Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 04-06-2010 22:48

dès la rentrée scolaire 2010-2011, les exclusions pour « travail insuffisant » seront interdites au Gabon


 Le ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Séraphin Moudounga, a déclaré mercredi dernier, lors de sa tournée d’explication des résultats des états généraux de l’Education à l’intérieur du pays, qu’ « à partir de l’année académique 2010-2011, il n’y aura plus d’exclusion du lycée ou du collège au motif de travail insuffisant ».

Le ministre a fait cette déclaration au cours de ces échanges avec les enseignants dans le cadre de sa tournée d’explication des conclusions des états généraux de l’éducation qui se sont déroulés du 17 au 19 mai derniers à Libreville.

Pour Séraphin Moudounga, « lorsqu’un enfant arrive au collège et ne parvient pas à obtenir son examen, il est orienté, après examen d’aptitude par les psychologues, dans l’un des centres de formation professionnelle de proximité qui seront construits dans les chefs-lieux de départements et districts, en vue d’apprendre un métier de base ».

Poursuivant son explication, le ministre de l’Education nationale a ajouté que « ceux qui parviendront pas à réussir dans les centres de formation seront formés dans les structures sportives, pourvu qu’ils deviennent des athlètes ».

Monsieur Moundounga a par ailleurs soutenu que « les exclusions sont à l’origine du grand banditisme dont on est victime aujourd’hui ».

Dans ce cas, il s’est engagé à appliquer l’interdiction des exclusions d’élèves pour travail insuffisant.

Ce processus issu des conclusions des états généraux de mai dernier permettra de faire en sorte que tout gabonais qui entre à l’école puisse en sortir avec, au moins un métier.

  

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le 04-06-2010 19:03

Les Usurpateurs Nationaux derrière une place au Palais Léon Mba


En ouvrant la campagne des élections législatives partielles du 6 août prochain, les responsables de l’Union Nationale (UN) ont entonné un air du déjà entendu en soulignant, sans pouvoir faire la démonstration de cette destruction, que la politique du parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) était en panne. 

 



Que d'alléluias pour chanter un Gabon retrouvé, restauré et refondé par enchantement par UN. Et pourtant la raison nous commande d’avoir des devoirs particuliers à l’égard de la vérité. En politique, le "parler vrai" ne signifie pas ressasser ses rancoeurs ou faire transparaître des états d’âme revanchard.

 

Le président Ali Bongo Ondimba croit au moins qu’il y a une vérité de la politique. La réflexion qu’il prône sur un nouvel mode de gouvernement est salutaire, puisqu’elle cherche à impulser la dynamique de solidarité sur le territoire et parce qu’elle peut être fondatrice d'une autre chose, à laquelle les gabonais aspirent confusément depuis plusieurs années sans véritablement encore la rencontrer.


On aurait donc tort de ranger la volonté de rupture de la méthode de gouvernement du président Ali Bongo Ondimba au rayon unique de la théorie ou de la rhétorique. L’engagement du chef de l’Etat de rompre avec les méthodes archaïques des précédents gouvernements est au contraire très concret et traduit une réalité politique de notre pays. C’est pourquoi faire la critique caricaturale est toujours facile. Malheureusement l’opposition, coutumière de pareille méthode, excelle à souhait dans cette pratique rébarbative. Mais la vraie raison de se réjouir de ce procès archaïque est qu’il cache en réalité un affrontement bigrement moderne qui sera au cœur de cette campagne et d’autres avenir : la bataille de la collecte des fonds pour la réalisation des projets. 


Si les responsables de l’UN trouvent que l’actuel gouvernement éprouve des difficultés à élaborer un budget qui tient la route pour la réalisation de son programme de faire du Gabon un pays émergent, ils ne nous disent pas non plus comment ils vont procéder pour collecter les fonds utiles à la concrétisation de leur programme. La recherche des fonds pose de manière concrète et technique le problème majeur de l’équilibre, dans la politique d’un gouvernement. Alors au lieu d’ergoter sur le programme et les stratégies du développement du PDG, que les responsables de l’UN nous disent dans les détailles comment vont- ils s’y prendre pour rassembler les fonds nécessaires à la transformation du Gabon à moins de six mois, une fois au pouvoir. Comment peut-on se complaire dans une position risible en se permettant de faire le bilan de la politique du Gabon émergent au bout de sept mois d’exercice ? Eh ben ! Il n’y a qu’à l’UN qu’on peut, au terme de six mois de gouvernement, transformer le Gabon dans les secteurs cruciaux de l’éducation et de la santé, lutter contre les inégalités et rénover les banlieues. C’est avoir… 


Le deuxième écueil de l’UN est l’absence d’un projet de gouvernement. Parce qu’il est stupide de penser qu’on peut aujourd’hui réellement croire à la pertinence d’un programme qui ne repose sur aucun diagnostic sérieux et partagé ? Alors avant de dire que le parti au pouvoir est en panne d’idées, il faut que les dirigeants de UN se montrent cohérant en proposant des contre-programmes, qui tiennent la route au programme du gouvernement Biyoghé Mba. Le projet porté par cette équipe est porteur au plan politique car il tourne le dos à une longue période de gabegie d’autant plus qu’il cherche à doubler les structures de décisions. Or, depuis à l’ouverture de la campagne des législatives partielles, les dirigeants de UN n’ont pas fait de contre proposition à l’actuel action du gouvernement. On retiendra qu’ils ont l’intention de ‘’rassemblée tous les gabonais’’ dès leur accession au pouvoir. Ce qui est une bonne chose puisque Ali Bongo Ondimba prône également l’unité des gabonais. 

 

La construction d’une unité nationale est une notion complexe, dans le sens où ce terme comporte en lui, unité, concurrences et antagonismes. L'unité, elle est dans ses sources : l'aspiration à un monde meilleur, l'émancipation des opprimés, exploités, humiliés, offensés, l'universalité des droits de l'homme et de la femme. Ces valeurs, le président Ali Bongo Ondimba les a intégré dans son action de gouvernement. Malheureusement, le discours qui est véhiculé par les responsables de UN relève de la science fiction, qui n’est pas tenue à la rigueur d’un programme de gouvernement voulu par des hommes qui prétendent mieux faire. Ce n’est donc pas une contre proposition. Les dirigeants de UN créent l’illusion du débat, ils cherchent à séduire en parlant d’eux-mêmes comme des architectes et des urbanistes de talent, alors qu’en réalité ils cherchent un emploi à l’assemblée nationale. 
 
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le 04-06-2010 16:34

Régis Immongault, le choix du renouveau de Mulundu


Les Mulundois ne cessent d’exprimer, depuis le lancement de la campagne pour les élections législatives partielles du 6 juin prochain, leur  soutien tous azimut au candidat du PDG Régis Immongault et son colistier Fernando Mawobo Lendoye au 1er siège du Département de Mulundu.
Quelle ferveur populaire autour du candidat de la Majorité lors des meetings où l’on voit la participation de toutes les couches de la population locale !
Après l’UFPDG, l’UJPDG et les Jeunes du Collectif de Mulundu qui ont, à leur manière, lancé la campagne de leur protégé, le tour est revenu aux autres couches de la population de prendre le relais pour soutenir le candidat de l’espoir et du développement de Mulundu.  Candidat sur qui, repose toutes les attentes de ce Département plongé dans la misère noire par des « chauves souris », qui ont passé le clair de leur temps, à tromper le défunt Président Omar Bongo Ondimba et qui ont profité de sa générosité pour s’enrichir insolemment sur le dos de la population.
Les hiérarques du parti cher à Omar Bongo Ondimba, les notables, les cadres, les jeunes, les femmes, tous, tiennent à être aux côtés de leur frère pour les soutenir dans ce combat où, estiment-ils, l’adversaire, après avoir trahi, ne pèse plus.
Le lancement de la campagne du candidat de la Majorité a été l’occasion pour les populations de démontrer par leur mobilisation, leur attachement à la politique de l’Emergence prônée par le Président Ali Bongo Ondimba.
Les électeurs ont promis de faire le choix du renouveau, un choix basé sur le développement de leur siège et partant, de tout le Département.
La personne aujourd’hui susceptible de porter haut le flambeau de leurs espoirs ne pourrait être que Régis Immongault. Comme on le voit, ils vont porter leurs suffrages au candidat du PDG afin de permettre à Mulundu de s’arrimer à la voie du développement que ne cesse de prôner le Numéro un gabonais.
Les Mulundois vont, nul doute, porter leurs espoirs au candidat de la Majorité pour impulser une dynamique de développement à leur Département. 
Dans toutes ses interventions, le candidat de l’espoir de la jeunesse Mulundoise qui se montre rassurant, ne cesse de battre en brèche les mensonges de son adversaire qui n’a plus d’arguments pour convaincre la population. 
Pour lui, l’unité des fils et filles de Mulundu ne devra pas se départir des considérations qui ne tiennent pas du tout. Il promet de travailler avec tous, pourvu que chacun soit conscient de son avenir et de celui du Département. Il a pris l’engagement de faire évoluer Mulundu pour un avenir meilleur de ses enfants. 
Somme toute, l’ambition de Régis Immongault est le bien-être des filles et des fils de Mulundu.
 
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le 04-06-2010 16:26

Communiqué Final du Conseil des Ministres du Jeudi 03 Juin 2010

 
 Sous la Haute présidence de Son Excellence le président de la République, chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, le Conseil des Ministres s’est tenu hier Jeudi 03 Juin 2010 à 10 heures dans la salle habituelle au Palais de la présidence de la République.
 
 
 
A l’ouverture des travaux, et à quelques jours du premier (1er) anniversaire du décès de notre très regretté Président de la République, Chef de l’Etat, Feu Son Excellence El Hadj Omar BONGO ONDIMBA, le Conseil des Ministres, afin de lui rendre un hommage mérité et solennel, a décidé de ce qu’une minute de silence sera observée sur toute l’étendue du territoire national, le Mardi 08 Juin 2010 à 13 h 50, jour et heure de son décès, l’an dernier, à Barcelone, en Espagne.

Par ailleurs, des manifestations officielles auront lieu ce même Mardi 08 Juin 2010, et à Franceville où, en particulier, il sera organisé une cérémonie de dépôt de gerbes au Mausolée par différentes délégations officielles, et à Libreville où, entre autres, aura lieu un culte œcuménique à la Cité de la Démocratie, à 15 h 30mn.

A cette même heure de 15h30, des messes et prières d’actions de grâce seront célébrées dans les Chefs lieux de provinces, de départements et de districts, en présence des autorités administratives, politiques, diplomatiques et consulaires.

Le programme détaillé de ces manifestations de recueillement sera communiqué ultérieurement. 

Au plan des relations diplomatiques, et relativement au récent séjour à l’étranger de Son Excellence, Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat, le Conseil des Ministres s’est félicité du caractère, particulièrement remarquable de celui-ci, en Norvège, en Libye et en France.

En Norvège, à l’occasion de la Conférence d’Oslo sur les changements climatiques, Monsieur le Président de la République a, non seulement confirmé le plan d’actions et la prospective gabonaise en la matière, mais a également eu d’importants échanges avec le Premier Ministre norvégien sur les principaux enjeux mondiaux ainsi que sur le renforcement des partenariats bilatéraux.

En Libye, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA a saisi l’opportunité de ce séjour pour examiner, avec le Guide de la Grande Jamahiriya libyenne, Son Excellence Mouammar AL KADHAFI, les modalités de renforcement et d’approfondissement des projets partenariaux en cours, ainsi que ceux à engager, notamment en matière de communication, d’éducation et de formation, de tourisme, d’hôtellerie et d’industries pétrolières.

A Nice, en France, le Président de la République, Chef de l’Etat, a participé au 25ème Sommet France-Afrique ; Sommet dont le caractère innovant des questions examinées et des modalités de son organisation, augurent, avec espoir, la garantie d’une nouvelle ère d’un partenariat France-Afrique mutuellement profitable aux peuples et Etats d’Afrique qui aspirent à engager le prochain cinquantenaire sur la voie de l’Emergence et de la Prospérité, ainsi qu’au peuple français préoccupé à affermir les acquis générés par le développement de son pays.

Poursuivant inlassablement l’œuvre de consolidation de la paix et de diffusion dans le monde de cette vertu, bien commun de l’humanité, le Conseil des Ministres, demeurant solidaire de la position de l’Union Africaine, et respectueux du Droit de la paix et de la sécurité internationales, invite la communauté internationale à envisager des voies et moyens de nature à parvenir à une paix durable au Proche-Orient.

Sur un tout autre plan, et parce que l’aspiration à l’Emergence, largement partagée par les Gabonaises et les Gabonais, exige d’observer des comportements citoyens, le Conseil a fustigé l’attitude de certains compatriotes qui, tout en ayant construit le long des voies de communication, en empiétant sur les dépendances du domaine public routier, entravent le déroulement diligent des travaux et notamment ceux engagés à Libreville, dans la perspective du cinquantenaire de l’accession de notre pays à la souveraineté internationale.

Aussi, le Conseil des Ministres confirme t-il que tous les propriétaires légaux, qui pourraient être lésés dans leurs droits lors de ces travaux, seront indemnisés par l’Etat. Mais que toute altercation prochaine contre des entreprises engagées sur les différents chantiers, fera l’objet d’actions prévues, à cet effet par la loi.
 
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE 
 
 
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE ET DE LA FRANCOPHONIE

Sur présentation du Ministre, le Conseil a marqué son accord aux demandes d’accréditation dans notre pays de :

- Son Excellence, Monsieur Eric D. BENJAMINSON, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire des Etats-Unis d’Amérique près la République Gabonaise avec résidence à Libreville ; 

- Son Excellence Docteur Kassim Ben Mohamed Ben Salim AL SALIHI, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire du Sultanat d’Oman près la République Gabonaise, avec résidence à Tripoli (Libye) ;

- Son Excellence Monsieur Clifford SHIMANE MARIBE, en qualité d’Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire de la République du Botswana près la République Gabonaise, avec résidence à Abuja (Nigéria) ;

- Monsieur Michaël ETOKI EBE, en qualité d’Attaché de Défense de la République du Nigéria près la République Gabonaise, avec résidence à Malabo (République de Guinée Equatoriale).

Par ailleurs, le Conseil des Ministres a approuvé respectivement :
• la transformation du Consulat Honoraire de Serbie au Gabon en Consulat Général ainsi que la nomination de Monsieur Momcilo RADUNOVIC au poste de Consul Général ;

• l’ouverture de Consulats Généraux du Gabon à Ouagadougou au Burkina Faso, à Bamako au Mali ainsi qu’à Cotonou au Bénin.
 
 
PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES 
 
 
MINISTERE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE, CHARGE DE LA REFORME DE L’ETAT

Sur présentation du Ministre, le Conseil a adopté le projet de décret fixant le plafonnement des rémunérations des présidents, des vice-présidents des conseils d’administrations et des personnels de directions des établissements publics, des entreprises publiques et des sociétés d’Etat, mesure décidée par le Gouvernement, en Conseil des Ministres du 28 Octobre 2009.

Ce texte vise entre autres, l’harmonisation des salaires dans ces secteurs, et les économies ainsi dégagées seront destinées au développement ou à la restructuration des entreprises ci-dessus mentionnées.
 
 
SEMINAIRES ET ATELIERS 
 
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION INTERNATIONALE ET DE LA FRANCOPHONIE

Le Ministre a sollicité et obtenu du Conseil, l’autorisation pour l’organisation d’un Atelier sur la cohérence diplomatique, le 15 Juin 2010 à l’hôtel des Affaires Etrangères à Libreville.


Le Conseil a, en outre, autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. 

La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.
 
NOMINATIONS 
 
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné la mesure individuelle suivante :

PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

- Président de l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE) : M. Ange Macaire LONGHO, Conseiller Spécial du Président de la République, Chargé de Missions. 
 
 
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