’affectation ou de mutation, comme une rupture unilatérale de contrat et traité comme tel». |
(de notre correspondant)
L’équipe d’inspecteurs de CAF conduite par Almany Kabélé s’est réjouit du fait que le Gabon a mis un coup d’accélérateur dans les différents chantiers autant à Libreville qu’à Franceville où les infrastructures sportives, notamment les camps d’entraînement et les stades de football sont entrain de voir le jour au grand bonheur des amoureux du ballon rond.
"Bien qu’inquiets un moment, nous sommes heureux de constater aujourd’hui que les travaux ont évolué à pas de géant", a souligné Almany Kabélé.
Mais la délégation de la CAF s’est quand même dite néanmoins un peu inquiète à cause des manquements constatés au niveau des infrastructures hôtelières. Ce qui nécessite de la part des autorités gabonaises de gros efforts en matière d’hébergement et de restauration avant le début de la compétition, d’autant plus que le Gabon, selon de bonnes sources, doit recevoir plus de 800 000 visiteurs.
Le ministre des sports Réné Ndémezo’Obiang a promis aux inspecteurs de la CAF que le gouvernement va fournir de gros efforts dans le domaine de l’hébergement et de la restauration afin de combler les insuffisances constatées.
Il reste que le gouvernement gabonais respecte ses engagements vis-à-vis des opérateurs économiques afin que les délais de livraison des infrastructures hôtelières, routières, sportives et sanitaires relatives à l’organisation de cette CAN soit tenus.
Le peuple sceptique il y a quelques temps à cause des lenteurs prises dans la réalisation de ces chantiers commence également à y croire. "Nous croyons actuellement à la capacité du pays à organiser cette prestigieuse compétition continentale. Le plus difficile n’est pas l’organisation matérielle de cette CAN, mais la capacité de notre équipe nationale qui traverse une série noire à faire honneur aux gabonais", s’est plaint la jeune Giovanna Cabrelle Mbou, étudiante à l’Université Omar Bongo.
"Nous attendons beaucoup de notre équipe nationale mais nous ne sommes sûrs de rien au regard de ses performances actuelles. Même le changement d’entraîneur à la tête de l’équipe nationale n’a rien amélioré et nous pensons d’ailleurs que le Panthères s’enfoncent davantage dans la zone de turbulence", a renchérit Eric Abikouono, élève gendarme.
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