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le 21-07-2013 16:29

La piraterie maritime : une menace réelle pour les cotés gabonaises

Libreville, Vendredi 19 Juillet 2013 (Infos Gabon) – L’attaque menée par des pirates lundi dernier dans la zone du Cap–Lopez  demeure une véritable menace pour la sécurité des cotés  gabonaises....

 

 L’attaque menée par des pirates lundi dernier dans la zone du Cap–Lopez  demeure une véritable menace pour la sécurité des cotes  gabonaises.

 

L’attaque du bateau Cotton, battant pavillon Maltais, immatriculé IMO N°9380380 avec pour Port d’attache Valleta,  en début de semaine dernière au large du cap-Lopez vient  augmenter la psychose au sein des populations gabonaises, en particulier celles installées sur  le littoral. La menace que représente cette attaque est d’autant plus accentuée qu’il faut déplorer le manque de communication  sur les circonstances réelles, les auteurs, les motivations et les conséquences de cette agression perpétrée sur la façade maritime de notre pays.

 

Quand bien même, une communication aurait été faite par les départements ministériels en charges desquels les  forces de défenses et de sécurité maritime, la présence récurrente des embarcations clandestines, et la dernière attaque des pirates  alimentent les conversations sur l’insécurité  grandissante  qui se serait  installée depuis lors  aux abords des cotes gabonaises.

 

De plus, on en vient d’emblée  à  s’inquiéter au sujet d’une éventuelle installation de pirates au large de Port-gentil, la capitale  économique, qui abrite   une  grande partie des entreprises pétrolières au Gabon. Si cela était le cas, qu’adviendra  t-il de l’économie nationale, si cette zone devenait  impraticable, voire infréquentable ?

 

A cela  il faut ajouter  le problème d’insécurité auquel seraient confrontées les populations de l’ile Mandji. Afin  de ramener la sérénité au sein des populations,  il est souhaité que les autorités du pays  s’attèlent  dès maintenant à trouver des réponses convaincantes à leur propre questionnent consécutive à l’attaque du cap –Lopez, et aux nombreuses appréhensions que cet incident a semé dans l’opinion.

 

Cette attaque  intervient donc  trois mois  après  la tenue à Yaoundé au Cameroun, soit  le 24 juin dernier, d’un sommet  des chefs d’Etat sur la sécurité maritime dans le golfe de Guinée dans le but de trouver des voies et   moyens visant à protéger les cotés contre la piraterie maritime dans ladite zone. De ce fait, les  recommandations issues de cette rencontre tendraient vers la mutualisation des moyens opérationnels et logistiques maritimes, dans le but d’éradiquer le mal que présente la piraterie maritime et sécuriser l’ensemble des Etats de la région du golfe de Guinée.

 

Aux dernières nouvelles, le bateau ciblé par les pirates pour dérober du carburant, se trouverait au large du Togo, en Afrique de l’ouest.

Infosgabon 

 


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le 21-07-2013 16:23

AMO, le retour ou l’Adieu ?

Libreville, 21 Juin 2013 (Infos Gabon) – C’est un André Mba Obame (AMO) toujours amenuisé par la maladie qui est apparu à la cathédrale sainte marie, le samedi 15 juin... 

Il apparait ainsi qu’en dépit des soins divers qu’il aurait suivis, l’opposant gabonais AMO qui se disait être à 70%  de ses moyens à son retour de France en août 2012, n’a visiblement pas vu sa santé améliorée entretemps.

On l’a constaté, la fonction motrice est bien atteinte puis qu’il ne marche que soutenu par deux personnes. Des présences à ses cotés qui se substituent vraisemblablement aux béquilles.

L’ancien candidat malheureux à la présidentielle de 2009 au Gabon, n’a probablement pas voulu faire pitié en apparaissant avec des béquilles devant ses fans.

D’ailleurs lors de son intervention, il a tenu à relever qu’il était parti en Afrique du sud sur un fauteuil roulant et qu’il est revenu de France debout, ce qui pour lui serait une évolution significative.

Mais le fait d’être soutenu par deux individus pour chaque pas, semble plutôt indiquer le besoin d’un fauteuil roulant. Et il n’est pas exclu que les médecins le lui aient prescrit.

D’où la forte impression qu’AMO serait dans un nuage surréaliste et confus.

Le surréalisme viendrait de ce que d’une voie devenue quasiment inaudible et indistincte, il a encore tenu brièvement un speech sur le changement comme pour dire qu’il continue le challenge politique.

Mais à regarder de plus près l’homme est plutôt confus, car lorsqu’il dit que « le changement est là », on pourrait tout aussi bien penser à une capitulation et une reconnaissance des changements et reformes conduits par le pouvoir d’Ali Bongo Ondimba, le Chef de l’Etat gabonais.

D’ailleurs son discours sur « le pardon » semble s’inscrire dans cette logique de capitulation, et d’apaisement face au pouvoir en place, comme l’a toujours prôné un autre opposant gabonais, Bruno Ben Moubamba (non violence).

Et pourtant comme par une sorte de cynisme de croquemorts,  certains, notamment ses fans, parlent du « retour d’AMO ». Certes il s’agit d’un retour au devant de la scène publique pour quelqu’un resté en retrait depuis belle lurette. Mais, il ne s’agit certainement pas d’un retour pour les joutes électorales à venir, ou pour réinvestir la scène politique, vu que son parti politique est dissout.

Et puis, ce serait physiquement suicidaire pour lui, et moralement affligeant pour ceux qui gardent encore de lui le souvenir d’un puissant ministre et d’un redoutable homme politique.

En effet, l’allure et le charisme n’y sont manifestement plus et la fortune n’y suffirait certainement plus.

Non, en réalité, AMO s’est comme repenti pour se mettre dans les bonnes dispositions de la grâce de Dieu dont il attendrait probablement en tant que croyant, un miracle.

Ce qui voudrait dire qu’il aurait bien compris qu’il ne gagnerait qu’à se consacrer au repos, à la médication et à la prière dans la plus intime discrétion. A cet égard, l’exubérance irrationnelle des ses fans et amis politiques, qui restent résolus à le pousser vers les planches politiques, apparait comme un zèle funeste.

Il serait même salutaire pour AMO qu’il abandonne ce drôle de monde pour aller couler quelques temps de repos, bichonnées, médications et rééducation en France.

Et on a vu dans l’histoire politique de l’Afrique que l’opposition politique peut aussi être menée depuis l’extérieur du pays.

Surtout que la présence d’AMO ne change rien à la déconvenue politique de l’opposition gabonaise complètement « hors sujet » du débat sur le développement, mais préférant s’appesantir sur le fantasme du partage du pouvoir par consensus de la classe politique et non par les élections. Comme lors des accords de Paris.

Aujourd’hui, la lubie de la conférence nationale souveraine n’est ni plus ni moins qu’un prétexte pour un partage du pouvoir par arrangement entre hommes politiques au mépris de la souveraineté du peuple. Mais cette cause est maintenant bien enterrée.

Pour la simple et bonne raison que le peuple gabonais attend plus de l’économie et de la croissance, que des arrangements politiciens ne consistant qu’à un partage des postes et des ressources de l’Etat avec des personnalités de la vielle garde politique de l’opposition, très peu soucieuse de la croissance et de la transformation économique et sociale du Gabon.

Source:Infosgabon 

 


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le 16-07-2013 15:31

Crimes rituels : un réseau démantelé à Lambaréné

Un réseau de tueurs et de trafiquants d’organes humains a été démantelé à Lambaréné dans la province du Moyen Ogooué. Composé de 8 membres jouant chacun un rôle bien défini, c’est l’alerte donnée par une de ses proies qui avait réussi à échapper au sort macabre qui lui était réservé, qui a permis à la section de recherche de la gendarmerie de Lambaréné de mettre la main sur le groupe.
 
© DR
 
Horreur et consternation à Lambaréné après l’arrestation de 8 jeunes gens de nationalités gabonaise et camerounaise, faisant parti d’un réseau qui aura endeuillé plusieurs familles gabonaises.

Au cœur d’un trafic d’organes humains, les 8 compères avaient mis en place un système bien huilé leur permettant d’appâter des potentielles victimes avant de les attirer jusqu’à un lieu où elles étaient tuées puis dépecées et amputées de certains de leurs organes.

Selon le journaliste Jonas Moulenda officiant désormais à Echos du Nord, les démarcheurs ou rabatteurs, en aval de la terrible machine à tuer, étaient chargés, pour la somme de 500.000 F CFA par victime, de convaincre leurs proies de prendre part avec eux, à une escapade tous frais payés à Lambaréné ou au Cap Estérias.

Dans le groupe, trois individus, Marie Ngossou, Cherone Ibinga et Roland Makaya Moulinot, étudiant à l’Université Omar Bongo, étaient chargés d’identifier et appâter les futures victimes.

Pour rendre leur tâche plus facile, ils opéraient dans leur cercle de connaissances, moins méfiantes à leur égard.

Une fois à Lambaréné ou au Cap Estérias, les futures victimes étaient « mises en condition » par leur « hôte » qui les invitait à prendre part à une virée nocturne au cours de laquelle nourriture et boissons étaient mises à leur disposition à foison. C’est après ces moments de réjouissances que, l’alcool et un produit hypnotisant aidant, les victimes étaient transportées vers le lieu où elles allaient être dépecées selon un rituel mystico-spirituel bien défini, officié par le marabout de la bande, le dénommé Mohamed Walid Adama.

Entraient ensuite en action les bourreaux et dépeceurs qui, pour la somme de 1 million F CFA, procédaient à l’exécution et au prélèvement d’organes sur les malheureuses victimes.

A Lambaréné où les exécutions se faisaient dans la zone dénommée Montagne Tchad à 53 kms de la ville, les victimes étaient enterrées sur place « après prélèvement d’organes, pour dissimulation des traces. (…) Quelques mois après la décomposition des corps, les membres du réseau revenaient sur les lieux pour exhumer les dépouilles et prendre les ossements qu’ils revendaient ensuite à des fabricants d’amulettes », décrit le journal Echos du Nord.

C’est grâce au témoignage d’une des proies de Marie Ngossou et Chérone Ibinga, qui avait réussi à s’échapper du taxi qui la conduisait sur le lieu de son exécution, que la section de recherche de la gendarmerie de Lambaréné sera alertée et commencera les investigations.

Dénoncés les uns après les autres après l’arrestation des deux jeunes femmes, les interrogatoires révèleront qu’entre 2010 et 2013, les membres de cet escadron de la mort auraient réussi à tuer cinq personnes, dont un homme et quatre jeunes femmes âgées entre 18 et 22 ans.

« L’étudiant qui faisait partie de la nébuleuse aurait, à lui seul, apporté deux victimes au réseau », précise Jonas Moulenda.

Tandis que les deux jeunes qui choisissaient leurs proies parmi leurs « copines », auront réussi à en faire tuer une le 24 mai dernier.
Selon certaines sources judiciaires, les mis en cause auraient, pendant leurs interrogatoires, cité des noms de personnes influentes, comme étant les commanditaires des précieux organes.

Reste à savoir si après ces révélations, les populations gabonaises assisteront à l’interpellation de ces personnes qui, jusqu’à présent, jouissent d’une impunité qui en déconcerte plus d’un.
 
Source:Gabonneco 
 


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le 30-06-2013 01:28

Miguel Trovoada reçu en audience par Ali Bongo Ondimba

Le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a reçu en audience, jeudi à Libreville, le secrétaire exécutif de la Commission du Golfe de Guinée, M. Miguel Trovoada au cours d’une audience où les deux hommes ont discuté de la problématique de la piraterie maritime en Afrique.
 
 
 
 

Les deux hommes ont passé en revue un ensemble de questions qui avaient été débattues lors de la tenue, il y a quelques jours, d’un sommet à Yaoundé sur la sûreté et la sécurité maritimes dans le golfe de Guinée. Il s’agissait, pour le président gabonais et M. Trovoada, l’ancien président de Sao Tomé et Principe de commencer, dès maintenant, à préparer la prochaine rencontre de Malabo, en Guinée Equatoriale axée sur les mêmes questions, a rapporté la presse présidentielle.

L’on se souvient que, dans la capitale camerounaise, les treize chefs d’Etat africains de l’Ouest et du Centre présents (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte-d’Ivoire, Gabon, Guinée-Bissau, Guinée Equatoriale, Niger, Nigeria, Sao Tomé et Principe, Togo, Tchad) étaient tombés d’accord sur l’urgence et la nécessité de mutualiser leurs moyens pour lutter efficacement contre la piraterie maritime. Avec l’appui de la communauté internationale et conformément aux résolutions du Conseil de Sécurité des Nations Unies sur la piraterie, les présidents africains avaient planché sur une stratégie globale et intégrée d’un combat contre cette forme d’insécurité qui menace le développement du continent.

En tant que président en exercice de la CEMAC, Ali Bongo Ondimba a rassuré Miguel Trovoada sur son engagement à travailler avec ses pairs, ainsi qu’avec les entités internationales et sous-régionales susceptibles de jouer un rôle important dans la promotion de la paix, de la sécurité et de la stabilité en Afrique, notamment dans le golfe de Guinée. La surveillance de la mer, organisée et réglementée entre plusieurs pays, est une exigence qui aidera à réduire les actes criminels transnationaux, les actes de terrorisme maritime, les actes de pêche illégale, non déclarée et non réglementée, ainsi que d’autres activités illicites et répréhensibles sur les océans.

Les différentes rencontres entre les chefs d’Etat, les experts et les personnes ressources désignées par l’ONU, l’Union africaine et les organismes sous-régionaux s’inscrivent dans le processus de la mise en place des mécanismes qui permettront de garantir une plus grande sécurité des personnes et des biens en mer.

 


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