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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 01-04-2011 23:10

Le blues des étudiants gabonais d’Afrique du Sud


Une menace d’expulsion pèse sur les étudiants boursiers gabonais, inscrits dans les universités sud-africaines. Trois mois après le démarrage effectif des cours, ces étudiants ne sont toujours pas médicalement assurés, violant ainsi la législation du pays en matière d’accès aux institutions d’enseignement supérieur et à l’immigration.
 
© D.R.
 
Après la menace d’expulsion des étudiants boursiers gabonais de l’Université de Johannesburg, en Afrique du Sud, pour absence de couverture médicale, la menace s’est généralisée à l’ensemble des boursiers gabonais des universités sud africaines. Trois mois après le démarrage des cours ils ne sont toujours pas assurés.

Selon les autorités sud-africaine, ces étudiants violent la législation sud africaine en matière d’accès aux institutions d’enseignement supérieur et celle relative à l’immigration. En effet, la loi sud africaine exige à tout étudiant étranger d'être en possession d'une assurance médicale locale et valide pour la période des études, ou qui doit être renouvelée à chaque début d'année. 

«C'est l'une des conditions sine qua non pour pouvoir s'inscrire régulièrement dans une université sud africaine et partant pour l'obtention d'un visa étudiant. Cette norme imposée par l'état sud africain découle de leur souci de voir la santé des étudiants étrangers préservée étant donné que le coût des soins médicaux sans assurance n'est pas à la porte de la poche des étudiants ; avoir une assurance médicale en tant qu'étudiant est donc non seulement une obligation, mais aussi une nécessite vitale pour l'étudiant», déclaré un étudiant gabonais de l’université de Cap Town.

Cette situation serait née de nouvelles mesures prises par les Bourses et Stages par rapport l’assurance médicale des étudiants boursiers gabonais qui, depuis février dernier, est confiée à la compagnie OGAR-VIE; une compagnie non reconnue en Afrique du Sud. Le hic c’est que, l’Ambassade du Gabon dit ne pas avoir été consultée par les Bourses et Stages avant la prise de cette décision, qualifiée dans les couloirs de l’Ambassade, «d’irresponsable et sans objectivité». Entre temps, durant les deux dernières années, tous les étudiants gabonais étaient assurés par la compagnie PROTEA.

«Pendant que la Direction générale des bourses et stages (DGBS) s'attelait à statuer sur la future maison d'assurance, les étudiants gabonais en Afrique du Sud avaient besoin de se réinscrire, et comme prescrit par la loi, ils avaient besoin d'être assurés. Les attestions de bourses (version anglaise) dont les étudiants disposent, leur ont permis de se rapprocher des différentes maisons d'assurances locales afin d'obtenir une note écrite qui stipulait qu'ils sont assurés par l'une ou l'autre des compagnies d'assurances médicales (sans au préalable avoir payé leurs dus, l'attestation de bourse étant la promesse que l'état allait le faire)», a précisé une source proche du dossier.

«De ce fait, pour revenir sur le cas des gabonais de l’Université de Johannesburg, leur université a tout simplement constaté que les lettres dont ils disposaient provenant des différentes maisons d'assurances n'étaient pas valides, étant donné que les maisons d'assurances en question n'avaient jamais reçu de payement ni des étudiants, ni de l'Etat gabonais. S'inscrivant donc en faux avec la législation en vigueur en Afrique du Sud, l’université a donné un ultimatum aux étudiants gabonais afin de régulariser leur situation sous peine d'exclusion définitive», a poursuivi la source.

Au delà de l'aspect légal, et certainement plus important, les étudiants gabonais en Afrique du Sud ne disposent donc pas d'assurance médicale à l'heure actuelle. «Peu importe la maison d'assurance qui a été choisit par la DGBS, l'important est que cet assureur soit en règle avec la loi Sud Africaine et que nous puissions nous faire soigner», espèrent les étudiants. Une situation critique, d’autant que les étudiants ont 15 jours (à partir du 31 mars) pour se mettre en règle, et que la DGBS, qui doit gérer ce dossier, vient d’être réformée.
 


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le 01-04-2011 23:05

Urgent: Mamboundou et l'UPG rallie les rangs du PDG!

Selon des sources concordantes le leader de l'opposition gabonaise (UPG) Pierre Mamboundou

 

                     

 

vient par une declaration rendue public affirmer son raliement lui et ses partisans au

 

 

                                     

 

 

                     

 

parti du Distingue Camarade President du PDG Ali Bongo Ondimba.

 

Ci-joint le communique officiel http://t2.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRydqsxQcQEK1umFFTRrW55sPnGt5kgTqtE5cVOXIhAhL1khf6b1A

 

 

 


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le 01-04-2011 17:59

La deuxième cité pétrolière du Gabon privée de gaz butane


 La ville de Gamba, chef lieu du département de Ndougou dans la province de l’Ogooué Maritime (sud-ouest), deuxième cité pétrolière du Gabon après Port-Gentil, la capitale économique du pays, connaît depuis plus de trois mois une pénurie de gaz butane obligeant les ménages à recourir au feu de bois.
 

Selon de sources concordantes surplace, cette crise inhabituelle est la conséquence de plusieurs facteurs notamment l’absence d’une grue commise au chargement des ‘’racks’’ de bouteilles vides au niveau de Port Gentil, le manque d’emballage appropriés avant leur acheminement vers Gamba.

‘’Dans moins de vingt jours, il n’y aura plus de grise‘’, a toutefois rassuré l’un des responsables, de la structure chargée d’approvisionner cette localité de plus de dix mille habitants.

 


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le 01-04-2011 17:58

Limogeage du personnel de la Direction générale des bourses et stages


 Tous les employés de la Direction générale des bourses et stages (DGBS), à l’exception du directeur général, Jean François Thardin ont été limogés et remis à leurs administrations respectives, a annoncé le communiqué final du conseil des ministres tenu mercredi à Makokou (nord-est).
 

‘’S’agissant de la direction générale des bourses et stages, le conseil des ministres a confirmé M. Jean François Thardin à la fonction des bourses et stage’’, précise le communiqué, ajoutant que tous les agents en poste à la direction générale des bourses et stages sont remis à la disposition de leurs administrations d’origine.

Mercredi, dans sa conférence de presse au terme du 4ème conseil des ministres délocalisé, le président Ali Bongo Ondimba a dénoncé la gabegie qui y règne au sein de la direction générale des bourses et stages dans l’attribution et l’allocation des frais d’études.

Chef de l’Etat s’est appuyé sur les résultats d’un audit commandité par le ministère de l’Economie qui a révélé des nombreux dysfonctionnements et insuffisances à la DGBS.

Selon lui, cet audit a révélé une pratique courante intolérable consistant à monnayer les bourses, de nature ç dévoyer les objectifs initiaux cet instrument de soutien à la formation du pays.

C’est ainsi, a-t-il poursuivi, que certains jeunes étudiants n’ont pu obtenir des bourses qu’ils auraient pourtant méritées à cause de la non application des textes, dénonçant par ailleurs, l’incohérence constatée entre les montants alloués et la dépense réelle.

Lundi dernier, à son arrivée à Makokou, le chef de l’Etat réaffirmé sa détermination à mener une politique d’assainissement et surtout prôné la sanction à l’encontre des fonctionnaires ‘’indélicats’’.

Par ailleurs, le président, Ali Bongo Ondimba a décidé de créer une agence nationale des bourses et stages dont la mission principale sera d’orienter de manière rationnelle et efficace, en s’assurant de la nécessaire adéquation formation-emploi et ce, dans les établissements fiables, tant au Gabon qu’à l’étranger.

 


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