Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 06-12-2010 20:30

Infos!!!

 

 

A l’intention des 1 500 meilleurs élèves des écoles publiques du

Gabon (primaire) , la Première Dame du Gabon ,femme de coeur 

organisera le 18 Décembre 2010 un "Arbre de Noël" avec

distribution de livres et cadeaux éducatifs.

 

Cette nouvelle initiative de Madame Sylvia Bongo Ondimba démontre son total engagement au coté de son époux le Chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba au service du peuple gabonais. La Fédération PDG Russie et Europe de l'Est vous fera un compte-rendu dans ses prochaines publications.

 

                               

 


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le 06-12-2010 19:56

Les Objectifs du Millénaire pour le Développement au coeur des discussions entre les Jeunes d'Afrique et d'Europe à Tripoli

Du 25 au 28 novembre 2010 s`est tenu en prélude du sommet des Chefs d`Etat et de de gouvernement à Tripoli, un sommet Afrique-Europe de la Jeunesse. Ce sommet qui est à sa deuxième édition en la matière, avait pour premier objectif d’une part,d'analyser  les obstacles rencontrés dans l'exécution des recommandations faites lors du premier  Sommet des Jeunes  à Lisbonne trois ans auparavant, et d`autre part d'élaborer un nouveau plan d'action par le biais d`une  forte recommandation dont la mouture a  été soumise à la très haute attention des chefs d'Etat et de Gouvernement d 'Afrique et d’Europe. Le Président de la République ALI BONGO ONDIMBA y représentait le Gabon.

 

http://www.latribune-online.com/thumbnail.php?file=7a_486265584.jpg&size=article_medium

 

 

En effet, ce conclave des jeunes  a vu la participation de plusieurs  conseils nationaux de jeunesse d'Afrique et d'Europe, de l’Union Panafricaine de la Jeunesse, sans oublier l’appui et  l`implication actifs des deux institutions régionales que sont  l’Union Africaine et l'Union Européenne.

 

 

La délégation gabonaise à ce sommet de la jeunesse était officiellement conduite par le chargé de mission du Président de la République Mr AYENOUE Axel Jesson qu’accompagnaient, outre Mr NZIENGUY NZIENGUY Andy Roland en sa qualité de vice président de l’Union panafricaine de la jeunesse, deux représentants de la diaspora gabonaise à savoir Mlle NDZILA MIKA Gloria et Mr GUAILLARD OBAME Christian, tous venus  tonifier la voix du Gabon et faire battre sur un même diapason, les points de vue de la jeunesse gabonaise et ceux des autres pays intervenant aux travaux du sommet.

 

Les axes de discussion lors de ces assises, ont porté sur plusieurs thèmes :  La réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement, la Bonne Gouvernance, les questions de Paix et de Sécurité, le Commerce et le Développement,la Mondialisation,les changements climatiques, l`Emploi, et les Questions de Migrations.

 

Rappelons que les participants ont mis un accent particulier sur les « OMD » en proposant qu’un Comité de Pilotage des Jeunes soit composé et mis en place, afin d’évaluer et  aider les différents pays à réaliser  ceux des  objectifs se rapportant aux problématiques de  la Jeunesse. Ce sujet à permis à Mr Nzienguy Nzienguy de mettre son expérience à profit, en sa qualité de jeune ambassadeur des nations unies pour les OMD (Objectifs du Millénaire pour le Développement).

 

Les jeunes ont également proposé une plus libre circulation des personnes et  des ressources, ainsi qu’un réel transfert de technologie en faveur des pays les moins outillés.

 

La question du réchauffement climatique fut  l'occasion pour Monsieur AYENOUEde mettre en exergue le  pilier du  Gabon Vert, en le définissant comme un exemple d’effort de pays africains dans la lutte contre le réchauffement de la planète. Il a,  par ailleurs, appelé les jeunes d'Europe à reconnaître que les pays non pollueurs devraient être récompensés quant à  leurs efforts salvateurs pour l’Humanité.

 

 

En outre, les derniers  points qui ont suscités le  débat entre jeunes africains  et européens portaient sur « La place de l’Afrique au Conseil de Sécurité des Nations Unies » et la nécessité de présenter des excuses et  compenser les préjudices subis par les anciens pays colonisés.

 

Ine fine, le sommet a donné lieu à  l’adoption d`une série de recommandations compilées dans un document final appelé  "Déclaration de Tripoli".

 

Par ailleurs réunis en  réflexion  dans le  village touristique de Zanzour, les jeunes des espaces  africains et européens ont affiché leur détermination pour dévoiler un nouveau visage de la Jeunesse. C'est-à-dire une  jeunesse qui se veut avant tout ResponsableIntellectuelle et Solidaire.

  

Sources:Chargé de Mission du Président de la République, Axel Jesson Ayenoue et UJPDG-France

 


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le 06-12-2010 19:53

Qui a peur d’Ali Bongo Ondimba ?

Qui a peur d’ALi ?

Gabon, une campagne nauséabonde

 Lutte conte la pauvreté, l’exclusion et discrimination

Pour avoir décidé de sortir 80% de ces concitoyens Gabonais de la pauvreté et de l’exclusion, via une politique économique volontariste, une campagne de dénigrement sans précédent a été mise sur pied pour le salir. Ceux qui ont décidés, à tout jamais qu’aucun n’état du tiers monde, ne devait se mettre sur leur chemin et faire obstacle à leurs agissements abominables, conséquence plus de 2 milliards d’hommes, femmes, et même des enfants contraint de travailler.

Tous vivent avec moins de 1 dollar par jour, dans la précarité et la pauvreté à travers le monde.

Oui, mal lui aura pris de penser qu’il avait le devoir de changer cet état de chose dans son pays. 

Besoin de précision

Quelle extravagance, quel crime de lèse majesté, quelle infamie permet cette haro sur le pays et son président. On ne touche pas impunément aux intérêts de ces gens et de leurs sociétés, sans en payer les conséquences.

Sinon comment comprendre que d’un coté, on dénonce la mauvaise gouvernance et le manque de politique sociale et économique viablepermettant un développement, et de l’autre côté, on se jette comme des vautours sur le dirigeant du pays, quand il décide de se consacrer énergiquement à œuvrer pour la création d’activités économiques nouvelles, afin de combler le déficit des emplois dans le pays.

 Croissance économique

Couper le cordon ombilical dérange et n’est pas du goût de tout le monde. Dans la bataille de lutte contre la pauvreté, l’exclusion et la discrimination, il faut que les états diversifient leurs économies et ouvrent les portes à de nouveaux partenaires.

Créer des emplois pour que la solidarité puissent se mettre en place, seul outil capable d’éradiquer durablement les maux cités ci-dessus, la croissance économique donne un visage plus responsable en protégeant contre les déviations et catastrophes du chômage.

La croissance économique participe au bien être social. Le président actuel du Gabon, ne fait que ce que ces homologues d’autres pays et d’autres continents font déjà.

Où est le mal ?

Depuis quand, le fait qu’un président privilégie en priorité les intérêts de son pays passe pour une trahison.


Oiseaux de mauvais augures

Qui sont ces apprentis sorciers et autres semeurs de désordres. Sous le prétexte fallacieux de participer à la vérité selon eux, selon le moment et leurs intérêts, certains propagent sans nulles contradictions, des ignominies, tout en masquant leurs véritables intentions : « faire du chantage ».

Disons maintenant les choses, puisque le but de ceux qui entretiennent ce climat, sur la toile mondiale, est de dire la vérité. On veut à travers des articles, vidéos etc.… discréditer et pousser les responsables du pays à reculer, les inciter à garder le statut Co actuel, continuer à faire du sur-place, aptitude qui reconnaissons-le, leur a été plus que profitable durant plus de cinq (5) décennies, conservant leurs prébendes, satisfaisant leurs insatiable appétits sur les richesses du Gabon, au détriment des autochtones, sans que personne ne trouve rien à redire.

Tentative de dégradation de l’image présidentielle

Quand t’on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage ;

Quand t’on veut répudier une femme, on l’accuse d’adultère ;

Quand t’on veut se débarrasser d’une certaine population, on l’accuse de n’être pas assez intégrée, de faire trop de bruit, de faire une cuisine qui dégage des fortes odeurs, de faire trop d’enfant ;

Quand t’on veut se débarrasser d’un concurrent politique, on l’accuse de despotisme, de malversation ou encore de fraude électorale et j’en passe, rien n’étant assez fort pour le mettre hors jeu.

Quand t’on veut se débarrasser d’un chef d’état africain, très facile, dites partout qu’il a truqué les élections, et dans l’opinion, ça passe aussitôt comme vérité absolue.

 

Duplicité ou ignorance

La surenchère médiatique des derniers jours avec la complicité de quelques compatriotes motivés par jalousie, l’aigreur, l’incohérence habituelle qui caractérise leur démarche politique. Ils se laissent manipuler et utiliser comme des marionnettes avec des accusations fantaisistes dignes des pieds nickelés, tout cela prêterait à sourire, si, à travers cette entreprise de sape et de démolition, il ne s’agissait pas d’un état et de l’homme qui conduit à son destin.

Qui orchestre toute cette opération de diffamation et à quel but ?

Franc-maçonnerie

Belle trouvaille, on nous parle de franc-maçonnerie comme si c’était une découverte, des grands hommes qui ont comptés dans l’histoire de l’humanité et qui servent encore aujourd’hui de référence morale et intellectuelle, musicale, etc.…Tous des francs-maçons, cela a-t-il été un obstacle pour eux, à servir leur pays, des personnes illustres, quelques exemples :

· M'BA, Léon. Premier président de la république du Gabon. Fut membre de la loge Loyauté et Fidélité. Orient de Paris.

· ROOSEVELT, Théodore. 1858-1916. Président des USA de 1901 à 1909. Prix Nobel de la paix en 1906. Fut initié le 2 janvier, passé le 27 mars et élevé le 24 avril de l'année 1801, à la Matinecock Lodge n° 806, à Oyster Bay (N.Y). Pratiqua la Mark et le Royal Arch.

· BARCLAY, E-J. Président du Libéria de 1930 à 1941. Député-Grand Maître de la Grande Loge du Libéria en 1930.

· BOLIVAR, Simon. 1783-1830. Héros de l'Indépendance sud-américaine, El libertador, initié à Cadix (Espagne), reçut à Paris le grade de Compagnon dans la loge Saint-Alexandre d'Ecosse, le 11 novembre 1805. Sa lutte pour l'égalité raciale et le rejet de l'esclavage furent à l'origine de son amitié avec La Fayette. On lui attribue la fondation de la loge Orden y Libertad n°2, à Lima (Pérou).

· CHURCHILL, Winston, Sir. 1874-1965. Membre de la Studholme Lodge 1591, de Londres.

· GOETHE, Johann Wolfgang, von. 1749-1832. Maçon de la Stricte Observance templière germanique. Le plus grand poète allemand. Fut initié en 1780 à la logeAmalia zu den drei Rosen de Weimar. Fit partie de la Stricte Observance et des Illuminés de Bavière

Election truquée

Le 9 et le 16 décembre 2010 France 2 diffusera un reportage sur la France Afrique et dans ce reportage, certaines personnalités Françaises disent, entre autres que le président actuel du Gabon n'a pas gagné les élections.

Alors, pourquoi avoir soutenu le contraire et avoir été les premiers à le féliciter ?, rappelons-nous, le président Français a été le premier à congratuler notre président avant même que la cour constitutionnelle ne confirme sa victoire.

On peut aller plus loin et considéré que la France grande porteuse et défenderesse de la démocratie dans le monde a failli à son devoir, trahi son éthique morale en couvrant et en participant activement à cacher la vérité aux Gabonais. On dit souvent, qui a volé, volera encore, qui a menti, mentira encore, quand croire la France, quand elle félicite Mr Ali Bongo Omdimba ou quand elle tente de faire passer à travers ces différentes voix l’avis contraire. Pourquoi avoir attendu une année, pour dire qu'en faite ce n'est pas Ali Ben Bongo Ondimba qui a gagné mais son opposant. Ça ne tient pas la route. C’est du bidon, de la farce tout simplement et n’agrandit pas cette grande nation.

 

Tribalisme

Au pays du perroquet vert et de l’okoumé, un homme est responsable de toutes les calamités. Devenons sérieux, le tribalisme, l’ethnisme, le régionalisme n’est pas le fait de Mr Ali Bongo Ondimba, affirmer cela revient à travestir la vérité.

 Chacun connait le père de cette pratique et qui a contribué à transformer les provinces en des fiefs repartis entre ceux qui se réclamaient d’Omar Bongo Ondimba et le reste des citoyens, le cooptage, les familles, amis et compromissions divers ont fini par obstruer les portes de légalité des chances. Le pays a besoin d’un vrai débat national enfin de mettre sur pied des nouveaux mécanismes qui permettrait à l’ensemble du pays de revoir son mode de fonctionnement.

Maintenant pensons à ceux qui aujourd’hui se servent de ce véritable sujet pour avancer masqué et tronquer le débat avec leurs cas personnels.

Tous ces gens, hier, ils étaient au premier rang pour appliquer ce système à leur avantage, ils sont nombreux et de tous les bords politiques.

Quand ils se goinfraient et s’accaparaient des places et poste divers, ils ne disaient rien, ayant perdu la bataille le 30 aout 2009, ils viennent détourner un débat pour le ramener à leurs seuls problème.

Quelles ethnie du pays avait décidée à tout jamais que ces potentats devaient à tout jamais être leurs référents auprès du pouvoir, combien d’entre eux ont construit, fait des routes, hôpitaux, écoles etc.., aient fait profités leurs régions, la seule chose que l’on sait et les autres savaient mettre en avant, c’était la politiques de dons avec l’argent de la république.

Asseyons-nous et faisons un débat national sur ce sujet.

Je me permets de rappeler à ceux qui se servent du tribalisme pour fustiger le président actuel, pourquoi, ils ne sont pas battus pour que les Peuples Premiers du Gabon (Pygmées) soient présents au sein de l’assemblée nationale, voilà les exclus du pays, au lieu de cela, ils continuent à tout ramener à eux, ils phagocytent encore une fois une question d’intérêt national, leur ils savent juste se battre pour eux, arrêtons avec les égos personnels. Pour attiser les clivages, ils restent les premiers.

Seconde bêtise de ces derniers temps, le président serait contre les fangs, quelles inepties, le président a grandi avec les fangs, dans son entourage actuel, il y a de nombreux fangs.

 

Diabolisation

Parce que le président Ali Bongo Ondimba veut faire du slogan « donnant/donnant » une vérité réelle pas seulement dans les mots, il a dit clairement et sans ambages à l’ensemble des partenaires du Gabon, « on travaille avec tout le monde mais dans le respect du Gabon et de cesintérêts » le pays ne veut plus apparaitre comme « éternel quémandeur », plus de paternalisme condescendant mais « partenaires ».

Certes le Gabon n’est pas la Chine qui a droit aux courbettes de tous, puissance économique oblige, Gabon, petit Etat du tiers monde, doit juste signer et la boucler. Cynisme !

Le Gabon comme l’investisseur doivent être à pieds égal. La préservation du patrimoine environnementale, une priorité pour le président et une responsabilité envers la population et les générations futures, pas question de brader et d’hypothéquer l’avenir du pays.

La diabolisation, on le sait, est une technique utilisé contre des gouvernants, elle a eu des beaux jours, en Russie et ailleurs, aujourd’hui, c’est contre le Président Ali Ben Bongo Ondimba qui refuse la soumission et le pillages des richesses du pays aux seul bénéfices des Multinationales étrangères qui ne respectent ni les droits souverains des peuples, ni la préservation et conservation de la biodiversité.

 

Alors n’en déplaise à ceux et celles qui s’évertuent dans l’ombre, ce tintamarre n’entamera à rien, la détermination, le pragmatisme, la fermeté, le courage et la résistance du président face aux attaques diverses d’où qu’elles viennent.

La horde d’apparatchik internationale affairiste, qui n attend d’un gouvernant africain que de la soumission, c’est « niet », la mise aux ordres n’aura pas lieu, on est plus au temps de papa et de grand Tonton, Mesdames et Messieurs les hirondelles esseulés continués, mais le président reste plus que jamais attaché à sa mission, faire du Gabon un pays « Emergent ».

 


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le 06-12-2010 19:18

Assaut sur les Bourses et Stages

Cinq individus non identifiés ont fait irruption le 4 décembre aux bureaux de la Direction générale des bourses et stages (DGBS) qu’ils ont saccagés. Selon les témoignages du vigile des lieux, les cambrioleurs en avaient après le directeur général de la DGBS.
 
© D.R.
 
Le directeur général des Bourses et Stages, Jean François Thardin, se serait-il fait des ennemis ? Dans la journée du 4 décembre, cinq individus munis d’armes blanches ont pris d’assaut la Direction générale des bourses et stages (DGBS), située en plein centre-ville à Libreville.

Selon le vigile de la structure, molesté puis enfermé dans une pièce par les assaillants, ces derniers en avaient après Jean François Thardin. «Où est le directeur général ?», demandaient-ils au vigile, qui répondait «il ne travaille pas le week-end». Furieux, ils ont mis à sac les bureaux de la gestion des stagiaires, Campus France, la direction financière, la cellule informatique et ceux des directeurs généraux. 

Par la voix du ministre délégué à l’Education nationale, Raphaël Ngazouzé, le gouvernement a condamné cet acte. «Après le lâche assassinat de l’ancien directeur du Conseil gabonais des chargeurs (CGC), René Ziza, le gouvernement condamne avec la plus vive énergie cet acte odieux intenté contre un haut fonctionnaire qui ne fait qu’appliquer avec efficacité la politique du gouvernement en matière de distribution des allocations des bourses et stages», indiqué le ministre.

«Le gouvernement saisi cette occasion pour dire qu’il ne renoncera pas aux réformes pertinentes et courageuses entreprises et conduites en vue de faire avancer notre pays quelles que soient les pressions. Il n’y aura donc aucun recul. Le gouvernement exhorte par ailleurs tous les fonctionnaires et agents de l’Etat appelés à appliquer les instructions, à plus d’ardeur, de détermination et les invite à signaler tout acte ou tentative d’intimidation d’où qu’ils viennent», a poursuivi le ministre Ngazouzé.

Une enquête a été ouverte par la Police judicaire (PJ) pour rattraper les cambrioleurs, dont deux auraient été reconnus par le vigile. De situations similaires se sont produites au ministère de la Communication ou encore récemment au siège du COCAN-Gabon, précisément au service de la Commission communication et marketing, mais les auteurs de ces actes courent toujours, comme ceux qui ont été la vie à René Ziza.
 


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