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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 27-04-2011 16:00

L’Etat gabonais doit 18 milliards de FCFA à la SEEG


 La Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG) a demandé à l’Etat gabonais de s’acquitter de sa dette de 18 milliards de FCFA, représentant notamment les consommations de 2009 et 2010.
 

Le gouvernement n’a pas encore réagi à la nouvelle mise en demeure qui lui a été adressée, au début de ce mois, par la SEEG qui exigeait une réponse dans les 15 jours, délai largement dépassé aujourd’hui.

Par ailleurs, dans un audit dont les résultats ont été publiés en février dernier, la SEEG a indiqué avoir rempli ses engagements et obligations, en termes d’investissements ou encore d’augmentation du taux de couverture, contenus dans le contrat de concession signé avec l’Etat gabonais en 1997.

‘’Les conclusions du rapport permettent de nourrir utilement les discussions entre l’autorité concédante et le concessionnaire, afin d’apporter les améliorations nécessaires à la concession et garantir l’avenir du secteur’’, avait indiqué la SEEG.

Dans sa réaction, le gouvernement avait affirmé que l’Etat a entrepris, sous la supervision du ministère de l’Energie et des Ressources hydrauliques, de combler le retard pris dans la réalisation des investissements dits restructurants, nécessaires pour répondre à l’augmentation de la demande, notamment celle émanant des ambitieux projets du Gabon Emergent.

Le 4 décembre 2009, le gouvernement gabonais, excédé par les perturbations récurrentes enregistrées dans la distribution de l’eau et de l’électricité à Libreville, avait décidé de la révision du contrat de concession signé en 1997 et qui court jusqu’en 2017.

Dénonçant l’obsolescence des termes d’un contrat signé il y a plus de 12 ans qui ne seraient plus adaptés aux besoins énergétiques croissants du marché national, les pouvoirs publics avaient notamment réclamé un audit de la SEEG qui devait déboucher sur une révision de la convention et de ses avenants.

Ils avaient également demandé la mise en place en 2010 d’une Agence de régulation du secteur de l’eau et de l’électricité, chargée du contrôle et de la planification des capacités d’adduction d’eau et de distribution d’électricité sur toute l’étendue du territoire national.

Aux récriminations de l’Etat, la SEEG avait répondu par la mise en place d’un ambitieux programme de renforcement des capacités de production et de distribution de l’eau et de l’électricité à Libreville et ses environs.

 


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le 27-04-2011 15:59

Tata Chemicals va injecter 130 milliards de FCFA dans la construction d’une usine de fabrication d’engrais au Gabon


 Le géant indien Tata Chemicals a fait part de son intention de participer, avec la multinationale Singapourienne Olam international limited, au projet de construction d’une usine d’engrais dans la zone franche de l’Ile Mandji, au nord de Port-Gentil, la capitale économique du Gabon, chef-lieu de la province de l’Ogooué-Maritime (ouest).
 

Le groupe indien compte injecter près de 130 milliards de FCFA pour acquérir 25% du capital de la coentreprise entre Olam, dont la part va passer de 80 à 62,9% et le gouvernement gabonais, dont la participation tombera de 20 à 12%.

L’intérêt du groupe indien, troisième producteur mondial de carbonate de soude, est profiter des très bas prix du gaz naturel au Gabon, pays ayant conclu, le 13 novembre 2010, avec le groupe Olam, un contrat de 1,5 milliard de dollars pour la construction d’une usine de production d’engrais dans la zone franche de l’Ile Mandji à Port-Gentil.

L’usine qui sera bâtie sur une superficie de 120 hectares pour une production annuelle estimée à 1,3 millions de tonnes d’urée, va générer 300 à 400 emplois directs et près de 2000 emplois indirects.

Le projet vise à préparer l’après-pétrole dans une province de l’Ogooué-Maritime dont l’économie repose essentiellement sur l’exploitation du brut, indique-t-on.

 


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le 27-04-2011 15:57

Privée de vols sur Paris, Gabon Airlines se contente des vols domestiques

a compagnie privée aérienne gabonaise, Gabon Airlines, héritière de l'ancienne compagnie nationale Air Gabon, privée de vols sur Paris, se contente des vols domestiques.

Un appareil de type ATR 42 en leasing lui permet de développer ses liaisons domestiques.

Le 13 mars dernier, la compagnie a relancé ses vols sur Port- Gentil, cité pétrolière et capitale économique du Gabon. C'est la liaison aérienne la plus rentable au Gabon du fait des activités pétrolières.

A partir du 2 mai, la compagne ouvre la desserte de Franceville au sud est du Gabon. 4 vols hebdomadaires assureront cette desserte les lundi, mercredi, vendredi et dimanche.

L'ATR 42 exploité par Gabon Airlines est revenu d'Afrique du Sud où il a subi une révision générale. L'année dernière, l'appareil a transporté plus de 22.000 passagers entre Libreville et Port-Gentil.

Née sur les cendres de l'ancienne compagnie nationale Air Gabon, Gabon Airlines assure principalement les dessertes Libreville - Paris - Marseille - Libreville avec son unique Boeing 767-200. L'avion est actuellement en révision chez le constructeur. 
 


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le 27-04-2011 15:55

Cote d'Ivoire: une émissaire du président gabonais à Abidjan


 La secrétaire générale de la présidence gabonaise devait se rendre mercredi à Abidjan pour remettre un message du président Ali Bongo Ondimba à son homologue Alassane Ouattara, a annoncé la présidence.

"Mme Laure Olga Gondjout (...) se rendra à Abidjan porteur d'un message de son excellence Ali Bongo Ondimba à son homologue et frère son excellence le docteur Alassane Ouattara", a affirmé à l'AFP un porte-parole de la présidence, ne donnant pas d'indication sur le contenu du message.

Mme Gondjout avait effectué une tournée dans la sous-région début avril alors que le Gabon, membre non-permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, a approuvé l'intervention de l'Onuci, la froce de l'ONU en Côte d'Ivoire.

Le 5 avril, le président Bongo avait confié s'être entretenu avec les présidents américain Barack Obama et français Nicolas Sarkozy sur la crise ivoirienne.

"La Côte d'Ivoire a besoin de paix et de calme et il faut déjà entrevoir l'avenir avec la reconstruction et la réconciliation. C'est pour cela que des événements tragiques peuvent rendre encore plus difficiles cette réconciliation", avait affirmé M. Bongo, soulignant vouloir "éviter une fin tragique pour Laurent Gbagbo" ainsi qu'un "bain de sang pour son pays".

M. Ouattara s'est souvent rendu au Gabon par le passé quand il était dans l'opposition.

La chute de Laurent Gbagbo, le 11 avril, est intervenue à l'issue de plus de quatre mois d'une crise née de la présidentielle du 28 novembre 2010, et de dix jours de guerre dans la capitale économique.

Près de 1.000 personnes ont été tuées dans des violences lors de la crise post-électorale en Côte d'Ivoire, selon les Nations unies.

 


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