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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 06-03-2011 20:22

Le Gabon attend une production de 5,3 millions de tonnes de manganèse en 2012

Le Gabon attend une production de manganèse de 5,3 millions de tonnes en 2012, contre 3,2 millions de tonnes en 2010, grâce à l’arrivée d’un nouvel opérateur chinois dans le secteur jusque-là contrôlé par la Compagnie minière de l’Ogooué (Comilog), filiale du groupe français ERAMET.
 

Conformément à un accord signé en 2010 avec les autorités gabobnaises, en marge de la visite officielle en Chine du président Ali Bongo Ondimba, la société chinoise CICM Huazhou Gabon SA est titulaire d’un permis d’exploitation à Ndjolé, dans le centre du Gabon.

Le lancement des activités de CICM devrait se traduire par une augmentation de 500.000 tonnes par an de la production nationale de manganèse qui devrait ainsi atteindre 3,7 millions de tonnes en 2011, a annoncé la compagnie chinoise, ajoutant qu’à plein régime, Ndjolé produira 800.000 tonnes par an.

Initialement prévu pour 2009 et 2010, le démarrage de la production du manganèse de Ndjolé devrait finalement avoir lieu en juillet prochain, selon l’accord passé entre la compagnie chinoise et l’Etat gabonais qui s’est engagé à prendre en charge la fourniture d’électricité du projet en réalisant sur le site une centrale hydroélectrique.

Selon les termes de cet accord, CICM Huazhou envisage de construire, en collaboration avec la Société d’exploitation du Transgabonais (Setrag), une voie ferrée de chargement pour relier le site d’exploitation à la gare de triage de Ndjolé.

Selon les autorités gabonaises, la mine de manganèse de Franceville, dans le sud-est du Gabon, exclusivement contrôlée par la Comilog, devrait également être opérationnelle en 2012, pour une production attendue de 500.000 tonnes de manganèse par an.

Le géant mondial BHP Billiton, une compagnie australienne, devrait également faire aboutir un projet d’exploitation de manganèse en 2012.

 


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le 06-03-2011 20:08

Direction Bikélé pour les déguerpis de Kinguélé

 

Au lendemain du début des indemnisations des déguerpis de Kinguélé le 1er mars, le ministre de l’Habitat, Blaise Louembé, a annoncé que les familles concernées seront relogés à Bikélé, à l’Est de Libreville.
 
© D.R. / Blaise Louembè
 
Les familles déguerpies dans la perspective du démarrage des travaux de réhabilitation des voies et de désenclavement du quartier Kinguélé, seront relogées à Bikélé. Il s’agit notamment des ayant-droits recensés par la commission interministérielle d’Evaluation du cadre bâti situé dans l’emprise des tronçons ancienne pharmacie de Kinguélé-Gaboprix de Belle-vue 2 (voie N°1) et petit marché de Kinguélé-voie express (voie N°2)», dont le gouvernement a débloqué 300 millions de francs CFA au titre de leur indemnisation.

«Nous sommes en train de faire des zones de relogement à Bikélé qui a été spécialement affectée aux habitants de Kinguélé. Elle est en train d’être viabilisée et dans quelques mois, nous l’aurons finie. Nous avons une autre possibilité de relogement dans la zone Nord de Libreville pour ceux qui le souhaitent», a affirmé le ministre de l’Habitat, Blaise Louembé.

«Les premiers déguerpis ne portent que sur l’emprise de la route, sur les deux voies. Nous allons faire un autre déguerpissement d’envergure pour faire partir tout le quartier de Kinguélé de façon à faire de cette zone un endroit de merveilles», a-t-il poursuivi.

 


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le 04-03-2011 11:37

« Santé sexuelle et de la reproduction et des droits fondamentaux de la jeune fille » pour la célébration le 8 mars prochain

 

Le Gabon a retenu le thème : « Santé sexuelle et de la reproduction et des droits fondamentaux de la jeune fille » pour la célébration le 8 mars prochain de la journée internationale de la femme, indique le communiqué final du conseil des ministres présidé jeudi par le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba.
 

Au cours de cette journée, sont prévus, outre des causeries dans certains établissements secondaires, la remise des layettes et des moustiquaires imprégnés aux nouvelles mamans de la maternité du Centre hospitalier de Libreville (CHL) la plus grande structure sanitaire du pays, précise le communiqué.

Le Gabon à l’instar de la communauté internationale, célèbre le 8 mars prochain cette journée dont le thème énoncé pour le monde entier est : « Accès et participation des femmes et des jeunes filles à l’éducation, à la formation, à la science et à la technologie, y compris à un emploi décent ».

La journée internationale de la femme a vu le jour en 1910 à Copenhague (Danemark) à l’instigation d’une confédération internationale des femmes socialistes qui luttaient pour le droit de vote des femmes.

 
 


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le 04-03-2011 11:36

Rehabilitation des plantations dans le nord du Gabon

 

Le Directeur général de la Caisse de stabilisation et de péréquation (Caistab), Mathias Otounga Ossibadjo, a procédé samedi à Oyem, chef-lieu de la province du Woleu-Ntem (nord) au lancement des travaux de réhabilitation des plantations cacaoyère.
 

L’opération, qui rentre dans le cadre d’un contrat passé entre le Président Ali Bongo Ondimba et les planteurs de la province pour la réhabilitation totale du verger villageois, s’est déroulée à la plantation d’Ewore-Mekok, à une dizaine de kilomètres sur l’axe Oyem- Mitzic, en présence du gouverneur Jean Gustave Meviane m’Obiang et les planteurs.

A cette occasion, le représentant des planteurs, Mme Agathe Okome a exprimé la satisfaction des planteurs et présenté leurs doléances au responsable de la Caistab.

’’De 2008 à 2010, le planteur sort petit à petit de sa précarité, avec la réouverture des centres de collecte et d’achat, la mise en place des équipes itinérantes, l’affectation, encore insuffisante, d’encadreurs, la création des pépinières départementales’’. a-telle déclaré.

Mme Okome a par ailleurs indiqué que l’augmentation du prix d’achat du cacao de 8% reste insuffisante, estimant que ce prix actuellement à 650 FCFA le kilogramme devrait à 1500 FCFA le kilogramme et souhaité également que l’octroi des crédits pour l’entretien des champs de cacaoyers, ainsi que l’approvisionnement régulier des centres d’achats.

Pour sa part, M. Otounga Ossibadjo, a expliqué le role de la CAISTAB dans le partenariat passé entre le chef de l’Etat et les planteurs et fait le bilan du recensement effectué dans la province du Woleu Ntem.

‘’Nous avons entrepris un recensement du 28 janvier au 18 février 2011 pour prendre la mesure de la situation réelle des planteurs et des plantations de cacao dans le Woleu-Ntem, nous avons enregistré 1700 planteurs disposant de 3550 ha de plantation dont 1588 ha sont en exploitation et 1261 ha sont à réhabiliter’’, a-t-il expliqué, déplorant le fait que les jeunes s’intéressent pas à la culture du cacao.

Selon le constat du responsable de la CAISTAB, l’âge moyen d’un planteur est de 60 ans.

En dépit de ce d’intéressement de la population jeune, le Woleu-Ntem demeure la première province du pays pour la culture du cacao.

 


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