Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 01-01-2011 11:52

MESSAGE DE VŒUX DE SON EXCELLENCE MONSIEUR LE PRESIDENT DE LA RÉPUBLIQUE GABONAISE , ALI BONGO ONDIMBA , A L’OCCASION DU NOUVEL AN


Gabonaises, Gabonais,
Mes Chers Compatriotes,

Il m’est particulièrement agréable de m’adresser à vous à l’aube de cette nouvelle année toujours empreinte de solennité mais aussi de ferveur partagée par toute une nation.

Aussi voudrais-je, en mon nom propre, au nom de la Première Dame et du Gouvernement de la République exprimer, à chacune et à chacun d’entre vous, à vos enfants, aux familles gabonaises, à nos compatriotes de la diaspora et à toutes les communautés qui vivent si harmonieusement parmi nous, mes vœux les plus sincères et chaleureux de santé, bonheur, paix et réussite.

Mes vœux vont également à l’endroit de toutes les Gabonaises et tous les Gabonais qui sont seuls à divers titre ce soir, ou qui souffrent d’une maladie ou de toutes autres blessures et circonstances de la vie.

J’exprime par ailleurs ma vive sympathie ainsi que ma compassion à celles et ceux qui ont perdu un être proche et cher au cours de l’année qui s’achève.

Je pense tout particulièrement aux veuves et aux orphelins, à tous nos concitoyens vulnérables qui vivent souvent sous la menace et la hantise de la spoliation de leurs biens, du fait de l’avidité de ceux qui sont censés les protéger et du poids de certaines de nos traditions.

Nous avons un devoir de solidarité agissante à l’endroit de tous nos compatriotes, meurtris dans leur chair ou atteints dans leur dignité.

C’est à ce titre que je voudrais solennellement saluer ici l’heureuse initiative de la Première Dame, Mme Sylvia BONGO ONDIMBA, qui a fait un plaidoyer et tenu un engagement résolu sur la question de la veuve et de l’orphelin.

Ce plaidoyer a permis à l’Etat Gabonais, par le canal de sa diplomatie, de faire adopter par l’Assemblé Générale des Nations-Unies une résolution instituant la Journée Internationale de la Veuve. Cette journée sera désormais célébrée le 23 juin de chaque année par la communauté internationale.

Puisse l’année 2011 débuter dans la paix, la cohésion, l’ardeur au travail, le souci de la performance et de l’excellence.

Voilà maintenant plus d’une année que je préside aux destinées du Gabon, avec une foi toujours inébranlable en notre capacité collective de relever les défis qui jalonnent le chemin difficile mais exaltant que nous avons choisi.

L’année 2010 a été pour certains Etats africains en général et particulièrement pour le Gabon, une année de célébration de notre Indépendance. Cette commémoration du Cinquantenaire nous aura donné l’opportunité de faire une introspection et un bilan d’étape depuis l’accession de notre pays à la souveraineté internationale.

Sans me satisfaire pour autant de la multitude des grands travaux engagés dans notre pays, je reste persuadé que 2011 sera l’année de l’avancement de ces projets et travaux, de certaines réformes et de l’aboutissement de bien d’autres.

Une fois encore j’instruis le Gouvernement de la République à s’y atteler avec la plus grande rigueur et de m’en rendre compte régulièrement. J’y attache le plus grand prix.

Comme je l’ai rappelé il y a quelques jours lors de ma visite dans le Woleu Ntem, les infrastructures énergétiques sont et doivent être à la base de notre développement.

C’est pourquoi, comme c’est le cas pour la nouvelle centrale thermique de 70 mégawatt de Libreville située à Alénakiri, j’ai décidé de hâter le lancement des travaux des barrages hydro-électriques de l’Okano et de Fougamou pour permettre le démarrage rapide d’autres grands projets économiques dans les domaines de l’agriculture, des mines, de la communication, du tourisme et de la transformation de nos matières premières.

L’énergie et l’eau constituent des ressources vitales et des supports essentiels pour la vie et le fonctionnement des structures économiques et sociales.

Au cours de ce même séjour, j’ai rappelé que la route doit demeurer au cœur de nos préoccupations au cours de l’année 2011.

La route favorise l’éclosion de plusieurs activités industrielles et autres initiatives économiques en milieu urbain comme en milieu rural, qui sont génératrices d’emplois et porteuses de croissance.

Elle est certes une voie de communication entre diverses localités du pays, mais aussi un moteur de lancement de plusieurs projets intégrés de développement de nos provinces, tout en contribuant significativement au bien-être des usagers et des populations riveraines.

L’embranchement de la Route Nationale numéro 1 au Port d’Owendo en 2 fois 2 voies inscrite au titre du budget 2011, dont le démarrage des travaux est imminent, en est une parfaite illustration.

Que vaut la route sans l’électricité, l’eau, le téléphone, l’hôpital, l’école, les usines et bien d’autres services socio-économiques de base ?
C’est pourquoi j’exige du Gouvernement et de tous les acteurs une meilleure collaboration.

Tous ces services sont des supports nécessaires à l’amélioration des conditions de vie et de travail des Gabonaises et des Gabonais.

Aussi, je me réjouis de ce que l’assurance maladie ait été mise en place pour soutenir de prime abord les personnes les plus démunies de notre société.

Elles sont les cibles prioritaires du lancement de l’opération d’immatriculation des assurés de la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie et de Garantie Sociale, CNAMGS.

C’est le signe manifeste et patent d’une solidarité agissante que la nation accorde prioritairement aux couches les plus vulnérables. Cette expérience est une des plus importantes sur le continent tant par son financement que par les avantages considérables accordés aux personnes démunies ainsi que pour notre société dans son ensemble.

Après les personnes économiquement faibles, ce devoir de solidarité va s’étendre à l’ensemble de la population qui va ainsi pouvoir bénéficier d’une protection sociale moderne.

L’immatriculation en cours des agents de l’Etat constitue une autre étape majeure de la mise en œuvre de cette politique sociale que je veux proche des préoccupations de la société dans son ensemble, et de ses entités spécifiques.

Dans ce même esprit, j’ai décidé de la mise en place d’un régime de pension complémentaire en faveur des agents des Forces de Défense et de Sécurité, en raison du nécessaire accompagnement de ces hommes et femmes lors de leur réinsertion dans la vie civile.

Le fonds de pension et d’investissement issu de ce régime est une mutuelle des Forces de Défense et de Sécurité. Il couvrira une assurance maladie complémentaire permettant ainsi une prise en charge intégrale des dépenses de santé de ces agents ainsi que de leurs familles, en même temps qu’il sera destiné à accompagner les soldats dans la réalisation de leurs projets de vie sociale.

Ces efforts particuliers participent de notre solidarité et de notre reconnaissance à leur endroit pour les services rendus au quotidien à la nation. Outre la défense sans faille de notre territoire national, ces compatriotes ont fait le choix de servir sous le drapeau pour veiller à notre sécurité, à celle de nos biens, et souvent au péril de leur vie.

Une réflexion devra être menée par le Gouvernement, les acteurs économiques et les partenaires sociaux afin de l’élargir pour l’ensemble de notre société.


Gabonaises, Gabonais,
Mes Chers Compatriotes,

Nous voulons tous un avenir radieux et durable pour chacune des composantes de notre Nation. Je suis convaincu de tenir ce pari et de réaliser cette ambition de faire du Gabon un pays émergent.

C’est pourquoi, j’ai pris la décision de faire du Gabon un grand pays de la filière bois et de production de tout un ensemble de produits pour lesquels, grâce à un secteur privé innovant, le Gabon deviendra synonyme de qualité, de créativité et d’innovation avec une marque « Gabon » reconnue sur le marché mondial. L’ambition pour le Gabon de devenir « une plateforme de rang mondial de valorisation du bois tropical, reposant sur une forêt aménagée et gérée de façon durable » est à notre portée.

Le potentiel d’emplois dans cette grande filière et de toutes les activités y relatives est réel. Suite à la décision prise de mettre un terme à l’exportation de nos grumes cette industrie est en plein essor.

Mes Chers Compatriotes,

Telle est réaffirmée ma vision du Gabon Emergent. Commencer par savoir où l’on va est fondamental, car c’est cela qui doit désormais orienter et guider toute notre action.

Mais nous devons toutefois procéder, de façon méthodique, en engageant encore plus résolument les fondements que sont le développement accéléré des infrastructures, une bonne gouvernance et un meilleur partage des fruits de la croissance.

Notre rattrapage dans le domaine des infrastructures doit d’abord commencer par une bonne planification. Lorsque tout est à faire, la réussite dépend d’une visibilité claire de ce qui doit être fait, comment et à quel moment, par qui, à quel coût. Et à tout cela il faut ajouter l’utilisation optimale de chaque franc dépensé.

De même, le développement ne peut pas concerner qu’une partie de notre pays. C’est le développement de l’ensemble du territoire national qui doit être pensé dès maintenant.

C’est pourquoi l’élaboration d’un Schéma National d’Aménagement du Territoire et des Infrastructures a démarré au cours de l’année 2010 indiquant tous les pôles économiques, l’infrastructure optimale de transport nécessaire à leur développement et l’aménagement équilibré de l’ensemble du territoire national. Celui ci sera présenté en 2011.

Mes Chers Compatriotes,

La bonne gouvernance constitue également un fondement incontournable pour atteindre nos objectifs. Par conséquent je souhaite que les missions de planification du développement et de concertation soient restaurées et consolidées.

L’Etat doit donner de la visibilité stratégique à tous les acteurs, libérer les énergies collectives, canaliser l’investissement vers les secteurs les plus stratégiques et ouvrir de nouveaux pôles de développement pour notre économie.

Enfin, un des fondements essentiels de notre politique est le partage des fruits de la croissance. Le chemin de l’émergence n’est pas aisé.

En effet au bout de l’effort chaque Gabonais doit en ressentir les bienfaits : une meilleure formation pour nos enfants, des services de santé de qualité et accessibles, un habitat décent pour chacun, et des opportunités d’emplois bien rémunérés pour tous, etc.

Mes Chers Compatriotes,

A la différence de l’année écoulée, 2011 sera une année électorale et, de ce fait, l’occasion pour le débat politique de gagner en intensité. Les acteurs politiques doivent, plus que par le passé, convaincre de la pertinence de leur projet politique pour éviter les errements constatés ces derniers temps.

La campagne électorale ainsi que toutes les opérations y relatives ne devront pas constituer un danger pour notre cohésion nationale.

J’ai foi en votre capacité de discernement pour faire le choix de l’avenir, en vous montrant attentifs aux discours et pratiques politiques qui consolident notre volonté de vivre-ensemble, plutôt qu’à ceux qui le fragilisent.

J’ai donc espoir que le rendez-vous électoral de l’année 2011, consacré au renouvellement de notre Assemblée Nationale, contribuera à enraciner davantage notre jeune démocratie.

Attentif aux propositions et aux suggestions de toutes les bonnes volontés et à celles des patriotes existant au sein de notre classe politique, je travaille inlassablement à ce qu’il en soit ainsi.

Notre démarche, comme je le répète à souhait, s’inspire de la sagesse légendaire de mes illustres prédécesseurs, les Présidents Léon Mba et Omar Bongo Ondimba, qui ont été les artisans infatigables du socle sur lequel repose tout notre édifice institutionnel : la paix et l’unité nationale.

Il nous appartient, tous ensemble, de consolider ces précieux acquis sans lesquels aucune construction durable n’est possible.

2011 sera une année charnière dans notre marche vers la Coupe d’Afrique des Nations de Football 2012 que notre pays co-organisera avec la Guinée Equatoriale.

Je veillerai personnellement à ce que le Gabon soit au rendez-vous de cette organisation avec la réalisation de toutes les infrastructures d’accueil et de compétition attendues.

Gabonaises, Gabonais,
Mes Chers Compatriotes,

Ayons une plus grande confiance en nous-mêmes ainsi que les uns envers les autres. Ayons une plus grande ambition dans notre façon de penser et donnons-nous les moyens d’engager cette nouvelle année dans les meilleures conditions pour notre pays.

Réalisons méthodiquement les ruptures fondamentales et donnons l’impulsion nécessaire pour accélérer la croissance et développer de nouvelles sources de prospérité.

Améliorons les conditions matérielles et morales de nos citoyens, et assurons nous que demain nous bénéficions tous des bienfaits de la prospérité.

Mes Chers Compatriotes,

A nouveau, je voudrais pouvoir compter sur chacun d’entre vous pour faire sienne la nouvelle ambition du Gabon Emergent.

Je compte sur chacun d’entre vous pour adopter un comportement nouveau, ce qui permettrait d’en faire une réalité partagée par tous.

Je vous souhaite encore une fois à chacun et à tous une excellente année 2011.

Que Dieu vous garde et vous protège !

Vive le Gabon uni et prospère !

Je vous remercie.

 


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le 31-12-2010 17:52

Réaction du Gouvernement gabonais après des informations relatives aux détournements à la BEAC


Le Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation, Porte-parole du Gouvernement, Séraphin Moudounga, dans un communiqué, a fait état, jeudi, d’ « allégations grotesques et inopportunes » à la suite des  « informations » qui « proviendraient du tristement célèbre site internet Wikileaks, via des notes d’un ambassadeur des USA au Cameroun, élaborées sur la base des déclarations invérifiables d’un haut cadre de la BEAC au Cameroun » et relayées par des " médias publics français" depuis ce matin « selon lesquelles le défunt Président de la République gabonaise, Son Excellence El Hadj Omar Bongo Ondimba, serait à l’origine des détournements estimés à  30 millions d’euros opérés sur les comptes de la BEAC à son siège à Yaoundé au Cameroun ».Texte intégral :

« COMMUNIQUE DU GOUVERNEMENT

Des médias publics français relaient depuis ce matin des informations selon lesquelles le défunt Président de la République gabonaise, Son Excellence El Hadj Omar BONGO ONDIMBA, serait à l’origine des détournements estimés à  30 millions d’euros opérés sur les comptes de la BEAC à son siège à Yaoundé au Cameroun.

Ces informations proviendraient du tristement célèbre site internet Wikileaks, via des notes d’un ambassadeur des USA au Cameroun, élaborées sur la base des déclarations invérifiables d’un haut cadre de la BEAC au Cameroun.

Profondément surpris par ces allégations grotesques et inopportunes, le Gouvernement gabonais tient à préciser que la gestion des ressources des Etats placées à la BEAC est entièrement déléguée à cette institution par les Etats membres de la CEMAC.

Par conséquent et à aucun moment, un Chef d’Etat, fut-il du Gabon, ne peut ordonner des mouvements sur les comptes de la BEAC, notamment ceux ouverts au siège central.

Les opérations effectuées par les Etats sont réalisées à travers un compte domicilié dans chaque Direction Nationale de la BEAC. Ce compte est ouvert au nom du Trésor Public ; et au Gabon seul le Trésorier Payeur Général est le signataire des mouvements de ce compte.

Le Président de la République ne peut donc ni de près, ni de loin être impliqué dans la gestion des comptes ouverts à la BEAC. Il est simplement informé de la situation de ces comptes par son ministre des finances.

Néanmoins, le Gouvernement gabonais comme ceux des autres Etats de la CEMAC, a été informé en 2009 de ce que des malversations financières avaient été constatées au Bureau de la BEAC de Paris.

Ces malversations ont été confirmées par un audit indépendant qui a par ailleurs relevé qu’elles étaient l’œuvre de certains agents de la BEAC agissant pour leur propre compte et sans instruction aucune de leurs Etats. Il est à préciser que lesdits agents sont originaires de plusieurs pays de la sous-région.

Aussi, le dernier sommet des Chefs d’Etats de la CEMAC, saisi de ce dossier, a-t-il pris un certain nombre de décisions pour situer les responsabilités et punir les auteurs de ces actes de malversation.

S’agissant du cas particulier du Gabon, le Président de la République, son Excellence ALI BONGO ONDIMBA, avant tous les autres Etats membres, a pris très rapidement des mesures pour que les gabonais impliqués dans les détournements à la BEAC répondent personnellement de leurs actes devant la justice. Les procédures judiciaires suivent actuellement leurs cours.

Devant la gravité des informations rapportées par la presse internationale, le Gouvernement gabonais met en garde cette presse et ses complices contre leurs vaines tentatives de déstabilisation.

En tout état de cause, le Gouvernement gabonais condamne aussi fermement l’implication d’un haut cadre de la BEAC dans la publication des informations grossièrement erronées et visant à la salir la mémoire de notre illustre et ancien  Chef d’Etat, Son Excellence El Hadj Omar BONGO ONDIMBA.

Le Gouvernement se réserve enfin le droit d’entamer toute action requise afin de tirer toutes les conséquences d’un tel acharnement d’une certaine presse dont il est avéré qu’elle est d’intelligence avec une pseudo-opposition gabonaise constituée d’anciens dirigeants et associés à des lobbys étrangers, mécontents de voir le Gabon être irréversiblement placé sur l’orbite de l’Emergence.

Fait à Libreville, le 30 décembre 2010

Séraphin MOUDOUNGA

Ministre de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur,

de la Recherche Scientifique et de l’Innovation,

Porte-parole du Gouvernement »

 


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le 30-12-2010 20:39

Motion de soutien aux actions de la Première dame (Texte intégral)


L’ « Amicale des épouses des membres du Gouvernement »  a livré  ce jeudi à Libreville une  « Motion de soutien aux actions de la Première dame » du  Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, suite à l’ « Institution par les Nations - Unies de la journée Internationale de la Veuve et de l’Orphelin qui sera désormais célébrée le 23 Juin de chaque année »,  consécutive à une  résolution de  l'Assemblée générale de l’ONU adoptée, il y a quelques jours, après une campagne « intense » et « persuasive » menée par le Gabon, à l’initiative de  l’épouse du chef de l’ Etat, a-t-on rappelé.

TEXTE INTÉGRAL

Nous, Association dénommée « Amicale des épouses des membres du Gouvernement », avons apprécié la déclaration de la première Dame Sylvia BONGO ONDIMBA, faite le lundi 20 Décembre 2010, à Oyem dans la province du Woleu-Ntem, annonçant l’Institution par les Nations - Unies de la journée Internationale de la Veuve et de l’Orphelin qui sera désormais célébrée le 23 Juin de chaque année.

Rappelons que ceci s’est fait au vu de multiples démarches qu’elle a entreprises depuis l’accession de son Illustre Époux à la Magistrature Suprême.

Conscientes du mauvais traitement dont sont victimes dans notre société la veuve et l’Orphelin, il est important que nous nous mobilisions pour trouver des solutions définitives à ce fléau.

A cet effet, nous, « Amicale des Épouses des membres du Gouvernement », soutenons fermement, l’action de la Première Dame et acceptons d’être la voix de ces femmes sans voix.

Fait à Libreville, le 30 Décembre 2010  »

 


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le 30-12-2010 20:37

Faustin Boukoubi invite le gouvernement à « redoubler d’efforts afin de mener à terme tous les projets déjà engagés »


Le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) Faustin Boukoubi, à l’occasion d’une conférence de presse bilan ce jeudi à Libreville, en vue de faire le point des activités de « notre pays auxquelles les militants et cadres du PDG ont pris une part très active » a invité le gouvernement à « redoubler d’efforts afin de mener à terme tous les projets déjà engagés ».

 

Cette sortie du secrétaire général du PDG lui a permis de rappeler que cette journée du 30 décembre aurait donné l’occasion à l’ex-chef de l’Etat, Omar Bongo Ondimba de célébrer son 75ème anniversaire avant de revenir sur la trame de cette conférence de presse.

Globalement Faustin Boukoubi, revenant sur les tournées interprovinciales du chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba et de son épouse Sylvia et sur les Conseil des ministres décentralisés, a indiqué que cela a eu le « mérite de permettre au chef de l’Etat et au gouvernement de se pencher de manière particulière sur les problèmes de la province hôte, tout en prenant en compte les préoccupations de l’ensemble du pays ».

Une situation et des faits qui font dire au Secrétaire général du parti au pouvoir que « le président Ali Bongo Ondimba nous surprend agréablement à plus d’un titre, par la constance dans le respect de ses engagements et sa ferme détermination à relever les nombreux et importants défis auxquels notre pays doit faire face ».

Aussi, M. Boukoubi est-il revenu sur la dernière révision constitutionnelle pour expliquer les rajouts ou les réaménagements qui ont apportés aux articles de la loi fondamentale.

Pour lui c’était nécessaire dans la mesure où elle permette de coller à la réalité actuelle et aux évolutions du temps.

C’est pour quoi, tout en félicitant l’action de contrôle exercé par les parlementaires (du Sénat et de l’ Assemblée nationale) en vue de s’enquérir de l’état d’avancement des travaux initiés par le gouvernement dans le cadre de la loi des finances de l’année antérieure, et « le fonctionnement harmonieux des institutions », Faustin Boukoubi a également exhorté le premier ministre et le gouvernement à mettre un accent particulier sur le manque d’eau et la carence en électricité, le déficit en matière des routes, la couverture sanitaire et le système éducatif.

D’où son invite au gouvernement à « redoubler d’efforts afin de mener à terme tous les projets déjà engagés ».

 


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