Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 24-06-2011 18:07

Sylvia Bongo Ondimba derrière les femmes veuves…

La première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, a appelé hier la communauté internationale à engager des actions plus concrète en faveur des veuves victimes des traditions désuètes. Elle s’est exprimée depuis New York ou elle se trouve, à l’occasion de la célébration de la journée internationale de la veuve.

 

 

L’absence de statistiques n’empêche pas la Première Dame de souligner que la maltraitance des veuves et de leurs enfants représente l’une des plus graves violations des droits de l’homme et l’un des principe et l’un des principaux obstacles au développement humain aujourd’hui. On comprend qu’elle prenne le leadership des acteurs qui lutte pour soustraire la femme du veuvage.


Il est bien connu que des millions de veuves dans le monde vivent dans une pauvreté extrême, subissent le bannissement et violence, connaissent la privation de logement, sont confrontées à la maladie et à la discrimination juridique et sociale. Dans plusieurs pays, une fois devenues veuves, les femmes sont privées du droit d’hériter des rites dégradants liés au deuil et à l’enterrement et subissent d’autres formes de violence à l’égard des veuves.


Face à ce constat, la Première Dame estime que la consécration de la Journée internationale des veuves est la première pierre d’un édifice qui va engager tout le monde. Et donc pour ne plus voir les veuves expulser de leur maisons et maltraitées, elle a souhaité qu’à l’occasion de cette première journée, qui a réuni les représentants états membres, la société civile et des experts des questions relatives aux femmes, les débats débouchent sur des actions concrètes et durables dans le monde.


Si dans son discours, elle insiste en soulignant que ‘’nous sommes réunis ici pour écouter, apprendre, forger de nouveaux partenariats et surtout partager nos expériences’’, c’est pour qu’on fixe enfin des objectifs communs et apporter des réponses à ces femmes dont les problèmes ont trop longtemps été négligés.


Dans de nombreux pays, le statut social de la femme est inextricablement lié revient dans la société. Pour retrouver un statut social, une femme doit épouser un homme de la famille de son défunt mari, parfois contre son gré. Pour nombre d’entre elles , la perte d’un mari n’est qu’un premier traumatisme subi dans l’attente d’autres épreuves qu’elle doit endurer à long terme.

 

Les enfants de veuves sont souvent affectés, émotionnellement autant qu’économiquement. Les veuves-mères qui subviennent seules aux besoins de leurs enfants de l’école et de compter sur leur force de travail. En outre, les filles des mères-veuves risquent de subir  de multiples privations, accroissant ainsi leurs vulnérabilités face aux abus dont elles sont déjà victimes.

 

De telles pratiques sont souvent considérées comme justifiées en termes de traditions culturelles et religieuses. L’impunité règne sur le non respect des droits des veuves, et peu de coupables sont traduits en justice. Même dans les pays traduits en justice. Même dans les pays ou prévaut une culture de protection, les veuves sont victimes de marginalisation sociale. Sylvia Bongo Ondimba est consciente de ces difficultés que l’on rencontre notamment dans les pays ou la tradition et les pratiques coutumières résistent à la modernité.

 


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le 24-06-2011 13:54

Le député Vincent De Paul Gondjout obtient pour sa circonscription électorale le financement d’un complexe sportif


 Le député du  premier  siège du 3ème arrondissement de la commune de Libreville, Vincent De Paul Gondjout, a obtenu, il y a quelques jours de l’Etat gabonais, un financement de 4.450.000 de francs CFA destiné à la construction d’un plateau sportif au quartier camp de police dans la zone d’Akémy Ndjongoni qu’il représente à l’Assemblée Nationale.

Le projet initié par l’honorable Gondjout sous l’ère de feu le Président de la République Omar Bongo Ondimba, il y a plus de dix ans, a été entériné par l’actuel Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba qui ne ménage aucun effort pour la réalisation des infrastructures sportives au bénéfice de la jeunesse gabonaise.

Le projet est financé par le ministère de la Jeunesse et des Sports sur instruction du Chef de l’Etat. Ce plateau sportif va regrouper un terrain de basket-ball, de football, de hand-ball, de volley-ball, une cours de tennis et un bâtiment administratif devant servir de direction de gestion du plateau.

Cependant, les travaux démarrés il y a quelques jours n’ont pas encore atteints leur vitesse de croisière au motif que les familles établies sur le site conditionnent leur dédommagement à titre d’indemnisation avant de plier bagages.

Dans ce contexte, le promoteur de ce projet Vincent De Paul Gondjout a effectué une visite sur le site ce jeudi, accompagné du secrétaire général du ministère des Sports et du Directeur Général des services techniques de la mairie de Libreville.

« Je remercie le Chef de l’Etat d’avoir permis le financement de ce projet qui va permettre de desceller des talents et de promouvoir plusieurs disciplines sportives », a déclaré l’Honorable Vincent De Paul Gondjout au terme de la visite.

Les travaux engagés vont durer six mois (de juin à décembre).

 


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le 24-06-2011 13:53

Le trophée de l’administration gabonaise sera décerné l’an prochain, selon Paul Biyoghé Mba


- Le premier ministre Paul Biyoghé Mba a décidé, mercredi à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la 12ème journée Africaine de l’Administration et du Service public organisée par le ministère du Budget, des Comptes Publiques, de la fonction Publique, chargé de la Réforme de l’Etat, de décerner dès l’année prochaine (2012), le trophée de l’administration gabonaise afin de récompenser les meilleurs agents publics.

Selon le chef du gouvernement ce trophée permettra de tirer vers le haut les différentes l’administration gabonaises et combattre la bureaucratie et la technocratie et de laisser place à une administration émergente au service du citoyen.

Il a également précisé qu’« un accent sera mis pour promouvoir le leadership », d’où « des mesures radicales » sui seront prises « afin d’endiguer les inefficacités flagrantes de l’administration ».

Pour sa part, le ministre délégué au Budget, des Comptes Publiques, de la fonction Publique, chargé de la Réforme de l’Etat, Guy Bertrand Mapangou, représentant le ministre Emmanuel Issoze Ngondet, empêché, a affirmé que «  cette journée consacrée à l’administration et au service public en Afrique, nous incite parallèlement à exploiter et à nous approprier les nouveaux modes et les outils de management du service public, sans perdre de vue l’objectif final : créer une vie meilleure pour les citoyens, pour les usagers ».

Le membre du gouvernement a ensuite affirmé que « notre administration doit davantage se préoccuper de la satisfaction des besoins individuels et collectifs des citoyens parce que c’est au degré de la satisfaction de ces derniers que va désormais s’évaluer la performance et la qualité de notre administration ».

Pour Monsieur Mapangou, « cette approche bouleverse bien entendu nos comportements et notre culture professionnelle plus attachées aux lourdeurs administratives. Elle remet par ailleurs en cause notre mode de leadership. Mais, a-t-on le choix quand on sait que l’administration a le devoir de définir désormais sa relation avec le citoyen usager et le placer au centre de ses préoccupations », a-t-il précisé tout en s’interrogeant.

La cérémonie s’est achevée par la visite des stands mis en place par les différentes administrations publiques.

La 12ème journée Africaine de l’Administration et du Service Public s’achève ce jeudi à Libreville avec la visite des stands par la population.

 


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le 24-06-2011 13:52

Trois (3) conditions pour une Administration publique, moteur de développement, selon Jean Pierre Raffarin


- Dans le cadre de la 12ème journée Africaine de l’Administration et du Service Public, organisée par le ministère du Budget, des Comptes Publiques, de la fonction Publique, chargé de la Réforme de l’Etat, l’ancien premier ministre par ailleurs vice-président du Sénat français, Jean-Pierre Raffarin a énoncé mercredi à Libreville que les trois (3) conditions sont à remplir pour que l’Administration publique soit un moteur de développement.

Le Sénateur français a, en effet, édifier l’assistance lors de la conférence débat qu’il a animé sur le thème, « Administration publique: moteur de développement dans un pays émergent ». Selon lui, l’administration se doit de répondre aux devoirs de la charge à savoir, « Produire de la prévisibilité », « accompagner les forces internes » et « attirer les forces externes pour un développement exogène »: trois conditions pour une Administration publique moteur de développement.

En parlant de la première condition qui est de « Produire de la prévisibilité », le conférencier a affirmé que « la stabilité d’un pays est une condition nécessaire à l’émergence. La stabilité politique, la sécurité humaine, les droits de propriété et d’une orientation économique claire ». Il permet de produire de la prévisibilité.

A propos de la seconde conditionnalité  qui repose sur le fait d’« Accompagner les forces internes », il a indiqué que « cet accompagnement concerne bien entendu l’administration elle-même par la motivation, la rémunération, la répartition des effectifs. L’administration se doit de constituer un soutien à la performance afin de libérer les énergies des tracasseries et lourdeurs » actuels.

Pour ce qui est de la troisième condition notamment « Attirer les forces externes pour un développement exogène », Jean Pierre Raffarin a souligné que « la compétitivité d’un Etat est aussi importante que celle des entreprises. Il (Etat) peut faire sienne le principe des 3S: stabilité- simplification- satisfaction (de l’usager ou du client). Dans le cadre d’une stratégie d’attractivité, il convient de veiller à présenter une administration saine, veiller elle-même à la transparence des circuits économiques ».

Le Sénateur de Vienne a également relevé les 5 nouveaux défis de l’administration publique. Selon lui, chaque administration publique fait actuellement face à ses mouvements spécifiques mais ces défis sont communs à toutes les administrations.

Ainsi, il a relevé « le Partage de l’intérêt général »; « la maîtrise de la complexité »; « l’aptitude managériale »; « les performances technologies » et pour finir, il a cité « l’exigence éthique » en soulignant que « l’éthique c’est la cohérence entre la pensée et l’action, entre le discours et le résultat, entre la promesse et la livraison ».

L’exposé du français a, en outre, reçu un succès particulier en ce sens que, le premier ministre gabonais Paul Biyoghé Mba, dans son allocution d’ouverture des travaux quelques minutes plus tard, a annoncé que les conditionnalités et les nouveaux défis énoncés par son ancien homologue français ont retenu son attention et seront certainement étudiés et appliqués par l’administration gabonaise dans sa quête de performance.

 


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