Le sommet mondial sur l’environnement qui s’est ouvert ce lundi à Copenhague, au Danemark, représente, pour les pays du tiers monde en proie aux effets néfastes du réchauffement climatique, un rendez-vous où l’espoir de voir les grandes puissances se mettre à leur disposition serait encore permis.Comme à Kyoto il y a plusieurs années, les nations du monde avaient pris des engagements pour ralentir les émissions du gaz à effet de serre qui constitue un véritable danger pour l’humanité. Aussi, face à la réticence des pays comme les Etats-Unis et la Chine à débloquer les financements pour atténuer les difficultés des pays pauvres confrontés à ce phénomène, le Gabon, qui prend une part active à ce rendez-vous avec le chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba, fera entendre sa voix par rapport à son potentiel forestier. Il va s’agir pour les pays en voix de développement, de solliciter des principaux pollueurs, une contribution accrue dans la recherche des solutions susceptibles de freiner, ou simplement de stopper l’émission du gaz à effet de serre qui menace dangereusement la couche d’ozone. D’où le réchauffement climatique observé depuis quelques années maintenant. Copenhague représente alors pour ces pays, un bastion pour l’avenir de sa population. Junior M. |
Durant son séjour Italien, le président de la République s’entretiendra avec le souverain Pontife, Benoît XVI avec qui il évoquera sans nul doute, des problèmes de coopération entre le Saint siège et le Gabon.
J.M.
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