Plus d’une trentaine de dirigeants africains et arabes prendront part à ce rendez-vous, 33 ans après le dernier sommet tenu au Caire (Egypte), pour examiner la stratégie de partenariat de la coopération arabo-africaine, le plan de travail dudit partenariat et la Déclaration de Syrte portant sur l’organisation des principes de la coopération arabo-africaine.
Déjà, vendredi, les ministres des affaires étrangères des deux régions ont entériné le projet de « Déclaration de Syrte » portant sur une série de questions d’ordre politique, économique et social.
Ils se sont ainsi félicités du rôle de la Libye dans le règlement du problème du Darfour(Soudan) et dans le rétablissement de la sécurité aux Comores, ainsi que dans la reconstruction et le développement de cet archipel.
On y trouve également deux projets sur les catastrophes concernant la création d’un fonds de lutte contre ces phénomènes et un deuxième portant sur la stratégie entre les deux zones.
En clair, le sommet vise à consolider les liens géographiques, l’histoire et les intérêts mutuels entre africains et arabes dans les domaines de la politique, de la paix, de la sécurité, de la coopération financière et économique, de l’agriculture, de la sécurité alimentaire et de la coopération socioculturelle.
Lors de leur toute première réunion ( 7- 9 mars 1977) dans la capitale égyptienne, les Souverains, Chefs d’Etat et de Gouvernement des Etats membres de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) aujourd’hui Union Africaine (UA) et de la Ligue des Etats Arabes s’étaient déclarés « convaincus que la coopération afro-arabe s’inscrit dans le cadre de l’action commune de l’ensemble des pays en voie de développement, en vue d’accroître entre eux la coopération d’une part et d’autre part, d’intensifier les efforts pour l’instauration d’un nouvel ordre économique international plus juste et plus équitable ».
Plus d’une trentaine de dirigeants africains et arabes prendront part à ce rendez-vous, 33 ans après le dernier sommet tenu au Caire (Egypte), pour examiner la stratégie de partenariat de la coopération arabo-africaine, le plan de travail dudit partenariat et la Déclaration de Syrte portant sur l’organisation des principes de la coopération arabo-africaine.
Déjà, vendredi, les ministres des affaires étrangères des deux régions ont entériné le projet de « Déclaration de Syrte » portant sur une série de questions d’ordre politique, économique et social.
Ils se sont ainsi félicités du rôle de la Libye dans le règlement du problème du Darfour(Soudan) et dans le rétablissement de la sécurité aux Comores, ainsi que dans la reconstruction et le développement de cet archipel.
On y trouve également deux projets sur les catastrophes concernant la création d’un fonds de lutte contre ces phénomènes et un deuxième portant sur la stratégie entre les deux zones.
En clair, le sommet vise à consolider les liens géographiques, l’histoire et les intérêts mutuels entre africains et arabes dans les domaines de la politique, de la paix, de la sécurité, de la coopération financière et économique, de l’agriculture, de la sécurité alimentaire et de la coopération socioculturelle.
Lors de leur toute première réunion ( 7- 9 mars 1977) dans la capitale égyptienne, les Souverains, Chefs d’Etat et de Gouvernement des Etats membres de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) aujourd’hui Union Africaine (UA) et de la Ligue des Etats Arabes s’étaient déclarés « convaincus que la coopération afro-arabe s’inscrit dans le cadre de l’action commune de l’ensemble des pays en voie de développement, en vue d’accroître entre eux la coopération d’une part et d’autre part, d’intensifier les efforts pour l’instauration d’un nouvel ordre économique international plus juste et plus équitable ».
L’Etat gabonais vient de recevoir de la Banque africaine de développement (BAD) une cagnotte de plus de 25 milliards de francs CFA. Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Séraphin Moundounga, cette enveloppe est destinée au financement des universités de Mouila et Oyem. | |||||
«Techniquement et fonctionnellement, la construction des universités d’Oyem et Mouila va bon train, car nous avons reçu un financement de la BAD d’une valeur de 12,6 milliards de francs CFA pour chaque établissement», a indiqué le ministre de l’Enseignement supérieur, Séraphin Moundounga, qui s’exprimait à l’occasion d’une rencontre avec les responsables des universités et des grandes écoles le 8 octobre à Libreville. «La programmation des investissements sur les équipements, élaborée au cours des états généraux de l’Education, auxquels ont participé les responsables d’établissement, permettra à partir du budget 2011, de voir avec précision les efforts consentis par le gouvernement pour sa mise en œuvre étalée sur une durée de 10 ans. Si chaque année nous parvenons à réaliser quelques bâtisses, nous pouvons être sûrs qu’au bout de trois ans, nous arriverons à atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés», a-t-il poursuivi. Le financement de la BAD s’inscrit dans le cadre du projet "Education 4", d’un montant de 81,5milliards de francs CFA, dont 51% de l’enveloppe sont affectés à la construction des universités d’Oyem et Mouila et 49% à l’édification de nouveaux lycées et à la réhabilitation de quelques lycées vieillissants. |
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