Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 16-04-2010 19:02

Les questions d’intégration sous régionale et d’intérêts bilatéraux évoqués

 
 
 
 
 
 Le président gabonais Ali Bongo Ondimba, qui a pris part à la cérémonie de l’inauguration et d’installation du parlement de la CEMAC, a reçu le ministre des mines et du Pétrole de Guinée Equatoriale Gabriel Obiang Lima avec qui il a évoqué plusieurs aspects de la coopération entre les deux pays. 

Au-delà de l’inauguration du siège et l’installation des députés, cette première rencontre de l’ensemble des chefs d’Etat, après Bangui le 17 janvier dernier, où avait été programmé ce double évènement, a été l’occasion de longs et importants échanges entre le président Ali Bongo Ondimba et ses pairs. Les questions d’intégration sous régionale et d’intérêts communs ont dominé les entretiens.

Le chef de l’Etat gabonais entend ainsi maintenir la place et le rôle du Gabon dans la vitalité de l’espace communautaire en restant conforme à la vision longtemps exprimée par le défunt président gabonais, Omar Bongo Ondimba, qui avait eu pendant plusieurs décennies un rôle moteur au sein de la communauté économique de l’Afrique centrale.

Ali Bongo Ondimba n’a pas manqué de se réjouir de la qualité des échanges qu’il a eus avec ses homologues présents à Malabo, dont le président Obiang Nguéma Mbasogo, et de remercier les autorités équato-guinéennes pour la qualité de l’accueil exceptionnel dont il a, à nouveau, eu droit en foulant, une seconde fois, le sol de ce pays frère, après sa première visite à Bata, peu avant son investiture à la présidence.

LJN/PRB
 
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le 15-04-2010 22:28

Ali Bongo Ondimba adresse ses condoléances à son homologue Hu Jintao après le séisme de mercredi


 Le président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, adresse ses condoléances à son homologue Chinois, Hu Jintao, suite aux décès de nombreuses personnes victimes du violent séisme mercredi dernier, dans la province du Qinghai au nord-ouest de la Chine, indique un communiqué parvenu à GABONEWS dont notre Fédération a reçu une copie.


« Monsieur le président,

J’ai appris avec beaucoup de regret qu’un violent séisme s’est produit au nord-ouest de la Chine dans la province du Qinghai, le 14 avril 2010, entraînant la mort brutale de plusieurs centaines de personnes.

Les nouvelles qui nous sont parvenus font également état de milliers de blessés.

En cette circonstance particulièrement douloureuse qui endouille de nombreuses familles chinoises, permettez moi de vous adresser mes plus sincères condoléances ainsi, que celles du peuple gabonais tout entier.

J’exprime également toute notre compassion et notre soutien moral aux familles des victimes.

Je vous prie de croire, monsieur le Président, en l’expression de ma très haute considération ».

Cette note est rendue publique alors que le président de la République, se trouve à Malabo, en Guinée Equatoriale, depuis mercredi avec ses paires de la sous régions d’Afrique centrale en vue du lancement du parlement de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).


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le 15-04-2010 17:10

Le Gabon, pionnier africain du bois durable


 Avec près de deux millions d'hectares, le Gabon est le deuxième pays dans le bassin du Congo en terme de surface de forêt  certifiée FSC, Forest Stewardship Council, un écolabel fondé en 1993, qui garantit une gestion durable des forêts.
 
 
 

100 % du bois transformé au Gabon

Autre changement majeur au Gabon : la transformation locale de 100 % du bois local. De 12 %, elle est passé à près de 50 % aujourd'hui. L'objectif était d'atteindre 75 % des volumes des grumes de bois transformés en 2012 et 90 % en 2025..., jusqu'à l'arrivée au pouvoir du fils du président défunt, Ali Ben Bongo. Le nouveau patron du Gabon a imposé, presque du jour au lendemain, un objectif de 100 % réalisable dés le 1er janvier 2010..., semant la panique chez les forestiers. Depuis, ils ont obtenu de pouvoir exporter jusqu'à la fin avril les grumes coupées avant le 31 décembre 2009. D'ici là chacun va essayer de décrocher des dérogations auprès du président, qui décidera au cas par cas

 
 

Après une heure de vol au dessus de la forêt gabonaise, le petit avion à hélices se pose cahin-caha sur une piste en latérite. Il fait la navette tous les quinze jours depuis Libreville, la capitale du Gabon, est le seul lien qui relie les forestiers au monde civilisé. Ici, c'est le royaume des animaux. On distingue les traces des buffles le long de la route terreuse. Plus loin dans la forêt, un gorille rappelle à grands cris que l'on est sur ses terres. Dans la fraîche nuit tropicale, ce sont les mandrills qui viennent se réchauffer contre les moteurs des bulldozers. Les petits éléphants de forêt, eux sont mille cinq cents dans cette concession de Rougier Gabon, qui en gère quatre dans le payse(près de 900 000 hectare)s. Pour le groupe français, spécialisé dans la transformation et le négoce des bois tropicaux et exotiques, qui est aussi présent au Cameroun et au Congo voisin, le Gabon, où il travaille depuis les années 60, est un pays clef, avec une production annuelle totale de près de 300 000 m3 de grumes.

La concession du Haut-Abanga s'étale sur 288 000 hectares au nord-ouest du pays dans la province du Woleu-Ntem. Après quelques kilomètres à travers la forêt, émerge le village Babylone, qui abrite les employés et leurs familles. Près de 600 personnes y vivent en totale autarcie : les maisons sont toutes identiques, bien ordonnées le long de la route principale, neuves pour la plupart. Il y a une école, une infirmerie, une épicerie et une boulangerie et même le tri sélectif des déchets. Répartis toutes les quatre habitations, des extincteurs et des fontaines d'eau potable sont accessibles. Les ouvriers qui descendent des camions, de retour du chantier, ont tous la même tenue de travail, désormais payée par la société. C'est aussi cela la certification FSC, Forest Stewardship Council, un écolabel, qui garantit une gestion forestière responsable, socialement bénéfique, économiquement viable et respectueuse de l'environnement. Cette organisation internationale, indépendante, non gouvernementale et à but non lucratif, a été fondée en 1993, suite au Sommet de la Terre de Rio de juin 1992 par des propriétaires forestiers, des entreprises de la filière bois, des groupes sociaux et des associations de protection de l'environnement, en vue de promouvoir dans le monde entier une gestion forestière responsable.

C'est le 9 octobre 2008, que Rougier a obtenu la certification FSC pour sa chaîne de contrôle et pour trois de ses concessions forestières au Gabon, sur près de 700 000 hectares. Le même jour, le groupe suisse Precious Woods a aussi décroché le précieux sésame pour ses activités d'exploitation forestière gabonaises, gérées par la Compagnie équatoriale des bois (CEB), pour l'ensemble de sa concession de 600 000 hectares. Moins d'un an plus tard, le 2 juin 2009, la Compagnie des bois du Gabon (CBG) a elle aussi été certifié FSC sur 568 000 hectares. Ce sont ainsi 1 873 510 d'hectares de la forêt gabonaise, sur les dix millions qui sont concédés aux opérateurs économiques, à être exploités durablement, faisant du Gabon, juste derrière le Congo Brazzaville (1 908 200 hectares), le deuxième pays, en terme de surface de forêts certifiées, du bassin du Congo, qui en totalise un peu plus de 4,3 millions (117 millions d'hectares à travers le monde).

Avec 22 millions d'hectares, soit 80 % de la superficie du pays, et l'Okoumé, qui est utilisé pour la fabrication de contreplaqué, la forêt est un secteur stratégique pour le Gabon, connu pour son pétrole et son ex-président Omar Bongo Ondimba, décédé en juin dernier après 41 ans à la tête du Gabon. En 2001 le gouvernement a ainsi mis en place un nouveau code forestier, avec entre autres objectifs, une gestion durable des forêts et la conservation des écosystèmes.

Sur le terrain, outre le plus grand confort des employés, cela se traduit par une certaine forme de « cueillette », assure Daniel Estoup, 55 ans, le chef d'exploitation, dont trente en Afrique, qui ajoute : « Aujourd'hui, c'est plus élégant que cela ne l'a été ». Du coup, les abatteurs ponctionnent désormais un arbre tous les hectares en moyenne... tous les 25 ans, période de rotation des parcelles. De la même manière, la construction d'une piste à travers la forêt pour atteindre les arbres ciblés est censée être « rentable » : un kilomètre de piste pour 1 000 à 1 500 m3 de bois.

Tout cela a un coût. Un plan d'aménagement revient à 5 euros par hectare. Il s'agit de cartographier tous les arbres dont les troncs dépassent les dix centimètres de diamètres. Pas de quoi effrayer Rougier convaincu d'avoir choisi la bonne stratégie. « La certification FSC est notre chance », car c'est aussi et surtout « un argument de vente » par rapport à la concurrence, comme l'explique Denis Cordel, directeur général adjoint de Rougier Gabon. « C'est un investissement sur le long terme », dit-il. « Un pari sur les consommateurs » de plus en plus soucieux de la provenance de leurs achats, ajoute-t-il optimiste au vu des tendances européennes, des JO 2012 de Londres dont le cahier des charges impose un approvisionnement en bois certifié .... « La première commande de contreplaqué FSC est venue d'Italie, dés la certification en octobre 2008 », se souvient-il tout sourire .
 
Source: L'EXPANSION
 
 
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le 15-04-2010 16:59

Discours Intégral du collectif des Fédérations PDG de l'étranger lors du point de presse tenu a Libreville


LA FEDERATION PDG RUSSIE ET EUROPE DE L'EST VOUS LIVRE ICI LE DISCOURS INTEGRAL DU COLLECTIF DES FEDERATIONS PDG DE L'EXTERIEUR LU PAR LEUR PORTE-PAROLE LE CAMARADE VIVIEN PEA AMOS.
 

 
                   (photo d'archive du quotidien l'Union)
 
 
 

 
                            (photo d'archive du journal Gabon Matin)
 
 
 

 "Considérant l’unité nationale comme valeur fondamentale de la paix dansnotre pays,

 

Considérant les efforts consentis par feu présidents Léon Mba et OmarBongo Ondimba pour faire du Gabon un havre de paix,

 

Considérant l’identitaire prôné par certains charlatans politiques nepeut que conduire à la destruction de notre pays,

 

Nous collectif des Fédérations du Parti Démocratique Gabonais (P.D.G.)de l’Algérie, de l’Afrique du Sud, de la Belgique, du Bénin, de l’Espagne, de la France, de l’Italie, du Maroc,De la Russieet des Pays du Bloc de l’Est, de la Tunisie, d’Allemagne, des Etats-Unis, du Canada, ….

 

Nous condamnons avec force et vigueur les propos machiavéliques,incendiaires et indignes prononcés par un « collectif d’Usurpateurs Nationaux ».

 

Ces propos prônant la déstabilisation de notre pays nous ramène 50 ansen arrière.

 

La nouvelle  donne politique, axésur l’émergence nous interpelle tous au plus haut niveau.

 

Le développement du Gabon aujourd’hui est notre priorité.

 

 Nous gabonais de la diaspora interpellons l’ensemble des compatriotes àne se laisser entraîner par des marchants d’illusion qui prônent la haine et lechaos dans le seul but d’atteindre leur fin.

 

L’émergence du Gabon ne peut être rendue effective que par lapréservation de l’unité nationale, qui doit guider chaque gabonais.

  

 

Le collectif des Fédérations P.D.G. de l’Etranger.

 

 

  
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