Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 04-01-2011 23:35

L’appel de la Direction générale des marchés publics

La Direction générale des marchés publics vient de rappeler aux institutions et administrations qui ne se sont pas encore manifestées de lui transmettre leurs Plans de passation des marchés (PPM). Ces plans permettront «une meilleure exécution du budget 2011».
 
© D.R.
 
Les institutions et administrations viennent d’être interpellées par Direction générale des marchés publics. Dans un communiqué publié ce 4 janvier, elle indique en effet que «dans la perspective prochaine de la mise en place du budget 2011, la Direction générale des marchés publics, en sa qualité de régulation de la passation des marchés en république gabonaise, se propose d’accompagner les administrations, dans la réalisation de leurs projets pour le développement de notre pays»

«C’est dans cette optique que comme l’année dernière, la Direction générale des marchés publics a demandé par courrier, à toutes les institutions et administrations de lui transmettre leurs Plans de passation des marchés (PPM), dont les avantages en matières d’exécution du budget ne sont plus à démontrer. La date limite de dépôt des plans de passation des marchés avait été fixée au 15 décembre 2010», poursuit le communiqué.

Or, souligne la Direction générale des marchés publics, «à ce jour, sauf erreur, seules les administrations désignées ci-après ont transmis leurs Plans de passation des marchés : Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP), ministère des Affaires étrangères, ministère de l’Education nationale, ministère des Relations avec le Parlement, ministère des Petites et moyennes entreprises, ministère des Eaux et Forêts».

«Au regard de ce qui précède, la Direction générale des marchés publics invite les administrations qui ne sont pas encore manifestées, à bien vouloir transmettre dans des délais raisonnables, leurs plans de passation des marchés 2011, conformément aux nouvelles dispositions réglementaires, pour une meilleure exécution du budget 2011», conclu le communiqué.
 


Commentaires

 
 
 
le 04-01-2011 23:32

Motion de soutien des militants du RHDP et de la communauté ivoirienne vivant au Gabon au président Ali Bongo Ondimba


Dans une motion de soutien  au chef de l’Etat gabonais Ali Bongo Ondimba et  publiée ce mardi par  le quotidien Gabon Matin,  les  militants du R.H.D.P (Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix) et de la Communauté ivoirienne vivant au Gabon dénoncent notamment les « provocations du camp Gbagbo » et saluent (…) la position responsable  et impartiale prise par les autorités gabonaises sur la crise postélectorale née du refus de l’ex-président Laurent Gbagbo (…) de respecter le verdict des urnes issu de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010 ».

Texte intégral :

Les militants du R.H.D.P (Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix) d'une part; et la Communauté ivoirienne vivant au Gabon d'autre part;

considérant les liens d'amitié de fraternité qui lient la République Gabonaise de Côte d'Ivoire à la République Gabonaise;

considérant l'hospitalité légendaire de peuple gabonais à l'égard de tous les étrangers en général et de la communauté ivoirienne en particulier;

considérant les efforts déployés par les plus Hautes Autorités gabonaises notamment par le défunt Président Omar Bongo Ondimba ainsi que son successeur Ali Bongo Ondimba dans le règlement pacifique de la crise militaro- politique que traverse la Côte d'Ivoire depuis le 19 septembre 2002;

considérant l'importance que le Président Ali Bongo Ondimba attache à la poursuite et à la consolidation des relations entre la Côte d'Ivoire et le Gabon;

considérant la situation de crise post électorale que traverse la Côte d'Ivoire suite au refus du Président sortant Laurent Gbagbo de céder pacifiquement le pouvoir au nouveau Président élu de Côte d'Ivoire S.E.M Alassane Dramane Ouattara;

considérant les nombreux appels des ivoiriens et de la communauté internationale lancés au Président sortant Laurent Gbagbo au respect du résultat des urnes ;

considérant l’entêtement de Laurent Gbagbo à s'agripper contre vent et marée au pouvoir réprimant violemment toutes les manifestations pacifiques des ivoiriens qui exigent le respect de leurs suffrages;

considérant la position prise par le gouvernement gabonais, quoique s'inscrivant dans le cadre de celle de la communauté internationale à privilégier la voie du dialogue, ce mot très cher au père de la nation ivoirienne feu Félix Houphouët Boigny et du défunt Président Omar Bongo Ondimba ;

condamnent fermement les attaques médiatiques contre le président Ali Bongo Ondimba, commanditées par l'ancien Président Laurent Gbagbo qui a pris en otage des médias d'Etat qu’il  manipule à souhait pour narguer les ivoiriens et la communauté internationale;

apportent leur  soutien à  Excellence Ali Bongo Ondimba, Président de la République Gabonaise pour sa sagesse face aux provocations du camp Gbagbo; mettent en garde Monsieur Laurent Gbagbo pour cette énième attaque contre les hautes autorités du Gabon, ce pays frère, et les conséquences que cela pourrait avoir sur la qualité des relations entre nos deux peuples;

rassurent le Gouvernement et le Peuple Gabonais de leur  soutien total sur la position responsable et impartiale prise par les autorités gabonaises sur la crise post électorale née de refus de l'ex-président Laurent Gbagbo et de son clan de respecter le verdict des urnes issu de l'élection présidentielle du 28 novembre 2010.

Pour le RHDP/GABON, le coordinateur général adjoint Bamba Idrissa

Pour la communauté ivoirienne vivant au Gabon, Koné Laciné ».

 


Commentaires

 
 
 
le 04-01-2011 13:38

SYLVIA BONGO A PRIS LE LEADERSHIP DU SOCIAL EN 2010


Timide ou plutôt réservée dès l'accès de son époux à la présidence de la République en octobre 2009, Sylvia Bongo Ondimba, la première dame du Gabon, a véritablement pris le leadership du social au Gabon en 2010 en devenant marraine de plusieurs activités.

Gabon : Sylvia Bongo a pris le leadership du social en 2010

 

 

 

 

 

 

Parfaite inconnue il y a plus d'un an, Sylvia Bongo Ondimba, d'origine européenne, a pris ses marques en 2010. Toujours présente aux côtés de son époux lors des voyages présidentiels, la première dame est descendue dans la populace pour comprendre les problèmes de ses compatriotes et suggérer des solutions dont les résultats sont effectifs .

Premièrement, Sylvia Bongo a initié la "caravane du Gabon profond". Pour une première fois dans l'histoire du Gabon, une première dame a rallié, avec son équipe, Franceville (environ 650 km au sud est de Libreville) via la très chaotique route économique. Pendant les deux jours de l'odyssée, Mme Bongo Ondimba a recueilli les doléances des populations qu'elle a transmises au haut sommet de l'Etat.

                              

Quelques jours plus tard, son époux est allé sur ses traces avec en guise de cadeaux, des filets de pêche, du matériel agricole, des appareils électroménagers et aux autres présents constituant les doléances formulées par les bénéficiaires à la première dame.

Deuxièmement, Sylvia Bongo s'est penchée sur le cas des handicapés moteurs du Gabon. Loin de leur distribuer des cuisses de poule, la première dame a signé une convention avec une société française spécialisée dans la fabrication des moyens roulant. L'association a livré au Gabon plus de 250 fauteuils électriques et scooters.

                         

Dans les rues de Libreville, ces scooters électriques ont rendu aux handicapés leur dignité et facilité leur insertion sociale. Ce matériel a été distribué gratuitement dans les 9 provinces du Gabon.

Sylvia Bongo a également apporté son assistance aux détenus de la prison centrale de Libreville, aux enfants en difficulté du centre d'accueil d'Angondjé et à bien d'autres couches sociales.

                                 

La première dame s'est personnellement impliquée dans la relance de la lutte contre le SIDA.C'est sous sa houlette que la journée mondiale de lutte contre cette pandémie a été célébrée le 2 décembre dernier dans le pays.Au milieu de l'année, Sylvia Bongo a signé son acte d'adhésion à l'ONG Synergies africaines. Créée par la première dame du Cameroun, Chantal Biya, cette ONG lutte contre le SIDA et protège la femme et l'enfant.

                                 

Pour couronner l'année 2010, la première dame du Gabon, a initié un projet de célébration d'une journée internationale de la veuve. Porté à l'ONU par la diplomatie gabonaise, le projet a permis l'adoption par l'assemblée générale de l'ONU d'une résolution faisant du 23 juin de chaque année la journée internationale de la veuve. 

                                     

 

 

 

 
 

 


Commentaires

 
 
 
le 04-01-2011 13:18

Le bilan 2010 est positif sur tous points selon la Fédération PDG Russie et Europe de l'Est


Après une année 2009 particulièrement agitée suite au décès du président Omar Bongo Ondimba suivie d’une élection présidentielle anticipée, 2010 a été un long fleuve tranquille au Gabon.

Ali Bongo Ondimba qui est elu à l’issue de l’élection présidentielle du 30 août 2009 a réussi en 2010 à assurer la stabilité du Gabon. Le pays a failli basculer après la mort d’Omar Bongo Ondimba le 8 juin 2009.

En effet, plusieurs personnalités étaient sorties du bois pour tenter de succéder au doyen des chefs d’Etat . L’opposition a mis toute la pression sur le pouvoir au point de le mettre à feu pour assouvir leurs intérêts personnels .

                                   

D’anciens collaborateurs d’Omar Bongo sont également rentrés dans la danse avec une virulence inouïe qui prouve à suffisance le fond de leurs pensées les plus cachées.  .

                              

 

La fougue des uns et des autres a fait craindre le chaos. Mais le président élu des Gabonais, le noyau dur de l'emergence, Ali Bongo Ondimba, a réussi à maintenir l’équilibre de la nation.

                                     

Ali Bongo Ondimba s’appuie sur la majorité absolue dans les deux chambres du parlement (Assemblée nationale et Sénat) pour conduire ses reformes.

Le 28 décembre 2010, les deux chambres du parlement réunies en congrès ont adopté haut les mains. Voulue par le président de la République, la révision visait à corriger certaines faiblesses constatées lors du décès du président Omar Bongo.

Le pays est parvenu, sans anicroche, à conduire la douloureuse reforme visant à industrialiser le secteur forestier. A ce titre l’exportation de bois brut a été interdite dès janvier 2010. Un petit délai de grâce de 3 mois a été accordé aux exploitants forestiers pour écouler leur dernier stock. Malgré les pertes massives d’emplois et les récriminations des puissants lobbies, le gouvernement a tenu bon et les usines de transformation du bois, l’une des principales richesses du pays commencent à fleurir un peu partout.

Le pouvoir a aussi reformé les finances publiques et mis beaucoup d’ordre dans la gestion des biens publics.

C’est sur le plan des infrastructures que le Gabon a réalisé un grand progrès. A Libreville, la capitale du pays, de nombreuses routes défoncées ont été refaites. De nouvelles voies ont vu le jour, facilitant ainsi la circulation dans une ville autrefois minée par des embouteillages parfois monstrueuses.

35 milliards de francs CFA (70 millions de dollars) ont été investi en 2010 pour refaire la capitale et sa banlieue. L’enveloppe cadrait avec la célébration du 50ème anniversaire de l’indépendance du pays.

Les investissements se poursuivent encore dans la capitale dans le cadre des préparatifs de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) dont le Gabon co-organise la phase finale en 2012 avec la Guinée Equatoriale. Des échangeurs, des stades et des résidences sont en cours de construction à Libreville et dans la province du Haut Ogooué (sud est) retenus pour accueillir la compétition.

Le gouvernement a poursuivi les travaux de construction de la route nationale No 2. Les travaux confiés à des sociétés espagnole et chinoise sur un financement de la Banque africaine de développement se déroulent de manière "satisfaisante", selon un expert du ministère des Travaux publics.

Le Gabon a aussi engagé des travaux de construction de nouveaux barrages hydroélectriques sur le fleuve l’Okano (nord) et les chutes de l’Impératrice dans la province de la Ngounié (sud) pour combler son déficit en électricité. Ces barrages s’ajouteront à celui du Grand poubara dans la province du Haut Ogooué (sud est) exécuté depuis 2 ans par une société chinoise.

De tout point de vue, 2010 a été l’année de la relance de l’économie du Gabon qui s’essoufflait pendant les dernières années d’Omar Bongo Ondimba.

"Le bilan 2010 est positif", a commenté avec satisfaction le secrétaire général du Parti démocratique gabonais(PDG, au pouvoir) dans une conférence de presse le 30 décembre.

Au niveau international, les efforts de développement engagés par le Gabon ont permis de gagner 9 places sur l’indice du développement humain (IDH), classement PNUD de l’année 2010. Le Gabon occupe le 93ème rang mondial contre le 102ème rang en 2009.

A ce niveau des choses, l'on peut affirmer sans ambiguïté qu'Ali Bongo Ondimba est l'homme de la situation et qu'avec lui le Gabon a trouvé son maître-homme.

VIVE LA FÉDÉRATION PDG RUSSIE ET EUROPE DE L'EST ,VIVE LE PDG, VIVE LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE ALI BONGO ONDIMBA. 

 


Commentaires

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article