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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 01-07-2010 15:17

Zone CEMAC : le passeport biométrique en circulation dans un mois


Les opérateurs des pays membres de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) réunis lundi à Douala au Cameroun ont décidé de la mise en circulation dans un délai d’un mois, du passeport biométrique CEMAC adopté par les chefs d’Etats de la sous-région à Yaoundé en juin 2008.

"C’est un dossier névralgique pour la communauté, s’agissant d’ abord de la création d’un marché commun, s’agissant d’un point très palpable que les populations attendent de tous leurs voeux et leurs coeurs, pour voir à quand l’extension de cette mesure à toutes les couches de la CEMAC", a souligné Antoine Ntsimi, président de la Commission de la CEMAC.

Selon lui, la réunion de Douala est la "dernière ligne droite". Elle a permis de peaufiner les détails liés à la fabrication de ce document devant servir à la libre circulation des personnes entre les six Etats membres de la CEMAC : Congo Brazzaville, Centrafrique, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad et Cameroun.

Ces détails concernent pour ce qui est du passeport ordinaire, les couleurs, l’armoirie, l’ordonnancement à l’intérieur. Il est de même pour les passeports de service et diplomatiques. Lors du dépôt de la demande de ce document, il est procédé au recueil de l’ image numérisée du visage et des empreintes digitales de huit doigts du demandeur.

Concernant la photo, l’image du demandeur est recueillie par un dispositif technique approprié. Avec le biométrique, selon les experts, la police des frontières pourra lutter efficacement contre les passeports volés, falsifiés ou encore contre les usurpations d’identité. La délivrance de ce document pourra durer de 12 heures à un jour voire trois, en fonction de la zone des populations.

 

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le 01-07-2010 14:22

Ban Ki Moon en visite officielle à Libreville


 Le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies (ONU), BanKi Moon, est arrivé, mercredi en début de soirée à Libreville pour une visite officielle de 24 heures. Il sera reçu ce matin par le président Ali Bongo Ondimba, au palais de la présidence gabonaise. 
 


Cette visite s’inscrite dans le cadre d’une mini-tournée africaine du patron de l’ONU, qui revient de République démocratique du Congo (RDC) où il a prit part mercredi 30 juin à la célébration du cinquantième anniversaire de l’accession de ce pays à l’indépendance, sera la quatrième rencontre entre les deux hommes depuis l’avènement au pouvoir du chef de l’Etat gabonais.

Ils s’étaient rencontrés à Copenhague, à Addis-Abeba, en marge des conférences sur le Climat et des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine, ainsi que lors de la visite que le président gabonais avait effectuée à New York, pour la lancement de la présidence du Gabon du Conseil de sécurité de l’ONU, où il siège en qualité de membre non permanent. 

Le visite du secrétaire général de l’ONU, sera, sans nul doute, l’occasion d’évoquer avec son hôte gabonais, le rôle que l’organisation onusienne entend faire jouer à notre pays dans la sous région d’Afrique centrale, dans le cadre de la promotion et de la consolidation de la paix et en matière de protection de l’environnement, un dossier où notre pays est reconnu comme étant un acteur majeur.

Le différend frontalier sur l’île Mbanié, que revendique la Guinée Equatoriale, pourrait également être au menu. D’autant que l’organisation onusienne joue un rôle important dans le règlement de celui-ci. Le Gabon, pour sa part, traite ce dossier avec responsabilité et sérieux en privilégiant la voix du dialogue.

L’agenda de l’ONU, notamment au sein du Conseil de sécurité où siège pendant deux ans notre pays, devrait également figurer au menu des entretiens, lorsqu’on sait que la diplomatie gabonaise joue pleinement son rôle au sein de cet organe central en adoptant des positions qui participent à la recherche des réponses aux nombreux dossiers qui sont soumis à son examen. Ce fut, par exemple, le dossier du nucléaire impliquant le système des Nations unies et l’Iran mis au ban de la communauté internationale pour son entêtement à enrichir son uranium. 

Face aux parlementaires auxquels il s’adressera peu après, Ban Ki Moon, dont c’est la première visite en terre gabonaise, déclinera, sans nul doute, la vision onusienne en Afrique, alors que la planète devrait faire dans quelques mois, le bilan à mi parcours de la mise en œuvre des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). 

Le continent africain s’emploie, comme ceux d’autres régions en développement, à respecter l’agenda élaboré par l’ensemble des pays engagés dans la promotion et le développement pour le mieux-être de leurs populations respectives. Si des efforts ont été enregistrés dans certains secteurs et domaines, il reste que peu nombreux sont les pays qui ont enregistré des progrès réels dans ce domaine. 

La visite du numéro un de l’ONU sera également marquée par la rencontre qu’il aura avec le président de la Cour constitutionnelle, Mme Marie Madeleine Mborantsuo, dont l’institution a joué un rôle décisif lors de la transition ayant débouché sur la présidentielle anticipée remportée par l’actuel chef de l’Etat gabonais, à la suite du décès du président Omar Bongo Ondimba.

Il s’agira d’aborder, sans aucun doute, des questions liées à la consolidation de l’Etat de droit au Gabon, de la démocratie et d’autres questions liées au renforcement des institutions. On peut s’attendre à ce que cet aspect soit également évoqué lors de l’entrevue annoncée avec les partis politiques gabonais. 

L’ONU ayant régulièrement énoncé sa disponibilité à soutenir le Gabon, pourrait bien, tout en respectant, le choix des autorités gabonaises, apporter un soutien dans ce domaine. Sur un tout autre plan, la visite que Ban Ki Moon effectuera à Angondjé, sera l’occasion d’apprécier les efforts déployés par le Gabon en matière d’aide à l’enfance. Avant de quitter Libreville dans la soirée, le secrétaire général de l’ONU sera l’hôte à déjeuner du président Ali Bongo Ondimba.
 
 
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le 01-07-2010 14:20

La RDC tournée vers l’avenir


Le président Ali Bongo Ondimba a regagné Libreville mercredi, en milieu d’après midi, de retour de la République démocratique du Congo où il a prit part à la célébration du cinquantenaire de ce pays. A la Place du Cinquantenaire, érigée pour la circonstance, l’évènement a été célébré avec ferveur par le peuple congolais. Le président congolais, Joseph Kabila Kabengé a prononcé une importante allocation à l’adresse à la nation suivie d’un imposant défilé militaire et civile ayant mobilisé pendant deux heures de milliers de Congolais. 
 


Outre le président gabonais et son épouse Sylvia Bongo Ondimba, on a noté la présence du roi de Belgique, l’ancienne puissance coloniale, Albert II et de la reine, de plusieurs autres chefs d’Etat et de délégations africaines, du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, du président de la Commission africaine (UA), Jean Ping, de représentants de pays occidentaux, asiatiques et d’organisations multilatérales et régionales. 

Le cinquantenaire a été un moment particulier pour les Congolais. Cet anniversaire a été l’occasion de faire le bilan du parcours, mais également, permis de relever des acquis de ce peuple et ses plus hautes autorités tournés vers l’avenir. 

Le président Kabila Kabenge, a choisie cette occasion solennelle pour adresser un important message à la Nation congolaise, dans lequel il a rendu un hommage mérité à l’ensemble de personnalités congolaise ayant menées les combats historiques pour l’indépendance de son pays et pour son développement. Qu’il s’agisse de Patrice Lumumba, Kasavubu, qu’il s’agisse aussi de Mobutu et Joseph Désiré Kabila, qui a été un fervent défenseur de liberté, a dit, le chef de l’Etat congolais. Cet hommage a été également rendu au peuple congolais qui, a-t-il reconnu, s’est battu, « génération à génération pour maintenir son intégrité, préserver et consolider son indépendance ».

L’histoire congolaise porte de nombreux conflits armés, des tentatives de sécession, coups d’Etat et autres qui tranchent résolument avec le climat qui prévaut actuellement dans ce pays. Lequel porte encore, malgré tout, les stigmates de son histoire parsemé d’embûches et autres maux, sans que cela n’entame totalement la détermination, la passion de vie des milliers de Congolais, rencontrés dans les rues de Kinshasa et autres coins où ils ont tenu à exprimé leur fierté ainsi que leur ferveur patriotique. 

C’est dans ce contexte que, résolument tourné vers l’avenir, le président de RDC a lancé un vibrant appel aux filles et fils du Congo afin qu’ils cultivent les vertus de l’unité et du travail, seuls moyens de garantir le développement de la République démocratique du Congo, dans les domaines politique, économique. Kabila a clairement indiqué que la poursuite de l’œuvre de construction et de développement du pays, de la réconciliation nationale, de promotion de la démocratie et son corollaire, était un impératif pour leur pays. Un objectif qui n’est nullement irréaliste, a dit, Joseph Kabila Kabengé. 

Depuis son avènement au pouvoir, au terme de l’élection présidentielle de 2006, ce pays, grand comme cinq fois la France, et fort de ses 65 millions d’habitants, porte une certaine stabilité. Il s’est doté d’institutions politiques stables (Sénat, Assemblée nationale) et d’institutions judiciaires qui concourent davantage à sa stabilité. 

Même si quelques soubresauts dus à de violences récurrentes sont signalées dans des zones en guerre. L’insécurité dans certaines villes, dont la capitale Kinshasa ne cesse encore de mobiliser toutes actions de sécurisation. Au plan du développement, le programme ambitieux de construction lancé au cours de ces dernières années, se traduit un peu plus par les aménagements urbains observés dans plusieurs localités, dont la principale ville du pays. Il doit se poursuivre, a indiqué le président congolais, confiant en l’action mise en œuvre depuis dans ce domaine. 

On a noté la présence autant du président gabonais que de nombreux autres chefs d’Etat, de pays avec lesquels la RDC a connu des tensions, et ceux africains, européens, américains et asiatiques avec lesquels il entretient d’excellentes relations de coopération. Celle du secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, dont l’organisation œuvre encore à la pacification à travers la MONUC ayant déployé 20 000 casques bleus, est la forte expression de soutien et de reconnaissance de ce pays, de même que de l’action du jeune président Kabila Kabenge. Par ailleurs, celle du roi de Belgique, ancienne puissance colonisatrice, n’en n’est pas moins inscrite dans cet ordre d’idées; elle a constitué également une grande avancée dans le raffermissement des relations souvent tendues entre Bruxelles et Kinshasa. 

Pour le président Ali Bongo Ondimba, cette occasion, à l’instar de celles offertes par les commémorations des indépendances, après le Sénégal, le Cameroun, en avril et mai, est l’occasion, en marge de ces festivités, d’échanger avec plusieurs de ses homologues sur des questions d’intérêt commun. Avec la République démocratique du Congo, membre de la CEEAC et d’autres instances sous régionales et continentales, les relations bilatérales sont au beau fixe. Entre Libreville et Kinshasa, règne une communauté de vues sur plusieurs dossiers de l’heure. 

Les deux capitales s’emploient au sein de l’espace sous régionale à imprimer une dynamique nouvelle collant avec les ambitions réaffirmées lors du dernier sommet de la capitale congolaise au cours duquel le chef de l’Etat gabonais avait fait sa première rentrée dans ce cercle. Au plan bilatérale également, les deux hommes d’Etat se soutiennent et partagent la même ambition de développer les relations de coopération. Le président Ali Bongo Ondimba s’est également entretenu avec plusieurs autres autorités africaines et du monde, invités à ces festivités. Ces dernières lui ont exprimé un témoignage de soutien et d’encouragement eu égard à sa vision de conduire le Gabon sur la voie du développement.
 
 
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le 30-06-2010 22:26

Visite du Secrétaire Général de l'ONU, Ban Ki-Moon, à Libreville le 30 juin

 
 

Le Secrétaire Général de l'Organisation des Nations Unies, Ban Ki-Moon, se rendra au Gabon du 30 juin au 1er juillet où il sera notamment reçu en audience par plusieurs autorités du pays, dont le Président gabonais Ali Bongo Ondimba. 

En provenance de Kinshasa (RDC), Ban Ki-Moon, sera reçu en audience le 1er juillet par le Chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba. Il rencontrera également le Président de l'Assemblée nationale, Guy Nzouba Ndama, avant de faire une allocution devant les députés. Dans l'après midi, Ban Ki-Moon devrait visiter un centre d'accueil pour les enfants en difficulté sociale avant de clore sa visite par une conférence de presse à l'hôtel Méridien de Libreville. 

Le Gabon est actuellement l'un des pays membres non permanent au Conseil de sécurité de l'ONU. C'est la pre mière vi site au Gabon que va ef fec tuer le Se cré taire Gé né ral de l'ONU de puis qu'il oc cupe ses fonc tions. 

Voici le programme de la visite officielle du Secrétaire Général de l'Organisation des Nations Unies à Libreville, du 30 juin au 1er juillet 2010 

Mercredi 30 juin 2010 
  • Arrivée à Libreville
  • Accueil par le Ministre des Affaires étrangères

Jeudi 1er juillet 2010 

Audience avec S.E le Président de la République, Chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, au Palais de la Présidence. 
  • Rencontre avec le Président de l'Assemblée Nationale
  • Allocation devant les députés de l'Assemblée Nationale, au Palais Léon Mba
  • Rencontre avec la Présidente de la Cour Constitutionnelle 
  • Visite du Centre d'accueil pour les enfants en difficulté sociale
  • Rencontre avec les représentants des principaux groupes politiques de la majorité et de l'opposition
  • Rencontre avec les représentants de la Société civile
  • Conférence de presse


Fin de la visite 

 

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