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le 02-02-2010 23:37

Les maux qui minent le continent africain au cœur d’un sommet auquel a pris part Sylvia Bongo Ondimba à Addis-Abeba

- En marge du 14éme sommet de l’Union africaine sur les TIC à Addis-Abeba en Ethiopie, l’épouse du chef de l’Etat gabonais, Sylvia Bongo Ondimba, a pris part lundi, au sommet des Premières dames d’Afrique. 

Pour cette première sortie officielle, Mme Sylvia Bongo Ondimba a rencontré les autres Premières dames présentes à ce sommet pour discuter des questions liées aux maux qui minent le continent africain.

Connue pour son implication sociale notamment auprès des populations sous intégrées, ou encore pour le soutien qu’elle apporte au développement de l’esprit d’entreprise des gabonaises, en finançant par exemple des microprojets, le leitmotiv de la première Dame du Gabon Sylvia Bongo Ondimba est de s’occuper des personnes qui souffrent et d’agir dans la durée pour améliorer le vécu des couches sociales fragilisées. 

Femme de tête et de cœur, son ambition pour le Gabon est noble, louable et immense. Toutefois, persuadée qu’une éducation réussie est le sous bassement d’un développement durable, elle veut tout d’abord œuvrer dans ce domaine, y promouvoir l’excellence et la rendre accessible aux plus démunis.

Dernièrement, Sylvia Bongo Ondimba était sur tous les fronts à l’occasion du Sommet mondial sur la sécurité alimentaire.  Elle a rencontré les responsables de la Croix rouge italienne et a visité une fondation  de personnes droguées. A Paris, elle a reçu une délégation de femmes gabonaises, après avoir pris part au 2e Sommet des premières Dames des pays non alignés à Rome dont les travaux ont débouché sur un appel aux dirigeants du monde, la veille du Sommet mondial sur la sécurité alimentaire, sur les questions liées à l’insécurité alimentaire, au siège de la FAO, à Rome.

Elle s’est fort bien illustrée au cours des échanges qu’elles ont eus dans la capitale italienne, en exprimant une vision prospective des mesures à prendre pour éradiquer la faim dans le monde.

Née le 11 mars 1963 à Paris, elle découvre la terre d’Afrique, lorsqu’elle n’avait que 2 mois, car ses parents qui sont d’origine française, sont mutés à Douala, au Cameroun.

En 1974, après un séjour en Tunisie, la famille s’établit au Gabon où son père, Edouard Pierre Valentin, fonde la société OGAR, aujourd’hui la plus grande compagnie d’assurances de la sous-région.

Sylvia grandit avec sa fratrie à Libreville et comme la plupart des jeunes filles de son époque, elle reçoit une éducation académique et chrétienne au sein de l’Institution Immaculée Conception jusqu’au baccalauréat.

Elle a effectué ses études supérieures en gestion d’entreprises en France, avant de regagner le Gabon, son pays d’adoption. Recrutée dans la plus importante agence immobilière, elle est vite promue

Directrice Commerciale grâce à ses qualités relationnelles, ainsi que sa grande ouverture d’esprit.

Femme énergique et combative, elle décide de créer, à l’âge de 25 ans, son propre entreprise. Elle y parvient avec brio, comme l’atteste Alliance S.A, agence spécialisée dans l’immobilier et la gestion de patrimoine.

En 1988, elle rencontre Ali Bongo Ondimba. Aujourd’hui, ils sont les parents comblés de 4 enfants : Malika, Nourredin Edouard, Jalil Louis et Bilal, adopté par le couple en 2002.

Quant à l’éducation de ses enfants, elle est une mère aimante, attentionnée et exigeante. Consciente de l’importance du climat familial dans l’épanouissement d’un être, elle veille au bien être des siens très sensible aux malheurs des autres.

FIN/IG/PK/MM/10

 

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le 02-02-2010 23:30

Le Président Ali Bongo Ondimba regagne Libreville ce mardi après-midi

Politique : Ali Bongo Ondimba regagne Libreville mardi après-midi de retour d’Addis-Abeba
 

 - Le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba regagne Libreville cet après-midi, au terme d’un séjour à Addis-Abeba (Ethiopie) où il a pris part aux travaux du 14ème sommet de l’Union africaine (UA) sur les TIC.

Le président gabonais a quitté Libreville samedi dernier pour la capitale éthiopienne pour prendre part aux travaux du 14ème sommet de l’Union africaine sur les TIC, aux cotés de ses pairs du continent africain. 

Lors des huis clos présidé par Ali Bongo Ondimba, les questions relatives à la réforme du Conseil de sécurité et à la Cour internationale de justice, ont dominé les travaux, indique-t-on.

Durant son séjour en Ethiopie, le Chef de l’Etat gabonais  a eu des entretiens avec certaines personnalités.

Tour à tour, le chef de gabonais s’est entretenu avec Ban Ki Moon, le secrétaire général de l'ONU , ses homologues Pierre Nkuruziza (Burundi), Abdoulaye Wade (Sénégal), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville), François Bozizé (Centrafrique), Cheik Charrif Cheik Ahmed (Somalie).

Face à lui, on a aussi vu le secrétaire d’Etat adjoint américain pour les Affaires africaines Johnnie Carson, le ministre Portugais des Affaires étrangères, Luis Amado.

Aux uns et autres, Ali Bongo Ondimba a affirmé le rang moteur de l’intégration africaine que le Gabon a toujours su occuper dans les instances de l’Union africaine. 

De même, il s’est engagé à se montrer très « actif dans la promotion du Nouveau Partenariat pour le Développement en Afrique (NEPAD).» 

Son discours quasi identique avec Ban Ki Moon, à qui il aurait renouvelé le soutien du Gabon pour toutes les initiatives de l’ONU, la plupart des conventions internationales faisant désormais partie de l’arsenal juridique du pays.

Le sommet s’achève ce mardi avec l’adoption par les chefs d’Etat et de gouvernement d’un dispositif visant le règlement des crises qui minent le Soudan, la Somalie et le Madagascar. 

FIN/IG/PK/10

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le 02-02-2010 23:27

: Ali Bongo Ondimba prononce le discours de clôture du 14ème sommet de l’UA

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

– Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba a prononcé mardi l’allocution de clôture du 14ème sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine (UA) qui s’est tenu à Addis-Abeba (Ethiopie), siège de l’institution panafricaine, rapporte l’envoyé spécial de l’AGP.

Le Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine ouvert dimanche dernier s’est achevé ce mardi 2 février.

Cette rencontre était consacrée au thème relatif au défi des technologies de l’information et de la communication (TIC) pour le développement du continent africain. Les questions de paix et de sécurité, le financement et le fonctionnement de l’organisation panafricaine, l’examen des nombreux rapports ont été abordés. 

Les dirigeants africains ont procédé au renouvellement des membres du Conseil de paix et de sécurité (CPS), puis adopté plusieurs recommandations.

Le président gabonais Ali Bongo Ondimba a prononcé le discours de clôture, après avoir présidé les débats à huis clos qui ont pris fin quelques temps plus tôt ainsi que la plénière. Une intervention fortement applaudie par les dirigeants du continent, qui ont favorablement approuvé la teneur, faisant le tour d’horizon des questions ayant dominé les discussions de cette 14 ème session ordinaire. 

A Addis-Abeba, les chefs d’Etat et de gouvernement parmi lesquels le président Ali Bongo Ondimba, ont été sensibilisés lors d’un échange avec les responsables des organisations multilatérales, Banque mondiale, UIT, et des entités spécialisées, sur l’importance des TIC pour le développement du continent. 

A cette occasion, Ali Bongo Ondimba a fait partager, à l’instar de ses homologues, sa vision technologique qu’il a proposée aux Gabonais pour la période 2010-2020. Celle-ci a pour objectif d’amener le Gabon à emprunter résolument les autoroutes de l’information, en intégrant, entre autres, le renforcement du cadre règlementaire et des capacités humaines, le développement d’infrastructures à la large bande et la numération de la radio et de télévision.

Depuis son accession à la magistrature suprême, le chef de l’Etat a engagé une politique hardie de développement des technologies de l’information. Il a donc, invité les pays de l’Union africaine à fédérer leurs efforts pour combler le différentiel d’accessibilité aux réseaux d’information et de communication. Cet appel lancé par le chef de l’Etat gabonais résulte des disparités observées en matière de développement des technologies de l’information et de la communication. Ce constat commande en réelle et sérieuse prise de conscience de la nécessité de tous les pays de s’arrimer sérieusement afin de réduire cette fracture numérique dans le secteur de la téléphonie, les services de bandes passantes, l’accès à internet. 

Les pays d’Afrique du Nord et l’Afrique du Sud représentent les principaux acteurs. Ces écarts ont naturellement entraîné une réelle prise de conscience des dirigeants africains qui ont cerné l’enjeu. Le continent dans son ensemble fait face à de nombreux défis. Certes, diverses initiatives ont été prises pour améliorer les infrastructures de télécommunication et de TIC. De nombreux plans d’actions ont été lancés. Mais, la réalité et le fossé qui sépare les régions exigent de sérieux efforts, sinon, un engagement plus accru des Etats pour réduire. C’est, du moins, un des points fédérateurs des positions des Africains.

On note que pendant ces assises, la crainte de voir d’autres dossiers, notamment, les crises et conflits ravir la vedette à aux TIC n’a guère prospéré en raison de l’importance que revêt également le défi des technologies de l’information et de la communication ainsi que les discussions ouvertes sur d’autres aspects. 

Pour autant, les situations au Soudan, en Somalie et Madagascar, ainsi que les transitions dans d’autres pays, notamment en Guinée, ont été des sujets de préoccupation des chefs d’Etat présents à cette grand-messe. Comme à l’accoutumée, les chefs d’Etat ont examiné plusieurs rapports. Au nombre de ceux figurent le rapport de la Commission sur la mise en œuvre des précédentes décisions du Conseil exécutif et de la conférence, le rapport du Conseil de paix et de sécurité en Afrique, celui relatif du président de Comité des dix sur la réforme des Nations Unies, ainsi que la Déclaration de Copenhague sur les changements climatiques. 

Le rapport intérimaire de la Commission sur l’affaire Hissene Habré, a été également examiné. Le budget pour l’exercice 2010 de l’Union africaine a été adopté.

Il reste, néanmoins, que si l’élection du président du Malawi à la présidence de l’Union africaine, entraîné la sortie du leader libyen, Mouammar Kadhafi, et constitué à l’ouverture dimanche dernier l’évènement de ce Sommet, plusieurs questions n’ont guère été abordées, alors qu’elles figuraient à l’ordre du jour. Il y a retrait de la problématique de l’Autorité de l’UA que le dirigeant libyen s’était proposé de faire aboutir. Elle pourrait être abordée lors du prochain qui se tiendra à Kampala en Ouganda, en juillet prochain. Son retrait aura, note un observateur, permis d’éviter la réactivation des pôles d’opposition qui s’affrontent au sein du continent sur la construction ou non au rythme souhaité par le leader Kadhafi, des Etats Unis d’Afrique. 

Après les premières hésitations enregistrées au tout début de cette initiative, elle a fait du chemin depuis 2005. D’autant que lors 13 ème sommet organisé à Syrte en Libye, les chefs d’Etat et de gouvernement avaient été amenés à avaliser, après d’âpres négociations le principe de mettre en place une Autorité de l’UA qui, devrait, remplacer la Commission de l’UA que dirige Jean Ping.

En somme un gouvernement fédéral, disposant de compétences et de pouvoirs étendus et concrets pour parler au nom de l’Afrique, dans les domaines aussi variés que les négociations internationale, la défense et la sécurité communes. Ce point était présenté, côté libyen, comme étant un élément majeur de son mandat. Il consacrait une évolution positive avec pour objectif le renforcement de l’Exécutif continental pour l’habiliter à jouer un rôle plus déterminant dans la marche vers les Etats Unis d’Afrique.

Depuis quelques réticences avaient observées. Il était à craindre que, usant comme à l’accoutumée de pressions multiformes exercées sur de nombreux pays, le Guide libyen ne remette le débat, et tente de persuader le Sommet de poursuivre son engagement en adoptant définitivement. Les critiques faites par Kadhafi avant de passer le témoin au président du Malawi, et son insistance à appeler les peuples Africains à l’unité, sont apparues comme des signes de déception. Car, l’homme aurait bien obtenir un second mandat, pour dit-on, parachever le travail abattu.

Notons, par ailleurs, que le président gabonais a pris part, en marge du Sommet, à la 2ème réunion de l’Alliance des leaders africains contre la Malaria. Cette rencontre présidée par le chef de l’Etat tanzanien a permis de faire le point sur les actions menées en vue de la lutte contre pandémie.

LJN/IM

 

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le 02-02-2010 23:21

Les rideaux se sont refermés sur les travaux du 14ème Sommet de l’Union Africaine, ayant enregistré la présence active d’Ali Bongo

 – Ouverts depuis le 25 janvier dernier, les travaux des assises du 14ème Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine, qui ont enregistré la présence remarquable du numéro un gabonais, Ali Bongo Ondimba, viennent d’être clos à Addis-Abeba, dans la capitale éthiopienne, siège de l’Institution panafricaine, avec à la clé la page Kadhafi entièrement tournée, du moins à en croire nos confrères de Radio France Internationale (RFI).


Selon la même source, les chefs d’Etat et de gouvernement des 53 Etats membres de l’UA ont affiché une position unanime sur la crise à Madagascar quant à la fermeté à l’endroit du président autoproclamé Andry Rajoelina, et adopté deux textes sur la justice internationale.

« En désignant à leur tête le président du Malawi, Bingu Wa Mutharika, pour un an, ils (Ndlr : chefs d’Etats et de gouvernement), ont également fermé la parenthèse Kadhafi et le changement n’a pas tardé à se faire sentir », précise RFI.

Concernant les projets de résolution importants, l’un portant sur la Cour Pénale Internationale (CPI) et l’autre sur le principe de la compétence universelle, le document fait « la part belle à l’avenir judiciaire du président soudanais, Omar El-Béchir ». 

En fait, le projet de résolution regrette que le Conseil de Sécurité des Nations Unies ne se soit pas prononcé sur l’application de l’article16 de la convention de Rome, permettant de suspendre la procédure lancée contre Béchir.

Pour ce qui est de la crise secouant Madagascar, une résolution a été prise, confortant la médiation de la Communauté pour le Développement de l’Afrique Australe (SADC), non sans annoncer la fermeté qui sera de mise vis-vis d’Andry Rajoelina.

A préciser que ce Sommet qui prend fin avait pour thème central « Les Technologies de l’Information et de la Communication : défis et perspectives », et a été honoré de la présence du Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki Moon. 

 

« Le choix du thème central de ce Sommet, «Technologies de l'Information et de la Communication en Afrique : Défis et Perspectives pour le Développement » s'inscrit naturellement dans cette démarche, eu égard á la place qu'occupent désormais les Technologies de l'Information et de la Communication dans le développement de nos sociétés. En effet, tout comme l'imprimerie a bouleversé la transmission du savoir, Internet nous aide à franchir une nouvelle étape dans la diffusion des lumières du savoir humain », a déclaré le Président de la Commission de l’Union Africaine, le gabonais Jean Ping, à l’ouverture du Sommet, le 31 janvier.

Aussi, Jean Ping a-t-il notamment passé en revue l’ensemble des conflits armés et tensions politiques qui minent certains pays du continent, non sans se réjouir des avancées significatives à l’africaine qui s’observent désormais çà et là pour une résolution efficace et durable de toutes ses situations déplorables  affectant le développement socioéconomique de l’Afrique.

Côté gabonais, une importante délégation gouvernementale, dirigée par le Président de la République, Ali Bongo Ondimba,  comprenant entre autres Madame le ministre de la Communication, Laure Olga Gondjout, et son homologue des Affaire Etrangères, Monsieur Paul Toungui,  a pris une part très honorable à ce rendez-vous d’Addis-Abeba, qui se tenait à deux semaines du lancement, au Gabon, des « Journées portes ouvertes sur l’Economie Numérique (17-20 février 2010) », initiées par le ministre de la Communication, de la Poste et de l’Economie Numérique, et adopté par le gouvernement en réuni en Conseil des ministres. 

GN/MS/RA/10

 

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