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le 20-08-2010 22:42

Ouverture prochaine d’une ambassade du Gabon en Ethiopie


Le Gabon ouvrira dans un avenir proche, une ambassade en Ethiopie, au terme d’un accord paraphé en marge de la célébration de la fête nationale du Gabon entre les chefs de la diplomatie de deux pays, a appris vendredi, notre federation de source diplomatique gabonaise.

Cet accord a été signé au palais présidentiel sous la supervision du Premier ministre éthiopien, Meles Zenawi ayant assistés aux festivités marquant le cinquantenaire de l’indépendance du Gabon et du président gabonais, Ali Bongo Ondimba. Cet prévoit que l’ambassade d’Ethiopie en Côte d’Ivoire aura désormais juridiction sur le Gabon.

Hormis cet accord, un autre accord a porté sur le flux migratoire entre les deux pays. Désormais ressortissants de ces deux pays seront exemptés des visas pour les détenteurs des passeports diplomatiques et de services.

Le Gabon a actuellement une représentation diplomatique à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne mais accréditée auprès de l’Union africaine (UA) et la Commission économique pour l’Afrique, rappelle-t-on.
 


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le 20-08-2010 01:44

Une accélération à 4,5 milliards de dollars pour l’«émergence»


Dans le cadre de la matérialisation du Gabon émergent, le président Ali Bongo a présidé le week-end dernier, une cérémonie de signature d’accords avec et des multinationales de l’Inde et de Singapour pour un montant total de 4,5 milliards de dollars. Ces accords concernent notamment les infrastructures routières, la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok ou encore les logements sociaux.
 
© 4,5 milliards de dollars, c’est le montant des accords de financement d’investissement entre le Gabon et des multinationales de l’Inde et de Singapour, dont la signature a été paraphée le week-end dernier à Libreville sous la présidence d’Ali Bongo.
 
4,5 milliards de dollars, c’est le montant des accords de financement d’investissement entre le Gabon et des multinationales de l’Inde et de Singapour, dont la signature a été paraphée le week-end dernier à Libreville sous la présidence d’Ali Bongo.

Les investissements concernent 1000 kilomètres de routes avec la réfection intégrale de la route nationale qui dessert l’essentiel du pays, la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok, à 27 kilomètre de Libreville, dédiée à la transformation du bois. Des palmeraies dans les savanes de Mouila et Tchibanga, dans le Sud, vont être également financées grâce à ces accords.

Véritable nœud gordien, le social n’est pas en reste puisque ces accords concernent également la construction de 5000 logements sociaux à coût modéré à Libreville. Tout ces investissements sont prévus pour générer un total de plus de 50.000 emplois directs et indirects au cours des diverses phases de mise en œuvre, selon les autorités gabonaises. Un beau programme en perspective
 


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le 19-08-2010 23:23

Discours d’Ali Bongo ondimba à la Nation à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance du Gabon


Nous publions in extenso le discours du chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba prononcé lundi à la veille de la célébration du cinquantième anniversaire de l’indépendance du pays.

Gabonais, Gabonaise, Chers compatriotes

Nous allons célébrer, demain 17 août 2010, le Cinquantième anniversaire de l’accession de notre pays, le Gabon, à la souveraineté internationale.

C’est pour chacun d’entre nous un très grand jour qui doit nous réjouir et que nous devons commémorer avec ferveur dans l’unité, la paix et la concorde nationale.

A l’heure où la Nation atteint ses cinquante ans d’indépendance, il me revient le grand honneur d’évoquer en cette circonstance tout à fait particulière, la mémoire du père de l’indépendance, le président Léon Mba, premier président de la République gabonaise. Le Gabon et les Gabonais lui seront toujours reconnaissants d’avoir conduit notre pays vers l’indépendance avec une très grande sagesse.

Nous devons ensuite nous souvenir du président Omar Bongo Ondimba, deuxième président de notre République qui nous a quitté, il y a à peine un an et qui a été le grand artisan de la modernité de notre pays.

Il a bâti la paix, consolidé l’unité nationale et construit l’Etat sur des bases solides, nous léguant ainsi un grand et lourd héritage à protéger et à conserver.

Mers chers compatriotes, 

Au-delà du caractère festif de ce grand jour, il est un devoir de mémoire, celui de se souvenir de ce qu’était le Gabon pendant la colonisation : un simple lieu d’exploitation du bois et de ressources minières au bénéfice de l’ancien colonisateur ; au point qu’à l’indépendance, le Gabon n’hérita de rien, malgré le potentiel forestier et minier don il disposait déjà à cette époque.

Tout ou presque était à construire.

Il a fallu donc se mettre résolument au travail, avec le peu de cadres disponibles à cette époque, pour bâtir un Etat, le doter d’infrastructures indispensables pour sa modernisation : écoles, universités, hôpitaux, aéroports, chemin de fer, etc. Ce sont là les acquis du travail des Gabonaises et Gabonais, qu’ils soient d’origine, d’adoption ou venus d’ailleurs, et qui ont choisi de vivre dans notre pays.

Au prix de multiples efforts et sacrifices, ils ont construit avec amour et dévouement, pierre par pierre notre pays. Chacun a pu, à son époque et avec son style, donner le meilleur de lui-même pour bâtir l’Etat et la Nation en se fondant sur les valeurs essentielles que sont l’Union, le Travail et la Justice, fondement de notre République.

Mes chers compatriotes,

Ces valeurs qu’ils nous ont léguées et que nous avons su préserver restent l’adjuvant nécessaire de notre cohésion nationale et de notre stabilité politique reconnues et appréciées par la communauté internationale.

Il nous est certes arrivé de nous quereller, de nous disputer, mais nous sommes toujours parvenus, malgré tout, à rester unis, grâce à la hauteur d’esprit et à la forte volonté collective de préserver les fondements de notre vivre-ensemble.

C’est le fait d’un certain discours politique et d’une certaine pratique du pouvoir, mettant l’accent sur ce qui unit plutôt que sur ce qui divise. Il faut aussi y voir le résultat d’une éducation à la tolérance reçue en héritage, et transmise de génération en génération, et qu’il importe de préserver jalousement des démons de la division, notamment ethnique.

En 50 ans d’indépendance, notre pays a forgé et consolidé des institutions dont nous pouvons être fiers. La gestion sereine et exemplaire de la transition que nous avons vécue l’année dernière est l’illustration parfaite de leur solidité et de la qualité des femmes et des hommes qui l’ont conduite. C’est l’occasion pour moi, de rendre un vibrant hommage à Madame Rose Francine Rogombé qui a dirigé cette transition avec bonheur.

Force est de reconnaître que tous les aînés qui ont amorcé la construction de notre pays ont fait leur part du travail, c’est à nous de faire davantage, loin de l’égoïsme et des sectarismes. Il nous appartient de nous adapter à notre époque, une époque caractérisée par la compétence, la compétitivité, l’excellence, la culture de la bonne gouvernance, et dépassement de soi. Cette œuvre de construction engage et concerne chaque Gabonais. Car, ce pays est patrimoine commun inaliénable dont la préservation et le développement n’incombent pas à la seule élite dirigeante.

Conscient de la confiance que vous m’avez faite, des défis à relever, autant que des devoirs et de responsabilités de ma charge, je vous ai proposé de bâtir un avenir commun avec comme ambition ultime de faire du Gabon un pays émergent, à l’instar de certains pays d’Asie, d’Amérique et d’Afrique qui ont inventé leur chemin.

L’émergence n’est donc pas un slogan, un effet de mode ou une invention magique. Les critères qui permettent d’accéder à ce statut sont objectifs et connus des spécialistes en la matière ; il y en a plusieurs qui permettent en définitive d’évaluer la qualité dans 5 secteurs : L’éducation, l’économie, le développement durable, infrastructures et réseaux ; le développement humain, notamment la santé.

Dans ce domaine précis, il me plait d’encourager les acquis que constituent la mise en place de l’Assurance maladie obligatoire, de la construction en cours de l’Institut de Cancérologie d’Agondjé qui nous permettra désormais de traiter sur notre sol les maladies dégénératives dont le cancer.

Mes chers compatriotes,

La notion d’émergence fait appel à un nouvel état d’esprit, un refus de mal vivre, un refus de se noyer dans le défaitisme, la démission ou la résignation.

Emerger, c’est apprendre à nager pour regagner la berge. L’émergence pose donc un questionnement philosophique sur sa propre condition humaine : Que dois-je faire pour changer ma vie ? Que dois-je faire pour être utile à ma famille, à mon pays ?

Voilà de manière simple des interrogations dont l’appropriation conduit à l’émergence. Ce chemin est essentiel pour nous. Car, le Gabon de demain sera ce que nous voudrions qu’il soit. Chacun à sa place doit prendre la mesure de sa responsabilité personnelle et de ses devoirs. Cela nous éviterait des confessions burlesques du genre : Je n’ai jamais gouverné, je n’ai jamais commandé, ce n’est pas faute. La faute du colonisateur, c’est fini ! La faute de l’autre, c’est fini !

Notre responsabilité personnelle et collective est plus que jamais engagée. Nous sommes face à notre destin, et personne ne viendra le construire à notre place.


En effet, le développement n'est pas un long fleuve tranquille; c'est un processus qui implique une remise en cause dans nos habitudes, dans notre façon de penser, et d'agir. 

De cette rupture nécessaire, notre pays en sortira plus fort et l'avenir de nos enfants sera mieux assuré. Ainsi, «le Gabon immortel restera digne d'envie» 

Mes chers compatriotes 

La matérialisation de cette ambition nécessite de la Nation gabonaise, dans toutes ses composantes, un effort soutenu, continu, et des sacrifices sur une longue période, au-delà des durées des mandats politiques. 

Je veux désormais que les jeunes prennent en main leur destin, qu'ils s'engagent dans toutes les entreprises et actions de développement facteurs d'épanouissement individuel et collectif. 

Je veux que « Accepter de nettoyer devant sa maison ou de son échoppe, garder votre marché propre, arrêter la lumière de votre bureau lorsque vous le quittez, ne P(J]s jeter du papier ou des sachets dans 1(1 rue, respecter le code de la route, aider un compatriote en danger, bien gérer les deniers publics, rompre avec l'injustice et le favoritisme est aussi une manière de participer à l'édification de notre pays par un civisme exemplaire et participatif. 

Cet état d'esprit doit animer tant les Gabonais d'origine, d'adoption que nos hôtes étrangers qui vivent parmi nous. 

Mes chers compatriotes 

Le Gabon est en mesure de relever le défi de l'émergence à l'horizon 2025 grâce à ses ressources naturelles et minières; grâce à sa capacité à créer des richesses et des emplois dans tous les secteurs; grâce à ses compétences dans différents savoir et savoir faire. 

C'est ce qui ressort des études exhaustives approfondies schématisées dans la matrice du potentiel de l'économie gabonaise que j'ai fait élaborer. 

Cette analyse révèle par ailleurs que les moteurs traditionnels de la croissance sont en déclin, en particulier dans le domaine des hydrocarbures : ils ne sont pas en mesure, tels quels, de porter la croissance durable à l’horizon 2025. Dès lors il faut imaginer d’autres voies en tirant profit de nos meilleurs atouts.
Le potentiel de notre population constitue notre premier atout. Le génie gabonais n'est pas une vue de l'esprit; on peut en observer l'expression dans différents domaines: recherche, sport, culture, etc.

Il n'y a donc aucune raison de cultiver un complexe d'infériorité. C'est pourquoi je vous exhorte à mettre en valeur, désormais, ce potentiel, à le capitaliser, à le rentabiliser selon votre domaine de compétence. 
Soyez les meilleurs dans ce que vous maîtrisez le mieux. Soyons toujours ensemble pour construire notre pays.

Nous avons les moyens et les capacités pour parvenir el des résultats susceptibles d'étonner le monde. Mobilisons-nous pour transformer notre pays en trayai liant chacun pour tous et tous pour chacun. 

Dans cette perspective, nous savons que nous pouvons compter sur les Gabonais de l'étranger. Nous sommes en train de mettre tout en œuvre pour inciter au retour tous ces compatriotes de grande compétence et expérience que les besoins de formation et de vie ont éloigné de la mère patrie. 

Mes chers compatriotes, 

L'ambition de développement et l'exigence de diversification de notre économie nous contraint à nous appuyer sur de nouveaux moteurs de croissance. 

De ce point de• vue, quatre secteurs s'avèrent stratégiques: l'industrie de transformation du bois, la métallurgie légère l'écotourisme, l'énergie. 

La maîtrise de la chaîne de valeur dans la tralrTlsformatôorrn d~ bo~s pourra créer des centaines de milliers d'emplois durables et favoriser la naissance de nouveaux pôles économiques sur l'ensemble du territoire national. 
La Zone Spécial économique de Nkok, dont les travaux d’infrastructures commencent dans quelques semaines participe de cette dynamique. 

Concernant la métallurgie !égère, Le Gabon dispose, en plus de son activité industrielle actuelle dans le manganèse, et grâce à ses réserves de fer et son gaz, des leviers pour devenir un des touts premiers acteurs mondiaux. L'ouverture en septembre prochai n de l'Institut du Pétrole et du Gaz à Port-Gentil est le signal du renforcement des capacités dans ce secteur qui vise l'excellence.

S'agissant du tourisme, l'exceptionnelle biodiversité et la politique de préservation des parcs nationaux de notre pays légitiment l'ambition de devenir une destination de référence mondiale en matière d'écotourisme. Parallèlement, le tourisme d’affaires offre aussi des réelles possibilités.

Une autre filière industrielle présente également un potentiel important de croissance: l'électricité, grâce à l'exploitation de nos ressources hydroélectriques. Les chantiers du Grand Poubara en cours dans le sud-Est du pays, le lancement du projet du barrage sur l’Okano dans le nord et la projection d’un autre chantier sur les chutes de l’Impératrice Eugénie dans le sud, présage d'un développement intégré sur l'ensemble du territoire national. 
Mes chers compatriotes 

Notre ambition ne pourra être réalisée si nous ne mettons pas aussi en place les mécanismes de la bonne gouvernance. Cela suppose des structures et des institutions solides et bien dirigées, capables de prendre en charge les nouveaux défis. Plus que jamais, le Programme national de bonne gouvernance (PNBG) doit s’engager davantage.

Pour cela, dans toutes les administrations et les entreprises publiques de notre pays, je veillerai particulièrement à la qualité, à l'intégrité et à la compétence des femmes et des hommes investis des responsabilités de gestion. 

C'est dans ce sens que je viens de faire lancer des enquêtes pour déterminer les responsabilités des uns et des autres dans la mauvaise gestion des financements consentis par l'Etat dans plusieurs projets et travaux, ainsi que le relève avec éloquence le dernier rapport de la Cour des Comptes que je viens de recevoir. 

Cette rigueur doit être aussi appliquée aux travaux en cours à Libreville, lesquels doivent continuer au delà des festivités du cinquantenaire. J'entends voir ces travaux arrivés à leur terme. 

Mes chers compatriotes, 

Notre rapport à la loi doit évoluer; car c'est elle qui garantit l'équilibre social en neutralisant d'éventuels antagonismes. Tout le travail que l'on fera sera vain si cette donnée éiémentaire n'est pas intégrée. 

Comment accepter que des investissements importants soient réduits à néant par des attitudes irresponsables et antipatriotiques? 

Aucun pays ne s'est développé en favorisant le laxisme, l'impunité les détournements des deniers publics et le désordre. Plus que jamais nous nous opposerons à ces comportements déviants d'un autre âge, d'une autre époque. 

Aussi, le développement doit-il concerner notre pays dans son intégralité. D'où l'importance que j'accorde à un Schéma National d’aménagement du territoire indiquant l'ensemble des pôles économiques et les infrastructures optimales de transport nécessaire à leur développement. 

La récente caravane «Gabon Profond» m'a édifié mieux que tous les rapports sur les besoins et les attentes des Gabonais de l'intérieur du pays et me conforte dans la détermination à mettre en œuvre avec célérité politique « l’AVENIR EN CONFIANCE» 

J'ai donc décidé de lancer la construction de ce qui constitue l'épine dorsale de notre économie, c'est-à-dire la route Libreville-Franceville, dont le financement vient d’être acquis, grâce à un partenariat avec des pays émergents qui croient à la capacité économique du Gabon de se hisser parmi eux. 

Dans la même optique du désenclavement et d'aménagement équilibré de notre pays, j'ai lancé il y a un mois la construction de la route TCHIBANGA-MAYUMBA et du pont sur la BANIO. 

Cet important chantier ouvre de réelles perspectives sur la construction du Port de MAYUMBA et de la route TCHIBANGA-KOULAMOUTOU. 

C'est le lieu de louer l'initiative de la Première Dame, qui m'a permis de me rendre dans le Gabon profond et de m'imprégner, sans intermédiaire, de l'état de notre réseau routier. A travers elle, l'on se rend à l'évidence du rôle que nos épouses, nos sœurs nos mères et nos fi Iles peuvent jouer dans le processus du développement de notre cher et beau pays. ~ 

Mes chers compatriotes, 

C'est un engagement personnel, et je compte non seulement sur chacun d'entre nous, mais aussi sur nos partenaires pour aider à la réalisation de cette grande ambition de faire du Gabon un pays émergent, « cet édifice nouveau auquel nous rêvons». 

Pendant ces cinq dernières décennies nous nous sommes unis pour construire notre Nation. Il nous a fallu nous armer de patience et de détermination. Il nous a aussi fallu cultiver et prôner des valeurs d'ouverture et de coopération avec tous les pays amis. 

C'est dire que nous avons pu compter sur le soutien de tous nos partenaires, au premier rang desquels la France avec qui notre proximité traditionnelle et historique s'est enrichi de divers aspects culturels, économiques et politiques.

Dans le respect mutuel et au nom de nos intérêts respectifs, notre partenariat vient d'être renouvelé, pour l'adapter aux exigences du moment. Le Gabon ne peut que se réjouir de l'exemplarité de cette coopération. 

Je voudrais solennellement redire à l'ensemble de nos partenaires Européens, Américains, Asiatiques et des pays arabes, combien le Gabon reste reconnaissant à leur égard pour tous les soutiens multiformes qu'il ne cesse de lui apporter pour construire son développement. 

A nos amis et frères Africains, il ne fait l'ombre d'aucun doute que nous resterons toujours à vos côtés pour défendre la dignité de nos peuples respectifs. 

Résolument convaincus de notre destin communautaire, mon pays continuera inlassablement à joindre ses efforts à ceux des autres membres de l'Union Africaine. 


Bonne fête à tous et que /Dieu vous bénisse. Vive le Gabon, Vive !'Afrique, 

Je vous remercie. 
 


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le 13-08-2010 13:35

les membres du gouvernement peaufinent la préparation du match de gala face aux anciennes gloires

 

Le premier ministre, Paul Biyoghé Mba, a conduit mercredi dernier, dans la soirée, la séance d’entraînement de football des membres du gouvernement renforcés par ceux des institutions constitutionnelles, comptant pour le match qui devra les opposer aux anciennes gloires de ce sport au Gabon.

La séance d’entraînement qui a eu lieu au stade Monédang de Sibang a permis de voir le premier ministre et ses co-équipiers exécuter quelques gestes techniques de bonnes factures, malgré l’âge avancé de ces athlètes d’occasion. 

Au cours de ces entraînements, l’ambulance du Service d’aide médicale d’urgence (SAMU)-Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) prêt à intervenir en cas de problème. Cependant, avant cette séance, les hommes en blanc ont examinés les athlètes afin d’être sûrs de leur état physique (vérification de la fréquence cardiaque et respiratoire de nos sportifs, entre autres).  

Programmé pour avoir lieu le 17 août en début d’après midi, la rencontre entre les Institutions de la Républiques et les anciennes gloires du football gabonais s’annonce très animée au regard des joueurs composant chacune des équipes. En effet, dans les rangs des Institutions de la République, on retrouvera des joueurs tels que Paul Biyoghé Mba, premier ministre, Martin Mabala, ministre des Eaux et forêts, Paul Toungui, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de la Francophonie.

Du côté des anciennes gloires, les joueurs à l’instar de Régis Manon, Guy Roger Nzamba, Valéry Ondo Ebe, rivaliseront de talent pour apporter une note d’agréable à ces festivités du cinquantenaire.  

En dehors de cette rencontre, il y aura également au stade Monédang de Sibang, la finale de la Coupe de l’Indépendance, tandis que d’autres disciplines sportives, notamment le handifoot, Handibasket, se dérouleront au gymnase du Président Bongo de Libreville.

Ce activités sont à inscrire dans le cadre des festivités du cinquantenaire de l’accession du Gabon à la souveraineté internationale, le 17 août 1960.

 


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