Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 26-01-2013 21:08

RUSSIE : Une loi contre la "propagande homosexuelle"

Les députés russes ont adopté, vendredi 25 janvier, en première lecture une proposition de loi controversée punissant tout acte public constituant une "propagande de l'homosexualité auprès de mineurs", un texte critiqué par des militants des droits de l'Homme.

RUSSIE : Une loi contre la "propagande homosexuelle"

Après de brefs débats à la Douma (chambre basse du Parlement), la loi a été votée par 388 voix pour, une contre et une abstention. Des applaudissements nourris ont salué l'annonce du résultat à la Douma, largement dominée par Russie Unie, le parti du président Vladimir Poutine.

La proposition de loi avait été déposée en 2012 par le Parlement de la région de Novossibirsk, en Sibérie, qui l'a déjà adoptée au niveau local et veut de la sorte la généraliser à l'ensemble du pays.

Outre Novossibirsk, d'autres villes, notamment Saint-Petersbourg, deuxième ville du pays, ont adopté des textes similaires, suscitant des critiques en Occident et en Russie de la part d'ONG qui dénoncent une loi homophobe.

"Protéger les mineurs des conséquences de l'homosexualité"

Les militants des droits de l'Homme craignent que la formulation imprécise de la loi ne permette de condamner des personnes manifestant pour les droits des homosexuels ou même se tenant la main en public.

Selon le texte, une personne physique risque de 4.000 à 5000 roubles d'amende (100-125 euros), une personne dépositaire de l'autorité publique de 40.000 à 50.000 roubles (1.000-1.250 euros) et une entité juridique de 400.000 à 500.000 roubles (10.000-12.500 euros).

En introduction des débats vendredi, Sergueï Dorofeïev, député du parti au pouvoir Russie Unie, a déclaré qu'il fallait "protéger les mineurs des conséquences de l'homosexualité", tout en assurant que le texte ne condamnait pas l'homosexualité en tant que telle.

Elena Mizoulina, députée de Russie Juste (centre-gauche), a pour sa part estimé que la propagande de l'homosexualité limitait "le droit des mineurs à se développer librement" et à choisir librement leur orientation sexuelle.

Un crime jusqu'en 1993, une maladie mentale jusqu'en 1999

Les militants homosexuels sont très mal vus en Russie, où l'homosexualité a été considérée comme un crime jusqu'en 1993, et comme une maladie mentale jusqu'en 1999, bien après la chute du régime soviétique (1991).

Selon un sondage de l'institut indépendant Levada datant de 2010, 74% des personnes interrogées pensent toujours que l'homosexualité est soit "immorale" soit le fait d'une "déficience mentale".

Les défilés que les gays essayent d'organiser depuis 2006 sont interdits par les autorités et dispersés sans ménagement par la police.

Une politique de plus en plus répressive

Les observateurs libéraux et les défenseurs des droits de l'homme voient en ce texte une nouvelle manifestation de la politique répressive menée ces derniers temps par les autorités russes.

"Le but réel du projet est de rendre la vie de la communauté homosexuelle de Russie la moins supportable possible", estimait vendredi le quotidien "Vedomosti", dénonçant par ailleurs la "cascade d'interdictions passées l'an dernier au Parlement".

"Le fait qu'en Russie en 2013 on discute de la possibilité d'interdire la 'propagande de l'homosexualité' est en soit le pire verdict qui puisse être prononcé pour les perspectives du pays", ajoute-t-il.

Des altercations

Quelques heures avant le début de l'examen de la loi, des altercations se sont produites devant le bâtiment de la Douma, en plein centre de Moscou.

    Des militants orthodoxes ont lancé des oufs et de la peinture sur des défenseurs de la cause homosexuelle qui s'étaient rassemblés devant le bâtiment de la chambre basse du parlement russe pour protester contre ce texte.

Une vingtaine de militants homosexuels ont par ailleurs été interpellés par la police au motif que leur rassemblement n'était pas autorisé.

 


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le 23-01-2013 14:51

Concertation entre le President de la Republique et la classe politique


 

 

Comme il l’avait promis lors de la présentation des vœux de Nouvel An, le Président de la République, Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba a réuni, le 22 janvier 2013 à Libreville, la classe politique nationale afin de réfléchir sur la suite à donner, par apport à la présidence gabonaise de la Cemac, l’implication et l’accord de tous sur les modalités de la mise en application de la Biométrie dans le système électoral national, sans oublier la réactualisation en vue de son opérationnalité, du Conseil National de la Démocratie (CND).

 

 

 

L’opposition et la Majorité sont venus très nombreux et pris d’assaut, la salle de spectacles de la Cité de la Démocratie afin de prendre part à la concertation politique initiée par le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba. Aux côtés des membres du gouvernement conduits par le Premier ministre, Chef du gouvernement, Raymond Ndong Sima, il y avait plusieurs personnalités dont les représentants de l’Assemblée Nationale en la personne du Professeur Daniel Ona Ondo, du Senat, par Léonard Andjembé, le Conseil Economique et Social (C.E.S), par son Président Paul Biyoghé Mba et le Président du Conseil National de la Communication (CNC), Guy Bertrand Mapangou.

Dans son allocution de circonstance, Ali Bongo Ondimba qui s’est réjoui de la promptitude avec laquelle les uns et les autres avaient répondu massivement à son invitation a salué l’esprit républicain qui les a animés et a précisé que l’intérêt supérieur de la nation avait primé sur les considérations politiciennes. Il a par la suite expliqué les enjeux de la présente rencontre tout en souhaitant que chacun s’extirpe et donne le meilleur de lui-même en vue de faire avancer les dossiers proposés.

Rappelant au passage les circonstances ayant milité pour la remise à l’état des rudiments de la Démocratie, il a déploré que les contestations permanentes aux sorties des consultations aient malheureusement éloigné les citoyens des urnes, au point de les détourner purement de la politique. Il a rappelé que, depuis les accords de Paris, suivis de celles d’Arambo, plusieurs entités (CNE, CENAP) qui se sont succédées ont connu des fortunes diverses avec à chaque fois, des récriminations des hommes politiques.

Pour le Chef de l’Etat, le changement à répétition des arbitres n’a pas toujours facilité l’acceptation des résultats des votes et ce, malgré la bonne volonté et la qualification avérée des différents acteurs. D’où la nécessité pour tous de s’accorder en vue de la mise en branle de la biométrie dans le système électoral actuel.

Pour ce qui concerne le Conseil National de la Démocratie (CND), Ali Bongo Ondimba a déclaré qu’il pouvait représenter un cadre idéal d’échanges entre acteurs en vue de garantir un débat contradictoire ; lui-même important pour la vitalité d’une démocratie. De même que le Chef de l’Etat a laissé entendre que nulle part au monde, la Démocratie n’était une œuvre achevée car, elle nécessite une amélioration quotidienne.

Quant à la mise en place de la commission nationale de la Cemac, Ali Bongo Ondimba a manifesté un intérêt capital en ce que les enjeux communautaires étaient importants pour le rayonnement du Gabon sur le plan international. Il a pour cela invité les différents acteurs à prendre à bras le corps cette invite afin de rehausser, comme l’avait toujours fait en son temps, son prédécesseur à la tête de l’Etat, le flambeau diplomatique du Gabon.

Il a aussi demandé à ses interlocuteurs de lui proposer une feuille de route Cemac à même de répondre aux aspirations des intérêts régionaux. Au terme de son allocution, les représentants de chaque bord politique se sont exprimés sur les attentes du Chef de l’Etat.

Le premier à prendre la parole fut le Secrétaire Permanent de la Majorité Républicaine pour l’Emergence, M. Faustin Boukoubi. Il a regretté qu’aucun camp n’ait été averti pour l’intervention durant la présente cérémonie. Il a cependant exprimé la gratitude de la majorité envers le Chef de l’Etat et a salué son initiative qui va dans le sens de raviver le dialogue entre les acteurs politiques nationaux. Pour lui, le cadre de concertation patriotique ne peut qu’être louable dans la mesure où il démontre que, bien que chacun ait sa manière, tous aiment le Gabon. In fine, nul n’a le monopole de l’amour du Gabon.

Pour Maître Louis Gaston Mayila qui s’exprimait au nom de l’Union des Forces du Changement (UFC), l’initiative du Chef de l’Etat est salutaire et devrait être encouragée par tous car, c’est une aubaine pour les différents acteurs politiques d’échanger sur les principaux sujets à l’ordre du jour. Aussi, a-t-il félicité ceux des acteurs ayant répondu à l’appel du Président de la République. Il a par ailleurs affirmé que son groupe apportera sa modeste contribution dans les différentes commissions afin d’atteindre des objectifs escomptés. 

Au terme des interventions des uns et des autres, le Président de la République a procédé à l’installation du Président de la Commission nationale de la présidence du Gabon à la Cemac en la personne de M.Jean Pierre Lemboumba Lepandou. Il a donné quelques indications aux membres des différentes commissions en leur proposant de faire appel, si possible, aux compétences neutres en vue de maximiser le résultat de leurs travaux.

Il faut rappeler que les commissions seront composées de dix membres pour chaque camp, soit 20 personnes au total et que les conclusions générales pourront être remises vers le 15 février 2013.

 

Source:  Gouvernement Gabonais


 


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le 20-01-2013 00:30

Communiqué final du conseil des ministres du Vendredi 18 Janvier 2013

A l’entame destravaux, Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat,Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, dans son souci de poursuivre laconcrétisation des actions prioritaires contenues dans le Plan StratégiqueGabon Emergent (PSGE), a décidé de la création d’un Bureau deCoordination, de Suivi et d’évaluation du Plan Stratégique « GabonEmergent », dénommé (BCPE). 

 

  

 

 

Placé sous l’autoritéde Son Excellence, Monsieur le Président de la République, Chef del’Etat, le Bureau de Coordination, de Suivi et d’évaluation du PlanStratégique Gabon Emergent, nouvel outil de gestion publique, vientcompléter les dispositifs administratifs et gouvernementaux existants. A cetitre, il vise le renforcement de la gouvernance du Plan Stratégique GabonEmergent. 

Par la suite, Monsieurle Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence AliBONGO ONDIMBA est revenu sur les lenteurs observées dans laréalisation des projets hydroélectriques des Chûtes de FE II à Mitzic et del’Impératrice Eugénie à Fougamou ; projets annoncés les 20 Décembre 2010et 04 Octobre 2011 à la faveur des Conseils des Ministres délocalisés. A ceteffet,Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat,Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a instruit le Premier Ministre, Chefdu Gouvernement et les Ministres concernés, de tout mettre en œuvre pourl’aboutissement, dans les meilleurs délais, de ces deux (2) projets, en termede : 

-garantiede financement ;

-maîtrisedes engagements ;

-répartitiondes parts en conformité avec les exigences internationales ;

-garantiedu retour au domaine de l’Etat de ces infrastructures, dans un délai compatible avec les engagements de chaque partie.

 

De plus, Monsieurle Président de la République, Chef de l’Etat, a vivement déplorél’effectif trop important de la population carcérale en situationpréventive. 

Aussi, Monsieur le Présidentde la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA autilement rappelé que la détention est une mesure exceptionnelle. Elle ne peutêtre ordonnée ou maintenue que : 

-lorsqu’elleest l’unique moyen de conserver les preuves, les indices matériels oud’empêcher, soit une pression sur les témoins ou les victimes, soit uneconcertation frauduleuse entre les inculpés et complices ; 

-lorsqu’elleest nécessaire pour préserver l’ordre public du trouble causé par l’infraction,pour mettre fin à ce trouble, pour prévenir son renouvellement ou pour garantirla représentation de l’inculpé devant la justice.

 

Monsieur le Président de laRépublique, Chef de l’Etat a instruit, sans délai, le Ministre de la Justice,Garde des Sceaux, des Relations avec les Institutions Constitutionnelles et desDroits Humains à :

 

-luicommuniquer la liste des détenus préventifs existants dans chaque prison dupays, l’état de leurs dossiers, ainsi que la liste des Cabinets chargés de lesinstruire ; 

-poursuivrel’organisation des sessions criminelles en cours et organiser des sessionscriminelles extraordinaires et des audiences foraines afin d’apurer lesdossiers des détenus en attente de jugement ; 

-assurerun suivi rigoureux et soutenu des dossiers délictuels concernant les détenus enattente de jugement ;

 

Tout Magistrat ouAuxiliaire de Justice, qui se rendrait responsable de détentions préventivesarbitraires ou de disparition de dossiers, devra en répondre devant l’instancedisciplinaire. 

Sur un tout autre plan, leConseil des Ministres s’est félicité du renforcement du rayonnement de notrepays, et de la confirmation de l’aura du Gabon à travers :

 

-l’actiondiplomatique menée, de par le monde, par Monsieur le Présidentde la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA dansle cadre d’un partenariat gagnant-gagnant ; 

-l’implicationpersonnelle de Monsieur le Président de la République, Chefde l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA dans la résolution desconflits qui minent la sous-région africaine et qui sévissent de par lemonde ; 

parla pratique du sport, facteur de cohésion des peuples.

 

Le -Conseil des Ministress’est réjoui, pour en prendre encore la mesure, de la paix, de la stabilitépolitique et de la cohésion nationale dont bénéficie notre cher pays, cinquantedeux (52) ans durant, grâce aux efforts déployés par les bâtisseurs de laNation que sont les Présidents Léon MBA et OmarBONGO ONDIMBA

Ces efforts, pour servir lapaix, sans laquelle rien ne peut se construire, ont été inlassablement déployéset soutenus par Monsieur le Président de la République,Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, en gérant la somme desdifférences qui participe à la consolidation de l’état de droit, aurenforcement du socle social. 

Concernant la crisepolitico-militaire, qui sévit en République Centrafricaine, le Conseil desMinistres a vivement salué la capacité des Etats d’Afrique Centrale, à réglerleurs problèmes. 

La concertation des Chefsd’Etat, Son Excellence Denis SASSOU NGUESSO du Congo, SonExcellence Théodoro OBIANG NGUEMA MBAZOGO de Guinée-Equatoriale, SonExcellence Ali BONGO ONDIMBA du Gabon, Son Excellence FrançoisBOZIZE de Centrafrique, concertation dirigée par SonExcellence Idriss ITNO DEBI du Tchad, Président en exercice de laCommunauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC), a scellé le retourà la paix.

 

La force multinationaled’Afrique Centrale qui compte plusieurs centaines de militaires en Afriquedirigée par notre compatriote, le Commandant AKAGHA, a pour missionde consolider la paix. 

Le Conseil des Ministress’est félicité du succès diplomatique engrangé sur la terre gabonaise afin deramener la paix en République sœur de Centrafrique. 

Libreville, notre capitale,se distingue depuis longtemps comme la place de la paix dans notre sous-région.

 

Pour Monsieur le Présidentde la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, lasituation en Centrafrique ne saurait laisser indifférent le Gabon.

 

Le Président en exercice dela Communauté Economique et Monétaire d’Afrique Centrale, SonExcellence Ali BONGO ONDIMBA, apôtre de la paix, a vivement réclamé demettre un terme aux souffrances des populations de Centrafrique ;rappelant par là même son devoir de solidarité ; démontrant ladisponibilité de son pays dans la préservation de la paix. 

Le Conseil des Ministres aapprécié les positions prises par les partenaires, notamment, le Conseil deSécurité des Nations Unies, la Commission de l’Union Africaine, la France enfaveur du retour au dialogue et à la paix. 

L’accord de cessez le feu,le maintien de l’actuel Président du Centrafrique, Son ExcellenceFrançois BOZIZE au poste ; la formation d’un Gouvernement de transition,d’union nationale, constituent une victoire pour la Communauté d’AfriqueCentrale et un succès diplomatique pour le Gabon. 

Suite à la visite effectuéedu 24 au 26 Mars 2011, dans notre pays, par Son Excellence Abdullah GÜL,Président de la République de Turquie, Monsieur le Premier Ministre Turc ReceptTAYYP ERDOGAN a séjourné au Gabon du 06 au 08 Janvier 2013.

 

Le Premier Ministre, SonExcellence Recept TAYYP ERDOGAN a conduit une forte délégationcomposée de quatre (4) membres de son Gouvernement, et de près de trois cent(300) hommes d’affaires. 

Il est essentiel de noterque la Turquie est la 17ème puissance économique mondiale.C’est un grand pays industriel et grand exportateur de produitsagricoles. 

Ce grand pays qu’est laTurquie vient, par son Premier Ministre, offrir son expérience au pays frère duGabon, aux fins de bâtir une coopération solide basée sur un partenariatgagnant-gagnant.

 

Monsieur le PremierMinistre de Turquie, Son Excellence Recept TAYYP ERDOGAN avoulu décliner, devant l’Assemblée Nationale, la coopération que compte menerson pays et les possibilités de partenariat dans le cadre du PlanStratégique Gabon Emergent. 

Au terme de cette visited’amitié et de travail, des accords ont été signés tant dans le cadre de lacoopération touristique, diplomatique, ainsi que dans le cadre de la formationtechnique et scientifique.

 

Le Conseil des Ministressalue la formalisation et l’accélération que connaissent les relations decoopération. 

Enfin, le Conseil desMinistres s’est réjoui du chemin parcouru par la Petite Reine « AMISSABONGO ». La compétition organisée par l’UnionCycliste Internationale, confirme sa renommée au fil des étapes. 

L’étape « Bitam auGabon - Ebolowa au Cameroun », qui s’étend sur une distance de 845 Km, constituela 8ème édition de la Tropicale AMISSA BONGO, qui rassemble etfait vibrer nos populations dans la concorde.

 

AU TITRE DES PROJETS DETEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES

 

MINISTERE DE L’INTERIEUR,DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION

 

Monsieur le Ministre aprésenté au Conseil des Ministres, qui l’a approuvé, un projet de décret prisen application des dispositions de l’article 51 de la Constitution et portantréorganisation de la Commission Nationale des Fêtes de l’Indépendance dénommée« Gabon Indépendance ».

 

Le texte susmentionnéprécise les missions de « Gabon Indépendance », notamment :

 

-réaliser,à l’occasion de la célébration de la fête du 17 Août, des investissementsnécessaires au développement économique, social et culturel dans les provincesabritant cette célébration ; 

-organiserdes festivités relatives à cette célébration.

 

Aussi, « Gabonindépendance » est organisé ainsi qu’il suit :

 

-laCommission Nationale de Coordination ; 

-leComité Exécutif qui gère le Bureau Directeur ainsi que le SecrétariatPermanent composé du Comité National des Fêtes et des Comités Provinciaux.

 

MINISTERE DE LA DEFENSENATIONALE

 

Sur présentation deMonsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décretportant création et organisation de la Commission Permanente de Sécurité.

Pris en application desdispositions de l’article 33 de la loi n° 004/98 du 20 février 1998portant organisation générale de la Défense Nationale et de la Sécurité Publique,la Commission Permanente de Sécurité est placée sous l’autorité de Monsieur leMinistre en charge de la Défense Nationale. 

A cet effet, la CommissionPermanente de Sécurité a pour mission de coordonner les plans sécuritairesspécifiques et de sécuriser les évènements majeurs organisés sur l’ensemble duterritoire national. 

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DEL’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Sur présentation deMonsieur le Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet dedécret portant réorganisation de la Direction Générale des MarchésPublics, pris en application de la loi n° 020/2005 du 03 Janvier 2006fixant les conditions de création, d’organisation et de gestion des servicespublics.

 

Le projet de décret susvisés’articule autour de trois (3) chapitres :

 

-lechapitre I énonce les attributions de la Direction Générale des MarchésPublics ; 

-lechapitre II décrit le cadre organisationnel, à savoir, les services d’appui,les services centraux, les délégations provinciales ainsi que les cellules depassation des Marchés Publics ; 

-lechapitre III traite des dispositions finales.

 

EN MATIERE DE POLITIQUEGENERALE 

 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE,DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

 

Monsieur le Ministre a faitau Conseil des Ministres, le rapport d’étape des concertations entre leMinistère en charge des pêches, la Commission « Gabon Bleu », ainsique les opérateurs du secteur afin d’asseoir une stratégie de développementdurable de la pêche dans notre pays.

 

Au terme de cette premièrephase, des Commissions composées des responsables des administrations, despêcheurs et des partenaires ont été mises en place. Il s’agit de :

 

-laCommission sur les conditions d’accès à la ressource ;

-laCommission sur les zones de pêche ;

-la Commissionsur les bonnes pratiques ;

-laCommission sur les procédures juridiques.

 

AU TITRE DES MISSIONS,SEMINAIRES ET CONFERENCES

 

MINISTERE DE L’AGRICULTURE,DE L’ELEVAGE, DE LA PÊCHE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL

 

Monsieur le Ministre asollicité et obtenu du Conseil des Ministres, l’autorisation pourl’organisation, le 31 Janvier 2013, à Libreville, d’une table ronde qui aurapour thème : « Le rôle des Gouvernements dans l’intensification desimpacts positifs de l’industrie agricole ».

 

MINISTERE DE L’ECONOMIE, DEL’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE

 

Le Conseil des Ministres amarqué son accord à Monsieur le Ministre pour la tenue de la 2ème AssembléeGénérale de l’Agence des Cafés Robusta d’Afrique et de Madagascar (ACRAM), les30 et 31 Janvier 2013, à Libreville.  

Le Conseil des Ministres aautorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres duGouvernement. 

La notification de chaquemission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général duConseil des Ministres. 

 

Enfin, le Conseil desMinistres a entériné les mesures individuelles suivantes :

 

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

 

Bureau de Coordination duSuivi et d’Evaluation du Plan Stratégique Gabon Emergent (BCPSGE)

 

-CoordonnateurGénéral : M. Pacôme MOUBELET BOUBEYA.

-Coordonnateurs Généraux Adjoints :

MM. 

-Yves Fernand MANFOUMBI ;

-Jean MINKO.

 

PRIMATURE

 

Département Economieet Finances

 

-Conseillerau Département Economie et Finances : M. Symolin ONDO METO’O,Administrateur Economique et Financier, en remplacement de M. Paul HenriNGUEMA MEYE

MINISTERE DES AFFAIRESETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DUNEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE

 

AmbassadeurExtraordinaire et Plénipotentiaire de la République Gabonaise près la Républiquede Namibie avec résidence à Luanda en Angola : Son Excellence MonsieurFrançois MOUELY KOUMBA.

 

MINISTERE DE LA PROMOTIONDES INVESTISSEMENTS, DES TRAVAUX PUBLICS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITATET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE

 

Compagnie de Navigation Intérieure (CNI)

 

DirecteurGénéral : M. François OYABI, en remplacement de M. LéonFOLQUET.

 

Haute Autorité de Sûreté etde Facilitation de l’Aéroport Léon MBA

 

SecrétairePermanent : Colonel Noël NGABIMA, en remplacement du Général Constant EKOMI.

 

  FIN.


 


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le 18-01-2013 22:41

La Vérité sur les Conditions d'Entrée Clandestine de la Journaliste Magali Serre(France 3) sur le Territoire Gabon

A la suite de la diffusion du magazine "Pièces à Conviction", mettant une fois de plus le Gabon au centre de la polémique, plusieurs points d'ombre persistaient quant aux conditions dans lesquelles, l'auteur de cette parodie outrageante a pu pénétrer sur le territoire gabonais. 

En effet, la reporter de la chaine régionale France 3,  n'est pas entrée au Gabon avec un visa délivré par les services consulaires gabonais tel s'en défendent les "amis gabonais" de la journaliste. Car si Magali Serre a bel et bien déposé une demande de visa au Consulat Général du Gabon à Paris, sa demande n'a toutefois pas été retenue.
 
Sur les Conseils de Marc Ona et de Jean Christophe Owono Nguema, elle est allée introduire une demande de visa au Consulat du Cameroun en France. C'est avec ce visa qu'elle a réussi à arriver à Yaoundé.
 
Cependant, comment a-t-elle fait alors pour arriver au Gabon?
 
Au lendemain de l'arrivée de la française à Yaoundé, Jean Eyeghe Ndong, Ancien Premier Ministre gabonais est de retour du Cameroun avec une passagère de plus. Celle-ci est de type européen, une brune.

 

Aux policiers d'Eboro qui lui font les signes de s'arrêter pour procéder aux formalités policières, Monsieur Eyeghe Ndong répond  violemment en lançant son 4x4 sur le barrage et les policiers. Le barrage est forcé et MonsieurEyeghe Ndong fonce tout droit sur BitamLes policiers se retiendront d'ouvrir le feu par respect pour ses anciennes fonctions de Premier ministre.
 
A l'entrée de la ville, les autres flics, informés de ce qui venait de se passer à Eboro, tentent à nouveau de l'interpeller , l'ancien Premier Ministre, un notable âgé de 66 ans, emploie la même tactique et réussit encore à forcer le barrage pour bien accomplir son nouveau métier de passeur d'immigrés clandestins .

 

Et c'est ainsi que la reporter de France 3 est entrée au Gabon. Toute autre version n'est que poésie.

 

Question: Que dira demain France 3 lorsque Jean Eyeghe Ndong sera entendu par la justice pour complicité d'immigration clandestine? Que le Gabon est "une dictature émergente"!N'est-ce pas? Apparemment l'affaire de l'Arche de Zoé n'a pas servi de leçons...
 
A suivre...
 

Sources:La Griffe


 


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