Les partis politiques de la Majorité Républicaine pour l’Emergence (CLR, FDC, UDL, UGD, UPN, CCDG, PNG, Convergence) dont les leaders étaient présents ont tenu une conférence de presse samedi dernier, à Libreville, afin de faire le bilan de la première année d’Ali Bongo Ondimba à la magistrature suprême ; bilan qu’ils ont unanimement qualifié de «satisfaisant », rapport les quotidiens, L’Union et Gabon Matin.
undi après-midi, une fillette, âgée de 18 mois, est tombée du septième étage de son immeuble, à Paris, dans le XXème arrondissement. | |||||
Sa chute a été amortie par la bâche d'un café situé au pied de l'immeuble, précise Le Parisien. Et un passant s'est positionné sous la bâche pour la recevoir dans ses bras. Cet homme, médecin de profession, avait été alerté par son jeune fils qui venait de voir le nourrisson tomber. Ce médecin a pu constater que la fillette n'avait pas été blessée dans sa chute. Mais il a préféré la confier au Samu, indique Le Parisien. La fillette et ses jeunes sœurs seraient restées seules, quelques instants, dans l'appartement, selon les témoignages de plusieurs habitants du quartier. |
Le ministre gabonais de l’Intérieur, Jean François Ndongou, est actuellement à Agadir, au Maroc, où il prend part au Forum du développement humain qui s’est ouvert le 1er novembre. Organisé par l’Initiative nationale de développement humain (INDH), ce conclave regroupe plus de 1700 participants. | |||||
Le ministre gabonais de l’Intérieur, Jean François Ndongou, qui prend part à cette rencontre a affirmé que «l'INDH place l'homme au cœur des préoccupations de développement. C'est une expérience enrichissante dont le Gabon doit s'inspirer. Le Maroc mène une politique de décentralisation, de transfert des compétences vers les collectivités locales, et avec la prise en charge de l'INDH, l'Homme se retrouve comme il se doit au centre des préoccupations de la Nation». L’INDH est en effet une expérience marocaine qui tend à combiner dans un même mouvement développement, démocratie et participation des citoyens. Lancée le 18 mai 2005 par le roi Mohamed VI, il vise à lutter contre la pauvreté en milieu rural et l’exclusion sociale en milieu urbain. Entre 2005et 2010, plus de 5 millions de bénéficiaires directs ont été recensés, pour plus de 22 000 projets et 3400 activités génératrices de revenus. L’investissement global s’élève à 13 milliards de dirhams. «Le défi qui se pose aujourd'hui est de savoir quels sont les paramètres qui permettent d'obtenir une croissance, augmenter le PIB, et comment faire en sorte que l'Homme s'émancipe réellement et soit un acteur actif et productif au sein de la société en mettant l'accent sur les préoccupations essentielles liées à l'éducation, l'eau ou encore l'emploi», a souligné le ministre gabonais. Trois thématiques sont au cœur de cette rencontre. La première séance a constitué l’occasion pour faire l’analyse positive que «peut avoir toute politique de développement sur le processus de redistribution des richesses». La deuxième thématique se penchera sur «la relation de causes à effets entre les programmes de développement humain et la préservation de l’environnement dans le cadre des politiques de développement durable». La dernière quant à elle sera l’occasion de «débattre des rôles que peuvent jouer les régions dans la lutte contre la pauvreté et la précarité». 1700 participants dont des ministres, des responsables économiques et d'acteurs associatifs prennent part à cette manifestation. Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, ou encore Cheikh Ahmed Mohamed Ali, président de la Banque islamique de développement (BID), sont également parmi participants. |
L’Etat gabonais a récemment procédé au paiement d’une cagnotte de 500 millions de francs CFA relative à la subvention annuelle allouée aux partis politiques ayant un élu local ou national, a-t-on appris lundi de source proche du ministère de l’Intérieur.
"Le ministre de l’Intérieur, Jean François Ndongou a officiellement annoncé aux leaders politiques gabonais le paiement de cette subvention lors d’une réunion vendredi avec les représentants de tous les partis au siège de son ministère".
L’argent est directement viré dans les comptes bancaires de chaque parti. Seul les formations politiques ayant des élus bénéficient de cette manne destinée à aider les partis politiques à fonctionner.
Le paiement se fait au prorata des élus. Ce mode de calcul procure au Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir depuis 1968), la plus grosse part de cette enveloppe. Créé le 12 mars 1968, le PDG détient la majorité absolue à l’Assemblée nationale, au Sénat, dans les communes et les assemblées départementales.
A l’Assemblée nationale, le PDG totalise à lui seule plus de 80 députés sur 125. Toute l’opposition réunie ne compte que 16 députés.
Outre les partis politiques, le Gabon,alloue une subvention annuelle à la presse indépendante et à tous les clubs évoluant en première division du championnat national de football.
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