Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 15-04-2011 03:01

Une route coupée depuis plusieurs années dans le sud Gabon

- La circulation est impossible depuis plusieurs années déjà sur l'axe routier d'une dizaine de km reliant le village de Ndongui à Mbigou, le chef-lieu du département de la Louétsi-Wano, dans la province de la Ngounié, dans le sud du Gabon.
 

Faute d’entretien, ce tronçon routier est dans un piteux état. Tout comme l’est le pont situé à la hauteur du village Ndongui. Ce pont également endommagé depuis plusieurs années déjà, rend totalement impraticable un tronçon routier autrefois très fréquenté qui peut mener à Popa, une localité enclavée de la province de l’Ogooué-Lolo (sud-est), et même jusqu’à Koula-Moutou, le chef-lieu de province.

Le chef du village Ndongui/Lébani, M. Jean-Baptiste Boubala, a lancé un appel aux autorités locales, notamment au chef de la subdivision des Travaux Publics, en vue de l’aménagement de ce tronçon routier d’une importance capitale parce que reliant son village à Mbigou, la principale ville de la contrée.

M. Boubala a soumis la même doléance à l’équipe socioéconomique du Réseau des Aires Protégées d’Afrique Centrale (RAPAC) venue à la rencontre des populations riveraines du Parc national des Monts Birougou.

‘’Dans cette région, les populations vivent l’enfer’’, a déclaré le chef de village.

Les villageois de Ndongui, Moudouma, Itsiba, Moukouma-Moupopa, Moukouala-Mousséssé, sont contraints à la marche pour se rendre à Mbigou.

Les infirmiers et les enseignants qui travaillent dans ces localités sont obligés de s’absenter pendant plusieurs jours pour aller percevoir leur salaire dans le chef-lieu de département.

De nombreux jeunes ont dû quitter les villages pour aller s’installer dans les villes, ajoutant à l’exode rural.

Faute de visiteurs, les produits agricoles, de la pêche et de la chasse ne trouvent pas acquéreurs. Les villageois, qui voient leurs efforts ruinés, sont gagnés par le découragement.

‘’Il nous est impossible d’évacuer nos produits’’, a déploré Charlotte Bourandou, chef du village Lébani, qui s’est demandée pourquoi un tel désengagement de l’Etat.

Selon elle, c’est par pure politesse et courtoisie que la délégation du RAPAC a été reçue dans les villages. N’eut été le respect qu’ont les villageois pour ces valeurs cardinales qui fondent l’hospitalité des populations du Gabon profond, les membres de la délégation auraient été boudés ou proprement éconduits.

‘’Arrangez nous la route et nous allons nous débrouiller pour le reste’’, ont lancé les villageois.

 


Commentaires

 
 
 
le 15-04-2011 03:00

12 Mars en différé a Moscou et Libreville (videos)

A la suite de la celebration du 12 mars en differe , la Federation PDG Russie et Europe de l'Est vous diffuse quelques images de celles-ci a Libreville a laquelle a participe activement notre Secretaire Federal le Camarade Enie Louis Innocent et a Moscou.

 

 

 

 
Libreville
 
 
 
 
 
 

 

 


Commentaires

 
 
 
le 15-04-2011 01:37

Gabon: le président Bongo créé une unité militaire contre le braconnage

 Le président gabonais Ali Bongo Ondimba a annoncé la création d'une unité militaire de 240 hommes, la "brigade de la jungle", qui aura pour mission de lutter contre le braconnage et le trafic illégal d'ivoire, selon un communiqué de la présidence jeudi.

"Le président (...) vient d'annoncer la création immédiate d'une unité militaire de 240 hommes au sein de l'Agence nationale des parcs nationaux (ANPN)", indique le communiqué.

"Baptisée +la brigade de la jungle+, cette unité aura pour mission de sécuriser les parcs du Gabon et de protéger la faune et la flore sauvage, notamment contre le braconnage et le trafic illégal d'ivoire", précise le texte.

D'après la présidence, "cette mesure fait suite à la découverte, le 6 avril dernier, par des agents de l'ANPN d'une trentaine de carcasses d'éléphants de forêt qui sembleraient avoir été tués récemment dans la réserve de Wongo Wongué, à une centaine de kilomètres au sud de la capitale Libreville".

Cité par le communiqué, M. Bongo demande "aux pays importateurs d'ivoire, particulièrement en Asie, de prendre les mesures nécessaires à leur niveau dans la lutte contre le trafic d'ivoire tout comme le Gabon le fait aujourd'hui, et d'informer leurs ressortissants que l'achat d'ivoire sera réprimé avec la plus grande sévérité. Les trafiquants d'Ivoire travaillent de manière coordonnée au niveau international. Nous devons faire de même pour les combattre".

"Si nous perdons nos éléphants, nous serons confrontés à la même spirale qui a amené à la disparition d'espèces animales et à la destruction de l'environnement dans d'autres pays africains, avec pour conséquences inévitables l'instabilité politique et le dysfonctionnement de nos écosystèmes au sein desquels l'homme ne peut plus vivre durablement en harmonie avec la nature", poursuit M. Bongo.

D'après le communiqué, "l'ivoire légèrement rosé" de l'éléphant de forêt d'Afrique a "un grain de meilleure qualité de celui de l'éléphant des savanes, ce qui en fait une proie de choix pour les braconniers", alors que le marché de l'ivoire connaît "une croissance exponentielle" et que le kilo acheté 35 euros aux braconniers peut se vendre 1.400 euros en Asie.

 


Commentaires

 
 
 
le 15-04-2011 01:36

8 milliards de francs perdus en procès chaque année par l’Etat

8 milliards de francs CFA, c’est le montant que coûtent les procès perdus par l’Etat gabonais chaque année pour non-respect des réglementations mises en place par lui-même. Une situation "anormale et dangereuse", selon le mot d’Emmanuel Issozé Ngondet, ministre du Budget, non seulement très couteuse pour l’Etat mais qui marque aussi une atteinte aux principes et valeurs qui fondent un Etat de droit.
 
© D.R / Le ministre du Budget, Emmanuel Issozé Ngondet.
 
«Chaque année, notre pays dépense environ 8 milliards de francs CFA pour le paiement des dommages et intérêts suite à la perte des procès pour non respect de la législation en vigueur», a affirmé le ministre du Budget, Emmanuel Issozé Ngondet, en marge de la cérémonie d'ouverture des journées de l’Agence judiciaires du Trésor, dont le thème central est : "la violation de la légalité : un fait récurrent au sein de l’administration gabonaise".

L’inobservation de la légalité est la principale cause de contentieux avec l’Etat. «En effet, plus de 90% des affaires contentieuses dont est saisie l’agence du Trésor sont des faits de violation de la réglementation en vigueur, qui manifestement constituent une perte pour le budget de l’Etat, car coûteuse», a reconnu le directeur général de l'Agence juridique du Trésor (AJT), Hans Nganinga.

Monsieur Nganinga précise que les plaintes contre l'Etat gabonais ne cessent d'augmenter d'une année à l'autre. En 2010, l'Etat a enregistré 260 plaintes, contre 181 en 2008 et 121 en 2007.

Entre autres, les plaintes émanent généralement d’hommes d'affaires lésés, des simples agents de l'Etat victimes d'un licenciement abusif ou des citoyens lambda victimes d'accidents de la circulation causés par des véhicules administratifs sans police d'assurance.

Au Gabon, toutes les citations, les assignations en justice ou autres requêtes contre l'Etat sont adressées à l'Agence juridique du Trésor (AJT). «La réflexion qui prend fin ce vendredi vise à limiter le nombre de plaintes contre l'Etat afin de dégager plus de revenus pour le développement du pays», a conclu le ministre Issozé Ngondet.
 


Commentaires

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article