Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 22-10-2013 13:31

 

70.000 fonctionnaires gabonais seraient concernés par le programme de départ volontaire à la retraite anticipée, lancé le vendredi 18 octobre par le Premier ministre Raymond Ndong Sima.

Désormais, plus question pour un fonctionnaire de vieillir à la Fonction publique. Le Premier ministre vient en effet de lancer un programme de départ volontaire et anticipé à la retraite, qui vise à « moderniser » l’administration.

Sont concernés par cette initiative, « les agents de l’Etat ayant au moins 15 ans de service et âgés de 41 à 55 ans ».

Toutes « les personnes ayant exercé des fonctions politiques et acquis un droit à une pension dérogeant aux règles générales du code des pensions civiles et militaires de l’Etat ne sont pas autorisées à postuler dans ce programme.»

Outre le fait du manque de productivité et de postes de travail, le Premier ministre explique que cette mesure vise aussi à remédier au problème des « fonctionnaires non affectés » récemment constaté.

 

Source:Gaboneco

 


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le 19-10-2013 13:05

Louis Gaston Mayila dénonce une « opposition versatile »

Entretien : Louis Gaston Mayila dénonce une « opposition versatile »

Interrogé sur les futures élections locales et la représentation des partis de l'opposition au sein de la Commission Électorale Nationale et Permanente (CENAP), le président de l'Union Pour la Nouvelle République (UPNR), Me Louis Gaston Mayila a dénoncé l'attitude matérialiste des membres de l'opposition à laquelle il est pourtant affilié.

Me Louis Gaston Mayila, président de l'UNPR, a accordé une interview au quotidien " Gabon Matin", paru jeudi 17 octobre.

Dans cet entretien, l’homme politique fustige le désordre dans lequel semble s'inscrire l'opposition gabonaise.

Selon lui, cette classe politique n'est pas assez pragmatique, car elle fonctionne sans vraies motivations.

Concernant les élections Me Louis Gaston Mayila déclare : « Je sais qu'il y a des gens qui ont été élus sous la bannière d'une formation politique dissoute et qui aujourd'hui se présentent sous les couleurs d'un regroupement de partis politiques. Je dis non à cette façon de faire qui me verrait adversaire de personnes qui, au fond, n'ont pas le droit de représenter une liste aux élections à venir. Il faut que je sois membre de l'UPNR pour me présenter dans une liste au nom d'un groupement politique lors de ce scrutin ».

Malgré une appartenance commune à des mouvements d’opposition, l’avocat jette un regard suspicieux sur les adhésions soudaines à des groupements politiques de membres du parti dissout (Union Nationale, ndlr) auquel il fait allusion.

Le président de l'UPNR critique également les différentes sorties de certaines formations politiques. En effet, il affirme son désaccord face à ceux qui bafouent les autorités institutionnelles, la loi, mais aussi leurs adversaires politiques.

Au sujet de l’enrôlement biométrique, Louis Gaston Mayila a proclamé lors de cette entrevue : « Vous voulez que je me mette avec des gens qui, aujourd’hui, disent n'allons pas aux élections et le lendemain allons aux élections? (...) Lorsque nous avons lancé l'opération d'enrôlement et que je demandais aux populations d'aller se faire enrôler, ce sont les mêmes qui leur ont dit de ne pas aller se faire enrôler et après ils disaient le contraire ».

A propos de la représentativité à la Commission Électorale Nationale et Permanente (CENAP), Louis Gaston Mayila précise que les membres des groupements politiques de l'opposition se bousculent au siège de la Commission à cause des indemnités financières dont ils pourraient bénéficier.

« (...) Tous mes amis de l'Union des Forces pour l'Alternance (UFA) sont des lumières je veux bien, mais dans la vie, il y a des lumières qui n'éclairent pas. (...) Cette affaire de représentants à la CENAP, s'il n'y avait pas de per diem à la CENAP, personne ne s’y rendrait ».

 


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le 01-08-2013 02:51

Légitimité et légalité de la nouvelle équipe de « Publiez ce que vous payer »

Libreville, Jeudi 18 Juillet 2013 (Infos Gabon) – Telle qu’elle s’est tenue le samedi 13 juillet 2013 à Libreville, l’assemblée générale extraordinaire de la coalition « Publiez ce que vous payez...

 Telle qu’elle s’est tenue le samedi 13 juillet 2013 à Libreville, l’assemblée générale extraordinaire de la coalition « Publiez ce que vous payez (PCQVP) » serait une instance prévue par ses statuts et les membres qui l’auront composée appartiendraient bel et bien  à cette coalition.

Les décisions qui  en ont émané devraient ainsi être considérées comme légales et légitimes. Ainsi en est-il du bureau qui a organisé cette élection et des résultats de l’élection en elle-même.

En effet, sur un total de 25 organismes représentés à cette assemblée générale, les absences de Marc Ona, Marcel Libama et Georges Mpaga apparaissent comme largement minoritaire, de sorte que les votes de la très grande majorité attestent de la légitimité du nouveau bureau de la coalition, au grand dam de Marc Ona et ses deux acolytes.

Quant au fait que  Marc Ona avait « fait mettre des scellés à la porte du siege de la coalition », on en vient à se demander s’il s’agit bien des scellés qui en principe procèdent de décisions administratives ou judiciaires. Et si ce n’est pas le cas, il s’agirait alors d’une simple fermeture de la porte du siège à l’aide d’une chaine. Ce qui changerait tout. Il s’agirait ainsi d’une prérogative du propriétaire ou du locataire de l’immeuble. Pour un siège d’association, cette prérogative appartient à ses dirigeants. Il se trouve que parmi les dirigeants sortants, il y avait certes Marc Ona l’ex  coordonateur, mais aussi plusieurs parmi ceux qui ont organisé l’assemblée générale. Ceux-ci étaient donc aussi en droit de fermer, ouvrir et accéder au siège au même titre que Marc Ona, à savoir, responsables de la coalition.

Ce d’autant plus que ce dernier a pu avoir changé à la dernière minute, les cadenas et chaine pour empêcher l’accès aux autres membres de la coalition. Ce qui voudrait dire que le fait pour ceux-ci d’avoir cassé la chaine est comparable au fait pour un colocataire de casser la porte du local qu’il loue, il ne serait tenu qu’à son rétablissement à l’égard du propriétaire. Il n’y aurait donc pas de violation de domicile et encore moins de trouble à l’ordre public s’agissant d’un lieu privé.

D’où que les membres de la coalition qui ont accédé au siege de force  pour organiser l’élection ne seraient aucunement poursuivables.

Il n’y aurait donc pas de vice sérieux opposable à la tenue et au verdict de cette élection. De sorte que le nouveau coordonateur et son nouveau bureau devraient être reconnus sans grand mal par les autorités administratives gabonaises  et les instances internationales. Car même les relations dont se vante tant Marc Ona au niveau de la société civile international ne pourraient sérieusement remettre en cause la légalité et la légitimité de Guy René Mombo Lembomba et les siens.

Ils ont donc beau droit d’interdire à Marc Ona, Georges Mpaga et Marcel Libama de continuer de parler au nom de la coalition « Publiez ce que vous payer ».

A titre de rappel, le nouveau bureau de PCQVP est composé de messieurs et mesdames : Guy René MOMBO LEMBOMBA, coordinateur général (président) ; Caléopie Ntoumba épouse ELLOVE, Coordinateur général adjoint chargé du plaidoyer ; Charlemagne MEDANG VIEBAME NTOUTOUME, Administrateur Chargé des questions de l’EITI ; Christian ABIAGHE, Administrateur Chargé des questions du Suivi Budgétaire ; VIE-CLAIRE BONDO, Administrateur Chargé des finances ; PARFAIT MAYOMBO, Administrateur Chargé des questions juridiques et des droits de l’homme ; Ibrahim TSENDJIEP MBOULOU, Administrateur Chargé de la communication et du renforcement des capacités ; Steeve TCHINGA, Administrateur Chargé de la sécurité et de la protection citoyenne ; FATOU LARICHA, Administrateur Chargé de l’environnement.

 

Source:Infosgabon

 


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le 30-07-2013 17:26

Le Festival Gabao 2013 draine du monde


La capitale gabonaise a été pendant trois jours l’épicentre d’une véritable fête de musique offerte au public par les organisateurs du festival Gabao, qui était à sa 11e édition, à Libreville. Il y a eu du beau monde, notamment lors du concert populaire donné à Gabon Expo, le samedi 27 juillet 2013.

(De notre correspondant à Libreville)

Le Festival Gabao, véritable fête de musique africaine, a pris fin dimanche par un hip-hop day organisé sur la plage du Lycée national Léon Mba de Libreville. C’était l’occasion pour les nombreux jeunes talents, groupes de danse et artistes confirmés tels Koba (Gabon) et Gladiator (Tchad) de faire la démonstration de leur art. Le public a répondu massivement présent et semble avoir aimé le spectacle au regard des cris de joie et des applaudissements enregistrés à chaque prestation.

Comme l’avaient prévu les organisateurs, c’est le concert populaire donné à Gabon Expo le 27 juillet 2013, qui a été à l’avis de nombreux mélomanes, le point culminant de cette 11e édition du Festival Gabao hip-hop. Plusieurs artistes et groupes musicaux, qui ont fait des cartons en Afrique sont montés sur les planches et chacun de leur titre a provoqué un tonnerre d’applaudissement de la part des spectateurs. Le passage de Koba, Nelyo, Latchow, Triss, du duo togolais, Toofan, du rappeur tchadien, Gladiator ou des bêtes de scène, Masta Just et Barabas, entre autres, en sont une parfaite illustration. Il y a eu aussi la présence sur scène des slameurs et des chorégraphes gabonais, qui ont su faire une parfaite démonstration du rapport intime entre langage du corps et notes de musique. Dans tous les cas, à l’avis de Koba ou des membres du groupe Toofan, « la fête était belle ». « Ce genre de rencontres nous permet de nous enrichir. C’est formidable. Les échanges entre professionnels, le travail avec les plus jeunes et les conseils des aînés, tout cela est important pour la carrière d’un artiste », a souligné Koba.

Le Festival Gabao de cette année a connu l’introduction de deux principales innovations, notamment le ciné-concert et le hip-hop day. L’objectif du manager de l’événement, Jules Kamdem est d’offrir une plateforme de divertissements aux vacanciers et permettre le développement de la filière musicale locale à travers les échanges entre professionnels et l’organisation des ateliers de formation. « Nous cherchons également à offrir des opportunités aux jeunes artistes locaux. C’est pourquoi nous avons fait venir ici de nombreux artistes confirmés, qui ont certainement beaucoup de choses à donner aux plus jeunes », a souligné Jules Kamdem.


 


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