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le 22-12-2009 00:49

Sommet sur l'OHADA au Tchad: les engagements des chefs d'Etat



Le premier sommet des chefs d’Etat de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique des Droits des Affaires s’est tenu ce dimanche 20 décembre 2009 à N’Djaména, la capitale du Tchad. L’OHADA regroupe 16 pays. Neufs chefs d’Etats ont fait le déplacement de N’Djaména.



Sommet sur l'OHADA au Tchad: les engagements des chefs d’Etat
e Tchad passe le flambeau au Togo qui va présider aux destinées de l’OHADA. Ainsi en ont décidé les conclusions des travaux du premier sommet des chefs d’Etats des pays membres de l’OHADA. 

Les Chefs d’Etats et des gouvernements ont, au cours des travaux de N’Djaména débattu des questions du fonctionnement et du financement autonome de l’Organisation. Il s’agit surtout, pour les chefs d’Etats et des gouvernements d’appliquer le Traité instituant l’OHADA. 

«L’objectif recherché, à travers l’OHADA est de créer, dans notre espace commun, les conditions d’un climat propice au développement économique par l’édiction de règles applicables dans tous nos Etats. Et cela, afin de palier le ralentissement constaté dans les investissements». 

Pour le Chef de l’Etat Tchadien, la création de l’OHADA répond au double objectif qui est celui de facilitation des échanges et des investissements et celui de renforcement des liens de coopération entre les pays. 

A l’issue de leurs travaux sanctionnés par un communiqué final, « les Chefs d’Etat et de Gouvernement des pays membres de l’OHADA ont noté avec satisfaction qu’avec le nombre de ratifications déjà enregistrées, le traité révisé de l’OHADA entrera en vigueur en janvier 2010 ; en ce qui concerne la mise en œuvre du mécanisme autonome de financement de l’OHADA, les Chefs d’Etat et de Gouvernement ont affirmé leur adhésion au mécanisme de prélèvement OHADA adopté à Libreville. Ils ont instruit les Institutions de l’OHADA pour l’examen des points spécifiques relatifs à la compétence nationale et aux domaines partagés avec l’OHADA » 

S’agissant du financement, à l’origine, le financement se reposait essentiellement sur un fond de capitalisation, alimenté par la contribution des 16 Etats parties au traité et par les concours des partenaires. Actuellement, le mécanisme de financement autonome a pris le relais du fonds de capitalisation. Ce système prévoit que « pour payer sa contribution annuelle au budget de l’Organisation, chaque Etat opère un «prélèvement de 0,5% au cordon douanier» sur la valeur des importations en provenance des pays tiers. Exceptionnellement, en cas de difficulté, un Etat peut payer sa contribution par voie d’inscription budgétaire directe». 

Pour rappel, le Traité relatif à l’harmonisation du droit des affaires en Afrique, signé le 17 octobre 1993 à Port Louis (Île Maurice) et qui crée l’OHADA, a permis aux Etats Parties de se doter d’un arsenal juridique de grande performance pour assainir l’environnement des affaires et le rendre propice aux investissements tant nationaux, régionaux qu’étrangers. 
La révision de ce traité le 17 octobre 2008 à Québec (Canada) a renforcé la capacité institutionnelle de l’OHADA et améliorer son mécanisme législatif. 

C’est ainsi que face aux difficultés financières, l’Organisation, jadis dirigée au niveau ministériel, a vu institutionnaliser la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement pour coiffer l’organisation. 
Pour le ministre tchadien de la justice, Jean Bawoyeu Alingué « La conférence des chefs d’Etat ouvrira de nouvelles perspectives pour notre organisation ». Selon lui, faisant le bilan de son pays « Le Tchad s’est employé, à la suite du Sénégal, à faire ratifier, par les Etats parties, le traité révisé signé le 17 octobre à Québec, par les chefs d’Etat et de gouvernement». 

Lors des travaux ministériels qui ont précédés ceux des chefs d’Etat, le ministre de la défense du Tchad, Kamougué Abdelkader, représentant le Premier Ministre avaient déclaré qu’ « à l’heure de la mondialisation de l’économie, où les Etats se regroupent pour constituer des unions monétaires et économiques, il était impératif pour les pays de la zone Franc d’adopter un même droit des affaires moderne réellement adapté aux besoins économiques clairs et simples aux fins de sécuriser les relations et les opérations économiques». 

Ont pris part à cette première Conférence les Chefs d’Etats Yayi BONI, du Bénin, François BOZIZE, de la République Centrafricaine, Denis SASSOU N’GUESSO, du Congo, Ali BONGO ONDIMBA, du Gabon, Obiang N’GUEMA MBAZOGO, de la Guinée Equatoriale, Amadou TOUMANI TOURE, du Mali, Maître Abdoulaye WADE, du Sénégal, Idriss DEBY ITNO, du Tchad, Faure Essozimna GNASSINGBE, Togolaise. 

Etaient représentés par leur Chefs de Délégations, le Niger, le Cameroun, le Burkina Faso, et la Cote d’Ivoire. 

Dany Danzoumbe PADIRE
 
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le 22-12-2009 00:38

Sylvia Bongo honore les enfants


Noël : Sylvia Bongo honnore les enfants

Sylvia BongoPour célébrer la fête de la nativité, l’épouse du Chef de l’Etat, Sylvia Bongo Ondimba a reçu (20.12.09) au Palais de la Présidence de la République les enfants de la capitale.
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le 21-12-2009 23:08

Plus d’un milliard de FCFA pour l’assistance technique des PME-PMI


Par l’entremise du ministre des Petites et moyennes entreprises (PME), Jean Félix Mouloungui, le Gabon a signé, lors de la 13e assemblée générale de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) qui s’est déroulé du 7 au 10 décembre à Vienne (Autriche), un protocole d’accord avec de plus d’un milliards de francs CFA en vue de l’assistance technique des PME-PMI gabonaises.
 
© D.R.
 
Lors de la 13e assemblée générale de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) qui s’est déroulé du 7 au 10 décembre dernier dans la capitale autrichienne, Vienne, un accord d’assistance technique des PME-PMI gabonaises a été paraphé entre le Gabon et l’organisation onusienne.

Estimé à 1.141. 440. 000 FCFA, ce projet de développement des PME-PMI gabonaises qui a pris corps avec la signature du ministre gabonais des PME-PMI, Jean Félix Mouloungui et le directeur général de l’ONUDI, Kandeh Yumkella, vise essentiellement à soutenir la diversification, l’innovation et les investissements de ces entités économiques.

Le projet est à cet effet divisé en plusieurs pans à savoir : création des pépinières au Gabon ; création des bourses de sous-traitance et de partenariats d’une société de capital-risque ou encore mise à jour d’un fichier des PME gabonaises consultable sur un site internet, notamment pour des opportunités d’affaires.

Prévu pour débuter en 2010, ce projet doit s’étendre sur 36 mois et devrait se dérouler en deux phases : La première, qui durera 6 mois, prévoit l’étude de viabilité des différentes parties du projet, leur ancrage institutionnel, la conception d’un modèle économique approprié, mais aussi la recherche d’investisseurs. La seconde phase doit, quant à elle, mettre en avant l’assistance et la contribution de la mise en ouvre du système d’appui à l’innovation et à la diversification des PME.

Toutefois, pour le lancement des travaux, la partie gabonaise doit couvrir les charges relatives à la première phase du projet, soit près de 100 millions de francs CFA. Les coûts de la seconde phase quant à eux seront supportés par Banque africaine de développement (BAD), la Banque européenne d’investissement (BEI) ou encore l’Union européenne.

Pour le succès de ce projet, des organisations de soutien au secteur privé gabonais tel que PromoGabon, des établissements bancaires ou encore des instituts des instituts de micro-finances, ont également été associés.

Source : gaboneco 

 

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le 21-12-2009 15:19

Une équipe de professionnels de la communication récompensée par Ali Bongo Ondimba


En guise de manifestation de joie doublée d’une forte dose de satisfaction à l’adresse de l’équipe multimédia ayant couvert le cérémonial de son retour de Copenhague où il a conduit la délégation gabonaise au Sommet mondial sur les changements climatiques, Ali Bongo Ondimba, par l’entremise du Directeur Général de la Presse présidentielle, a offert une enveloppe symbolique à celle-ci, a constaté GABONEWS.

AU DIAPASON DES QUESTIONS ET ENJEUX INTERNATIONAUX DE L'HEURE

Vingt-trois heures et trente minutes (23H30); c’est l’heure à laquelle le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, est arrivé à l’aéroport international Léon Mba de Libreville. Et, à cette heure tardive, les hommes de médias étaient là, présents, pour relayer non seulement le film de ce retour d’un voyage mémorable, tant la contribution gabonaise au Sommet de Copenhague a été remarquable et remarquée, mais aussi le compte rendu des différents contacts pris par le Président à la faveur de cette conférence.

A la fois très impressionné et flatté par cet amour du métier démontré par les professionnels de la communication, mais aussi et surtout par la qualité et la pertinence des questions posées par ces derniers à son adresse, le Président Ali Bongo Ondimba, s’est illustré, on ne peut mieux, obnubilé de rendre hommage aux communicateurs épris de transparence, de professionnalisme, de positivité et soucieux de se mettre au diapason des questions et enjeux internationaux de l’heure, en « saluant à l’africaine », cette présence frappante des journalistes venus l’accueillir, à travers une enveloppe financière symbolique.

Ce geste, du reste significatif, patriotique et volontariste, est l’expression éloquente de l’intérêt qu’accorde Ali Bongo Ondimba à la presse en général, mais singulièrement à celle numérique.

Ce qui nous conduit tout naturellement à évoquer le renforcement du portefeuille du ministre de la Communication via l’insertion dans son escarcelle de l’Economie Numérique, augmentée de la nomination au poste de Conseiller Spécial du Président de la République du scientifique malien Cheick Modibo Diarra de Microsoft, avec, suivez notre regard, en toile de fond, le désenclavement des coins et recoins du Gabon en matière de supports de communications numériques.

S’il est besoin de le souligner, voilà autant de faits qui obéissent à la volonté et à l’engagement indéniables du Président Ali Bongo Ondimba d’accompagner (précisons qu’il est bien question d’accompagnement !) la presse numérique qu’il veut fiable, alerte et efficace.

CULTURE DE COMMUNICATION A CŒUR OUVERT

Ali Bongo Ondimba, qui gouverne sous le sceau de la transparence, démontre ainsi son souci d’instaurer une culture de communication à cœur ouvert avec la presse. Répondant au besoin de tenir informés ses administrés de toutes les activités, objets de ses déplacements à l’étranger. Innovation louable et à encourager par tous les acteurs de la vie sociopolitique et économique du Gabon, et la presse, quant à elle, ne peut que se réjouir de servir d’intermédiaire entre un peuple et son Président.

Plus est encore que ce Président reconnaît et respecte l’exaltante mission dévolue aux médias, surtout dans un pays qui prône les principes de la démocratie. Et qui dit démocratie, implique le droit à l’information et à la liberté d’expression.

On se rappelle que le Président de la République via le ministère de la Communication, à l’occasion du cinquantenaire de la Radiodiffusion Télévision Gabonaise Chaîne 1, a récemment doté cette structure d’un site Internet pour la plus grande vulgarisation des réalités du Gabon à travers le monde. Bon vent à vous Monsieur le Président et la presse vous restera reconnaissante pour tous vos nobles actes posés en sa faveur.

GN/MS/RA/DCD/09

 

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