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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 29-10-2013 00:40

curage des caniveaux à Libreville et Owendo


Le gouvernement gabonais, avec l’appui de la Croix Rouge gabonaise vient de lancer une opération de curage des caniveaux à Libreville et dans la commune d’Owendo, dans le cadre de la lutte contre l’insalubrité.

Libreville croupit depuis quelques mois sous le poids des ordures. Il n’ y a pas longtemps, les éléments du génie militaire ont été mis à contribution, en vue du ramassage d’ordures dans la capitale gabonaise. Pour renforcer cette opération de nettoyage, l’Etat vient de solliciter l’appui de la Croix Rouge gabonaise pour le curage des caniveaux, afin d’ éviter les inondations dans les quartiers de Libreville et d’Owendo en ce début de la saison des grandes pluies. De quoi saluer le lancement de cette opération quand on sait que chaque année de nombreux quartiers de Libreville et même de l’intérieur du pays sont sinistrés suite aux inondations consécutives aux grandes pluies.

L’opération mérite également d’être saluée en raison de graves problèmes d’insalubrité constatés depuis près d’un an, dans la capitale gabonaise. Le sujet est même devenu un thème de campagne électorale pour les locales de novembre 2013. « L’objectif général visé par ce projet est de contribuer à la réduction des risques d’inondations, tout en embellissant les communes de Libreville et d’Owendo. Il s’agit aussi d’améliorer la circulation des véhicules dans les voies publiques », ont expliqué les responsables de la Croix Rouge gabonaise. Laquelle a retenu 1 000 jeunes volontaires pour la mise en œuvre de cette activité ainsi que l’équipement nécessaire.

« Pour nous, c’est une contribution citoyenne pour la lutte contre l’insalubrité et qui dans le même temps contribue à l’embellissement de la cité. L’opération nous permet également de gagner un peu d’argent », a déclaré un jeune volontaire. L’activité est prévue pour 6 jours et chaque volontaire reçoit quotidiennement 10 000 FCFA de la part des organisateurs.

 


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le 24-10-2013 15:01

Celebration de l'agriculture par le Gabon

Depuis plusieurs jours, le Gabon célèbre l’agriculture à travers plusieurs événements majeurs. Après avoir célébré le 68ème anniversaire de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation, notre pays a organisé successivement la Conférence internationale sur l’huile de palme, les assises nationales de l’agriculture et la Foire agricole Internationale de Libreville, un rendez-vous majeur qui nous permet d’inviter cordialement nos amis du Maroc et du Rwanda.

A travers ces journées nationales, nous voulons démontrer que l’agriculture est un secteur essentiel au développement du Gabon, un axe fort qui répond aux besoins de toutes les Gabonaises et tous les Gabonais et un pôle créateur d’emplois durables. L’objectif pour 2025 est de porter la contribution de l’agriculture gabonaise à 20% du PIB.

Il n’est pas logique qu’un pays comme le nôtre offrant un très grand nombre de terres agricoles n’assure pas son indépendance alimentaire. Nous nous devons d’exploiter ce potentiel. C’est pourquoi j’ai instruit le gouvernement d’augmenter le nombre des surfaces cultivées et de mettre en œuvre les mesures d’accompagnement pour développer les petites exploitations agricoles familiales comme les grandes exploitations agro-industrielles. D’ores et déjà, les partenariats public/privé ont permis de créer plus de 6 000 emplois.

En réunissant nos forces, le Gabon se positionnera bientôt comme un grand pays exportateur. Aussi, j’invite nos jeunes à s’intéresser aux très nombreux métiers du secteur agricole et halieutique.
 


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le 22-10-2013 13:45

Pour une optimisation des performances du port d’Owendo

Libreville, Mercredi 9 octobre 2013 (Infos Gabon) – Une réunion de mise au point s’est tenue le  mardi 8 octobre dernier au siège de l’Office des Ports et Rades du...

  Une réunion de mise au point s’est tenue le  mardi 8 octobre dernier au siège de l’Office des Ports et Rades du Gabon (Oprag) à Owendo, entre son directeur général, Rigobert Ikambouayat Ndeka, les opérateurs économiques du secteur et le représentant du syndicat des pairs.

A l’ordre du jour de la rencontre, l’amélioration  des conditions d’accès, de chargement et de déchargement des navires au port d’Owendo où le flux s’est  grandement accru.

Les opérateurs de la chaine logistique portuaire revendiqueront ainsi un changement des conditions d’accueil des navires au port. Suggérant même l’urgence  de s’accorder sur le respect des règles fondamentales, notamment dans l’ordre de passages des navires, parce que, les règles d’accostage ne seraient pas toujours respectées.

Le représentait du syndicat des pairs estimera pour sa part que la mise en application du règlement adopté en avril 2011 pourrait constituer un début de solution.

Ensuite,  il reviendra au directeur général de l’Oprag,  Rigobert Ikambouyat Ndeka de prendre la parole. Il s’est exprimé en ces termes : « le port est au service de l’économie nationale. L’autorité portuaire ne peut choisir de pénaliser tel ou tel autre type de navire ou encore favoriser un opérateur au détriment d’un autre ».

Il s’appesantira également sur  l’arrivée d’une troisième grue que le propriétaire  Gabon Port Managment (GPM) devrait mettre en exploitation pour surpasser les performances de manutention.

Avant de recommander à tous les opérateurs de s’aligner impérativement sur la meilleure exploitation possible de ces investissements colossaux de GPM en vue de fluidifier le trafic. Par exemple en acquérant des camions.

Le DG de l’OPRAG a préconisé que le dragage s’effectue désormais selon une périodicité spécifique afin de pallier le problème des tirants d’eau causé par les navires à gros chargement. En l’occurrence avec la limitation des tirants d’eau via une publication annuelle dont se chargerait GPM.

Créé par l’ordonnance N°41 du 30/03/74 et le décret N°493 du 5 Avril 1974 modifié par le décret N°1039 du 11 Novembre 1976, pour assurer la gestion de l’ensemble des ports maritimes et rades de la République Gabonaise, L’OPRAG est supervisé par un Conseil d’administration et dirigé par un Directeur Général. C’est un établissement public national à caractère industriel et commercial doté de la personnalité civile et de l’autonomie financière.

 


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le 22-10-2013 13:44

Sylvia Bongo aiguillonne la reforme de la politique sociale

Libreville, Lundi 21 Octobre 2013 (Infos Gabon) – « Le système actuel est devenu opaque, inopérant. Les aides distribuées ne produisent aucun impact réel ni sur le quotidien des bénéficiaires, ni...

« Le système actuel est devenu opaque, inopérant. Les aides distribuées ne produisent aucun impact réel ni sur le quotidien des bénéficiaires, ni sur leur avenir ».

Ainsi s’est exprimé  Sylvia Bongo Ondimba, la première Dame du Gabon, le 17 octobre dernier à l’ouverture des travaux sur la reforme de la politique d’aide sociale en République gabonaise, en présence des membres du gouvernement, Ministre de l’intérieur, de la sécurité publique, de l’immigration et de la décentralisation ; Mme Honorine NZET BITEGHE, Ministre de la famille et des affaires sociales ; Mme Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA, Ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique ; M. Jean Blaise IPEDISSY, Président du Fonds National d’Aide Sociale (FNAS).

Ces travaux procèdent d’une décision du conseil des ministres du 14 octobre 2013, visant à asseoir une nouvelle politique de l’aide sociale autour du FNAS.

« Un Gabon émergent qui offre à ses citoyens, une protection sociale juste et solidaire, pas seulement focalisée sur la lutte contre la précarité, mais aussi et surtout visant à permettre l’autonomisation et le développement économique des bénéficiaires », a suggéré Sylvia Bongo Ondimba dans son orientation.

Dans cette noble mission, le cabinet conseil américain McKinsey accompagnera le Gabon.

« Le cabinet McKinsey sera en charge de poser un diagnostic de la politique d’aide sociale, de la définition d’une nouvelle stratégie d’aide efficace et lisible organisée autour du FNAS et de l’implémentation de cette stratégie. »

La première dame du Gabon est donc résolument engagée aux cotés de son illustre époux à l’amélioration des conditions de vie des gabonais et des gabonaises les plus vulnérables.

Ce qu’elle démontre déjà à travers les diverses assistantes sociales fournies par sa fondation et les bourses  aux élèves et étudiants méritants. Mais beaucoup reste à faire et c’est le moment d’agir pour soutenir surtout les plus faibles.

« Il est urgent que nous redistribuions nos ressources pour l’aide sociale aux plus nécessiteux.
Nous dépensons beaucoup d’argent pour peu de résultats … Les aides sont éparpillées dans un système qui en devient opaque. Ces aides ne produisent aucun impact réel ni sur le quotidien des bénéficiaires ni sur leur avenir. C’est pourquoi nous devons agir et nous mobiliser ! », a déclaré Sylvia Bongo Ondimba.

Et de poursuivre : « Nous voulons tous un Gabon émergent qui offre à ses enfants, à ses citoyens, une protection sociale juste et solidaire, pas seulement focalisée sur la lutte contre la précarité mais aussi et surtout visant l’autonomisation et le développement économique des bénéficiaires ».

D’où l’importance de ce nouveau cadre d’action sociale qui redonnera confiance aux gabonais à travers son efficacité, son accessibilité et sa lisibilité.

Organiser et fédérer pour une plus grande justice sociale, c’est tout le sens de l’engagement et de la détermination de Sylvia Bongo Ondimba.

Et à l’échiquier international, son engagement à la protection de la veuve et l’orphelin a été consacré par la résolution 5/189 des nations unies du 21 décembre 2010 instituant la journée internationale des veuves.

Résolution suivie en droit interne gabonais  de divers textes de lois visant à  défendre la veuve et l’orphelin.

Pour ces travaux sur la reforme de la politique d’aide sociale, la première Dame du Gabon a promis de veiller personnellement à leur avancée et à leur traduction concrète pour le quotidien des Gabonaises et des Gabonais.

Mais avant cette promesse, elle a emprunté ces quelques mots de l’ancienne Première dame des Etats-Unis, Eleanor Roosevelt, la première à rendre ce rôle actif. Admirée et respectée, elle est l’une des femmes les plus populaires de son époque pour son humanisme et sa générosité. Sa lutte pour les droits des enfants, pour le secours des pauvres et des opprimés lui ont attiré la reconnaissance de millions de personnes à travers le monde.

« Quel chemin choisir… ? Telle est la grande question que nous devons nous poser. Allons nous donner prééminence aux questions matérielles, jugeant seulement les résultats à l’aune des succès économiques et laissant de coté toutes les autres valeurs ? L’histoire montre qu’une Nation qui accorde la priorité aux questions matérielles se trouve sur la pente descendante. »

 


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