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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 01-02-2011 01:54

« Je félicite le leadership du président Ali Bongo Ondimba », déclare le S/G de l’ONU, Ban Ki-moon

A la faveur d’un entretien à Addis-Abeba (Ethiopie) en marge du 16ème sommet de l’Union Africaine (30-31 janvier 2011) avec Ali Bongo Ondimba, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon a salué le «  leadership » du chef de l’Etat gabonais avant de l’encourager  à faire «  avancer le développement et la démocratie » dans son pays, selon un reportage diffusé par  la télévision nationale , lundi soir.

 

Les deux hommes ont effectué un tour d’horizon des relations entre le système des Nations Unies et le Gabon matérialisées entre autre  par le choix de Libreville pour abriter le bureau  régional des Nations Unies concernant les  questions de paix et de sécurité.

 

L’installation  à Libreville de ce centre  est perçue  par les autorités  gabonaises  comme la  « réponse » et la « résonnance » de la stabilité qui prévaut au Gabon. Couvrant ainsi l’Afrique centrale, il sera inauguré dans les tout prochains jours en présence d’un proche collaborateur du patron des Nations Unies, a révélé  Ban Ki-moon au sortir de l’audience avec le président Ali Bongo Ondimba.

 

SITUATION AU GABON

 

L’occasion était également   propice pour évoquer la situation au Gabon  au moment où plusieurs membres de l’opposition gabonaise ont trouvé refuge depuis mardi dernier au siège du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), à Libreville,  suite à  la prestation de serment d’André Mba Obame en qualité de président autoproclamé avec en prime la mise en place d’un contre gouvernement.

 

Ces derniers  jours, le secrétaire exécutif de l’Union Nationale (UN, désormais dissoute) et qui s'expose, après son acte, à des "sanctions" et "peines" prévues par la loi, a également adressé une lettre à Ban Ki-moon  dans laquelle il justifie à sa sortie du 25 janvier dernier tout en demandant  à la communauté internationale de revoir sa copie, autrement dit de ne plus reconnaitre Ali Bongo Ondimba comme chef de l’Etat.

 

D’emblée, les Etats Unis, première puissance mondiale,  ont déjà opposé une fin de non recevoir à cette démarche.

 

Washington a même appuyé  sa position  par un communiqué  qui mentionne : « Les Etats-Unis reconnaissent Ali Bongo Bongo Ondimba comme étant le président du Gabon », avant d’inciter « tous les partis à respecter la loi gabonaise et la Constitution », à « faire preuve de retenu » et à encourager le « dialogue ».

 

Ladite  position a été renforcée ces dernières heures à Addis-Abeba  par un entretien  entre  le sous-secrétaire d’Etat américain chargé des affaires africaines et  le président Ali Bongo Ondimba , précédé d’une rencontre avec son homologue français, Nicolas Sarkozy invité d’honneur du 16ème sommet de l’UA, par ailleurs président du G8 et du G20.

 


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le 31-01-2011 21:38

Discours de Sylvia Bongo Ondimba à Addis Abeba devant les membres de l’OPDAS


Sylvia Bongo Ondimba, qui accompagnait son époux Ali Bongo, en visite officielle en Ethiopie du 28 au 31 janvier, s’est exprimée sur la santé. A cette occasion, elle a rappelé la nécessité d’accentuer la lutte en Afrique contre les grands défis de santé publique que sont le VIH/SIDA et la mortalité maternelle. Elle a également souligné l’attention particulière qui doit être portée aux plus défavorisés dans le cadre des politiques de santé publique.

Texte intégral :

Mesdames les Premières Dames – Mes chères sœurs ;

Mesdames et Messieurs membres de l’Organisation des Premières Dames d’Afrique contre le Sida ;

Distingués invités ;

Mesdames et Messieurs ;

C’est avec une réelle émotion que je me retrouve aujourd’hui parmi vous, au siège de l’OPDAS, moins d’un an après ma première visite, au moment où je renouais avec l’engagement initié auparavant par Madame Edith Lucie BONGO ONDIMBA.

Je voudrais ici saluer la mémoire de cette grande dame et le rôle primordial qu’elle a joué  dans la création de l’OPDAS en 2003.

Mon adhésion  a été motivée par  l’admiration que je ressens face au travail entrepris au quotidien  par cette organisation de lutte contre le fléau du VIH/SIDA.

 En outre  les défis de l’OPDAS répondaient à mes  aspirations profondes. Aussi, mon engagement dans cette structure,  à vos côtés,  mes sœurs africaines,  était-il évident et nécessaire.

En effet, j’ai la ferme conviction que c’est ensemble, dans un élan de solidarité et dans un lien de fraternité que nous pourrons mener efficacement ce combat en faveur de nos  familles et de nos  communautés.

En ramenant le Gabon à l’OPDAS, je posais un de mes premiers et importants actes de Première Dame.

Aujourd’hui, je tiens à vous rendre un hommage particulier : les témoignages des actions que vous avez menées, vos expériences diverses, m’ont influencée positivement et amenée à porter une attention accrue à la santé.

C’est ainsi qu’au cours de l’année écoulée, j’ai fédéré différents organismes internationaux, des professionnels de la santé, des associations de la société civile et des personnes de bonne volonté autour du programme sanitaire que j’ai nommé « Tous unis pour la santé de la mère et de l’enfant ».

J’ai choisi de privilégier le domaine de la santé maternelle, car je suis convaincue qu’améliorer la santé des femmes – pilier de nos familles – c’est contribuer au bien-être de nos enfants et de nos communautés.

Le programme « Tous unis pour la santé de la mère et de l’enfant » regroupe un ensemble d’actions en faveur de la femme.

Comme le dit le Professeur Mahmoud FATHALLA, initiateur de La maternité sans risque “Les femmes ne meurent pas de maladies que nous ne pouvons pas traiter. Elles meurent parce que la société n’a toujours pas décidé que leurs vies méritent d’être sauvées.”

Aussi, ai-je pris l’engagement résolu de matérialiser mes projets par des actions concrètes, palpables, au bénéfice de mes concitoyens.

Pour permettre aux femmes de vivre, et surtout de bien vivre, il m’a paru primordial de veiller à leur épanouissement aussi bien sur le plan économique, social, psychologique que sanitaire.

C’est ce qui ressort également des interventions du Commissaire aux affaires sociales de l’Union Africaine qui soulignent nettement la nécessité de répondre aux besoins socio-économiques des femmes et de les aider à mettre en œuvre leurs projets.

Permettre aux femmes d’être davantage autonomes, d’améliorer au quotidien par leur travail leurs conditions de vie, c’est également leur permettre de prêter davantage attention à leur santé, de pouvoir se soigner et d’empêcher que des familles entières tombent dans le cercle vicieux d’une plus grande paupérisation.

C’est exactement le sens que nous avons voulu donner à nos actions au Gabon.

Ainsi, en partenariat avec un établissement de micro finance, j’ai lancé la semaine dernière un fonds de microcrédit destiné à promouvoir l’entrepreneuriat féminin.  

Vous le savez, dans la grande majorité des pays en développement, l’accès au crédit pour les populations défavorisées constitue un des principaux défis à relever pour lutter contre la pauvreté. Il est même un enjeu majeur pour le développement social, notamment pour les femmes qui, souvent pour des raisons culturelles, rencontrent de grandes difficultés pour avoir accès à des financements.

J’ai donc décidé de mettre en place un fonds de microcrédit dénommé AKASSI, ce qui signifie « femme » dans l’un de nos dialectes. Il s’agit d’un produit simple mais complet, offrant aux femmes entrepreneurs l’ensemble des services bancaires classiques et la possibilité de financer leurs projets à des taux raisonnables.

Des actions analogues sont mises en place pour le monde associatif, composé majoritairement de femmes qui œuvrent chaque jour avec dévouement pour améliorer le sort de leurs compatriotes.

Malheureusement les associations gabonaises ne sont pas suffisamment structurées et manquent parfois de moyens et de compétences pour agir efficacement et être de véritables partenaires pour le développement.

Nous travaillons donc à un programme de soutien à la société civile pour renforcer ses capacités à travers une Maison des Associations qui est un espace de rencontre, de dialogue, de réflexion et de conseil où nous voulons créer des synergies et mutualiser les expériences.

Toujours animée par ce même souci de promouvoir l’épanouissement de la femme, j’ai œuvré en vue d’attirer l’attention de la communauté  internationale sur les veuves et les orphelins. J’ai fait porter par la diplomatie gabonaise un projet de résolution qui a été adopté par l’Assemblée Générale des Nations Unies pour instaurer chaque 23 juin la « Journée internationale des veuves ».

Je voudrais profiter de cette auguste tribune pour lancer un appel à chacune d’entre nous, afin que nous impulsions des actions, des attitudes innovantes pour donner corps et vie à cette noble décision.

Mes chères sœurs, je vous prie de veiller à ce que le flambeau, allumé aux Nations Unies avec l’instauration de cette journée,  brille à jamais et qu’il illumine la vie des veuves et des orphelins dans nos pays respectifs.

En œuvrant pour la reconnaissance des droits des veuves, nous apportons également notre contribution au soutien des victimes du VIH/SIDA. De nombreuses veuves à travers le monde sont en effet des victimes de cette maladie.

Sur le plan strictement sanitaire, les actions de mon Cabinet en faveur de la femme se sont essentiellement focalisées sur  la couverture médicale de la grossesse, la lutte contre la mortalité maternelle, néonatale et infantile, la promotion de l’allaitement maternel exclusif et la lutte contre le SIDA.

Ces actions sont menées en partenariat avec différents organismes internationaux tels que l’UNICEF, l’OMS ou le FNUAP.

Ainsi, à l’occasion de la Journée Mondiale de Lutte contre le Sida,  avons-nous  choisi de mettre l’accent, d’une part sur l’importance du dépistage des femmes enceintes,  et d’autre part sur le rôle essentiel joué par la famille dans le processus de propagation du virus.

Quelques 25.000 tests de dépistage du virus du VIH /Sida ont été distribués sur l’ensemble du territoire gabonais pour aider les femmes enceintes à connaitre leur statut de séropositivité.

Par ailleurs,  convaincus que la famille  est le meilleur rempart contre la propagation de ce  virus, à condition qu’elle  renoue avec les valeurs morales traditionnelles et qu’elle joue pleinement son rôle, nous avons décidé de renforcer les campagnes d’information et de sensibilisation  sur le VIH SIDA en produisant et diffusant massivement des spots audio-visuels.

Le combat est loin d’être achevé car le VIH/SIDA continue  de tuer nos frères et sœurs en Afrique. Le VIH SIDA continue d’endeuiller des familles, de priver des enfants de leurs parents.

Mais comme le prouvent les initiatives menées par l’OPDAS ou encore par l’association « Synergies Africaines » que j’ai également rejointe, ainsi que les actions entreprises par chacune d’entre nous dans nos pays respectifs, si le VIH/SIDA reste un drame personnel, il n’est en aucun cas une fatalité.

Notre combat est jalonné de victoires qui sont porteuses d’espoir. En effet, selon les données de l’ONUSIDA, les nouvelles infections ont connu une réelle baisse ces dernières années en Afrique subsaharienne, même si les situations restent très inégales d’un pays à l’autre.

Cela prouve l’efficacité  des programmes de dépistage et des campagnes de sensibilisation dans la lutte contre la progression de cette pandémie. Cela nous encourage à ne pas relâcher nos efforts et à intensifier nos actions.

Informer nos concitoyens, les aider à faire face à la maladie, à avoir accès à un traitement, à mieux vivre,  c’est refuser la fatalité et la passivité, c’est déjà faire reculer le VIH/SIDA.

Mes chères sœurs, Mesdames et Messieurs,

Je crois profondément en notre capacité à changer les choses, à améliorer sensiblement  la vie de nos concitoyens, à vaincre efficacement  les maladies et les maux qui minent nos sociétés.

Mais c’est ensemble que nous y parviendrons. 

Face à un ennemi qui ignore les frontières et les nationalités, nous avons besoin d’actions concertées à l’échelle de notre continent et au-delà.

En rassemblant toutes les bonnes volontés dans un même combat, nous aurons la capacité de faire changer les mentalités, de mieux répondre aux besoins des personnes fragilisées, de soulager les souffrances, en un mot, de faire primer, sur nos différences culturelles et religieuses, le respect fondamental dû à la personne humaine. 

C’est en coopérant, au sein de structures comme l’OPDAS, en échangeant nos expériences et nos idées, en unissant nos forces que nous serons les porte-parole des plus faibles, la voix des sans-voix et surtout, que nous serons écoutées et entendues sur le plan international.

Je vous remercie

Sylvia BONGO ONDIMBA

Première Dame du Gabon

 


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le 31-01-2011 21:37

LA SANTE AU CŒUR DES ENGAGEMENTS DE SYLVIA BONGO ONDIMBA


Accompagnant son époux, le Président de la République Gabonaise Ali Bongo Ondimba, en visite officielle en Ethiopie du 28 au 31 janvier, la Première Dame a rappelé la nécessité d’accentuer la lutte en Afrique contre les grands défis de santé publique que sont le VIH/SIDA et la mortalité maternelle. Elle a également souligné l’attention particulière qui doit être portée aux plus défavorisés dans le cadre des politiques de santé publique.

C’est quasiment un retour aux sources pour Mme Sylvia Bongo Ondimba qui avait effectué, au mois de février 2010, sa première visite en Ethiopie en qualité de Première Dame du Gabon. Elle avait à cette occasion pris une part active au sommet de l’OPDAS (Organisation des Premières Dames d’Afrique contre le Sida), marquant ainsi le retour officiel du Gabon au sein de cette organisation dont l’objectif premier est de lutter contre la pandémie auprès des couches fragilisées de la population que sont les femmes et les enfants.

L’OPDAS a été créée en 2003 et réunit à ce jour une coalition de 40 épouses de Chefs d’Etat qui se sont engagées à unir leur force et  à user de leur influence pour améliorer le sort des malades du VIH/SIDA et  lutter contre d’autres défis de santé publique, notamment la mortalité maternelle.

Au cours de sa rencontre à Addis Abeba avec d’autres membres de l’OPDAS, Mme Sylvia Bongo Ondimba a réitéré l’importance d’un engagement sans faille pour lutter contre la pandémie du VIH/SIDA.

 « Informer nos concitoyens, les aider à faire face à la maladie, à avoir accès à un traitement, à mieux vivre,  c’est refuser la fatalité et la passivité, c’est déjà faire reculer le VIH/SIDA (…)En rassemblant toutes les bonnes volontés dans un même combat, nous aurons la capacité de faire changer les mentalités, de mieux répondre aux besoins des personnes fragilisées, de soulager les souffrances, en un mot, de faire primer, sur nos différences culturelles et religieuses, le respect fondamental dû à la personne humaine. » a déclaré la Première Dame du Gabon.

Depuis plusieurs mois,  Madame Sylvia Bongo Ondimba s’illustre par ses engagements pour relever ces défis au Gabon, notamment dans le domaine de la lutte contre le VIH/SIDA  où la pandémie continue à se propager avec 5 000 nouvelles contaminations par an et 2 000 décès, malgré une faible baisse de la prévalence. Selon les estimations du Ministère gabonais de la Santé, ce sont au total 63 000 personnes qui vivraient avec le virus du VIH/SIDA au Gabon.

Face à cette situation, Mme Sylvia Bongo Ondimba, en accord avec la politique menée par le Chef de l’Etat, a entrepris plusieurs démarches pour sensibiliser ses concitoyens et apporter un soutien concret à la fois aux malades et aux ONG qui luttent contre la maladie. Elle a ainsi procédé à la distribution de quelques 25 000 tests de dépistage du VIH SIDA dans toutes les circonscriptions sanitaires du pays. Consciente de l’importance de la sensibilisation, elle a renforcé les campagnes d’information par la production et la diffusion massives de spots  audio-visuels.

Au-delà de la lutte contre la pandémie du VIH/SIDA, Mme Sylvia Bongo Ondimba s’est engagée dans une politique plus globale en faveur de la santé maternelle, convaincue qu’améliorer la santé des femmes – piliers de nos familles – c’est contribuer au bien-être des enfants et des communautés.

La Première Dame du Gabon  a ainsi lancé le programme « Tous unis pour la santé de la mère et de l’enfant », avec un ensemble d’actions visant à réduire les taux de mortalité maternelle et néonatale, de mortalité infantile et infanto juvénile au Gabon

Par ailleurs, Madame Sylvia Bongo Ondimba a rejoint l’ONG  Synergies Africaines contre le SIDA et la Souffrance  pour partager l’expérience d’autres personnalités engagées dans ce combat. Synergies Africaines regroupe plusieurs Premières Dames d’Afrique et d’ailleurs, et se fixe comme objectif de combattre le SIDA, et au-delà, la mortalité maternelle, néonatale et infanto-juvénile en Afrique, à travers une approche globale intégrant la création d’un fonds de solidarité, des campagnes de sensibilisation, l’accès aux traitements et le soutien à la recherche.

Consciente également que les personnes les plus fragilisées face à la maladie sont celles qui sont les plus défavorisées socialement, la Première Dame apporte une attention particulière à la situation des orphelins – à qui elle a déjà rendu visite à plusieurs reprises, notamment au centre d’Angondgé à Libreville – et aux veuves. Elle est ainsi à l’origine de la résolution des Nations Unies qui vient d’instaurer la « Journée Internationale des Veuves » pour promouvoir les droits des veuves et de leurs enfants partout dans le monde.

Mme Sylvia Bongo Ondimba a pris l’engagement, en sa qualité de Première Dame, de soutenir le projet du « Gabon Emergent » du Président de la République Gabonaise, Ali Bongo Ondimba. Avec les membres de son Cabinet, elle œuvre dans cinq grands domaines d’action jugés prioritaires : le Social, la Santé, la Promotion de la Femme, la Jeunesse et la Culture.

 


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le 31-01-2011 16:42

Urgent: Ban Ki Moon somme AMO de liberer ses locaux!

 

 

                         

 

 

L'ONU VIENT DE DEMANDER AU HORS-LA-LOI Mba Obame DE

 

LIBÉRER SON BÂTIMENT A LIBREVILLE. LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL

 

DES NATIONS UNIES, BAN KI MOON, LUI A GENTIMENT FAIT SAVOIR

 

DANS UN COURRIER CE JOUR QUE "LA REPRÉSENTATION

 

ONUSIENNE AU GABON N'ÉTAIT PAS UN ASILE DE FOU".

 


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