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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 23-12-2009 17:28

Ali Bongo Ondimba a été recensé par les agents commis pour l'opération de recensement des agents de l'Etat


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ali Bongo Ondimba ,président de la République a été recensé à son lieu de travail par les agents commis par l'opération générale de recensement du personnel de l'Etat
   


Commencée le 23 novembre dernier, avec une prolongation probable au-délà du 31 décembre ,l'opération du comptage des agents de la fonction publique gabonaise a enrégistré hier un fonctionnaire de marque.

Ali Bongo Ondimba ,comme tous les autres employés de l'Etat est passé devant les limiers du recensement. A son lieu de travail , le Palais de la République , suivant toutes les étapes :présentation du dossier avec les pièces justificatives, remplissage de la fiche de renseignement ,photo, prise des empreintes digitales,signature.

Devant le sécretaire général du ministère du Budget et de la Fonction publique , Yolande Nyonda , chargée d'enrégistrer ses informations, le fonctionnaire Ali Bongo Ondimba a signalé que son avancement reste statique dépuis 1996 .

Dans une déclaration à la presse , Augustin Ndong Mba ,coordonateur de ce que les analystes nomment de "vaste enquête " evalue à prés de 10% sur une fourchette comprise entre 60000 et 70000 agents publics sont déjà passés devant la commission .



Marc Massamby :(Gabonpage)

 

 
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le 23-12-2009 17:24

Ali Bongo Ondimba présidera un conseil des ministres, jeudi

 

– Le chef de l’Etat gabonais, Omar Bongo Ondimba présidera un conseil des ministres jeudi prochain, au palais présidentiel de Libreville, indique un communiqué du secrétariat général du conseil des ministres.


Ce conseil des ministres interviendra au lendemain des sommets sur les changements climatiques de Copenhague (Danemark) et de l’Organisation pour l’harmonisation des droits des affaires (OHADA) tenu à N’Djamena (Tchad).

IM/

 

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le 23-12-2009 17:20

Recensement à la Fonction publique: Ali Bongo Ondimba déplore « ne pas avoir eu d’avancement (…) depuis 1996 »



gabonews_alimbongo- Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, qui dans le cadre des audits sur les effectifs de la Fonction publique, s’est fait recensé mardi au Palais de la présidence à Libreville, a indiqué qu’il « n’avait pas connu d’avancement (…) depuis 1996 », a rapporté la première chaîne nationale (RTG1) dans son édition du journal de 20 heures.

 

« OUTIL DE BONNE GOUVERNANCE » 

Près de deux mois après le lancement, le 23 novembre dernier, du recensement des agents de l’Etat dans les communes de Libreville et d’Owendo, le premier fonctionnaire gabonais, assisté par le secrétaire général de la présidence et son adjoint, François Engongah Owono et Guy Bertrand Mapangou, a,  lui aussi, honoré à cet impératif devoir qui procède de la volonté de transparence au sein de l’administration publique. 

Tout en interpellant les responsables du comité de pilotage sur le fait qu’il n’ait « pas obtenu d’avancement dans la Fonction publique depuis 1996 », le président de la République a  réaffirmé la pertinence de l’opération, décrétée lors de son premier conseil des ministres en tant que Chef d’Etat, le 19 octobre dernier. 

« Il faut savoir prendre le temps de cette photographie qui nous donnera une indication claire de ce que nous avons à faire pour la suite. Cela entre dans le cadre des outils de bonne gouvernance, de transparence et doit commencer dans notre administration et au plus haut de l’échelle », a-t-il insisté auprès de notre confrère de la première chaîne. 

Dans ce contexte, le Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique, chargé de la reforme de l'Etat, et en charge de ladite opération, Blaise Louembé, à la faveur d’une  sortie également diffusée par la RTG 1, a rappelé les principaux objectifs. 

« C’est un élément indispensable à la bonne gestion. Vous ne pouvez pas  avoir des employés sans savoir qui ils sont où ils sont et ce qu’ils font. Ce sont des fondamentaux, une fois que l’on aura su combien ils sont (ndlr : les fonctionnaires), nous verrons si l’on a besoin de tout le monde ».


PREMIERE ETAPE DU GABON EMERGENT

Indiquant que cinq ministères (notamment le ministère  de l’Education nationale et le ministère de la Santé) ont d’ores et déjà honoré à ce recensement, M. Louembé poursuit : « lors de la deuxième étape, il s’agira d’accompagner les ministères pour la maîtrise des effectifs vers un contrôle de la masse salariale avec l’adéquation gestion/recrutement des effectifs mis à la retraite », devant pallier les insuffisances administratives.

Le 19 octobre dernier, entre autres décisions de poids, le  premier Conseil des ministres de l’ère Ali Bongo Ondimba décrétait  le lancement des « audits sur les effectifs de la Fonction Publique, la masse salariale et sur la dette intérieure et extérieure de l’Etat ».

Après les fonctionnaires de Libreville et Owendo, qui se prêtent à l’exercice du recensement depuis le 23 novembre 2009,  cette première phase dans la matérialisation du « Gabon émergent », se poursuivra durant la première quinzaine de janvier 2010 dans l’arrière pays et à l’étranger.

Le parachèvement de l’opération devra aboutir au premier trimestre de la même année, à la mise en place d’une « stratégie globale et cohérente de la modernisation de la réforme de l’Etat ».

Cette opération, deuxième du genre, fait suite à un premier recensement des agents de la Fonction publique lancé en 2000.


GN/MO/DCD/09

 

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le 22-12-2009 21:50

Les Sud Africains à la rescousse de la SOGARA


La société sud africaine Imbani a signé le 18 décembre avec les autorités gabonaises un protocole d'accord pour un partenariat qui doit permettre le redressement de la Société gabonaise de raffinage (SOGARA). Ce protocole d'accord prévoit notamment l'amélioration de la production, la construction d'une nouvelle aux standards internationaux ou encore la formation des agents locaux.
 
© D.R. Les installations de la SOGARA à Port Gentil
 
Le ministre gabonais des Mines, Julien Nkoghe Bekale, a signé le 18 décembre dernier à Libreville avec le président directeur général de la société sud africaine Imbani, Briss Mathabate, un protocole d'accord pour le redressement de la Société gabonaise de raffinage (SOGARA).

«Nous avons reçu les offres de la société sud africaine Imbani, qui a déjà eu des séances de travail avec les dirigeants de la SOGARA et les techniciens du département ministériel», a indiqué le ministre des Mines, Julien Nkoghe Bekale.

«Le domaine du raffinage occupe une place de choix dans les priorités de notre gouvernement. Pour cela, il importe que des études sérieuses soient effectuées et qu'elles fassent ressortir toutes les implications possibles, notamment au niveau des coûts», a insisté le Premier ministre, Paul Biyoghe Mba, qui présidait les échanges. 

Le partenariat public privé, qui doit être finalisé avant mars 2010, prévoit notamment pour la partie gabonaise la facilitation de l'acquisition d'un terrain approprié pour la construction d'une nouvelle raffinerie ; l'ajustement de la structure des prix ; l'adoption de mesures fiscales pour la rentabilité de la raffinerie ainsi que la fourniture des autorisations nécessaires. 

La partie sud africaine s'engage pour sa part à réaliser une étude de faisabilité prenant en compte les besoins de formation ; à formuler une proposition technique et financière devant définir les caractéristiques de la nouvelle raffinerie et les conditions de fermeture de l'ancienne ; à améliorer la production actuelle pendant la période de construction de la nouvelle usine de raffinage ; à construire cette nouvelle usine aux normes internationales et à assurer le transfert de technologies et la formation des techniciens locaux. 

La société Imbani serait opératrice de la nouvelle raffinerie jusqu'au remboursement complet des sommes engagées pour le redressement de la SOGARA, après quoi les opérations seraient cédées aux agents locaux, d'où l'importance du volet formation dans le protocole d'accord. 

La mise en œuvre de ce partenariat, notamment le renforcement de la production, devrait permettre de soulager le budget de l'Etat qui importe chaque année à hauteur de 20 milliards de francs CFA de produits pétroliers pour le marché national et verse également annuellement 11 milliards de francs CFA pour subventionner la SOGARA.

 Source : gaboneco    

 

 

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