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le 02-12-2009 19:47

Ali Bongo à la chasse aux fantômes

01/12/2009 09:30:18 | Jeune Afrique | Par : Georges Dougueli
Ali Bongo à la chasse aux fantômesAli Bongo à la chasse aux fantômes© Desirey Minkoh/Afrik Images pour Jeune Afrique

 

Conformément à ses promesses électorales, le chef de l’État a décidé de traquer les fonctionnaires fictifs.

 

Entamé le 23 novembre, l’audit de la fonction publique gabonaise traque les agents fictifs, ceux qui perçoivent indûment des indemnités, mais aussi les personnels inactifs, qui pourraient être « redéployés » à des postes où ils seraient plus utiles.

Premier employeur du pays avec un effectif estimé à 35 000 fonctionnaires, pour une masse salariale de 336 milliards de F CFA (plus de 512 millions d’euros) en 2009, l’État veut assainir, compléter et sécuriser ses fichiers. Et faire des économies.

Les agents publics ont donc jusqu’au 15 janvier pour fournir aux agents recenseurs actes de naissance, diplômes, mais aussi photos et empreintes digitales.

Au Cameroun voisin, un audit réalisé en 2007, appelé opération Antilope, a révélé que l’existence de 20 000 fonctionnaires fictifs grevaient la masse salariale de l’État : 16 600 étaient des personnes décédées. Les résultats ont également révélé que plusieurs milliers d’agents « travaillaient » à des postes auxquels ils n’avaient pas été nommés et percevaient un salaire auquel ils n’avaient pas droit.

Une chasse aux fonctionnaires fantômes a également eu lieu au Niger. Selon un audit réalisé en 2006 par le gouvernement, 4,6 milliards de F CFA (environ 7 millions d’euros) étaient versés frauduleusement chaque année à des agents fictifs.

Au Sénégal, en 2005, un audit a révélé que plus de 4 % de l’effectif total de ses agents étaient absents de leur poste mais continuaient de percevoir leur salaire. De son côté, la Guinée-Bissau, en 2009, a trouvé quelque 3 000 fonctionnaires « illégaux ».

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le 02-12-2009 15:31

L’axe Niamey – Libreville renforcé avec la visite du premier ministre nigérien au Gabon

 

 

photos: www.akajoo-images.com 

Arrivé à la tête d’une grande délégation parmi laquelle trois ministres, le chef du gouvernement Badjio Gamatie était porteur d’un message du président nigérien, Mamadou Tandja, à son homologue gabonais Ali Bongo Ondimba.

Déjà, on se souvient qu’il avait assisté, en représentant de son pays, le 16 octobre dernier à la prestation de serment du chef de l’Etat gabonais.

En revenant ainsi à Libreville à la tête d’une forte délégation, monsieur Gamatie ne cache pas son admiration de la politique de l’«émergence » prônée par Ali Bongo Ondimba pour le développement de son pays.

Ce d’autant qu’il a affirmé à sa sortie d’audience avec le chef de l’Etat gabonais, que « Ali Bongo Ondimba prend des décisions courageuses, indispensables pour préparer l’avenir sans négliger le présent » et que « c’est aujourd’hui que se joue l’avenir du Gabon ».

Raison certainement pour laquelle le message du président nigérien qu’il apporte, a trait au renforcement de la coopération bilatérale qui existe depuis des années, notamment au regard des liens d’amitié et de fraternité entre les présidents Mamadou Tandja et feu Omar Bongo Ondimba, mais aussi en vue d’un échange fructueux d’expertise.

A ce sujet, a mentionné le chef de la délégation nigérienne : « la coopération entre le Gabon et le Niger ne date pas d’aujourd’hui ».

Le Niger exploite aujourd’hui ses champs d’uranium grâce à l’entreprise, AREVA qui a sécurisé, à Mounana, dans la province du Haut Ogooué (Sud-est) au Gabon, les gisements de ce même minerai qui ont été également exploités, il y a quelques années.

L’exemple pourrait donc servir au Niger pour asseoir sa protection de l’environnement à ce niveau.

Ali Bongo Ondimba reçoit la visite des dirigeants nigériens alors qu’il a accédé, le 16 octobre dernier, à la magistrature suprême, et a entamé des réformes pour un « Gabon Emergent ».

Réformes qui, au-delà du fait de retenir l’attention des partenaires du Gabon, se caractérisent par l’audit encours de la Fonction publique, la réduction du train de vie de l’Etat par la contraction des postes ministériels, le plafonnement des salaires des hauts cadres dirigeants du pays et un « tsunami administratif » traduit par une nouvelle architecture tant à la présidence de la République, à la Primature, aux Ministère que dans les entreprises sous tutelle.

GN/DCD/09

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le 02-12-2009 15:16

Mikanga Semba à la tête de la LNFA

  Elu à l’unanimité des représentants des  quatorze clubs professionnels de première division, Romain Mikanga Semba (36 ans) est le nouveau président  de  la Ligue nationale de football (LNAF) gabonaise

 

Romain Mikanga Semba (36 ans) est le nouveau président  de  la Ligue nationale de football (LNAF) gabonaise. Il a été élu à l’unanimité des représentants des quatorze clubs professionnels de première division et succède à Pierre-Alain Mouguengui.

Le nouveau patron du football gabonais est un homme du sérail. Ancien joueur de Lozosport, Mikanga Semba possède également une formation d’arbitre et a officié entre 1991 et 2001 dans le championnat interligue. En 2004, il rejoint  le comité exécutif de la fédération gabonaise de football (Fegafoot) avant de devenir membre du comité d’organisation du championnat de première division. Son arrivée à la tête de la LINAF est la consécration logique d’un joli parcours.

 F.C (Rédaction FootSud)

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le 02-12-2009 15:13

CULTURE

Les arts premiers en vedette chez Sotheby's

AP | 02.12.2009 | 12:30

Près de trois ans et demi après la dispersion de l'exceptionnelle collection Vérité, les arts premiers sont à nouveau à l'honneur avec la vente qu'organise jeudi à Paris la maison Sotheby's.

Les 112 lots proposés aux acquéreurs comprennent en effet plusieurs chefs-d'oeuvre d'une grande rareté, notamment une sculpture dogon (Mali) au destin singulier: longtemps scindée en deux parties qui appartenaient à des collectionneurs distincts, le corps à Pierre et Claude Vérité puis à Jean-François Blondeau, la tête à John Dintenfass, elle est désormais reconstituée et estimée entre 400.000 et 600.000 euros.

Son intégrité retrouvée fait de cette grande statue d'homme au bras levés, qui daterait du XVe siècle, le clou de cette vente dirigée par Cécile Verdier et Alain Renner.

Parmi les autres pièces d'exception que les amateurs peuvent admirer jusqu'au jour de la vente figurent un masque punu (Gabon) d'une grande finesse (proposé entre 250.000 et 400.000 euros) et un imposant masque kono (Mali), merveille de l'art bamana (300.000-400.000 euros) et source d'inspiration du peintre surréaliste Max Ernst dans les années 40.

Issue de la collection Vérité, une superbe figure de reliquaire kota-mahongwe (Gabon) évoquant la tête dressée d'un serpent naja est, elle, estimée entre 150.000 et 200.000 euros.

Les passionnés admireront aussi un étonnant masque igbo (Nigeria) dont la coiffe est chevauchée par un enfant, jambes et bras déployés (30.000-50.000 euros), ou encore cette importante statue lobi (Burkina Faso), haute de 1,60 mètre (70.000-100.000 euros).

Les lots africains ne doivent pas faire oublier les très belles pièces d'art océanien également proposées à la vente, notamment un exceptionnel masque-crochet bahimeno (Papouasie-Nouvelle-Guinée) d'une grande modernité (130.000-180.000 euros) et un très rare masque de danse de Nouvelle-Guinée occidentale (100.000-150.000 euros). AP

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