Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 10-10-2010 01:17

Un semi-marathon de l’émergence pour commémorer l’an un d’Ali Bongo Ondimba au pouvoir


 Dans la perspective de la commémoration du premier anniversaire de la prestation de serment d’ Ali Bongo Ondimba, en tant que chef de l’Etat gabonais, un semi-marathon dit de l’« émergence », devant regrouper des athlètes des neuf provinces du Gabon, sera organisé le 16 octobre prochain à l’initiative de l’Organisation non gouvernementale « Ong Vision 2050 ». La course sera organisée sur un parcours de 21km100 et traversera plusieurs quartiers du 5ème, 3ème et 4ème arrondissement de la commune de Libreville.

Elle est ouverte à toutes les catégories des coureurs (minimum, amateur, international, militaire Etc.). L’âge minimum requis pour participer à ce semi-marathon est de 18 ans.     

Dans une interview accordée récemment à GABONEWS, Jean Francis Ekiba, le président de l’Ong « Vision 2050 » avait invité les Gabonais d’origine et d’adoption, y compris les non Gabonais à participer massivement à cette course.

Candidat du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), à l'élection présidentielle du 30 aout 2009, Ali Bongo Ondimba, a été élu président de la République gabonaise avec 41,73 % des voix, lors de l'unique tour, succédant ainsi à son père, feu Omar Bongo  Ondimba décédé le 8 juin 2009 à Barcelone en Espagne.
Après validation des résultats par la Cour constitutionnelle suite aux recours initiés par les perdants à ce scrutin, il a prêté serment devant la nation gabonaise le 16 octobre 2009, devenant ainsi le troisième président de la République.

 


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le 10-10-2010 01:16

Le président Ali Bongo Ondimba modérateur au sommet arabo-africain, dimanche, à Syrte


Le président de la République, Ali Bongo Ondimba,  a quitté Libreville, cet après-midi, pour Syrte (Libye) où il prendra part dimanche au deuxième sommet arabo-africain sous le thème «  coopération afro-arabe : vers un partenariat stratégique » et pour lequel le chef de l’Etat gabonais a été désigné  modérateur, selon une disposition de l’Union Africaine (UA), a-t-on appris.

Plus d’une trentaine de dirigeants africains et arabes prendront part à ce rendez-vous, 33 ans après le dernier sommet tenu au Caire (Egypte),  pour examiner la stratégie  de partenariat de la coopération arabo-africaine, le plan  de travail dudit partenariat et la Déclaration de Syrte portant  sur l’organisation des principes de la coopération arabo-africaine.

Déjà, vendredi, les ministres des affaires étrangères des deux régions ont entériné le projet de  « Déclaration de Syrte » portant sur une série de questions d’ordre politique, économique et social.

Ils se sont ainsi félicités du rôle de la Libye dans le règlement du problème du Darfour(Soudan) et dans le rétablissement de  la sécurité aux Comores, ainsi que dans la reconstruction et le développement de cet archipel.

On y  trouve  également deux projets sur les catastrophes concernant la création d’un fonds de lutte contre ces phénomènes et un deuxième portant sur la stratégie entre les deux zones.

En clair, le sommet vise à consolider les liens géographiques, l’histoire et les  intérêts mutuels entre africains et arabes  dans les domaines de la politique,  de la paix, de la  sécurité,   de la coopération financière et économique, de l’agriculture, de la sécurité alimentaire et de la coopération socioculturelle.

Lors de leur  toute première réunion (  7- 9 mars 1977) dans la capitale égyptienne, les  Souverains, Chefs d’Etat et de Gouvernement des Etats membres de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) aujourd’hui Union Africaine (UA)  et de la Ligue des Etats Arabes s’étaient déclarés « convaincus  que la coopération afro-arabe s’inscrit dans le cadre de l’action commune de l’ensemble des pays en voie de développement, en vue d’accroître entre eux la coopération d’une part et d’autre part, d’intensifier les efforts pour l’instauration d’un nouvel ordre économique international plus juste et plus équitable ».

 


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le 10-10-2010 01:08

Le président Ali Bongo Ondimba modérateur au sommet arabo-africain, dimanche, à Syrte


Le président de la République, Ali Bongo Ondimba,  a quitté Libreville, cet après-midi, pour Syrte (Libye) où il prendra part dimanche au deuxième sommet arabo-africain sous le thème «  coopération afro-arabe : vers un partenariat stratégique » et pour lequel le chef de l’Etat gabonais a été désigné  modérateur, selon une disposition de l’Union Africaine (UA), a-t-on appris.

Plus d’une trentaine de dirigeants africains et arabes prendront part à ce rendez-vous, 33 ans après le dernier sommet tenu au Caire (Egypte),  pour examiner la stratégie  de partenariat de la coopération arabo-africaine, le plan  de travail dudit partenariat et la Déclaration de Syrte portant  sur l’organisation des principes de la coopération arabo-africaine.

Déjà, vendredi, les ministres des affaires étrangères des deux régions ont entériné le projet de  « Déclaration de Syrte » portant sur une série de questions d’ordre politique, économique et social.

Ils se sont ainsi félicités du rôle de la Libye dans le règlement du problème du Darfour(Soudan) et dans le rétablissement de  la sécurité aux Comores, ainsi que dans la reconstruction et le développement de cet archipel.

On y  trouve  également deux projets sur les catastrophes concernant la création d’un fonds de lutte contre ces phénomènes et un deuxième portant sur la stratégie entre les deux zones.

En clair, le sommet vise à consolider les liens géographiques, l’histoire et les  intérêts mutuels entre africains et arabes  dans les domaines de la politique,  de la paix, de la  sécurité,   de la coopération financière et économique, de l’agriculture, de la sécurité alimentaire et de la coopération socioculturelle.

Lors de leur  toute première réunion (  7- 9 mars 1977) dans la capitale égyptienne, les  Souverains, Chefs d’Etat et de Gouvernement des Etats membres de l’Organisation de l’Unité Africaine ( OUA) aujourd’hui Union Africaine (UA)  et de la Ligue des Etats Arabes s’étaient déclarés « convaincus  que la coopération afro-arabe s’inscrit dans le cadre de l’action commune de l’ensemble des pays en voie de développement, en vue d’accroître entre eux la coopération d’une part et d’autre part, d’intensifier les efforts pour l’instauration d’un nouvel ordre économique international plus juste et plus équitable ».

 

 


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le 10-10-2010 01:05

25,2 milliards de FCFA pour les universités d’Oyem et Mouila


L’Etat gabonais vient de recevoir de la Banque africaine de développement (BAD) une cagnotte de plus de 25 milliards de francs CFA. Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, Séraphin Moundounga, cette enveloppe est destinée au financement des universités de Mouila et Oyem.
 
 
 
Le projet de construction des universités à l’intérieur du pays sort peu à peu de tiroir et l’on s’achemine vers le début de construction de certaines d’entre elles. La Banque africaine de développement (BAD) a en effet débloqué une enveloppe de 25,2 milliards de francs CFA pour la construction des universités de Mouila et Oyem.

«Techniquement et fonctionnellement, la construction des universités d’Oyem et Mouila va bon train, car nous avons reçu un financement de la BAD d’une valeur de 12,6 milliards de francs CFA pour chaque établissement», a indiqué le ministre de l’Enseignement supérieur, Séraphin Moundounga, qui s’exprimait à l’occasion d’une rencontre avec les responsables des universités et des grandes écoles le 8 octobre à Libreville.

«La programmation des investissements sur les équipements, élaborée au cours des états généraux de l’Education, auxquels ont participé les responsables d’établissement, permettra à partir du budget 2011, de voir avec précision les efforts consentis par le gouvernement pour sa mise en œuvre étalée sur une durée de 10 ans. Si chaque année nous parvenons à réaliser quelques bâtisses, nous pouvons être sûrs qu’au bout de trois ans, nous arriverons à atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés», a-t-il poursuivi.

Le financement de la BAD s’inscrit dans le cadre du projet "Education 4", d’un montant de 81,5milliards de francs CFA, dont 51% de l’enveloppe sont affectés à la construction des universités d’Oyem et Mouila et 49% à l’édification de nouveaux lycées et à la réhabilitation de quelques lycées vieillissants.
 


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