Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 18-12-2009 00:21

Le gouvernement consterné par décès d’un élève de suite d’un accident de la circulation à Libreville


 
Le gouvernement gabonais s’est dit consterner par le décès de l’élève Willy Mavoungou en classe de 4ème au lycée public de Diba-Diba de suite d’un accident de la circulation survenu mardi dernier sur la voie express à Libreville, indique un communiqué officiel dont l’AGP a reçu copie.

‘’En cette douloureuse circonstance, le gouvernement présente ses sincères condoléances à la famille endeuillée et souhaite prompt rétablissement aux rescapés de ladite tragédie’’, souligne le communiqué.

Au regard de cet énième accident, poursuit le document, il apparaît nécessaire d’attirer une fois de plus, l’attention des conducteurs des véhicules, particulièrement ceux des transports en commun, sur le strict respect du code de la route et des consignes de sécurité y afférentes.

Par ailleurs, le gouvernement invite les usagers des transports en commun à redoubler de vigilance quant aux conditions dans lesquelles ils sont transportés, et au respect par les transporteurs des normes en la matière.

Le gouvernement a, aussi demandé aux élèves d’être particulièrement attentifs sur l’état de vétusté des véhicules qu’ils empruntent, tout en évitant les actes tels que les « cascades » ou les surcharges, précise le texte.

Aussi a-t-il demandé instamment aux forces de sécurité de tout mettre en œuvre pour faire respecter les normes de transport des usagers, et faire en sorte que ne ressurgisse le phénomène des « cascadeurs » qui a énormément endeuillé les familles gabonaises, conclut le communiqué.

Un bus de transport en commun transportant des élèves du Lycée Diba-Diba s’est accdenté mardi dernier non loin des feux tricolores des Charbonnages dans le 1er arrondissement de Libreville, faisant de nombreux blessés.

L’élève Mavoungou est décédé à l’hôpital de suite de ses blessures.

IM/ 
 
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le 17-12-2009 20:21

63 milliards FCFA pour le réseau électrique de Libreville

 

Le gouvernement gabonais a signé le 16 décembre à Libreville une convention avec l’entreprise chinoise SinoHydro pour le renforcement et la sécurisation du réseau de transport en énergie électrique à Libreville. Ce projet entièrement financé par la Banque chinoise d’import-export à hauteur de 63, 838 milliards de francs CFA, doit permettre renforcer les capacités énergétiques du réseau existant afin de mettre un terme aux délestages récurrents dans la capitale gabonaise.
 
© D.R.
 
63,838 milliards de francs CFA ont été débloqués par la Banque chinoise d’import-export pour un projet de sécurisation du réseau de transport d’électricité à Libreville, dont les travaux ont été confiés à l’entreprise chinoise SinoHydro.

La convention a été signée le 16 décembre dernier à Libreville par les ministres gabonais de l’Energie, Régis Immongault, de l'Economie, Magloire Ngambia, et le directeur générale de SinoHydro, Tian Haihua. Le Chef du gouvernement, Paul Biyoghe Mba et l’ambassadeur de Chine au Gabon, Li Fushun, étaient également présents.

«Le projet pour lequel nous sommes réunis comprend deux volets» a expliqué le ministre de l'Energie, évoquant notamment la «sécurisation des fournitures en énergie électrique dans la zone de Libreville en doublant les lignes d’approvisionnement en électricité de chaque poste».

Il s'agit également de «construire un poste d’arrivée de Libreville dans la ville de Ntoum et deux autres postes respectivement au centre-ville et dans la zone d’Angondjé. L’objectif est de faciliter le transport d’énergie électrique vers les nouveaux pôles de consommation et de sécuriser les postes de transformation», a-t-il poursuivi.

La durée des travaux de ce chantier est estimée à deux ans selon la partie chinoise, alors que le ministre de l'Energie estime qu'«entre fin 2010 et mai 2011, les travaux du poste d’Angondjé et de sa ligne d’alimentation, à partir du poste d’Ambowé, seront achevés. Ceci permettra à la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), de pouvoir reprendre l’alimentation électrique des quartiers Nord de Libreville et du futur stade de l’amitié sino-gabonaise à partir de ces installations».

«L’électricité au Gabon fait partie des principales priorités dans tous les secteurs, qu’il s’agisse de l’industrie, de la consommation des ménages ou de l’éclairage public. Nous avons des besoins énormes en matière d’énergie», a expliqué le Premier ministre, saluant que «dans 24 mois, notre pays sera doté de capacités additionnelles en matière d’électricité».

La signature de cette convention entre l’Etat gabonais et la partie chinoise, intervient quelques semaines après que la Société d'eau et d'électricité du Gabon (SEEG) ait infligé à près de la moitié des habitants de Libreville sans doute l'une des plus longues coupures d'électricité jamais enregistrée dans le pays du 25 au 26 novembre dernier, alors que la capitale gabonaise connaît des séries de délestage record depuis maintenant trois ans.

  Source : gaboneco 

 

 

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le 17-12-2009 20:18

Discours intégral du Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, au sommet sur le changement climatique de Copenhague

 

 

17-12-2009 Image

Prenant une part active aux assises de Copenhague relatives à la recherche des solutions au réchauffement climatique de plus en plus menaçant, le chef de l’Etat gabonais, S.E. Ali Bongo Ondimba, tout en engageant son pays à la lutte contre plusieurs fléaux endogènes et exogènes à l’homme, a lancé, à travers une déclaration historique, un appel solennel en direction de l’humanité toute entière, pour que soient sauver, les générations futures.

Monsieur le Président

Mesdames, Messieurs

Au début de l’ère industrielle, nul n’aurait pu imaginer que la voie du développement empruntée par nos prédécesseurs allait compromettre un jour aussi gravement l’avenir de l’Humanité et de la planète toute entière. Comment nos parents auraient-ils réagi, s’ils avaient su qu’ils nous laisseraient une maison qui brûlerait ? Et la communauté internationale se demande aujourd’hui, ce qu’il y a lieu de faire face à cette problématique du changement climatique qui réunit depuis hier, l’ensemble des dirigeants de la Planète et mobilise la presque totalité de l’humanité en attente de décisions ambitieuses.

En effet, au quotidien, devant nos yeux et à la télévision, plus de cinq sixièmes de l’Humanité vivent, à cause de ce changement climatique, les inondations, la sécheresse, les maladies, la baisse de la productivité agricole, les feux de forêts et j’en passe... Ainsi sommes nous devenus, malheureusement, accoutumés et insensibles à ces drames humains ? Que faisons-nous dès lors, pour éviter à des êtres humains de vivre aujourd’hui dans une précarité quasi inhumaine ? Que faisons-nous pour éviter la destruction des écosystèmes indispensables à la vie ? Que faisons-nous pour éviter de transmettre à nos enfants ce lourd fardeau ?

Nous devons impérativement agir pour proposer aux générations actuelles et futures, un véritable projet de développement à faible émission de carbone comme nous le commande la situation actuelle. Ce projet ne pourra voir le jour que si, nous, Hommes politiques, le voulons vraiment, en prenant les décisions qui s’imposent à nous. D’autres crises, que l’Humanité a traversé par le passé me permettent de dire qu’il s’agit avant tout, de la volonté de faire ensemble. Il s’agit de solidarité, solidarité que j’estime indispensable pour réussir à relever, tous ensemble, le plus grand défi auquel l’Humanité est confronté.

Alors, comment mettre en œuvre à l’échelle planétaire, cette nouvelle solidarité, ou plutôt cette solidarité reformulée ? Nous devons absolument passer de la rivalité et de la compétition entre les Nations à une véritable coopération. Chacun d’entre nous compte. Chacun d’entre nous a sa part dans ce combat. Dans cet esprit, changer le monde sera à notre portée. Nous devons agir ensemble, ici et maintenant, pour conduire l’Humanité vers un avenir en confiance. Agir ensemble, face à cette nouvelle conception qui s’impose à nous, à savoir, celle des biens publics mondiaux : l’air, l’eau, les forêts, la biodiversité. A cela, il faudrait aussi ajouter la santé, les connaissances, la sécurité et le bonheur des peuples.

Cette nouvelle approche nous oblige à accepter le principe de responsabilité globale face à un destin qui nous est commun. Certes, il faudra différencier les responsabilités, et tenir compte des circonstances nationales et régionales, si nous ne voulons pas compromettre notre avenir. Relevons néanmoins que des efforts ont déjà été accomplis : Son Altesse Royale le Prince de Galles, comme nous avons pu tous le constater lors de l’ouverture de cette conférence, joue un rôle remarquable dans la sensibilisation sur les questions des changements climatiques.

L’Europe a réalisé des progrès conséquents dans la réduction de gaz à effet de serre comme elle s’y était engagée. Le Brésil pour sa part, a fait d’énormes progrès dans la lutte contre la déforestation. La Norvège quant à elle, pose déjà certains actes à travers le monde, en faveur de la protection des forêts. Enfin, sans être exhaustif, relevons que la France ne cesse, ces derniers temps, de ménager ses efforts diplomatiques pour rapprocher tous les points de vue et rechercher des solutions concrètes pour résoudre les problèmes qui se posent a nous.

Cependant, ces efforts restent largement insuffisants au regard de l’immense tache qui nous attend. S’agissant de la coalition des pays des forêts tropicales humides, de nombreux efforts d’organisation et de conception permettent désormais d’affirmer que dorénavant, nous sommes prêts pour une action qui permette de réduire les émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et à la dégradation des forêts, et promouvoir la conservation des forêts.

En mettant en œuvre ce REDD +, le Gabon assumera sa part de responsabilité au regard de son potentiel d’atténuation dans le domaine de la forêt. En agissant ainsi, j’ai la certitude de sauver des vies humaines en Afrique, et, dans les iles, pour lesquelles leur disparition est déjà programmée par le dérèglement du climat. Comprenez, au vu de l’urgence, que je puisse en appeler à la responsabilité de chacun. En effet, avant d’être politique et économique, la crise climatique est avant tout un devoir moral. Dans ce contexte, avec ou sans accord, le peuple gabonais, par ma voix, vous dit qu’il continuera à remplir sa part de devoir.

Ici à Copenhague, je prends devant vous et au nom du peuple gabonais, l’engagement d’aller encore plus loin dans l’amélioration de la gestion forestière. Depuis Rio le Gabon a créé plus de 3 millions d’hectares de parcs nationaux. Nous avons inscrit 9 millions d’hectares de permis forestiers sous aménagement durable, dont 2 millions ont obtenu une certification par le FSC pour leurs standards de gestion exemplaires. Nous avons par ailleurs, réduit nos émissions liés à la déforestation et à la dégradation des forêts de 20 millions de tonnes de CO2 par an – nous pensons pouvoir arriver à un chiffre de 50 millions de tonnes en 2015.

De plus, notre action en faveur du Climat s’étend déjà à d’autres secteurs, notamment l’interdiction des émissions provenant des gaz torchés. Un plan climat sera formulé au cours de l’année 2010 pour nous permettre de suivre un développement à faible émission de carbone. Je m’engage par ailleurs à faire promulguer le Code du développement durable dans lequel, la question climatique sera centrale.

Enfin, j’ai engagé le Gabon dans un programme d’éradication de la corruption afin d’asseoir définitivement les principes de bonne gouvernance, préalables à un partage équitable des richesses et l’établissement de coopérations fructueuses en toute confiance. Si mon pays a tenu ses engagements depuis Rio, j’ai du mal à comprendre que d’autres avec des moyens financiers et techniques sans commune mesure, aient du mal à le faire de leur coté.

Beaucoup trop de promesses et d’engagements faits n’ont pas été tenus à ce jour. Le passage à l’action s’impose aujourd’hui. Notamment une action urgente et massive qui permettra de garantir le succès contre le changement climatique, dans cadre du Plan d’action de Bali et du protocole de Kyoto. Pour ceux qui pensent aujourd’hui que la facture est lourde à supporter, je voudrais leur dire qu’ils se trompent.

En effet, elle le sera encore plus dans 5 ans et insupportable dans 10 ans. Et, dans 20 ans, le prix de l’inaction sera la condamnation définitive de la planète à devenir un enfer due à l’irréversibilité des processus en cours. La lutte contre le changement climatique n’est pas un choix. Elle est une obligation qui nous impose d’avoir une vision commune sur les moyens à mettre en œuvre pour atteindre nos objectifs. L’implication entière de tous est dès lors indispensable pour le succès de notre lutte.

L’homme a été à l’origine des problèmes auxquels nous devons faire face aujourd’hui – il lui revient dès lors de rechercher les solutions appropriées en vue d’un règlement de ces questions.

Je vous remercie.

 

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le 17-12-2009 18:08

Les chefs d’Etat du Bassin du Congo et Nicolas Sarkozy affinent leur position pour Copenhague


 Les chefs d’Etat du Bassin du Congo, entre autres, Ali Bongo Ondimba du Gabon, Paul Biya du Cameroun, Denis Sassou Nguesso du Congo, Idriss Deby du Tchad, François Bozizé de la Centrafrique , se sont réunis ce mercredi à l’Elysée, autour du président français, Nicolas Sarkozy, en conférence de presse, le numéro gabonais, pour définir une position à défendre à Copenhague.
 
Gabonews_copenhagen
 
 
 
 
 

L’EUROPE ET L’AFRIQUE, C’EST UNE MÊME FAMILLE 

Cette conférence de presse, en prélude à leur arrivée, à Copenhague (Danemark), pour le sommet des Nations unies contre le changement climatique, qui a réuni outre les chefs d’Etats, les représentants des gouvernements des pays du Bassin du Congo, a permis à ces nations de « coordonner » leurs positions d’autant que, a précisé le chef de l’Etat français « l’Europe et l’Afrique, c’est une même famille ». 

Dès lors, le président Sarkozy, s’exprimant en premier, a également mentionné que la « façon la plus efficace et la plus économe de limiter les émissions de carbone, c’est de lutter contre la déforestation ». 

En principe, le propos de Sarkozy indique ainsi le dessein d’une protection accru des forêts de cette zone du continent africain qui, à elle seules, constitue le deuxième poumon vert de la planète, après celui de l’Amazonie, en Amérique du Sud, Bassin du Congo. 

« Il s’agit d’un patrimoine de l’humanité. Il s’agit d’un patrimoine dont l’humanité a besoin », a martelé Nicolas Sarkozy pour convaincre ses partenaires. 

En effet, ces dirigeants du Basin du Congo et le numéro un français, plus le porte parole de l’Union Africaine (UA) au sommet de Copenhague, le premier ministre éthiopien, Meles Zénawi, ont affiché une position commune en vue de quitter cette rencontre sur le changement climatique avec « un accord  et des engagements ambitieux tout de suite » et « un organisme mondial de l’environnement » qui « contrôle les engagements climatiques et financiers ».

 

MOBILISER DES MOYENS EXTRÊMEMENT IMPORTANTS

Les pays du Basin du Congo ne pouvant parvenir à protéger, sans aide, cette forêt de plus de deux millions d’hectares, le président français de rappeler, lors de cette conférence de presse, que « toute l’idée, c’est qu’à Copenhague, nous mobilisions des moyens extrêmement importants pour les aider. 

A ce titre, pour fixer la gravité du danger encouru par tous et au-delà des frontières africaines, il a ajouté: « C’est l’intérêt de l’Afrique, mais c’est aussi l’intérêt de nous autres, Européens. L’Afrique est à 12 Kilomètre par le détroit de Gibraltar de l’Europe. Qui peut penser que  le désastre de l’Afrique n’aurait pas de conséquences catastrophiques pour l’Europe ? … ». 

A sa suite, le président Denis Sassous Nguesso du Congo a exhorté un les un et les autres à un réel succès à ce sommet de l’ONU sur les changements climatiques : « nous devons tout mettre en œuvre pour le succès de Copenhague (…) pour que l’humanité avance et qu’il n’y ait pas de pays qui restent en arrière », a –t-il indiqué avant d’appuyer que « l’Afrique est prête ». 

Pour le cas des réticences de la Chine , le chef de l’Etat congolais, mettant en exergue les relations de coopération bilatérale et d’amitié qui existent en ce pays et chacun des pays membres du Golfe de Guinée, a déclaré: « s’il y a des résistances du côté de la Chine … nous discuter avec elle pour aller dans la même direction ». 

 

GESTION RATIONNELLE DES FORÊTS DU BASSIN DU CONGO

Les pays membres du Bassin du Congo qui font aussi bloc, tel que l’a souligné le président congolais, arrivent à Copenhague avec un « plan de convergence » qui fixe les orientations souhaitées par ces nations. 

Entre autres, « nous voulons une gestion rationnelle des forêts du bassin du Congo et la traçabilité du bois », a énoncé Denis Sassou Nguesso avant que le président du Tchad, Idriss Deby, n’exhorte la communauté internationale à « faire quelque chose pour sauver le lac Tchad » qui abrite environ 30 millions de personnes qui vivent de ses ressources. 

« En 1970, 25.000 km² en 2002, nous sommes à 2000 km², maintenant il y a urgence ! » a martelé le leader tchadien pour présenter les catastrophes écologiques issues du réchauffement climatique.

Il dénonce déjà « la catastrophe écologique et humanitaire » qui va s’en suivre si rien n’est fait alors qu’il y a, selon lui, même si c’est coûteux, des possibilité de stopper cette sécheresse qui accable ce lac.

Pendant que se tenait cette conférence, « la coalition d'ONG africaines "Pan-African Climate Justice Alliance" a vivement dénoncé l'appel sur le climat publié mardi par le président français Nicolas Sarkozy et le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, jugeant que ce dernier cherchait à vendre l'Afrique et "sapait" le travail des négociateurs africains ».

 

LE GABON PEUT S’EXPRIMER D’UNE VOIX LÉGITIME

 

Le Gabon, qui se trouve à Copenhague à la fois en tant qu’Etat partie à la Convention de Rio et membre de deux importants blocs de nations du Sud (l’Union Africaine et le G77 plus la Chine ), trouvera le juste équilibre entre ses intérêts et les positions du Sud.

A cet effet, il sera donc question de discuter d’un accord fiable et contraignant devant aboutir à la réduction, pour chaque pays pollueur, des gaz à effets de serre, mais aussi à la protection de la nature en vue de protéger la vie très menacée par les hausses de températures. 

Le Gabon peut s’exprimer d’une voix légitime, avec à son crédit une politique environnementale exemplaire au monde. Un héritage de Feu le Président Omar Bongo Ondimba, fort bien préservé par le nouveau Président de la République , Ali Bongo Ondimba, qui entend faire du Gabon environnemental un des axes prioritaire de sa politique de développement.  

Le Gabon peut ainsi rappeler qu’il a volontairement sacrifié 10% de son territoire au bénéfice de la planète tout entière. Aussi, est-il en droit d’attendre de la communauté internationale une compensation équitable et des appuis, afin de freiner par exemple la dégradation de son littoral, une conséquence du réchauffement sur le niveau de la mer.  

Les retombées de Copenhague pour le Gabon se situent à moyen et long terme car le traité, s’il est adopté, n’entrera en vigueur qu’en janvier 2013. Comme d’autres pays du Sud, il aura à mettre en œuvre un cadre national pour bénéficier des financements prévus.  

 

GN/DCD/RA/09

 

  
 
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