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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 03-03-2011 15:54

Regain d’intérêt pour la journée citoyenne à Koula-Moutou

La journée citoyenne organisée tous les premiers mercredis du mois au Gabon a retrouvé un regain d’intérêt à Koula-Moutou, chef-lieu de la province de l’Ogooué-Lolo (sud-est), après quelques semaines de flottement.
 

La 9ème journée citoyenne a été marqué, mercredi, par un sursaut citoyen qui s’est traduit par une appropriation de l’opération par les populations qui se sont adonnés au nettoyage des espaces publics et privés de Koula-Moutou.

La journée a connu une forte participation des agents de l’Etat. Munis de balais, houes, pelles ou autres outils, ils se sont attaqués aux herbes et autres détritus aux abords du complexe administratif, épaulés par les éléments de la 5ème Région militaire.

Les hommes en treillis se sont déployés sur l’avenue de la République partant du Rond Point, de l’ancien palais présidentiel au complexe administratif. Ils ont débarrassé les lieux des hautes herbes qui l’envahissaient.

Sur le flanc droit de l’immeuble abritant les services de la Préfecture, le Préfet Jean Ngomba Yoga, costume noir et cravate rouge rayée de bleu, balai en main, n’a pas dérogé à l’exercice, épaulé pour la circonstance par son secrétaire général et le reste du personnel qui ont nettoyé les environs immédiats du complexe.

La journée citoyenne a été lancée par le président Ali Bongo Ondimba, peu après son accession à la magistrature suprême.

 


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le 03-03-2011 15:52

Le gouverneur du Moyen-Ogooué dénonce l’existence ‘’des éléphants blancs’’ au Gabon

 

Le gouverneur de la province du Moyen-Ogooué (centre), Pascal Yama Lendoye, a fustigé, lundi dernier, l’existence ‘’des éléphants blancs’’ au Gabon, à l’occasion d’une visite dans un centre de formation professionnelle dont les travaux sont interrompus.
 

‘’Ce ne sera plus la même chose au Gabon de trouver des éléphants blancs partout. Cela ne devra plus exister sous l’ère de la politique de l’émergence prônée par le chef de l’Etat’’, a déploré M. Yama Lendoye.

Le gouverneur du Moyen-Ogooué (centre) a crié son indignation en voyant le chantier à l’abandon du centre de formation professionnelle dont les travaux sont réalisés à 30%.

L’entreprise SIM BTP a interrompu les travaux, laissant onze bâtiments inachevés.

Démarré en février 2009, le chantier devait être livre dans 24 mois, indique-t-on.

 


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le 03-03-2011 15:16

La 1ère session ordinaire du Sénat ouverte sur fond d’encouragement au gouvernement

 

Le président du Sénat Rose Francine Rogombé, a procédé mardi à l’ouverture de la première session ordinaire du Sénat sur fond d’encouragement au gouvernement et de la nécessité d’instaurer le dialogue avec la population pour les élus locaux,  en présence, entre autres, du chef du gouvernement, Paul Biyoghé Mba du président de l’Assemblée Nationale, Guy Nzoumba Ndama et des membres du corps diplomatique accrédités au Gabon.

Rose Francine Rogombé, président du Sénat, dans son allocution, pour coller à l’actualité, a salué l’initiative prise par les Nations Unies en collaboration avec les autorités du pays, d’installer un bureau régional à Libreville dont le but est de prévenir et de rester à l’écoute des éventuels conflits dans la sous-région d’Afrique Centrale.

Dans la veine, elle a félicité le premier ministre, Paul Biyoghé Mba pour sa reconduction, ainsi que la nouvelle équipe gouvernementale pour son action dans la mission de développement du pays.

« Nous faisons tous le constat, monsieur le premier ministre, que le pays tout entier est un vaste chantier dans plusieurs domaines. Tout ceci augure de lendemains meilleurs. Toutefois, des efforts importants restent à déployer en vue d’améliorer les conditions de vie de nos concitoyens » a-t-elle déclaré.

Le patron du Sénat gabonais est également revenu sur l’importance et l’impact de la délocalisation des Conseils de ministres. En effet, a-t-elle indiqué, « en mettant ainsi l’arrière pays au premier plan, une telle délocalisation offre l’avantage au chef de l’Etat et au gouvernement de communier avec les populations et de mesurer concrètement l’étendue du travail qui reste à accomplir au titre de l’action publique, afin d’atteindre le statut convenu de pays émergent ».

Pour les sénateurs, cette orientation doit constituer un outil adjuvant à la concrétisation de la politique nationale d’aménagement du territoire national.

Cependant, le président du Sénat n’a pas manqué de revenir sur les troubles survenus dans le pays pendant la période d’intersession parlementaire, notamment l’auto-proclamation d’André Mba Obame comme président de la République. Elle s’est ainsi saisie de l’occasion pour rendre un hommage à la maturité du peuple gabonais qui, une fois encore a su rester respectueux des lois gabonaises, préservant ainsi la paix et la cohésion sociale.

Dans la matinée, l’Assemblée nationale avait été le théâtre d’une scène similaire pour la première session ordinaire de l’année 2011.

 


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le 03-03-2011 15:14

Guy Nzouba Ndama estime qu’il revient à la Cour Constitutionnelle de statuer sur le cas des députés de l’ex UN

 Interrogé sur les présences de deux députés de l’ex Union Nationale lors de la cérémonie d’ouverture de la première session parlementaire de l’année 2011 qui a eu lieu mardi à l’Assemblée Nationale, le Président de cette Institution, a estimé qu’il revient à la Cour Constitutionnelle de statuer sur leur cas.

Les deux députés de l’ex-UN ayant participé à la cérémonie de la rentrée solennelle des députés, sont Zacharie Myboto et Jean Eyeghé Ndong. Ces deux députés, font partis des personnes qui s’étaient réfugiés au siège du PNUD jusqu’au 27 février dernier, suite à l’acte posé par André Mba Obame, député de Medouneu par ailleurs, ancien secrétaire général du parti dissout le 25 janvier dernier où, il s’était auto-proclamé président de la République bis en violation de la loi fondamentale.

Par rapport à leur présence à l’hémicycle de l’Assemblée Nationale, ce matin, le Président de cette Institution, Guy Nzouba Ndama a indiqué que couvert par le mandat du peuple, ils ont le droit de siéger et que par conséquent il revient à la Cour Constitutionnelle de se prononcer sur leur cas après avoir été saisi par les autorités compétentes.

« Il existe un groupe parlementaire des Forces du Changement qui est composé des députés de l’UGDD, du FAR, du CDJ, des Bucherons et de l’Union Nationale (UN). Ce n’est pas à moi de juger de l’opportunité ou non de recevoir des députés d’un parti qui a été dissout : Attendez que les instances habiletés à trancher puissent prendre la décision », a expliqué le Président de l’Assemblé Nationale ajoutant que « Tant que la Cour n’a pas rendu sa décision nous-nous en tenons au fait que ces députés ont été élus et bénéficient d’un mandat et ils sont là ».

Dans un communiqué lu, dimanche dernier en soirée par le ministre porte-parole du gouvernement, Angélique Ngoma, reprécisait que le gouvernement avait saisi les autorités compétentes en vue de statuer sur le sort  de cette affaire.

 


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