A l’issue de ce Conseil, il ressort que les ressources prévisionnelles pour l’année 2011 proviennent essentiellement de la redevance d’usure de la route (RUR), de la taxe complémentaire sur salaire (TCS), de la taxe sur les assurances (TA) et du report de trésorerie (RT).
Cette année, les ressources affectées de l’Etat sont en augmentation de 15%, passant de 33 à 38 milliards de francs CAF.
Selon le président du Conseil d’administration de cette structure, Raphaël Mamiaka « ce budget a été élaboré conformément aux dispositions fixant les statuts du fond d’entretien routier de 2ème génération ».
Ainsi, le PCA a également indiqué que le programme de l’année 2011 est constitué à la fois d’anciens projets en cours d’exécution et de nouveaux projet entrant dans la perspective de l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN 2012).
Dans ce sens, ils ont introduit un projet de modification du décret n°000122/PR/MTPEC du 18 janvier 2007 en vue d’introduire une flexibilité des taux y relatif.
La Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), cité jeudi dans un article du quotidien l’Union, a annoncé qu’en 2010, le Gabon a obtenu plus de 1.703,6 milliards de francs CFA de recettes publiques contre 1.441,5 milliards de francs CFA en 2009, enregistrant ainsi une augmentation de 18,2 pour cent.
Cette performance provient essentiellement du niveau d’encaissement des recettes pétrolières en hausse de 38,3 pour cent en 2010, précise la BEAC.
Les recettes pétrolières ont rapporté au pays 982,1 milliards de francs CFA en 2010, contre 606 milliards de francs CFA en 2009.
Les recettes hors pétrole ont été de 721,5 milliards de francs CFA en 2010, contre 730,8 milliards de francs CFA en 2009, soit une baisse de 1,3 pour cent, souligne la BEAC.
Les dépenses totales ont atteint 1.511,7 milliards de francs CFA en 2010, contre 1.186,2 milliards de francs CFA en 2009, soit un accroissement de 27,4 pour cent, ajoute la BEAC.
La société SFM Africa et le gouvernement gabonais viennent de concrétiser leur partenariat dans le cadre d’un projet de développement durable à Mayumba, dans la province de la Nyanga. Les deux parties ont signé le 20 avril à Libreville une convention de 50 milliards de francs CFA. | |||||
En effet, société SFM Africa prévoit la création de lodges de luxe dans certains parcs nationaux. Ce qui s’inscrit dans le cadre d’un programme écotouristique de haute qualité. La société compte également optimiser les rendements issus de l’exploitation forestière, de la pêche, l’agroalimentaire, les droits environnementaux et autres valeurs de ressource naturelle attribuables à la terre et à la mer ; conserver une production durable, respecter l’intégrité de l’environnement et de l’écosystème afin d’optimiser les activités des entrepreneurs, des communautés locales, procéder à un transfert de savoir faire et favoriser l’emploi. SFM Africa évoque également la mise en place d’une unité de transformation du bois de type 2e et 3e transformation, avec à la clé la création de 1500 emplois. A long terme, le projet de Mayumba pourrait générer 8 000 emplois. SFM Africa a été créée en 2006 en réponse à l'opportunité qui a émané du marché émergeant du dioxyde de carbone et d’autres gaz à effet de serre qui ont évolué depuis le Sommet de la Planète Terre de Rio de Janeiro en 1992. C’est une société dévouée à la gestion étique et intégrée de forêts tropicales et subtropicales. |
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