Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 08-06-2010 18:39

Julien Nkoghé Békalé nouveau député du Komo Mondah


Le candidat du Parti démocratique gabonais (PDG) aux élections législatives partielles de dimanche dernier, au a été élu, dimanche lors des élections législative partielles, député 1er siège du département du Komo Mondah, en obtenant 3490 voix sur 4906 suffrages exprimés devant ses deux challengers.
 


On peut parler d’un triomphe de Julien Nkoghé Békalé à Ntoum. Une victoire acquise, selon les informations dignes de foi, recueillies à la sortie des différents bureaux de vote auprès des partisans du candidat du Parti démocratique gabonais (PDG), Julien Nkoghé Békalé, qui affrontait le candidat de l’Union nationale, Casimir Oyé Mba, député sortant sur ledit siège et Crépin Tchibinda du Parti Social Démocrate (PSD) de Pierre Claver Maganga Moussavou. 

Malgré les gesticulations et les actes négatifs posés avant et pendant le vote par le député Maganga Moussavou, les carottes sont finalement cuites pour lui et pour le candidat de l’Union nationale. Les électeurs du premier siège du département du Komo Mondah ont finalement décidé, par les urnes, d’accorder la majorité de leurs suffrages au candidat du PDG, Julien Nkoghé Békalé, qui se présente ainsi comme le nouvel homme fort politique de la localité. 
Les populations ont donc choisi de tourner la page des vingt ans de présence sans discontinuer, mieux de la longévité aux affaires de l’ancien Premier ministre Casimir Oyé Mba, et de confier cette fois-ci l’écharpe du député de cette circonscription politique au jeune ministre des Mines, du Pétrole et des Hydrocarbures, Julien Nkoghé Békalé, qui aura bénéficié durant cette campagne électorale du soutien massif et actif de l’ensemble des militants du parti de masse ainsi que de celui des partis de la majorité républicaine pour l’émergence.

Malgré le ralliement de dernière minute du candidat Mboumba Jean de Dieu du Rassemblement des Démocrates (RDD) de feu Christian Serge Maroga au profit de Casimir Oyé Mba, le candidat de la majorité républicaine a réussi à tirer son épingle du jeu. Le vote de dimanche est le couronnement de la lutte politique entre les deux forces en présence, qui a repris de plus belle à la suite de l’entrée au gouvernement de ce jeune pédégiste bon teint, qui ne cachait plus son ambition de devenir la première personnalité politique de la localité. 

Le scrutin qui vient de s’achever a été l’occasion pour lui de prouver sa force de frappe et sa capacité de mobilisation dans le Komo Mondah où sa victoire prouve que ce nouvel homme politique est devenu le maître des lieux. Selon les informations rendues publiques par le président de la Commission départementale électorale du Komo Mondah, Sébastien Ondouo, le scrutin de dimanche dernier a donné une large victoire au candidat du PDG.

En effet, sur 7902 électeurs inscrits, 5196 personnes se sont finalement rendues aux urnes. 290 ont voté des bulletins blancs ou nuls. Sur les 4906 suffrages exprimés, le pédégiste Julien Nkoghé Békalé recueille 3490 voix, soit 71,10 % de voix exprimées; l’Union Nationale à travers son représentant, Casimir Oyé Mba, député sortant, n’a recueilli que 1009 voix, soit 20,60 % des voix exprimées. Le candidat du Parti Social Démocrate, Crépin Tchibinda, s’en tire avec 407 voix soit 8,03 %. Ces résultats qui avaient déjà été enregistrés par les représentants du candidat du PDG dans chacun des 53 bureaux du premier siège du département du Komo Mondah. On peut dire que plus de la moitié des électeurs se sont rendus aux urnes. Les pédégistes et les partis de la majorité républicaine pour l’émergence ont mieux mené campagne pour faire triompher leur poulain. Tirant les enseignements de cette consultation électorale, le président de la Commission électorale du département du Komo Mondah, Sébastien Ondouo, a fustigé le comportement répréhensible du président du PSD, Pierre Claver Maganga Moussavou. 

Après avoir laissé entendre que le vote n’aura pas lieu à cause, affirmera-t-il, de l’existence de deux bureaux pirates au centre de vote d’Okolassi. Malgré les explications du commissaire national superviseur Bouka qui est même allé faire le décompte physique des bureaux de vote, le président du PSD a campé sur sa position d’empêcher la tenue du scrutin. 
Il a finalement mis ses menaces à exécution en venant dimanche matin séquestrer les membres de la Commission électorale en barrant le portail du siège de la commission avec son véhicule Hummer ; ce qui a eu pour conséquences de retarder le convoyage dans les délais du matériels électoral dans les 53 bureaux de vote de la commune et du département concernés par le scrutin ; et de faire démarrer celui-ci avec plusieurs heures de retard. De plus, le même leader s’est rendu dans de nombreux bureaux de vote pour perturber le bon déroulement des opérations alors qu’il n’était nullement candidat à cette élection.

D’autres actes qui lui sont attribués ont failli porter un sérieux coup au scrutin qui avait pourtant bien démarré. On imagine la suite, connaissant le président du PSD. C’est le cas de cette jeune fille qui a failli être enlevée devant les gendarmes Maganga Moussavou. Les partisans du candidat Julien Nkoghé Békalé attendent maintenant que la Cour dise le droit pour faire la fête dans toute la localité.
 
 
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le 08-06-2010 18:03

Régis Immongault et Adeste Dilivie Yossangoye du PDG gagnent haut la main


-Le candidat du parti démocratique gabonais (PDG), Régis Immongault aurait été élu député du premier siège de députation de Mulundu avec un score écrasant de 87%, devant son challenger de l’Union nationale (UN) Paulette Missambo, selon les résultats issus de la commission électorale départementale, alors que, pour les sénatoriales partielles, l’autre candidat du PDG a également gagné sans trop de difficulté, avec 80% des suffrages exprimés.
 


Les candidats du Parti démocratique gabonais (PDG), pour les législatives au 1er siège du département de Mulundu, Régis Immongault, et pour les sénatoriales partielles dans la commune de Lastoursville, Adeste Dilivie Yossangaoye, ont réussi dimanche dernier leur tour de force de siéger pour la première fois, au palais Léon Mba, et pour le second, au palais Omar Bongo Ondimba. 

Le candidat du PDG, Régis Immongault n’a pas fait de détails face à son adversaire de l’Union nationale, Paulette Missambo, en l’emportant avec plus de 87 %, selon des chiffres obtenus de sources proches de la Commission électorale, nationale, autonome et permanente (CENAP). La candidate de l’UN a perdu presque dans tous les bureaux de vote des cantons Pungui et Leyou et de la commune de Lastoursville, en dehors de celui de son village Kessipoughou où elle est arrivée en tête avec plus de 30 voix sur son adversaire. 

Du côté de l’élection sénatoriale à Lastoursville, sur 29 électeurs, cinq des conseillers de l’indépendant Moutoumbou n’ont pas pris part au vote et deux conseillers de la liste de l’ex Alliance sociale d’Etienne Guy Mouvagha Tchioba, se sont abstenus. 
Le scrutin de dimanche dernier s’est déroulé dans un calme plat, sous l’œil vigilant de nombreux militaires et gendarmes, réquisitionnés par le Gouverneur de l’Ogooué-Lolo, Pascal Yama Lendoye. Après la proclamation des résultats, c’est presque toute la population de l’ex-Madiville qui a déferlé à la résidence de leur nouvel élu, Régis Immongault pour se réjouir de la victoire de leur nouveau député, désormais porte étendard de leur commune et celui des cantons Pungui et Léyou à l’Assemblée nationale. 

Ceci, en présence du ministre du Budget, Blaise Louembé, du député de la commune de Koula-Moutou, Jean Massima, de l’ancien ministre, Patrice Tonda et de nombreux hauts cadres qui ont tenu tout au long de cette campagne riche en enseignements, à soutenir leurs frères, Régis Immongault et Fernando Mawobo Lendoye . Une ambiance de carnaval a été entretenu par ces inconditionnels jusqu’aux environs de 3 heures du matin. 
Le nouvel élu, Régis Immongault, a aussitôt réagi après l’annonce des résultats : ‘’Je suis très heureux de l’emporter, vous voyez vous-même avec moi que cette victoire est finalement celle de tout Mulundu qui voulais tourner la page du passé et de la trahison. C’est la démonstration que le PDG reste le parti majoritaire au niveau de Mulundu. Et que les populations de notre département sont toujours derrière le PDG et l’actuel Chef de l’Etat. 

C’est une victoire écrasante qui démontre l’implantation à tous les coins et recoins de Mulundu. Cette adhésion des populations à mes modestes convictions du développement et surtout à celles du Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba. Elles sont satisfaites du projet de société de leur Président de la République : « Regarder l’avenir en toute confiance ». Elles viennent de me donner une responsabilité lourde. Je m’engage à ne pas décevoir ces populations’’. 
Puis la réaction de son directeur de campagne, l’ancien ministre, Patrice Tonda, qui s’est dit lui aussi joyeux de la brillante victoire de ses deux protégés, mais il s’est dit aussi heureux d’avoir laissé la place aux jeunes pour qu’ils poursuivent avec la dynamique qui leur sied, le développement de Mulundu. ‘’J’éprouve une joie profonde parce que le candidat est excellent. Et quand un candidat est excellent, on a du plaisir à travailler pour lui et avec lui. 

La population de Mulundu a été toujours fidèle au PDG. Aujourd’hui, avec la politique de l’émergence du Président, Ali Bongo Ondimba, elle a compris les enjeux. Elle sait que la nouvelle voie que nous venons d’emprunter avec le nouveau chef de l’Etat, le département est sur le chemin de son développement tous azimuts, sur le chemin de la prospérité. Elle a entièrement confiance à Ali Bongo Ondimba. Il y a des choses qui parlent d’elles-mêmes. 

Les générations se succèdent. Quand on atteint plus de la cinquantaine, on doit s’attendre à céder le témoin le plus élégamment possible au plus petit que ce soit. Quand on a détecté un talent, on est convaincu par sa bonne volonté, son charisme, qu’il peut jouer le jeu, il faut lui passer le témoin. J’espère que beaucoup de personnes de ma génération voient la même chose. Il ne s’agit pas de démissionner de la vie politique. On peut toujours continuer à créer sans être nécessairement en pôle position’’. 
 
 
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le 08-06-2010 11:37

Omar Bongo Ondimba ;Un homme d’exception !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« … Je ne suis pas une pierre. Je finirai bien par m’en aller un jour ». Il était donc écrit que le fameux jour qu’Omar Bongo Ondimba évoqua vaguement ainsi, quelques années avant sa mort, sans préciser s’il s’agissait de son départ éventuel du pouvoir ou de sa disparition physique, serait le cent-cinquante-neuvième de l’An 2009 ! C’est-à-dire le deuxième lundi du mois de juin de cette année cruelle au cours de laquelle l’homme devait finalement tout quitter : le pouvoir et la vie… 


Il y a donc exactement un an aujourd’hui qu’Omar Bongo Ondimba, président de la République gabonaise depuis le 2 décembre 1967, s’est brutalement éteint dans une clinique de Barcelone (Espagne). Où il avait été admis, quelques jours plus tôt, pour y subir des soins intensifs à la suite d’une très grave dégradation subite de l’état de santé d’un homme que l’on savait physiquement épuisé et moralement ébranlé par le décès de son épouse, survenu moins de trois mois auparavant. 


A l’aube de cette journée fatidique du 8 juin 2009, Omar Bongo Ondimba, bénéficiant de la « retraite » du Cubain Fidel Castro, et du fait que les souverains thaïlandais et anglais règnent sans gouverner, portait encore sur ses épaules le titre singulier de doyen des chefs d’Etat au monde ! 


Pareil destin, pour quelqu’un à qui ce même destin avait d’abord imposé, très tôt, de compter dans la vie sans ses géniteurs, décédés prématurément, ne pouvait être que celui d’un homme d’exception. Et, de fait, Omar Bongo Ondimba a été, à bien des égards, un homme et, surtout, un dirigeant (politique) d’exception. Que le Gabon a su (ou a pu) se donner à un moment où, du fait de l’impréparation générale à la gestion du nouvel Etat, des rivalités de personnes ont semblé pouvoir le faire basculer dans le chaos, quelque temps seulement après la proclamation de l’indépendance nationale. 


Sous la direction de cet homme, le pays, totalement démuni sur tous les plans le jour de son accession à la souveraineté internationale, va se forger une véritable conscience nationale et amorcer un remarquable décollage socio- économique. Au prix de la mise en œuvre d’une politique volontariste d’équipement en infrastructures de base, de formation de cadres tous azimuts et de mise en valeur des richesses de son sol et de son sous-sol. 

 

Pendant une très longue période (quarante ans), le Gabon étonne aussi et, peut-être, surtout, par son extraordinaire capacité à s’épargner les affres d’affrontements inter-ethniques et de pseudo-révolutions sanglantes ; de même que celles des fléaux sociaux induits par la misère, dans une sous-région d’Afrique centrale particulièrement trouble… 


C’est, en définitive, un véritable havre de paix, relativement prospère, doté d’institutions politiques fiables, et passablement confiant en son avenir, que le président Omar Bongo Ondimba a légué à la postérité le jour de sa disparition l’année dernière. 


Il s’agit-là d’un bien bel héritage dont le commun des patriotes gabonais sait apprécier l’importance à sa juste valeur. Cet héritage demande à être jalousement préservé. Et consolidé au moyen d’une politique novatrice bénéficiant de la participation active de tous. Omar Bongo Ondimba, lui, mérite de reposer dans la paix éternelle. Ce qui commande, entre autres choses, que lui soit dorénavant épargnée l’évocation, au sujet de son décès, de ces historiettes infamantes dont la presse d’égouts semble se délecter depuis quelque temps ; Au mépris de la simple décence et du respect dû aux morts.

 

 

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le 08-06-2010 11:29

info!!!


 
 
 
 
La Fédération PDG Russie et Europe de l'Est vous livre sur son site le journal télévisé du 07 juin 2010 de 20 heures.
 
 
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