Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 21-10-2010 17:03

Sylvia, une première dame au cœur des réseaux sociaux



Sylvia Bongo Ondimba partage la vie du président gabonais depuis plus de vingt ans. Quel rôle pour la nouvelle première dame ?

 

L'épouse d'Ali Bongo Ondimba, en juin, au début de la caravane 'Gabon profond’.

On peut la suivre grâce à ses tweets (messages via Twitter) ou, en un clic, accéder à sa 
« fan page »sur Facebook. Astuce de bon communicant, on tombe non pas sur un accueil standard mais directement sur son « mur » : une vue imprenable sur les activités de la première dame, guidée par son avatar (la photo qui agrémente son profil), à la fois sobre et glamour.

En haut du mur, ses rencontres à New York, en septembre, avec les responsables de l’Unicef, de l’Onusida et du Fonds des Nations unies pour la population. Juste après, le journal de son voyage à Yaoundé, le 30 août, pour s’associer à l’ONG Synergies africaines, fondée et présidée par Chantal Biya, première dame du Cameroun voisin, et consacrée à l’amélioration de la santé en Afrique. Le site permet aussi de visionner les photos et vidéos de l’exposition « Gabon, ma terre, mon futur », ouverte depuis le 16 août et jusqu’au 30 novembre, à Libreville, à l’occasion du cinquantenaire du pays et dont elle est la coordinatrice générale.

Des milliers d'amis virtuels

Depuis sa création il y a un an, la fan page s’est largement enrichie et réunit une communauté de 7 000 « amis virtuels », qui discutent sur le forum et commentent l’épais album de photos du site. Sylvia au naturel, avec les gens des villes et des villages, au gré des étapes de sa tournée « Gabon profond » ; Sylvia en robe de grand couturier, le 14 juillet, sur le perron de l’Élysée, à Paris… On la voit aussi au côté de quelques « pipoles », comme le footballeur Samuel Eto’o.

Dynamique, cordiale, mais réservée, Sylvia était encore mal connue des Gabonais. Elle partage pourtant la vie d’Ali Bongo Ondimba depuis plus de vingt ans. Ils se sont rencontrés en 1988 – Ali avait 29 ans, Sylvia 25 – et se sont mariés un an plus tard.

Née à Paris, fille de l’homme d’affaires français Édouard Valentin, elle a 11 ans lorsque ses parents s’installent au Gabon. Elle effectue tout son cursus secondaire, jusqu’à l’obtention du baccalauréat, à l’Institution Immaculée conception de Libreville, avant de poursuivre des études supérieures en gestion d’entreprise en France. De retour au Gabon, elle est recrutée par une agence immobilière, dont elle devient la directrice commerciale, et, en 1988, décide de créer sa propre entreprise d’immobilier et de gestion de patrimoine. Il est vrai que, dans la famille, on a le sens des affaires. Elle avait 13 ans lorsque son père a créé l’Omnium gabonais d’assurances et de réassurances (Ogar), devenu la première compagnie du secteur dans le pays.

Maris et femmes

Aujourd’hui, pendant qu’Ali s’escrime dans l’arène politique à faire passer des réformes aussi difficiles qu’impopulaires, Sylvia se bat sur le terrain de l’action culturelle et sociale, en particulier pour améliorer l’accès aux soins et permettre une meilleure prise en charge des familles touchées par la drépanocytose, le VIH et le paludisme.

Elle s’est entourée d’une équipe pilotée par le peintre Ernest Walker Onewin, directeur d’un cabinet qui a tout pour être en phase avec celui du chef de l’État. En effet, elle a choisi pour directrice de la stratégie et de la communication Éveline Diatta-Accrombessi, l’épouse de Maixent Accrombessi, le chef de cabinet du président. Et son experte en développement durable n’est autre que Kate White, l’épouse du scientifique américain Lee White, nommé il y a un an par Ali secrétaire exécutif de l’Agence nationale des parcs nationaux

 


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le 21-10-2010 11:24

Faustin BOUKOUBI ; Un Politicien et Un Administrateur Indeniable



 
 EDUCATION ET DÉBUT DE CARRIÈRE
 
Originaire de la province de l' Ogooué-Lolo et né le 20 mars 1954 à Dolisie, au Congo, Faustin Boukoubi a fait ses études primaires et secondaires à Koula-Moutou, puis ses études supérieures à l’Institut national des sciences de gestion (INSG) de Libreville et à l’Ecole d’administration et de gestion des entreprises à l’Université de Kobe, au Japon, où il ira jusqu’au DEA. 
Il fut entre autre agent de recherche à l'absorption des fonds autonomes de 1982 à 1984 et a été directeur de la dette publique de 1984 à 1990.
 
Une Emprunte Politique et Administrative indéniable
 
 
 Secrétaire Général du PDG aujourd'hui ,il a siège au gouvernement à partir de 1990  . Il a été secrétaire d’Etat au ministère des Finances jusqu’en 1994, puis ministre délégué au même département durant quelques mois. De 1994 à 1997, il est directeur général de l’Union gabonaise de banque (UGB), avant de revenir au gouvernement en tant que ministre de la Santé sous le gouvernement de Paulin Nguema Obame. Son engagement au travail bien fait est son principal cheval de bataille l'on se souviendra qu'en s'adressant au SENAT  le 26 Décembre 2003, il avait déclaré que le budget de la Santé alors chef de ce departement avait été inférieure à celui exigé pour répondre aux besoins de 20% de la population depuis 1998. 

 


Il quitte le département de la Santé et des Affaires sociales en 2006 pour prendre la tête de celui de l’Agriculture et du Développement rural. Depuis 2001, il est régulièrement élu aux élections législatives et locales dans le département de la Lombo-Bouenguigui. Il a ensuite quitté son poste ministériel au remaniement ministeriel du 7 Octobre 2008

 

 

 

 

 Le 9e congrès ordinaire du Parti démocratique gabonais (PDG) qui s'est déroulé du 19 au 21 septembre 2008 à Libreville ,a vu Faustin Boukoubi élu a l'unanimité  par les congressistes Secrétaire Général du Parti Democratique Gabonais ; Il succéda à Simplice Nguedet Mandzela, qui avait brigué deux mandats consécutifs de 5 ans officiellement le 26 Septembre. Suite a sa gestion sans faille de la crise de leadership a l'initiative de certains hierarques dont l'identité ne demeure plus inconnue qui a secoué le Parti apres le décès du Grand Camarade Président Fondateur du Parti Omar BONGO ONDIMBA le Camarade Faustin BOUKOUBI a prouvé une fois de plus qu'il visait l'excellence on l'a notamment remarqué par la désignation du porte flambeau du Parti dont l'échec était prévu en même temps que celui du Parti par diverses langues de vipères qui en fin de compte fut gagnant et le Parti plus fort.

 

 C'est à cet homme discret mais réputé efficace que le 9 et 10 ème congrès, a donné mandat pour donner une nouvelle dynamique au parti, beaucoup plus pragmatique et orientée vers la résolution des problèmes auxquels sont confrontés les citoyens au quotidien.

 

Pour tenir ce pari, le Secrétaire Général a appelé ses camarades à se mobiliser afin que le PDG devienne un outil d’aide à la décision à la disposition des instances compétentes républicaines. «Notre parti doit être à l’instar des grandes démocraties du monde, une source d’inspiration, une force de proposition, de suivi, d’évaluation et de réorientation éventuelle de l’action gouvernementale afin que soit résolument mise en œuvre la politique des actes définie par le chef de l’Etat».  

 

A ce jour l'on enregistre 80 deputes sur 120 entre autres. Faustin BOUKOUBI est sans nul doute une valeur sure du Parti et un dirigeant hors du commun qui s'est entouré des plus valeureux et competents comme l'indique sa composition a l'issue du 10eme Congres (édition précédente) .

 

    

 La Fédération PDG Russie et Europe de l'Est par son Secrétaire Fédéral Le Camarade Louis Innocent ENIE salue au passage cette nouvelle équipe et lui assure de son soutien sans faille et profond .

 


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le 21-10-2010 11:21

Remaniement en vue!


Le Conseil des Ministres de mardi a donc décidé pour non respect de la procédure appropriée l'annulation de nombre de nominations initiées par certains départements ministériels .
 
Ce dont s'est félicité le Parti Démocratique Gabonais(PDG)à travers un communiqué saluant à l'initiative du Président de la République Ali BONGO ONDIMBA d'exiger au gouvernement plus de transparence et d’équité e ce qui concerne les nominations au sein de leurs administrations.
 
Un désavoeu qui selon certaines sources concordantes annonceraient un remaniement imminent suite à selon le Chef de l'Etat "des erreurs de casting".   
 


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le 21-10-2010 00:38

Ali Bongo déjuge ses ministres


Invoquant le «non respect de procédure appropriée», le Conseil des ministres du 19 octobre a décidé d’annuler les nominations de sa séance du 14 octobre. Une décision qui laisse perplexe d’autant qu’elle concerne seulement les départements ministériels et épargne les institutions, administrations et les sociétés parapubliques. Or, ce sont les mêmes ministres qui sont à l’origine des nominations dans les administrations exemptées.
 

Le Conseil des ministres du 19 octobre a décidé d’annuler les nominations entérinées en sa séance du 14 octobre pour «non respect de procédure appropriée». La mesure touche les départements ministériels mais exempte les nominations faites le même jour dans «les institutions, administrations et les sociétés parapubliques», selon le communiqué final du Conseil des ministres.

Douze ministères sont ainsi touchés par ces annulations. Il s’agit des ministères de la Santé, des Affaires étrangères, des Relations avec les institutions, de la Culture, de l’Economie, des Eaux et Forêt, du Budget, de l’Intérieur, des PME, des Transports, du Travail et de l’Agriculture.

Si on ne peut douter du bien fondé de la raison invoquée par le Conseil, à savoir le «non respect de procédure appropriée», pourquoi le Conseil a-t-il laissé publier ces nominations pour ne les dénoncer que 5 jours plus tard ? Quelles sont ces procédures en la matière qui ont fait défaut ? Les ministres en ignoraient-ils l’existence et qui ou quelle autorité devait veiller à leur conformité ? 

Peut-être que le chef de l’Exécutif s’est aperçu que ces nominations étaient à caractère raciale comme il l’a souligné dans son discours à la Nation du16 octobre, à l’occasion de son premier anniversaire à la tête du pays. En effet, Ali Bongo a dénoncé publiquement ses ministres dont les choix de nominations sont « orientés vers le village, l’ethnie, le clan ou la province» au détriment des critères rationnelles notamment la compétence. 

«Il n’est pas normal que, quand je demande des Gabonais compétents, on ne positionne que des parents ; il n’est pas normal que, nous ne jugions bons que ceux qui sont de notre ethnie. Je me battrais de toutes mes forces, aux côtés de tous les patriotes, pour ne pas laisser de place à ces réflexes rétrogrades qui consistent à défendre ou placer d’abord le membre de sa famille, de son ethnie, de sa province même si celui-ci ne dispose d’aucune compétence, d’aucun mérite», a martelé le président gabonais.

Mais fallait-il 12 mois pour constater ce qui se faisait déjà dès les premières nominations du gouvernement ? La raison invoquée par le Conseil des ministres pourrait aussi n’être qu’un subterfuge pour être en phase avec le remaniement ministériel qui doit intervenir d’ici là. 
En effet, le Conseil des ministres n’a annulé que les nominations des ministères et non celles des institutions. Or, les nominations des institutions sont présentées au Conseil des ministres par le ministre en charge des relations avec les institutions. Il en est de même pour celles des administrations parapubliques qui sont faites par le ministre de tutelle.

Il est certainement plus commode d’attendre que la nouvelle équipe qui va entrer en fonction d’ici peu face des nominations, en tenant compte des contingences politiques actuelles, au regard de l’agenda de 2011. Cette décision suggère que les 12 ministères concernés ne garderont probablement pas leurs titulaires actuels qui auraient failli au respect des «valeurs ou normes de conduites », engagement signé le 12 novembre 2009 par les 30 membres du gouvernement. Mais les 12 sont-ils les seuls ?
 
 


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