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Les élus du Parti auront également leur espace.
La gestion du nouveau site incombera à une équipe de pigistes,assistés d’un web master qui assureront la veille politique du site, et enferont un outil de référence d’ici 2011.
La mise a jour de ce site sera progressive et nécessitera le concoursde toute les bonnes volonté qui voudront bien assisté le Secrétaire National,Porte Parole, dans cette lourde tache.
Dans un communiqué publié ce 13 octobre, le gouvernement a décidé de payer dès le 25 octobre, les premiers bons de caisse des enseignants nouvellement intégrés à la Fonction publique. Un signal fort à l’endroit des syndicats du secteur éducation en grève, qui avaient fait de ce point un des préalables pour la reprise effective des cours. | |||||
Le groupement syndical conditionnait en effet la rentrée par certains préalables. Il s’agissait de l’attribution de 1700 postes budgétaires aux enseignants récemment intégrés, le paiement des vacations, la rétrocession des bons des caisses et le paiement de la Prime incitative à la fonction enseignante (PIFE). «Nous voulons que le ministère montre la bonne foi en réglant les problèmes pour que nous puissions réviser notre attitude. Mais si le gouvernement ne fait pas d’efforts, nous non plus, nous n’en ferrons», avait déclaré le secrétaire général de la CONASYSED, Fridolin Mvé Messa. Un message bien reçu par le gouvernement, qui semble avoir mis de l’eau dans son vin. Un communiqué du ministère de la Fonction publique publié le 13 octobre dans le journal Gabon Matin, annonce en effet que «les enseignants dont les dossiers administratifs ne sont entachés d’aucune irrégularité et nouvellement intégrés, sont informés qu’ils percevront leur premier bon de caisse dès le 25 octobre 2010. Il s’agit de 889 instituteurs et trois contractuels de catégorie 3, ainsi que 219 professeurs adjoints et 7 contractuels de catégorie 2». Cette mesure du gouvernement suffira-t-elle à dissuader les enseignants de reprendre le chemin des classes ? «Si le gouvernement nous dit que les enseignants qui attendent les intégrations qui sont sur bulletin rose, qui souhaitent passer sur bulletin bleu auront leur bulletin bleu en septembre ou à la fin du mois d’octobre, ce sera déjà un pas», avait affirmé Fridolin Mvé Messa. La balle est désormais dans le camp des enseignants qui ont déclenché le 11 octobre un service minimum dans le primaire et le secondaire sur toute l’étendue du territoire, en attendant la réaction du gouvernement. Toutefois, si les agents de la CONASYSED devaient reprendre les cours, il reste néanmoins l’équation du Syndicat des enseignants contractuels et expatriés du Gabon (SENEG). En grève depuis le 4 octobre, ces enseignants réclament le paiement d’une prime d’expatriation et de congés pour équilibrer avec la prime d’incitation à la fonction enseignante (PIF) octroyée aux nationaux. |
Dans sa quête de promouvoir une formation de qualité, le ministre de l’Education national, Séraphin Moundounga, veut s’appuyer sur des partenaires privés dont les établissements disposent d’infrastructures de qualité. Deux lycées privés à dominante scientifique recevront cette année scolaire des élèves dont les frais de scolarité seront pris en charge à 100% par l’Etat. | |||||
Ce communiqué annonce que «dans le cadre du partenariat public-privé de nature à promouvoir un enseignement de référence de niveau international, aboutissant à des diplômes internationaux et à la double diplômation, les services du ministères de l’Education nationale, de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation ont examiné les dossiers des meilleurs élèves issus de toutes les couches sociales de Libreville et de l’intérieur du pays, pour les orienter au Lycée Berthe et Jean, situé à Essassa et au Lycée Paul Kouya à Koulamoutou.» «Ces brillants élèves sélectionnés dans ces toutes premières promotions doivent demeurer excellents pour qu’ils puissent continuer au Supérieur, le moment venu, dans des structures universitaires analogues et autres grandes écoles de référence internationale dans le monde ou celles qui seront créées sur instruction de monsieur le président de la République, chef de l’Etat, son excellence Ali Bongo Ondimba, dans la future Cité verte du savoir et des dépendances» poursuit le communiqué. Le ministère de l’Education précise que «dans ces deux établissements, les élèves résideront dans des internats de type moderne, avec toutes les commodités de l’ère de l’Emergence, tel que cela doit être progressivement organisé au niveau de l’enseignement public.» Enfin, «ces élèves qui y sont orientés auront leurs frais d’écolage pris en charge à 100% par l’Etat Gabonais durant tout leur cursus», conclu le communiqué. Le lycée Jean et Berthe qui a ouvert ses portes il y a trois ans et le lycée Paul kouya dont la rentrée 2010-2011 sera la toute première rentrée, proposent une offre de formation à dominante scientifique et technologique. Le lycée Paul Kouya par exemple propose trois séries scientifique et technologique, à savoir la série Sciences et technologies de la gestion (STG), Sciences et technologies de laboratoire (STL) et Sciences et technologies de l’Ingénierie (STI). La première série ouvre sur un baccalauréat en comptabilité, marketing et finances d’entreprises. La seconde série offre deux choix aux potaches : un baccalauréat en Biochimie et Génie biologique et en Chimie de laboratoire et procédés industriels. La troisième ouvre la voie à trois options : baccalauréat en Génie civil, en Génie énergétique, et en Génie mécanique. Selon des sources proches du ministère de l’Education, ces deux écoles disposent de laboratoires appropriés mais également des infrastructures propices à une formation de qualité. Le nombre d’élèves par classe est compris entre 25 et 35. Si ce model était généralisé sur l’ensemble du territoire, le système éducatif gagnerait sans doute en qualité. Mais le sera-t-il vraiment ne serrait-ce qu’à l’horizon 2030 ? Car le coût de l’opération semble prohibitif. En effet, la prise en charge d’un élève à 100% par l’Etat, c’est-à dire les frais de scolarité et les frais d’internat sont de 1 916 000 francs CFA à Paul Kouya et de 3 330 000 au Lycée Berthe et Jean. Pour l’année scolaire en cours, le lycée Paul Kouya, recevra 137 élèves de classe de 3ème issus de 11 Collèges d’enseignement secondaire (CES) de la province de l’Estuaire dont, 8 de Libreville, 1 d’Owendo, 1 de Kango et 1 de Cocobeach. Soit la somme de 262 492 000 francs CFA La prise en charge dans l’un ou l’autre de ces lycées, est comparable à celle d’un étudiant boursier à l’étranger ; conformément à la décision prise de la DGBS du 13 septembre dernier qui a décidé de plafonner la prise en charge des boursiers sans exception à hauteur de 3049 euros, soit 1 997 095 francs CFA. |
Marie Jeanne Mbazogho Mba, épouse Bamba Taladji, Directeur Général de la Marine Marchade est dans les locaux de la police judiciaire à Libreville depuis ce lundi 11 octobre 2010 à 9h00.
Elle est entendue par les policiers du sercice des affaires économiques et financieres.
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