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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 26-02-2013 16:50

DISCOURS DU PRÉSIDENT À L’OCCASION DE LA REMISE SOLENNELLE DU DOCUMENT DE POLITIQUE NATIONALE DE LA JEUNESSE DU GABON

 

 

Monsieur le Premier Ministre,

Mesdames et Messieurs lesPrésidents des Institutions constitutionnelles,

Mesdames et Messieurs les Membresdu Gouvernement,

Mesdames et Messieurs lesReprésentants du Corps Diplomatique,

Chers Invités,

Mesdames et Messieurs,

Mes Chers jeunes Compatriotes,

 

 

 

 

 

Nousvoilà réunis, une nouvelle fois, dans un processus consensuel permanent de miseen oeuvre de notre Politique Nationale de la Jeunesse, tel qu’il ressort duForum National de la Jeunesse des 09 et 10 septembre 2011.

 

Placéesous le thème : « Contrat de Partenariat pour une Jeunesse responsable », cetterencontre, par la réflexion participative et le document cadre qui en est issu,a concrétisé et scellé mon engagement politique à votre endroit.

 

C’estdire que nous sommes résolument inscrits dans une démarche cohérente etpragmatique, fondée sur de fortes convictions que notre jeunesse, dans sadiversité, a un rôle essentiel à jouer dans la marche de notre pays vers lacompétitivité, la croissance et le développement, dans la solidarité et lepartage.

 

Vousl’avez perçu et souligné fort à propos : la jeunesse est au coeur des objectifset de la mise en oeuvre du Plan Stratégique du Gabon Emergent que j’impulse detoutes mes forces.

Audelà du simple diagnostic, nous devons apporter, chacun à son niveau, desréponses concrètes aux problèmes identifiés mais aussi et surtout offrir desopportunités à toute la jeunesse gabonaise.

 

Lespouvoirs publics ont toute leur responsabilité en ce sens.

Lesecteur privé a également cette responsabilité, par devoir mais aussi parintérêt, pour sa propre expansion.

 

Nousdevons partager l’ambition de contribuer à l’amélioration sensible desconditions de vie de la jeunesse gabonaise.

 

Avoirune Politique Nationale de la Jeunesse du Gabon est déjà en soi un bon signe etun acquis.

 

Eneffet sans feuille de route, sans programmes et projets clairs et définis,multidimensionnels et mobilisateurs, il est difficile d’atteindre desobjectifs.

 

Ici,au Gabon, nous voulons avoir des résultats significatifs qui ont leur impactsur cette frange essentielle de notre Nation en devenir, que vous représentez.

 

Maisvous avez parfaitement raison d’exiger que les dossiers soient effectivementtraités. A nous tous de rester vigilants et d’y veiller.

 

J’accueilleégalement avec satisfaction votre idée et projet de caravane de sensibilisationtant ici qu’auprès de notre jeune diaspora.

 

Jevous invite par la même occasion à vous investir, partout ou c’est nécessaireet possible, pour apporter votre contribution volontaire et citoyenne à laconstruction nationale.

 

Mes Chers jeunes compatriotes,

 

Noussommes dans un monde de multiples mutations, de compétition accrue ou chaqueplace se cherche et se défend pour exister et se maintenir.

 

Lemonde d’aujourd’hui devient de plus en plus difficile pour la jeunesse. C’est àla fois un monde de défis et de disparités, un monde de risques et de menacesmais aussi un monde d’opportunités et d’espoirs.

 

C’estpourquoi la jeunesse d’aujourd’hui, avec son importance démographiquecroissante, se doit d’être mieux préparée, plus aguerrie, mieux formée pourêtre à la hauteur des défis sans cesse renouvelées.

 

Jesuis interpellé, vous êtes également interpellés.

Lespouvoirs publics sont interpellés. Le secteur privé l’est tout autant.

 

Notrepays, par la signature et la ratification de divers traités et documentsinternationaux, reconnaît le caractère constructif de la contribution desjeunes au développement des Etats et mieux, leur rôle dynamique dans latransformation des Nations.

 

Cetengagement et les impératifs de l’émergence exigent que, tous ensemble, noustraduisions ceux-ci en actions concrètes aux résultats visibles, ressentis etpleinement vécus au sein de toute la société.

 

L’atteintedes Objectifs du Millénaire pour le Développement à l’horizon 2015 et leur consolidationau delà, passera assurément par notre action commune et déterminée.

 

C’estpourquoi les Jeunes doivent être associés et impliqués de manière forte auxdécisions qui les concernent.

 

Unejeunesse consciente de son rôle et de ses responsabilités, imbue des valeursfondamentales de son peuple, en l’occurrence ici, la paix, l’unité, le travail,la dignité est une actrice et une pourvoyeuse de solutions dans le mondecontemporain.

 

C’estd’ailleurs dans ce sens que s’est inscrite mon adresse devant le Congrèslorsque j’avais demandé au Gouvernement et au Parlement de légiférer afinqu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur leslistes de candidatures aux élections locales et au sein des organes exécutifslocaux.

 

Laplace des jeunes dans notre société doit être justement prise en compte.

 

Monsieur le Premier Ministre,

 

Ilvous appartient aujourd’hui de traduire dans les faits l’ensemble de cesmesures en faveur des jeunes.

 

Jevoudrais, d’ores et déjà, vous inviter à étudier la proposition de l’entrée duConseil National de la Jeunesse au prochain mandat du Conseil Economique etSocial dans le cadre du groupe Etat.

 

Demême, je sais pouvoir compter sur votre diligence pour que le Conseil Nationalde la Jeunesse puisse disposer dans les plus brefs délais d’un siège national àLibreville avec des démembrements sur l’ensemble des capitales provinciales.

 

C’esten effet par cette structure que les jeunes pourront suivre le processus demise en oeuvre de ladite Politique mais, aussi, jouer pleinement le rôled’interface entre les pouvoirs publics, les partenaires au développement et lasociété civile d’une part et l’ensemble de notre jeunesse d’autre part.

 

Concernantle Conseil National de la Jeunesse, il m’apparaît urgent aujourd’hui qu’uneCommission regroupant les représentants de la Présidence de la République, lesministères compétents et les jeunes eux-mêmes, soit mise en place pour saréorganisation et sa restructuration afin de l’adapter aux exigences de lapolitique de l’Emergence déclinées dans le document de Politique Nationale dela Jeunesse du Gabon.

 

Jereste convaincu que l’investissement dans la jeunesse est celui qui a le plushaut rendement en matière de développement, car il s’agit du CAPITAL HUMAIN.

 

Avecce document-cadre, J’ai conscience d’anticiper sur l’avenir de la Nation envalorisant le potentiel de changement et d’espérance dont vous êtes porteuseset porteurs pour un Gabon Emergent.

 

Jevoudrais, donc, en cette circonstance, féliciter les auteurs de ce travailparticipatif, pour la qualité de la réflexion menée, pour leur engagement, leurdétermination et leur esprit citoyen.

 

Pourma part et d’ores et déjà, j’instruis le Gouvernement, à veiller à sa mise enoeuvre et à faire mobiliser les fonds nécessaires à cet effet.

 

Chers Jeunes Compatriotes,

 

Ilnous faut nous dire les choses avec lucidité.

 

Laplanète est en pleine ébullition.

 

Latechnologie est en pleine révolution.

 

Lessciences médicales et biologiques font des progrès inouïs.

 

Lespays en émergence sortent de leur pauvreté.

 

Bref,tous ces facteurs de changement nous poussent à nous réinterroger sur nosrepères, nos identités mais aussi nos aspirations.

 

Mêmelà où se profilent certaines réalités du progrès, se cachent d’importantsdrames qui dépersonnalisent la jeunesse de notre continent.

 

Alorsqu’allons-nous faire ?

 

Qu’allez-vousfaire, vous Jeunes du Gabon ?

 

Laréponse ne peut être rien d’autre que d’offrir à tous les moyens de pourvoir àleur besoin, d’assurer leur bien être, de connaître et d’exercer leur droitafin d’être capable d’assumer les fonctions politiques, économiques, socialeset citoyennes aujourd’hui et demain.

 

Ilfaut que vous ayez confiance en votre potentiel. Il faut croire en votrecapacité de réaliser vos rêves.

 

Ilfaut que vous croyiez en vous d’abord pour que le dessein que la Nation forme àvotre endroit se réalise pleinement!

 

Chers jeunes compatriotes,

 

Siles initiatives prises par le Gouvernement pour lutter contre le chômage sontlouables, il n’en demeure pas moins que celles du secteur privé, notamment desjeunes entrepreneurs eux-mêmes permettent d’y apporter des solutions.

 

Jesaisis donc cette occasion pour encourager tous les jeunes promoteurs pourleurs initiatives louables, à côte des pouvoirs publics.

 

C’estpourquoi je suis favorable au projet de création d’un incubateur d’entreprisesjeunes que vous venez de me présenter et auquel le Gouvernement devra apportersa contribution diligente.

 

Ils’agit d’un bel exemple de plateforme de services pour l’insertion des jeunesdans des activités génératrices de revenus.

 

Demême, le Gouvernement a pour mission fondamentale d’accélérer et d’amplifier lamise en oeuvre du dispositif de développement de la formation professionnelle,de l’apprentissage et de l’insertion professionnelle des jeunes à la recherched’un emploi.

 

C’estle lieu de nous réjouir tous ensemble qu’un de nos fils, titulaire d’une boursed’études sportives, Anthony OBAME, ait remporté samedi une médaille d’or aux USOPEN, Championnat mondial prestigieux, en Taekwondo après nous avoir apportéune médaille d’argent aux Jeux Olympiques de Londres ; il est donc champion dumonde. Voilà une illustration du goût de l’effort et de la constance autravail.

 

Lesentreprises ont aussi le devoir de contribuer, par les stages, à la formationprofessionnalisante de notre jeunesse.

 

Dansnotre pays, les potentialités sont immenses dans divers métiers, ceux du bois,de l’agriculture et de l’élevage, de l’aquaculture et de la pêche, de la sante,de l’éducation, du sport, de l’énergie, de l’eau et de l’assainissement, des servicesà forte valeur ajoutée.

 

Chers jeunes compatriotes,

 

Afinde relever tous ces défis, je ne cesserais de vous inviter à plus deresponsabilité citoyenne, à cultiver le goût de l’effort et de l’engagement auservice de la Patrie.

 

Acet effet, je veillerai moi-même à ce que cette ambition que nous partageonstous soit traduite dans les faits.

 

S’ilest vrai que je reste convaincu que les jeunes africains peuvent changer lemonde et doivent le changer, je suis tout autant certain que la jeunessegabonaise jouera sa pleine partition pour contribuer de manière décisive àchanger notre pays en vue d’en faire le Gabon Emergent auquel nous aspironstous.

 

Que Dieu bénisse le Gabon.

 

Je vous remercie.

 
 


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le 26-02-2013 03:17

Remise du Document de Politique Nationale de la Jeunesse gabonaise au Chef de l’Etat

Le Chef de l’Etat Gabonais, Ali Bongo Ondimba, a reçu lundi à la présidence de la République le « Document de Politique Nationale de la Jeunesse du Gabon », tel qu’il ressort du Forum National de la Jeunesse des 09 et 10 septembre 2011.

Placée sous le thème : « Contrat de Partenariat pour une Jeunesse responsable », cette rencontre, par la réflexion participative et le document cadre qui en est issu, a concrétisé et scellé l’engagement politique du président de la République envers la jeunesse.

Au delà du simple diagnostic, ce document apporte des réponses concrètes aux problèmes identifiés en offrant des opportunités de contribuer à l’amélioration sensible des conditions de vie de la jeunesse gabonaise. C’est une véritable feuille de route avec un programme et des projets clairs et définis.

« La jeunesse est au cœur des objectifs et de la mise en œuvre du Plan Stratégique du Gabon Emergent », a réaffirmé Ali Bongo Ondimba qui estime qu’ « au delà du simple diagnostic, nous devons apporter, chacun à son niveau, des réponses concrètes aux problèmes identifiés mais aussi et surtout offrir des opportunités à toute la jeunesse gabonaise ».

Le Chef de l’Etat qui souligne que la jeunesse doit d’être mieux préparée pour relever les défis futurs a invité les jeunes à s’investir partout ou c’est nécessaire et possible, pour apporter leur contribution volontaire et citoyenne à la construction nationale. D’où son adresse devant le Congrès lorsqu’il avait demandé au Gouvernement et au Parlement de légiférer afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur les listes de candidatures aux élections locales et au sein des organes exécutifs locaux.

Concernant le Conseil National de la Jeunesse qui n’a toujours pas de siège, Ali Bongo Ondimba a instruit le gouvernement de remédier avec diligence à ce problème. Toujours au gouvernement, le n°1 Gabonais à surtout engagé le gouvernement à veiller à sa mise en œuvre et à faire mobiliser les fonds nécessaires à cet effet.

« Je reste convaincu que l’investissement dans la jeunesse est celui qui a le plus haut rendement en matière de développement, car il s’agit du CAPITAL HUMAIN », a-t-il parié.

Ledit document-cadre, permettra surtout d’anticiper sur l’avenir de la Nation en valorisant le potentiel de changement et d’espérance dont la jeunesse est porteuse pour un Gabon Emergent.

Plusieurs discours, notamment celui du représentant des jeunes ont précédé l’intervention du Chef de l’Etat qui a mis tout le monde d’accord sur le fait que l’avenir est sacré.

 

Source:GN

 

 


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le 25-02-2013 20:57

La CNLCEI menace certains medias pour non respect du code de la communication

Depuis quelques temps, certains titres de la presse écrite se font l’écho des affaires suivies par la Commission Nationale de Lutte Contre l’Enrichissement Illicite (CNLCEI) dans le cadre de ses missions d’investigation.

Dans cette entreprise, ces journaux se livrent notamment à la publication des documents élaborés ou utilisés par la Commission lors de ses enquêtes.

La CNLCEI rappelle que les Membres et autres Personnalités sont astreints au secret de l’instruction et que toute divulgation d’information ou de document est passible de sanction pénale.

Devant la gravité des faits observés, la CNLCEI décline sa responsabilité quant à la circulation de ces informations et condamne, avec vigueur, ces actes qui remettent en cause la présomption d’innocence à laquelle ont droit tout auteur présumé d’une infraction.

La Commission précise que la Convention de l’Union Africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption énonce, dans son article 12 , que « les Etats parties s’engagent à veiller à ce que les médias aient accès à l’information dans les cas de corruption et d’infractions assimilées sous réserve que la diffusion de cette information n’affecte pas négativement l’enquête ni le droit à un procès équitable ».

La CNLCEI exhorte également les médias au respect du Code de la Communication (loi n° 12/2001) à travers son article 30 qui dispose : « Les informations, photographies et illustrations doivent être obtenues uniquement par des moyens honnêtes et légaux ».

 

Source:GN

 

 


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le 25-02-2013 20:00

Des retraites princières d’Ogouliguendé, Chambrier et Divoungui

 Libreville, 25 févier 2013 ‘Infos Gabon) – Si en France on parle de ce que coûtent (encore) aux Français Giscard, Chirac et Sarkozy, tous les trois anciens Président de la...

 

Si en France on parle de ce que coûtent (encore) aux Français Giscard, Chirac et Sarkozy, tous les trois anciens Président de la République, au Gabon, la presse locale s’est penchée sur la retraite des anciens présidents de l’assemblée nationale et le vice-président de la République. La loi de finance 2013 a enregistré aux profits des anciens présidents de l’assemblée nationale et de l’ancien vice-président de la République gabonaise des traitements colossaux pour le budget de l’Etat, alors que ces personnalités ne sont plus en activité.

Cet état de fait peut scandaliser d’abord lorsqu’on constate pour la comparaison, que les anciens parlementaires perçoivent une pension de retraite d’environ 60% de leur traitement de base de député, soit à peu près 60% d’un montant officiel d’environ 1.700. 000 FCFA ; ce qui ferait environ 1.020 000 FCFA par mois et 12.240.000 FCFA par an.

Ce montant représente 1/5 des 55.999.000 FCFA alloués à l’ancien président de l’assemblée nationale Marcel Eloi Rahandi Chambrier ; et des 50.347.000FCFA alloués à l’ancien président de l’assemblée nationale Jules Aristide Bourdes Ogouliguendé (JABO) ; cela a dû vexer et scandaliser les actuels députés qui auront constaté une discrimination excessive entre anciens députés, car après tout, un ancien président de l’assemblée nationale est avant tout un ancien député élu du peuple comme les autres députés.

Par ailleurs, quand on voit qu’un député en exercice gagne environ 20.400.000 FCFA par an, contre 50.000.000 par an alloué à un ancien président de l’assemblée nationale, on comprend mieux pourquoi JABO a boycotté les législatives de 2011 ; bien entendu, l’actuel président de l’UFA a dit au peuple qu’il boycottait l’élection parce que la biométrie n’était pas mise en place ; or là on sait maintenant que c’est parce que son allocation de retraite d’ancien président de l’assemblée nationale est plus du double du salaire annuel d’un député en exercice ; autrement dit il gagne plus qu’un député en vivant de son allocation de retraite d’ancien président de l’assemblée nationale.

L’extra comme au jeu de flipper, c’est que JABO bénéfice d’une dotation de 200.000.000 FCFA au titre de l’achat de véhicules de fonction comme s’il était en service ou en fonction.

Avec un pareil traitement de retraité, nul doute que pour ces locales de 2013 JABO peut se permettre le luxe de ne pas se porter candidat.

L’autre aspect scandaleux de cette allocation annuelle d’ancien président de l’assemblée nationale est qu’on y a inscrit des frais de missions et des frais de déplacement, ainsi que des fournitures de bureau comme s’il s’agissait de personnalité en activité ou au service de l’Etat ; cela est tout bonnement une contradiction de la définition de la retraite ! Le montant de ces frais fallacieux culmine à plus de 22.000.000 FCFA !


Quant à l’ancien vice-président de la République Clement Divungi Di Ndinge, son allocation gravite à  95.000.000 FCFA, presque le double de celle des anciens présidents de l’assemblée nationale ; et là aussi pour un autre retraité ; de même on enregistre dans cette allocation faramineuse des frais de missions et des frais de déplacement d’un montant de 45.000.000 FCFA.

On peut donc conclure que ces traitements de personnes retraitées sont illégitimes quand on sait que des frais de missions et de déplacements et de bureau sont inutiles  à des personnes à la retraite ; elles s’en serviront certainement comme de frais de loisirs et de tourisme, que supporterait le budget de l’Etat.

Par ailleurs, ce serait vraiment cher payer si le but de ces traitements illégitimes étaient d’inciter ces personnalités à se retirer des affaires publiques.

Au demeurant, cet alourdissement du budget de l’Etat est aux antipodes de reformes visant l’allégement des charges de l’Etat entreprises par le président Ali Bongo Ondimba sitôt après son élection.

 

Source:Infosgabon

 


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