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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 01-05-2013 15:24

René Ndemezo’ Obiang : Fidele au PDG et à son Distingué Camarade, Président de la Republique, Ali Bongo Ondimba

René Ndemezo’Obiang, ancien ministre de 2002 à 2012, membre du Comité permanent du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) s’est exprimé ce mardi 30 avril 2013 dans les colonnes du quotidien Gabon Matin. Il y revient sur sa présence au PDG, son soutien à l’action et à la personne du président Ali Bongo Ondimba à la tête du pays.

 

 

Après l’élection présidentielle de 2009 au Gabon qui a vu Ali Bongo Ondimba porté à la magistrature suprême, dans les rangs du PDG certains cadres ont quitté le navire, tandis que d’autres arrivaient.

 

Resté au gouvernement jusqu’en février 2012, René Ndémezo’Obiang, hiérarque du PDG, a fait la une des journaux au sujet sa fidélité à ce parti, mais surtout par rapport à son soutien à Ali Bongo Ondimba. Ceci notamment après sa sortie du 24 août 2012 qui a laissé libre cours à toutes sortes d’interprétation. Dans l’interview accordée à Gabon matin, le natif de Bitam se veut d’emblée rassurant : «Je n’ai jamais envisagé de claquer la porte».

 

Ayant été reconduit au Comité permanent du PDG après le dernier congrès ordinaire, René Ndémezo’Obiang relève que «le 10e Congrès qui vient de tenir n’avait pas pour objectif de permettre au président de «prendre possession» d’un parti dont il était déjà le leader incontesté». Pour lui, ce congrès a permis de «revisiter et réajuster la ligne politique du parti sur la base des expériences positives et négatives du passé, ainsi que des enjeux du présent et de l’avenir». Et d’ajouter qu’il a été également le lieu de «réformer le structure organisationnelle du parti en modifiant certaines dispositions des statuts dans le sens d’une plus grande efficacité». L’ancien ministre des Sports a également apprécié les renouvellements ayant eu lieu dans le parti, notamment au niveau des structures spécialisées telles que l’Union des jeunes du PDG (UJPDG) et de l’Union des femmes du PDG (UFPDG).

 

Revenant sur son allocution controversée de Bitam en août 2012, Ndémézo’Obiang déclare qu’elle a donné lieu «diverses interprétations. L’une des plus répandues a consisté, certains, à faire croire qu’à travers ce discours, j’avais annoncé ma décision de quitter le PDG et de rompre avec le président Ali Bongo Ondimba. Huit mois après les faits montrent d’eux-mêmes que je soutiens la politique de réformes».

 

A propos du projet de conférence nationale souveraine. Il reprécise ce qui, à ses yeux, n’a pas été bien appréhendé par les Gabonais. «Contrairement à l’opposition qui souhaite «la dissolution» ou la «remise à plat» de toutes les institutions républicaines au motif qu’il y aurait crise au Gabon, j’ai le 24 août 2012, appelé respectueusement le président de la République à examiner la possibilité d’une rencontre avec de toutes les forces vives du pays dans un cadre à convenir, cadre devant naturellement être proposé par le chef de l’Etat lui-même», a-t-il expliqué.

 

Abordant la situation politique à Bitam, René Ndémézo’Obiang estime qu’«il ne se pose pas de problème de leadership au sein de la majorité à Bitam et dans la province du Woleu-Ntem». Pour lui, «la notion de leadership doit se référer à l’ensemble de la nation gabonaise et non se définir à l’échelle étroite d’un département ou d’une province ; faute de quoi nous sombrerions dans le provincialisme et le tribalisme. Vu sous cet angle, le leader incontestable de la majorité, c’est le président Ali Bongo Ondimba».

 

 


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le 01-05-2013 15:12

GABON, ELECTIONS:LES LOCALES REPORTES AU 23 NOVEMBRE 2013

A la suite de la saisine du Chef du Gouvernement introduite à la Cour Constitutionnelle le 4 avril 2013 aux fins du report des élections des membres des conseils départementaux, municipaux et d’arrondissement urbains et, après avoir auditionné les différentes parties (majorité et Opposition), la Haute juridiction vient de vider les recours reçus et a arrêté la date du 23 novembre 2013 pour la tenue de ces locales.

 

 

 

 

Entourée de tous les conseillers membres, la Présidente de la Cour Constitutionnelle Marie Madeleine Mborantsuo a rendu le verdict attendu par toute la classe politique en précisant que ; « Le mandat en cours des membres des assemblées locales arrivant à expiration le 5 mai 2013, et pour permettre, d’une part, au gouvernement de procéder à l’établissement de la liste électorale biométrique exigée par la loi pour le renouvellement desdites assemblées et, d’autre part, au peuple d’exercer son pouvoir souverain de désignation de ses représentants , l’organisation des élections des membres des conseils départementaux et d’arrondissements urbains est fixé au plus tard au 23 novembre 2013 ».

 

La Haute Cour a également rappelé que, pour l’observation de la continuité du service public afin d’éviter une paralysie des institutions, voire du fonctionnement des collectivités publiques dont les mandats arrivent à expiration le 5 mai 2013 et, s’appuyant sur les dispositions des articles 3 et 83 de la Loi fondamentale, a précisé que, seuls les bureaux des Conseils départementaux, municipaux et d’arrondissements urbains demeuraient en place pour assurer les affaires courantes. Relevant l’éventuel cas de force majeure soulevé par le Premier ministre, Chef du gouvernement, la Haute Cour a argumenté comme quoi celui n’était pas établi à partir du moment où aucun évènement extérieur au processus n’est à l’origine du report de ces élections, encore moins aux opérations d’enrôlement.

 

De même que, suivant les conditions prévues par la loi N°7/96 du 12 mars 1996, modifié, qu’il suit de là que le cas de force majeure invoqué par le gouvernement n’est nullement constitué. Ainsi, la Cour Constitutionnelle a-t-elle décidé d’ordonner la tenue des élections locales au plus tard le 23 novembre 2013 et ce, afin de permettre, selon le rapport final, au gouvernement de produire dans les nouveaux délais, la liste électorale biométrique.

 


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le 29-04-2013 19:22

les meilleurs sportifs du Gabon recompensés par l'Etat

«Les trophées meilleurs sportifs de l’année», initiative du président Ali Bongo Ondimba, visant à récompenser les efforts, la réussite et susciter auprès de la jeunesse gabonaise, une émulation par la pratique du sport, ont été lancés, le 27 avril 2013 à Libreville, par le ministre en charge des Sport, Séraphin Moundounga, dans le cadre de son édition 2012.

La famille sportive récompensée. ©Loïc Ntoutoume/Gabonreview

La famille sportive récompensée

Le ministre en charge de la Jeunesse et des Sport, Séraphin Moundounga, a posé en présence de son collègue de l’Intérieur, Jean François Ndoungou, et de certains membres de l’administration gabonaise, l’acte instaurant désormais la récompense et l’encouragement des meilleurs sportifs de l’année, à travers la remise des «Trophées meilleurs sportifs 2012» aux athlètes et fédérations nationales ayant marqué l’année écoulée part des résultats satisfaisants sur le plan local et international.

Première manifestation du genre sur le plan local, cette cérémonie peut être considérée comme un mécanisme visant la matérialisation de la volonté des autorités de faire du Gabon une grande nation sportive, à travers le développement du sport. Un décret, le n° 0047, a été adopté à cet effet, il y a quelques semaines, par le gouvernement.

Séraphin Moundounga avec l’un des récipiendaires. ©Loïc Ntoutoume/Gabonreview

Séraphin Moundounga avec l’un des récipiendaires. 

Pour cette première édition, une trentaine de prix qui été remis à différents récipiendaires : des athlètes, des clubs sportifs et certaines structures fédérales qui se sont illustrées positivement et de manière active pour la promotion de leur discipline. De l’athlétisme en passant par le cyclisme pour déboucher sur le Wu Shu, autant de disciplines sinon la quasi-totalité exercées au Gabon, à l’exception du Football, qui ont reçu les encouragements et la récompense de la tutelle pour le travail qu’ils abattent pour hisser haut l’étendard du sport gabonais.

Les heureux lauréats sont entre autres :

Rudy Zang Milama (athlétisme)

Toungui Basket ball (basket ball)

Franck Monbey champion d’Afrique (52kg) (boxe)

Frédéric Obiang Essono (cyclisme)

Davy Dieudonné Mba Mintsa (karaté)

Johnny Todde Biloghe (karaté)

Wills Ikapi Nzamba (kick boxing)

Lewissi Nzamba Nzamba (kick boxing)

Anthony Obame (taekwondo)

Luida Flore Nyamba Mabicka (taekwondo)

Paterne Diangathebe (tennis sur court)

Danielle Ngo Bahoya (tennis sur court)

Hyppolite Mve Obiang (tennis de table)

Mangasport (volley ball)

Tourbillion volley ball Gabon Ombila Nziami (volley ball)

Jean-Léon Nkoulou (tennis de table sur fauteuil)

Marthe Sylvie Mapessi (tennis de table debout, personne handicapée)

Aron Lee (Golf)

Stade Mandji (handball)

Phoenix (handball)

Audrey Koumba (Judo)

Arnold Koussou Ouvelou (Judo)

Steeve Abdon Bouassa (wu shu)

Maïté Mbalendo (wu shu)

Les trophées des fédérations les plus actives sont revenus aux Fédérations gabonaises de handball, de Judo, tennis sur court tandis que Léon Louis Folquet, président du Comité national olympique, et Nicole Assélé, directrice générale du sport, ont reçu des trophées d’honneurs.

 


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le 29-04-2013 19:12

Clôture du FNI : Un «Pacte pour le Gabon industriel»

Après soixante douze heures d’intenses discussions autour des mécanismes de mise en marche et de suivi de la stratégie nationale d’industrialisation, entre le gouvernement gabonais et les acteurs du secteur privé, les voix, visions et ambitions se sont accordées, ce 28 avril 2013, à travers la signature du «Pacte pour le Gabon industriel» qui permettra la mise en œuvre de cette stratégie de façon méthodique et disciplinée.

Les signataires du «Pacte pour le Gabon industriel». ©Loïc Ntoutoume/Gabonreview

Les signataires du «Pacte pour le Gabon industriel». ©Loïc Ntoutoume/Gabonreview

Le Gabon dispose désormais d’une stratégie nationale pour la mise en marche de son pilier industriel, outil essentiel pour la planification de la mutation de son économie restée longtemps dépendante du pétrole. Disparu des radars depuis bon nombre d’années dans plusieurs pays africains, le Gabon vient, selon Paulo Gomes, fondateur et président du Constelor investment holding, de «jouer un rôle de leadership dans la mise en œuvre de sa nouvelle stratégie d’industrialisation».

Dessiné avec les contributions de toutes les parties prenantes, le document adopté à l’issue d’une approche participative a conduit à la formulation de dix recommandations majeures pour l’effectivité du projet et de plusieurs autres aspects spécifiques reletifs aux cinq grands secteurs arrêtés comme priorités à l’horizon 2025. «Les recommandations formulées lors des présentes assises ont été pertinentes de par leur capacité à améliorer le cadre des affaires, assurer l’adéquation de l’offre de formation professionnelle aux besoins des entreprises, et garantir le partage des risques dans le financement des investissements à travers les partenariats publics-privés», s’est félicité le ministre de l’Industrie et des Mines, Régis Immongault.

«En plus de la volonté politique du président Ali Bongo Ondimba de le mettre en action, il y a une implication forte du secteur privé que j’ai senti durant tout le débat, j’ai rarement vu des personnalités s’impliquer autant trois jours durant, pour donner leur point de vue. Ce n’était pas quelque chose de couru d’avance, puisque les acteurs du secteur privé ont eu vraiment le temps d’apporter des modifications», a déclaré Paulo Gomes en guise, optimisme quant à la mise en place de cette stratégie.

On note dans le rapport final du Forum national de l’industrie (FNI) que «le développement du Gabon industriel nécessitera un investissement total de 17 000 milliards de FCFA (incluant la mise œuvre du schéma directeur national d’infrastructure), dont 28% d’investissements publics et 72% d’investissements privés ou en partenariat public-privé. Il permettra d’accélérer la croissance et de promouvoir l’entreprenariat national, avec la création de 13000 petites et moyennes entreprises».

Tirant les leçons des initiatives précédentes qui n’ont pas abouti, les acteurs du secteur privé ont décidé, à l’issue des échanges ayant ponctué cette première édition du FNI, de s’inscrire pleinement dans la dynamique engagée tout en saluant la priorisation des projets du Gabon industriel en trois phases qui devront commencer d’ici 2015 par la mise en place des fondements de la compétitivité, le développement des piliers de croissance durant la période 2016-2020, et l’émergence des pôles économiques sur l’ensemble du territoire sur la période 2021-2025.

 


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