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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 04-05-2010 18:11

Ali Bongo a regagné Libreville lundi


 Le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba et son épouse Sylvia, ont regagné Libreville dans la nuit de lundi au terme d’un séjour en Chine où ils ont assisté à l’exposition universelle de Shanghai, la capitale économique de ce pays.
 


A son arrivé à l’aéroport Léon Mba, le couple présidentiel a été accueilli au bas de la passerelle par le Premier ministre, Paul Biyoghé Mba.

Au salon d’honneur, le numéro un gabonais a fait une déclaration se rapportant à son séjour en Chine où il a noué des nombreuses relations avec les milieux d’affaires chinois.

En marge de l’exposition, le président Ali Bongo Ondimba a été reçu personnellement par son homologue chinois Hu Jintao.

Le président Hu Jintao qui a d’ailleurs ouvert samedi dernier, l’exposition universelle à Shanghai, une exposition qui s’étendra jusqu’au 31 octobre prochain. Ce sont 700 millions de visiteurs qui sont attendus durant toute cette manifestation.

Le Gabon est très représenté au niveau du stand Afrique, où le président gabonais en personne a coupé le ruban symbolique. L’espace Gabon à Shanghai démontre la richesse et la diversité de la culture de ce pays. Une des attractions du stand Gabon est le célèbre pont en liane que le président Ali Bongo Ondimba a traversé à Shanghai au grand bonheur du public amoureux de la nature.
 
 
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le 03-05-2010 20:17

Début d'un audit sur la SEEG-Veolia


L'audit du contrat liant l'État gabonais et la Société d'énergie et d'eau du Gabon (SEEG), filiale du groupe français Veolia, a été lancé lundi pour quatre mois.

 

Le cabinet Deloitte Touche Tohmatsu, adjudicataire du marché de cet "audit comptable et financier, tarifaire et technique", a pour mission de donner "une opinion aussi fidèle que possible sur la manière et sur le déroulement de l'exécution de la convention" signée en 1997 pour 20 ans par l'Etat et Veolia, explique mardi 27 avril le quotidien historique et pro-gouvernemental L'Union. 


Il doit "faire le point sur le respect ou non par le couple SEEG-Veolia des clauses contenues dans le contrat (...). Il est aussi question de mettre à la disposition des gouvernants des données chiffrées et des analyses pertinentes qui leur permettront de reconsidérer au mieux ladite convention", affirme
Gabon Matin, quotidien de l'agence officielle de presse. Le rapport d'audit doit être "officiellement transmis" le 26 août au gouvernement, qui décidera alors de la suite à donner "à cette concession de la SEEG à l'origine des plaintes incessantes des usagers", précise L'Union.


Coupures d'eau et d'électricité


La SEEG, détenue par Veolia à 51%, est très critiquée en raison de coupures fréquentes d'eau et d'électricité au Gabon, pays de 1,5 million d'habitants dont une grande majorité vit à Libreville et Port-Gentil (sud, capitale économique).


Le 9 avril, le ministre gabonais de l'Energie, Régis Immongault, avait affirmé que l'Etat n'envisageait pas "pour l'instant" de résilier la concession avec Veolia, au terme de laquelle la SEEG est chargée de produire, transporter et distribuer l'eau potable et l'électricité dans le pays.

 

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le 03-05-2010 20:09

Martin Mabala réaffirme avec fermeté l'interdiction d'exporter des grumes


 Le ministre gabonais des Eaux et Forêts, Martin Mabala, a réaffirmé lundi de manière très ferme l'interdiction d'exporter des grumes brutes devant un auditoire composé de professionnels du secteur dont de nombreux forestiers.

 

 

 

 

 

"Plus d'exportation de grumes après le 15 mai", a martelé le ministre à plusieurs reprises. Annoncée en novembre à la surprise générale, la mesure d'interdiction devait initialement s'appliquer dès le 1er janvier mais le gouvernement avait finalement repoussé la date jusqu'au 15 mai.

La mesure vise à favoriser l'émergence d'une industrie locale et l'exportation de produits finis et semi-finis à forte valeur ajoutée.

 

Dans la salle, une représentante d'une entreprise forestière a, elle, assuré au ministre que la situation économique de son entreprise était "catastrophique" en raison de la "baisse de la production" pour respecter la loi alors que les "charges" restaient "les mêmes".

La plupart des entreprises forestières ne transforment qu'une partie des bois coupés et exportent le reste.

"Vous vous êtes pris à votre propre piège. (...) C'est vous même qui avez fait en sorte qu'on prenne cette mesure", a notamment affirmé le ministre aux forestiers.

"Il y a une capacité installée (d'usine de transformation) de plus de 2 millions de m3 et on a une production de 1,5 million", a affirmé le ministre à l'AFP, soulignant qu'il fallait combler cet écart.

"Il faut que tout le monde se mette au travail et revoit sa manière de travailler", a-t-il encore ajouté.

Pour lui, "certains se sont lancés dans des plans d'aménagement (en vue de de la certification des exploitation) uniquement pour transformer quelques essences au Gabon mais les 3/4 des autres essences devaient aller à l'exportation au mépris de la réglementation", a-t-il encore estimé.

"Tout le monde était là dans l'espoir d'entendre un message qui n'est pas venu: l'assouplissement de la mesure. On comprend le gouvernement mais il nous fallait du temps et on ne nous en donne pas", a affirmé l'AFP un forestier, dépité, sous couvert de l'anonymat.

"Il va y avoir des licenciements. C'est inévitable. Des plans (de licenciements) sont en préparation", a précisé un autre également sous couvert de l'anonymat.

"L'exportation des grumes permettait de financer la filière jusqu'à atteindre les 75% (de transformation obligatoire en 2012). On nous change la loi", explique un autre, tout en soulignant que les "mesures d'accompagnement" promis par le gouvernement ne sont pas encore connues.

 

La transformation des matières premières gabonaises sur le territoire national était une des priorités du programme électoral du président Ali Bongo Ondimba, investi mi-octobre.

 

Le bois, qui pèse pour 6% du produit intérieur brut (PIB) hors pétrole, est le principal employeur privé au Gabon, avec environ 15.000 emplois directs et 5.000 emplois indirects.

 

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le 03-05-2010 16:48

Journée mondiale de la Liberté de la Presse: discours intégral du Ministre de la Communication


A l’occasion de la Journée mondiale de la Liberté de la Presse, célébrée ce lundi par la communauté internationale, au Gabon, le Ministre de la Communication, de la Poste et de l’Economie Numérique, Laure Olga Gondjout, qui n’a pas dérogé à la tradition, a prononcé un discours circonstanciel dont en voici l’intégralité.

 

 

« Mesdames, Messieurs, Chers Compatriotes,

La communauté internationale célèbre ce 03 mai 2010, la Journée mondiale de la Liberté de la Presse instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies suite à l’adoption de la déclaration de Windoek sur le développement d’une presse africaine indépendante et pluraliste.

A titre de rappel historique, la déclaration de Windoek adoptée au cours d’un séminaire tenu en 1991 en Namibie, mettait l’accent sur l’importance d’une presse libre pour le développement et la préservation de la démocratie au sein d’un Etat, ainsi que pour le développement économique.
Cette disposition fondatrice de la Journée mondiale de la Liberté de la Presse s’inspire profondément de l’article 11 de la déclaration universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen qui stipule que « La libre communication des pensées et des opinions est un droit le plus précieux de l’Homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions ».

Depuis l’instauration de cette importante journée, le Gouvernement de la République a toujours considéré toutes les célébrations du 3 mai de chaque année comme de grands moments de réflexion sur les problèmes qui touchent la liberté de la presse et l’éthique professionnelle au Gabon.

Cette année 2010, la réflexion sur la problématique du rapport entre la liberté de la presse et l’éthique professionnelle, a été lancée en janvier dernier par le Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA qui, lors de la présentation des vœux de la presse nationale, n’avait pas manqué de rappeler solennellement son précieux appui envers la presse non seulement libre, mais surtout professionnelle dans la construction et la consolidation de notre jeune démocratie.

Comme on peut aisément le comprendre, ce soutien du Chef de l’Etat s’enracine parfaitement dans les engagements pris par notre pays pour lutter contre les entraves à la liberté de la presse au Gabon.

Cette année 2010, la Journée mondiale de la Liberté de la Presse sera diversement célébrée à travers le monde. Les manifestations iront au delà de la célébration symbolique de la seule journée du 3 mai 2010; journée pour laquelle l’UNESCO a choisi comme thème « Liberté d’information : le droit de savoir ».

Au Gabon, les activités qui seront organisées dans la journée du vendredi 7 mai 2010, avec toute la presse nationale, auront pour finalité, la démonstration de la contribution de la liberté de l’information à la gouvernance démocratique et à l’émergence d’un pays prospère.

Il s’agira, pour cette année 2010, de porter une attention toute particulière à la presse d’investigation. Celle de la recherche de la vérité et de l’objectivité.

En effet, les hommes et les femmes de communication doivent plus que jamais être exigeants concernant l’information à diffuser. Il serait regrettable que les professionnels des médias ne se servent pas de leur professionnalisme pour lutter contre la subjectivité et la pollution du débat intellectuel.

A partir du professionnalisme incontestable et constamment mis en exergue, je suis persuadé que les Hommes et Femmes de médias sauront se rendre indispensables au développement de notre pays.

Aussi, devrais-je inviter les uns et les autres à se préoccuper sérieusement de la dimension morale qui doit s’imposer à tous les professionnels soucieux de la dignité de l’Homme ; dignité qui renvoie au conflit de deux droits fondamentaux: le droit d’informer et le droit de chacun au respect de sa vie privée.

Ce n’est que dans cette cohérence du travail de terrain avec sa dimension morale que la liberté de l’information répondra davantage aux besoins de progrès social et de construction démocratique.

Je vous remercie ».

 

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