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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 19-12-2009 00:17

Conférence de l’ONU sur le climat : Faute d’accord, le comité de négociation poursuit ses travaux à Copenhague


 - Longues et difficiles débats, ce vendredi, à Copenhague, au sein  du comité de négociation composé de 26 pays,  parmi lesquels les principaux pollueurs de la planète et ceux du  bassin du Congo, pour tenter d’obtenir un projet de déclaration  dont l’un des volets porterait sur une réduction des rejets de Gaz à Effets de Serre (GES) de 50% d’ici 2050, dans le monde entier.

Le chef de l’Etat gabonais, Ali  Bongo Ondimba, (Photo),  prend part, aux côtés de ses homologues Barack Obama, du premier ministre, Gordon Brown,  à la réunion du comité de négociation qui  perdure  alors que la conférence de l’ONU sur le climat doit s’achever, ce vendredi.

Déjà, certains  participants  n’écartent pas  l’idée une prolongation afin d’arracher un accord.

Le chef de l’Etat gabonais qui devrait regagner la capitale gabonaise samedi, a prononcé jeudi un discours dans lequel il déclarait que « la lutte contre le changement climatique n’est pas un choix. Elle est une obligation qui nous impose d’avoir une vision commune sur les moyens à mettre en œuvre pour atteindre nos objectifs. L’implication entière de tous est dès lors indispensable pour le succès de notre lutte ».

GN/09  

 

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le 18-12-2009 19:09

Le Gabon réaffirme son soutien

Le ministre gabonais de l'Intérieur, de la Sécurité publique, de l'Immigration et de la Décentralisation, Jean François Ndongou. (Photo : gaboneco.com)

 

Le ministre gabonais de l'Intérieur, de la Sécurité publique, de l'Immigration et de la Décentralisation, Jean François Ndongou a réitéré, jeudi à Marrakech, le soutien de son pays à l'initiative marocaine d'autonomie des provinces du Sud. 

 

 Dans une déclaration à l'agence MAP en marge du Sommet des collectivités locales qui se tient du 16 au 20 décembre dans la cité ocre, le ministre a affirmé que «le Gabon et le Maroc travaillent de concert sur la question du Sahara et partagent la même vision».


«Il n'y a aucun doute sur la position du Gabon sur cette question», a ajouté M. Ndongou, réaffirmant le «soutien total» de son pays à la proposition marocaine de conférer une large autonomie à ses provinces du Sud. 
 
Par MAP 
 
 
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le 18-12-2009 18:58

Sommet climatique de Copenhague: sur la dernière ligne des négociations, les chefs d’Etats veulent sauver les meubles


 -À quelques heures de la clôture de la quinzième (15ème) Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques dite Sommet de Copenhague (Danemark), à la quel prend une part active le président gabonais, Ali Bongo Ondimba, cumulativement avec la cinquième conférence des Parties au protocole de Kyoto, les chefs d’Etats du monde, qui poursuivent les négociations en perspective d’un accord global et contraignant, défilent à la tribune pour expliquer leur engagement et leur position face à ce désastre.

Tour à tour, l’on a pu voir, sur les télévisions du monde et en direct, les dirigeants des pays tels la Chine, le Brésil, les Etats-Unis d’Amérique (USA), ainsi que le patron des Nations Unies venir, face à la planète qui attend de grandes résolutions à la sortie de cette messe internationale, défendre des positions qui, parfois s’éloignent même des attentes escomptées. 
  
« LE MONDE DOIT TROUVER UN ACCORD, MEME S’IL EST IMPARFAIT », Barack Obama  
  
Toutefois, l’on peut noter la volonté affichée par le président Obama de vouloir « agir ». Il le précise d’ailleurs dans son propos lorsqu’il s’empresse de dire: «  je ne suis pas venu pour parler, mais pour agir ». 
  
Dès lors, le leader américain n’a pas hésité devant les mots : « le monde doit trouver un accord, même s’il est imparfait », a-t-il lancé tout en souhaitant comme d’autres leaders du monde qui lui ont succédé sur le pupitre que la Chine fasse des efforts. 
  
A ce titre, le principal point d’achoppement entre la Chine et les USA reste le refus des Chinois, premiers pollueurs mondiaux, d’une organisation mondiale de contrôle pour des raisons de « souveraineté ». 
  
Toutefois, le premier ministre du pays de la grande muraille, Wen Jiabao, est monté en scelle pour défendre sa nation en indiquant que  son pays « est prêt à aller au-delà de ses engagements ». 
  
Dans les coulisses, l’on annonce déjà un projet de déclaration d’intention, -pour sauver les meubles ?-, en possession d’une trentaine de chefs d’Etats et de gouvernements et qui indiquerait que « le réchauffement doit être limité à 2°C ». 
Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba qui a pris la parole, jeudi, devant ses homologues et les délégués des 192 nations de cette rencontre, avait égrainé le chapelet de problèmes nés du réchauffement climatique, devant lequel les Grands pollueurs hésitent à apporter des financements et des solutions concrètes, avant de partir en questionnements pour inciter tous et chacun à se positionner face à sa conscience, au regard de l’avenir désastreux que présente le monde actuellement, si rien n’est. 
« (…) Au quotidien, devant nos yeux et à la télévision, plus des cinq sixièmes de l’Humanité vivent, à cause de ce changement climatique, les inondations, la sécheresse, les maladies, la baisse de la productivité agricole, les feux de forêts et j’en passe... », avait lancé le numéro un gabonais dont l’allocution a été corroborée par celle du président français, Nicolas Sarkozy qui, dans un discours virulent, n’a pas manqué d’écorcher les esprits, même les plus téméraires avec un verbe accablant. 
  
« NOUS AVONS UNE RESPONSABILITE HISTORIQUE », NICOLAS SARKOZY

« Qui osera, à cette tribune, dire qu’on n’a pas besoin de financement innovant ? Qui osera dire à cette tribune qu’il ne faut pas un organisme dont nous pouvons débattre à satiété, de sa nature et de sa composition, pour comparer les engagements de chacun ? Qui osera dire que  la transparence se fait pour toute l’humanité sauf pour lui, qui osera le dire ? ».

« Qui osera venir à cette tribune pour dire cela ? Qui osera dire que les deux degrés d’augmentation de  la température ne passent pas par la réduction de   50% des émissions dont 80% pour nous les pays riches parce que nous avons une responsabilité historique. Qui osera contester cette responsabilité historique, qui osera la contester ? », avait martelé le chef de l’Etat français.

En terme de chiffres, Copenhague reste extrêmement avare. « Vendredi dernier, en effet, le conseil européen des 27 chefs d'Etat de l'Union réuni à Bruxelles avait accouché d'une souris: 7,2 milliards d'euros d'aide financière pour les pays pauvres (le besoin est de 100 milliards), un engagement, "sous condition" d'être suivi par tous, de réduire de 30% d'ici 2020 les émissions de gaz à effet de serre, et ... rien d'autres. Bref, un accord a minima qui était censé stimuler les négociations de Copenhague. Après l’annonce européenne, d'autres ont suivi, tout aussi modestes : 3 milliards de dollars par an pour le Japon, et 1,2 milliards de dollars par an pour les Etats-Unis ».

In fine, le président Gabonais, Ali Bongo Ondimba, précédant les autres leaders, et comme l’a également fait, ce vendredi, Barack Obama, avait engagé résolument son pays à aller, même seul dans ce combat pour la survie de l’humanité.

« Avec ou sans accord, le peuple gabonais, par ma voix, vous dit qu’il continuera à remplir sa part de devoir », avait –il lancé.

Et de laisser une réflexion qui doit illustrer la voie à suivre si les lendemains ne sont pas envisagés autrement: « la lutte contre le changement climatique n’est pas un choix. Elle est une obligation qui nous impose d’avoir une vision commune sur les moyens à mettre en œuvre pour atteindre nos objectifs. L’implication entière de tous est dès lors indispensable pour le succès de notre lutte ».

Les chefs d’Etats de la Sous région d’Afrique centrale, membres du Bassin du Congo auquel fait partie le Gabon se sont regroupés derrière Nicolas Sarkozy pour, défendre en rangs serrés, les positions africaines et françaises qui butent contre celles de la Chine et de ses alliés. 
  
GN/DCD/RA/09

 

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le 18-12-2009 18:43

Le ministre de l’Enseignement technique visite le site du futur CFPP et le lycée professionnel de Mouila

 

 Le ministre gabonais de l’Enseignement technique, le Pr. Léon Nzouba a visité jeudi à Mouila, chef-lieu de la province de la Ngounié (sud), le site où sera érigé le Centre de formation et de perfectionnement professionnel (CFPP) et le Lycée professionnel et commercial Nyonda Makita, rapporte vendredi le correspondant de l’AGP.

Selon le Pr. Nzouba, cette visite intervient sur instruction du président, Ali Bongo Ondimba et du Premier ministre, Paul Biyoghé Mba dans le cadre du suivi de la politique sur l’enseignement technique et professionnel du gouvernement de l’émergence.

Le ministre a débuté le tour du propriétaire par le lycée professionnel industriel de Fougamou dans le département de tsamba-Magotsi (nord de Mouila) dans la matinée de jeudi. Mouila a donc constitué la deuxième étape du périple du médecin général dans cette province située au sud du Gabon.

Le chef du département de l’enseignement technique a dans un premier temps les deux sites où sera implanté le CFFP à environ 4 km de la ville. 

Sur ces lieux, le Pr. Nzouba a suivi les explications d’un représentant des entreprises commises pour l’exécution des travaux. Ce dernier a affirmé que rien n’était encore précisé au sujet du début des travaux.

La construction de ce centre de formation entièrement financée par l’Etat gabonais sur une superficie de 30 ha, seul un mur de 5 m de long et une clôture sont déjà sortie de terre.

Le Pr. Nzouba à la suite des explications sur le chantier, a déclaré qu’il souhaitait que l’on prévoie des issues de secours tous les 200 m en dehors des ouvertures prévues. Il a aussi demandé aux autorités locales de formuler des propositions sur la formation selon les besoins de la province, en plus des normes standards de formation professionnelle. 

Au Lycée Professionnel Commercial Nyonda Makita, à 1,5 km de la ville, la délégation a aussi été accueillie chaleureusement. Après les usages de bienvenue, le proviseur Jean Louis Mouiri a égrainé le chapelet des doléances inhérentes au bon fonctionnement de l’établissement. Il a relevé que quelques travaux de réhabilitation ont été effectués, mais qu’au niveau de l’internat, il y avait encore à faire (batterie de cuisine, etc.). D’ailleurs, une fiche technique contenant les manquements devrait être remise à l’hôte. 

Dans la même optique, le ministre a été instruit des travaux d’extension d’un bâtiment devant abriter un préau, deux salles pour l’informatique, des bureaux et toilettes, par l’administrateur délégué adjoint de la cellule locale de suivi du projet, François Boukangou. 

Ces travaux sont exécutés par la société des travaux de construction (Sotec), assurés par le bureau de contrôle ALPAGES. C’est un projet financé entièrement par la Banque africaine de développement (BAD).

Avant la province de la Ngounié, il avait séjournée à Lambaréné chef-lieu de la province voisine du Moyen-Ogooué (centre) pour une visite similaire.

JPM/IM 

 

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