Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 03-10-2010 13:43

224 millions de FCFA pour former les déscolarisés


600 déscolarisés recensés dans le cadre du projet d’Appui à la formation professionnelle (AFOP), vont débuter le 4 octobre une formation de 6 six mois dans les métiers du bois et des BTP. Financée par la Commission européenne et le gouvernement, l’opération est évaluée à 234 millions de francs CFA.
 
© D.R.
 
234 millions de francs CFA ont été débloqués par l’Etat Gabonais et la Commission européenne pour financer la formation de 600 des 4828 déscolarisés recensés dans le cadre du projet d’Appui à la formation professionnelle (AFOP). La formation débute le 4 octobre prochain et sera axée dans les métiers du bois et des BTP.

Treize filières ont été retenues : compagnon briquetier-maçon, compagnon coffreur, compagnon ferrailleur, compagnon plombier, compagnon peintre bâtiment et compagnon électricien bâtiment pour les métiers BTP ; tandis que ceux du bois formeront les compagnons menuisier-ébéniste, menuisier bâtiment, vernisseur, charpentier couvreur et mécanicien affuteur. 

«L’initiative vise contre le chômage et permet à la Commission européenne d’accompagner le gouvernement dans ce challenge. L’AFOP est un projet novateur parce qu’il prend en charge les apprenants. Ces derniers vont en effet bénéficier d’une allocation d’études, et chacun disposera d’un kit complet de matériel nécessaire pour exercer le métier qu’il aura librement choisi», a indiqué le chef du projet AFOP, Albert Nanga.

Les centres de formation retenus sont ceux de Nkembo à Libreville (195 places), de Franceville (105 places), de Koulamoutou (45 places), de Port-Gentil (30 places), de Tchibanga (105 places), d’Oyem (75 places) et de Makokou (45 places). Une belle initiative qui gagnerait à être étendue pour coller à l’ambition du projet de lutte contre le chômage. Des estimations font état de 12 000 à 15 000 déscolarisés âgés de 16 à 25 ans, alors que le projet AFOP prévoit de former seulement 1200 jeunes d’ici fin 2011.
 


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le 03-10-2010 13:41

Can 2013: La Caf change provisoirement de formule!


La phase des éliminatoires démarre dès janvier 2012 et déjà plusieurs changements annoncés...

 

Exceptionnellement, les qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations, CAN 2013, subiront une modification selon la Confédération Africaine de Football (Caf). Modification qui fait suite au changement de la périodicité de la compétition, car elle passe des années paires aux années impaires dès 2013. A cet effet, les éliminatoires auront lieu du 15 janvier au 15 février 2012 et les matches qui se joueront à deux tours seront à élimination directe, suivant le principe de match aller et retour. La Caf supprime donc ainsi à titre provisoire, le système de poules appliqué jusqu’ici. Les nations qui ne seront pas qualifiées pour la phase finale de la Can Gabon – Guinée Equatoriale 2012, auront ainsi la possibilité de participer au premier tour des éliminatoires qui livrera les quinze pays qualifiés pour la Can 2013 en Libye, qualifiée d’office en tant que pays organisateur.

 

© Coupedumonde.fr

Retour à la normale en 2015
Toujours au chapitre des réajustements, la Caf qui compte 53 membres, a prévu un tour préliminaire au cas où les équipes appelées à disputer les éliminatoires dépasseraient le nombre de 45. Si un tel scénario se présente, la position des équipes au classement Fifa sera alors prise en compte pour cibler les pays qui se disputeront obligatoirement les préliminaires. Le premier tour livrera les 15 équipes appelées à rejoindre les nations qui ont disputé la Can 2012. Signalons que si les deux pays co-organisateurs de la compétition ne sont pas qualifiés pour 2013, ceux-ci pourraient passer par la phase des barrages via les matches aller et retour. Ce n’est qu’à l’issue de cela que l’équipe vainqueur pourra retrouver le second tour de l’éliminatoire. Une fois la Can 2013 terminée en Libye, la Caf reprendra la procédure normale des qualifications de la coupe d’Afrique des nations, mais précise tout de même qu’un nouveau système sous forme de mini championnat, pourrait être utilisé pour la Can 2015.

 


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le 03-10-2010 01:05

Audit de la Fonction Publique : Les fonctionnaires indélicats seront sanctionnés, assure le ministre du Budget


Au cours d’une rencontre avec les inspecteurs généraux des services administratifs,  vendredi, le ministre en charge du Budget et de la Fonction Publique , Blaise Louembé, a annoncé le lancement d’une opération qui, in fine, débouchera sur la tenue de conseils de discipline dans chaque département ministériel, avant que soient sanctionnés  juridiquement les fonctionnaires incriminés pour diverses raisons dont  la perception de deux à trois bons de caisses, rapporte ce samedi le quotidien l’Union. 
 
 
 
 
Au cours d’une rencontre avec les inspecteurs généraux des services administratifs,  vendredi, le ministre en charge du Budget et de la Fonction Publique , Blaise Louembé, a annoncé le lancement d’une opération qui, in fine, débouchera sur la tenue de conseils de discipline dans chaque département ministériel, avant que soient sanctionnés  juridiquement les fonctionnaires incriminés pour diverses raisons dont  la perception de deux à trois bons de caisses, rapporte ce samedi le quotidien l’Union. 

L’organisation de ces conseils, précise l’Union, est conforme à certains textes de lois, notamment celui portant statut général de la Fonction Publique, et celui fixant  les conditions générales d’emploi des agents contractuels de l’Etat. Selon le ministre, la date limite de la rendue des verdicts est fixée au 31 octobre prochain.

« Il s’agissait de voir avec les inspecteurs généraux le mode opératoire des passages des conseils de discipline », a déclaré, à la presse, M. Louembé. En outre, pour le ministre,  l’audit de la Fonction Publique a mis en lumière «  de graves cas d’irrégularités », assurant déjà que les personnes concernées seront entendus par procès-verbal et que  des mesures conservatoires ont été prises.

En effet, le journal rapporte que les « indélicats » n’ont pas perçu de salaire le mois écoulé, le gouvernement ayant procédé à la suspension de leurs soldes. Du reste, leurs dossiers doivent passer, prochainement, en conseil de discipline.

Sur les 380 cas relevés par l’administration,  98 fonctionnaires sont incriminés pour perception de deux bons de caisse. « Pour les bénéficiaires de double voire de triple bons de caisses, ils seront balayés au passage. Il en est de même pour ceux qui sont à l’étranger, qui y reste et perçoivent des traitements de la Fonction Publique comme une rente, alors qu’ils n’exercent pas pour le compte de l’Etat », a poursuivi le ministre Louembé.

POURSUITES JUDICIAIRES

Si les cas des personnes mises en cause sont avérés après audition « nous passerons aux poursuites judiciaires, voire à la révocation », a martelé le patron du département du Budget et de la Fonction Publique. A contrario, « ils seront rétablis dans leurs droits », a-t-il assuré.

Plus tard,  il a annoncé, à côté des conseils, l’organisation prochaine d’un audit des structures qui permettra de connaitre les réels besoins de chaque Ministère. Cet audit devrait s’achever avec la mise en place, dans chaque département ministériel, d’un centre de gestion du personnel afin de « désengorger les guichets de la Fonction Publique et optimiser la gestion courante des dossiers ».

« L’administration à un rôle  essentiel à jouer, celui de faciliter l’implantation d’un tissu économique fiable  répondant à une logique de production », a fait remarquer Blaise Louembé.

Lors du premier  Conseil des ministres de l’ère Ali Bongo Ondimba, le  19 octobre 2009,  le gouvernement avait décidé du lancement des audits sur les effectifs de la Fonction Publique, la masse salariale ainsi que sur la dette intérieure et extérieure de l’Etat.

Cette initiative visait aussi bien « l’efficacité de la dépense publique, la maîtrise des effectifs de la Fonction publique et de la masse salariale que la mise en place d’une gestion prévisionnelle des ressources humaines et des emplois ».

Entamé le 23 octobre 2009, l’audit avait recensé près de 70.960 agents publics, et permis la découverte, en février 2010, d’environ  6.000 fonctionnaires « fantômes », percevant un double ou un triple salaire.

Le 19 août dernier, s’exprimant sur les antennes de Radio France Internationale (RFI), le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, indiquait que les résultats de l’audit de la Fonction publique seraient dévoilés d’ici la fin de l’année 2010, et que « personne ne passera entre les mailles du filet », une réponse devant , entre autres, l’impatience de l’opposition qui n’a de cesse réclamé le contenu officiel de ce  recensement.

L’organisation de ces conseils, précise l’Union, est conforme à certains textes de lois, notamment celui portant statut général de la Fonction Publique, et celui fixant  les conditions générales d’emploi des agents contractuels de l’Etat. Selon le ministre, la date limite de la rendue des verdicts est fixée au 31 octobre prochain.

« Il s’agissait de voir avec les inspecteurs généraux le mode opératoire des passages des conseils de discipline », a déclaré, à la presse, M. Louembé. En outre, pour le ministre,  l’audit de la Fonction Publique a mis en lumière «  de graves cas d’irrégularités », assurant déjà que les personnes concernées seront entendus par procès-verbal et que  des mesures conservatoires ont été prises.

En effet, le journal rapporte que les « indélicats » n’ont pas perçu de salaire le mois écoulé, le gouvernement ayant procédé à la suspension de leurs soldes. Du reste, leurs dossiers doivent passer, prochainement, en conseil de discipline.

Sur les 380 cas relevés par l’administration,  98 fonctionnaires sont incriminés pour perception de deux bons de caisse. « Pour les bénéficiaires de double voire de triple bons de caisses, ils seront balayés au passage. Il en est de même pour ceux qui sont à l’étranger, qui y reste et perçoivent des traitements de la Fonction Publique comme une rente, alors qu’ils n’exercent pas pour le compte de l’Etat », a poursuivi le ministre Louembé.

POURSUITES JUDICIAIRES

Si les cas des personnes mises en cause sont avérés après audition « nous passerons aux poursuites judiciaires, voire à la révocation », a martelé le patron du département du Budget et de la Fonction Publique. A contrario, « ils seront rétablis dans leurs droits », a-t-il assuré.

Plus tard,  il a annoncé, à côté des conseils, l’organisation prochaine d’un audit des structures qui permettra de connaitre les réels besoins de chaque Ministère. Cet audit devrait s’achever avec la mise en place, dans chaque département ministériel, d’un centre de gestion du personnel afin de « désengorger les guichets de la Fonction Publique et optimiser la gestion courante des dossiers ».

« L’administration à un rôle  essentiel à jouer, celui de faciliter l’implantation d’un tissu économique fiable  répondant à une logique de production », a fait remarquer Blaise Louembé.

Lors du premier  Conseil des ministres de l’ère Ali Bongo Ondimba, le  19 octobre 2009,  le gouvernement avait décidé du lancement des audits sur les effectifs de la Fonction Publique, la masse salariale ainsi que sur la dette intérieure et extérieure de l’Etat.

Cette initiative visait aussi bien « l’efficacité de la dépense publique, la maîtrise des effectifs de la Fonction publique et de la masse salariale que la mise en place d’une gestion prévisionnelle des ressources humaines et des emplois ».

Entamé le 23 octobre 2009, l’audit avait recensé près de 70.960 agents publics, et permis la découverte, en février 2010, d’environ  6.000 fonctionnaires « fantômes », percevant un double ou un triple salaire.

Le 19 août dernier, s’exprimant sur les antennes de Radio France Internationale (RFI), le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, indiquait que les résultats de l’audit de la Fonction publique seraient dévoilés d’ici la fin de l’année 2010, et que « personne ne passera entre les mailles du filet », une réponse devant , entre autres, l’impatience de l’opposition qui n’a de cesse réclamé le contenu officiel de ce  recensement.
 


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le 02-10-2010 16:51

Ali Bongo regagne Libreville après un long séjour aux USA et en France


 

 

Le chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba a regagné Libreville vendredi soir après un long périple qui l’a conduit successivement aux Etats-Unis, en France et au Nigeria.

Le président gabonais avait quitté le pays le 12 septembre pour New York ou il a participé à la 65ème session de l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) sur les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD).

Pendant cette rencontre, Ali Bongo dont le pays siège au Conseil de sécurité en qualité de membre non permanent a présenté la position commune de l’Afrique au sujet des négociations sur la biodiversité qui se dérouleront à Nagoya au Japon en octobre prochain.

Cette position a été adoptée à Libreville à l’issue d’une conférence panafricaine sur le thème : "la biodiversité et la lutte contre la pauvreté : quelles opportunités pour l’Afrique ?" tenue du 12 au 17 septembre dernier.

Les africains exigent notamment des compensations sur leurs efforts de conservation de la biodiversité au détriment de leurs besoins de développement industriel.

"Le chef de l’Etat s’est aussi rendu, en compagnie de son épouse, en Virginie pour une Conférence au Collège William & Mary sur la politique du Gabon", a affirmé le porte-parole de la présidence Guy Bertrand Mapangou.

Après les USA, le président gabonais s’est rendu en France ou il s’est entretenu au palais de l’ELysée pour la 4ème depuis son élection avec son homologue français Nicolas Sarkozy.

A cette occasion, Ali Bongo a annoncé la disponibilité de son pays à apporter un soutien à la France dans la libération de 5 otages français et 2 Africains enlevés par Al-Qaïda au Maghreb.

Avant de regagner Libreville, le chef de l’Etat gabonais a participé ce vendredi à Abuja la capitale politique nigériane, aux côtés d’autres chefs d’Etat africains, aux cérémonies marquant les cinquante ans de l’indépendance du Nigeria.

 


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