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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 18-12-2010 14:45

Ali Bongo Ondimba assiste au cinquantenaire de la BGD sur fonds de présentation des activités du groupe


La Banque gabonaise de développement (BGD), au capital de 25 milliards de francs CFA, a célébré ce vendredi, à travers une journée porte ouverte, le cinquantenaire de son existence au service du développement, en présence du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba et de nombreux invités.

                        

Cette cérémonie officielle et solennelle a permis à l’Administrateur directeur général de cette structure, Christian Bongo, après la décoration de trois employés, et non des moindre, parmi lesquels le président du Conseil d’administration, Yolande Nyonda, a tenu à louer les efforts des deux prédécesseurs d’Ali Bongo Ondimba. L’un, le président Léon Mba, pour avoir créé l’institution et l’autre, Omar Bongo Ondimba, pour avoir pérennisé cet instrument au service du développement du pays.

Dans ce contexte où les différents produits du groupe étaient exposés dans des stands érigés pour l’occasion, avec une affluence inouïe  sur la Société immobilière de promotion de l’habitat et de l’aménagement (SIPHA), le patron de cette institution bancaire a indiqué que la banque a toujours fait sienne les orientations des plans de développement du Gabon tels que définis par les gouvernements qui se sont succédés depuis 1960.

Autrement dit, pour les réaliser, cette banque au capital de plus 25 milliards de francs CFA, s’est tissée des partenariats tant technique que financiers avec d’autres institutions, autant nationale qu’internationale, afin de s’adapter aux changements économiques et stratégiques et de conforter sa place d’acteur privilégié du développement du Gabon.

D’où la multiplicité des secteurs jugés prioritaires, à l’instar du logement social, l’agro industriel, l’exploitation forestière.

Signant le livre d’or, le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba, qui a auparavant visité les stands et le siège de l’établissemnt, a écrit: « Référence gabonaise en matière de financement d’investissement et de crédits immobiliers, la Banque gabonaise de développement que célèbre son cinquième anniversaire ce jour, a soutenu avec succès, l’effort de réalisation personnelle de nos concitoyens ».

Ali Bongo Ondimba, s’inscrivant dans la logique de la promotion du Gabon des services, a rassuré les responsables de la BGD de son soutien.

« Je voudrais vous assurer de ma volonté et de celle du gouvernement de donner aux institutions bancaires de notre pays, les outils de modernisations qui les encourageront à se hisser à la tête du combat pour un Gabon émergent, compétitif et évolutif », a-t-il gravé dans le livre d’or de  la BGD.

Société anonyme d'Intérêt National, créée par la loi du 08 juin 1960, la Banque Gabonaise de Développement (BGD) a repris les activités de la Société Gabonaise de Crédit (CREDIGABON) constituée le 01 juillet 1959; suite à l'éclatement du crédit de l'Afrique Equatoriale Française de Développement créé en 1948.

Le capital libéré de la BGD a atteint aujourd'hui 25.2 milliards de FCFA et l’institution dispose de 79%.

 


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le 18-12-2010 00:00

La révision de la liste électorale jusqu’au 23 décembre

La fin de révision de la liste électorale a été reportée au 23 décembre prochain alors qu’elle était initialement prévue le 16 décembre. Une décision qui serait dictée par l’engouement tardif des populations dans les centres de révision.
 
© D.R.
 
Le ministre de l’Intérieur, Jean François Ndongou, «porte à la connaissance de l’ensemble des citoyens en âge de voter, que la période de révision des listes électorales, dont le terme était initialement fixé au 16 décembre, est prorogée jusqu’au 23 décembre 2010. Les centres de révision ouverts à cet effet fonctionneront jusqu’à cette date».

Suite à cette décision, la Commission électorale autonome et permanente (CENAP) «demande aux superviseurs et contrôleurs de ladite commission de poursuivre leur mission, conformément aux dispositions de l’article e l’article 37 de la Loi 7/96 du 12 mars 1996 portant dispositions communes à toutes les élections politiques, modifiée».

Les centres retenus sont ouverts de 8h à 16h. En provinces ces opérations se déroulent aux sièges des gouvernorats, préfectures, sous-préfectures et communes. Dans les communes de Libreville et Owendo par contre, elles ont lieu dans les mairies d’arrondissement.
 


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le 17-12-2010 23:58

Une médaille pour restaurer le statut de l’enseignant

Le ministre de l’Education, Séraphin Moundounga, a annoncé ce 17 décembre la systématisation des décorations dans l’"Ordre des Palmes Académiques", qui auront ainsi lieu une fois chaque année. Des critères ont été publiés pour les prétendants à cette éligible à cette décoration qui s’inscrit dans «le cadre du processus irréversible de restauration du statut de l’enseignant».
 
© D.R.
 
Séraphin Moundounga s’est engagé dans un «processus irréversible de restauration du statut de l’enseignant». C’est dans ce cadre que le ministre de l’Education nationale informe «les secrétaires généraux, les directeurs généraux des services centraux, les recteurs d’universités, le commissaire général du CENAREST, les directeurs généraux des grandes écoles, les directeurs d’académies provinciales, les chefs de circonscriptions scolaires, les chefs de bases pédagogiques, les chefs d’établissements scolaires, les enseignants, les chercheurs, et le personnel d’appui que les décorations dans l’"Ordre des Palmes Académiques" sont systématisées et auront ainsi lieu une fois chaque année scolaire et universitaire».

«Le personnel enseignant, formateurs et chercheurs, ainsi que le personnel d’appui multiforme, doivent être sélectionnés à raison d’au moins 1/10 des effectifs de chaque établissement ou service. Les critères de choix doivent tenir compte de l’attitude citoyenne de chaque agent, du rendement de chacun», poursuit le ministre de l’Education nationale.

Il s’agit notamment des agents ayant fait preuve d’assiduité, de ponctualité, de civisme, de respect de bonnes mœurs, de rigueur, de sociabilité, de respect de la déontologie et des procédures administratives, de discrétion et d’application dans l’élaboration des sujets d’examen ; des enseignants dont les élèves de classe auront réalisé de bons résultats aux examens nationaux, des enseignants dont la surveillance aura été irréprochable, des meilleurs correcteurs, anonymeurs et harmoniseurs et aussi des ceux s’étant distingués à l’occasion des conférences, colloques, et séminaires.

Les états nominatifs des services et des agents proposés, doivent être transmis par chaque chef d’établissement ou de service, par voie hiérarchique, aux directeurs d’académies provinciales pour l’enseignement scolaire ou au directeur général de la Recherche, pour les universités, grandes écoles et instituts de recherche, en vue de procéder à la confection des projets de décision d’accès à un grade de l’ordre. Les récipiendaires seront décorés au cours d’une cérémonie solennelle. L’exécution diligente des présentes instructions est de rigueur, a conclu Séraphin Moundounga.
 


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le 17-12-2010 15:11

Le Gabon veut se doter d’un réseau électrique interconnecté de haute tension à moindre coût

A en croire des sources officielles, le Gabon pourrait disposer de deux nouveaux barrages hydroélectriques à l’horizon 2018, au nord et sud. 

Ces nouveaux barrages hydroélectriques, précisent ces sources, seront érigés l’un à Mitzic (nord) « FE 22 » et l’autre sur les « chutes de l’impératrice » à 5 kilomètres en aval de Fougamou (Centre-sud).

« Ce double projet qui devrait respecter toutes les normes environnementales, est estimé à 124 milliards de FCFA, soit 70 milliards de FCFA pour « l’Impératrice » et 54 milliards de francs CFA pour le barrage de Mitzic « FE2 ». Il est fondamental dans la mise en pratique du schéma directeur de l’énergie électrique du Gabon, basé sur une exploitation rationnelle des ressources hydrauliques, dans le cadre d’une politique de développement durable et d’indépendance énergétique, conformément à la volonté des plus hautes autorités du pays ». Soulignent ces sources.

Et de poursuivre : « Ce double projet marque la détermination du Gouvernement gabonais à doter le pays d’un réseau électrique interconnecté de haute tension à moindre coût et de très bonne qualité. Il permettra de mettre l’énergie électrique à la disposition des populations rurales peu ou mal desservies et contribuer, à terme, au désenclavement énergétique du pays ».

Selon les experts, font savoir lesdites sources, le site des « chutes de l’Impératrice », de par sa configuration topographique, géographique et hydrologique, présente un intérêt économique certain. D’autant que cet aménagement, qui pourrait avoir une puissance installée de 42 MW en première phase, extensible jusqu’à 84 MW ultérieurement, assurera une production de base hydroélectrique susceptible de devenir thermoélectrique à hauteur de 334 kWh dès le départ, et de 585 kWh à l’horizon 2018. D’une durée de 30 mois, les travaux de cet aménagement sont exécutés par la Compagnie pour le développement des énergies renouvelables (CODER).

La convention du barrage de « l’impératrice », expliquent-elles, concerne l’établissement et l’exploitation des ouvrages hydrauliques et de l’usine génératrice d’électricité des chutes du site, pour une production électrique aux acheteurs. « L’impératrice » est destinée à alimenter en énergie propre au pôle (Nobium de Mabounié, Manganèse) de Ndjolé dans la province du Moyen Ogooué (Centre), ainsi qu’aux industries de transformation de bois située dans cette province.

Ce barrage est aussi appelé à alimenter en électricité les villes de Fougamou, Mouila et Mandji, dans la province de la Ngounié (sud), et à renforcer la zone de Libreville. Le projet de construction de ce barrage induira la création de 400 emplois directs dans la phase des travaux et 200 emplois indirects.

Pour ce qui concerne le barrage hydroélectrique de Mitzic « FE 2 », sa construction est une composante du projet de création du réseau interconnecté du Woleu-Ntem (Nord).

C’est un contrat signé avec ETDE, filiale du Groupe français Bouygues pour la première phase de construction de la ligne de transport d’énergie électrique entre Mitzic-Oyem et Oyem-Bitam. Prévus pour durer environ 30 mois, les travaux de construction de ce barrage permettront la création de 30 000 emplois, dont 200 emplois directs et 100 emplois indirects.

 


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