Des chercheurs et étudiants gabonais ont participé récemment à une formation à la reconnaissance et l’identification des rongeurs connus comme des réservoirs de maladies transmissibles à l’homme. La formation eu lieu au Centre International de Recherches Médicales de Franceville (CIRMF). Elle a été animée par le Dr Jean Marc Duplantier. Indique une source proche de ce centre.
A en croire le Pr Jean Marc Duplantier, les enseignés ont appris comment identifier les animaux qu’ils ont capturé lors du programme qu’ils ont mis en place dans le cadre de la surveillance de la ville de Franceville.
Ce sont des animaux classés nuisibles pour l’homme comme pour les animaux domestiques en ce qu’ils souillent les aliments, véhiculent des maladies et détériorent l’environnement immédiat, etc. Il s’agit notamment des rats, des souris, des taupes, des ragondins, des mulots, des fouines, des lérots, des loirs et autres campagnols.
Certains quartiers de Libreville sont insalubres. Les gens y vivent parmi les rats, des souris, des taupes, des cafards et les eaux souillées.
Rappelons que lors d’une de ses descentes sur le terrain, le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba avait déclaré que Libreville est trop sale. Or la capitale gabonaise doit abriter des poules de la CAN 2012.
Dans la perspective de cette grande compétition que le Gabon va conjointement organiser avec la Guinée Equatoriale, la Mairie de Libreville devrait s’adonner à l’assainissement en nettoyant les rues et avenues, en coupant les herbes, en curant les caniveaux et en abattant les animaux errants pour faire place nette à la propreté de la ville.
Notons que l’Etat gabonais a débloqué une enveloppe de 800 millions de francs CFA, dont 94 millions de francs CFA pour la Mairie de Libreville, dans le cadre d’un plan d’urgence de lutte contre l’insalubrité.
En l’absence du concerné qui a donné synchroniquement une conférence de presse en vue de justifier son désistement et dénoncer un complot d’élimination physique, la levée de l’immunité parlementaire d’André Mba Obame a été voté ce 5 mai à l’Assemblée nationale par 85 députés, parmi lesquels on a noté trois voix contre et trois abstentions. | |||||
La séance plénière convoquée pour la deuxième fois à cet effet, s’est donc déroulée sans le concerné. La question qui s’est donc posée aux députés était ce que prévoit le règlement de l’Assemblée nationale dans une situation où le député concerné par la levée de l’immunité parlementaire n’était pas sur les lieux. Le texte interrogé étant muet à ce sujet, il a été proposé que le président de la première chambre du parlement use d’un peu de diplomatie et de sa sagesse pour demander à ses collègues députés d’accepter un nouveau report et surtout de convaincre ceux du groupe parlementaire des forces du changement, auquel appartient Mba Obame, d’être là pour une audition de la partie incriminée. Ce afin que la décision qui serait prise au final ne soit interprétée comme de la parodie. Ceci n’ayant pas été retenu, la séance plénière s’est tenue. Les députés Maganga Moussavou du PSD, Mme Makaya du PGP et Sene Ingueza du CDJ ayant quitté l’hémicycle, seuls ceux du Parti démocratique gabonais (PDG) et ses alliés, ont assisté à la lecture du rapport de la Commission ad hoc . Les résultats du vote qui a suivi ont donné trois voix contre, trois abstentions et 79 voix pour 85 députés votants. André Mba Obame a donc perdu son immunité parlementaire. |
Les membres du Conseil national de la communication (CNC), conduits par leur président, Jean Ovono Essono ont échangé avec le Premier ministre, Chef du gouvernement, Paul Biyoghé Mba, le 4 mai 2011, dans le cadre d’une visite de courtoisie.
Pour le président de cette institution, il était judicieux pour sa délégation, de faire ses civilités au Chef du gouvernement après la première institution du pays qui est la présidence de la République, tout récemment.
Au terme de plusieurs rencontres de prise de contact effectuées avec le monde de la communication, Jean Ovono Essono et les conseillers membres sont venus se présenter à Paul Biyoghé Mba et lui expliquer le fonctionnement de leur institution.
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