Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 17-05-2010 14:40

Fait divers: Un blessé dans une imprudence de la route

 
 
 
 
 
– Un homme, Alain B. a été grièvement blessé vendredi dans une imprudence de la route dans un quartier ouest de Franceville, ont rapporté des témoins.

« Il voulait traverser la route et … pouhh ! La voiture l’a renversé », explique Bed Maviogha, un témoin.

L’infortuné, transporté au service des urgences de l’hôpital Amissa Bongo, aura la vie sauve grâce à la diligence des agents de garde.

« Le véhicule qui l’a renversé roulait à vive allure », explique-t-on.

Ce qui interpelle à nouveau les forces de sécurité et de l’ordre quant au comportement des usagers dans l’agglomération.

Mais les torts pourraient être partagés, font remarquer d’autres témoins de l’accident.

« La victime était saoule. Elle n’a pas vraiment contrôlé ses pas avant de se lancer. Quand on l’a ramassé il sentait l’alcool », a indiqué Georges.

La mesure gouvernementale qui oblige la fermeture des bistrots à 21h30 ne semble pas être une farce, remarque-t-on.
 
 
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le 17-05-2010 14:38

Fait divers: Un homme arrache avec ses dents la phalange de son beau-frère et l’avale

 
 
 

Un homme a arraché la semaine dernière la phalange de son beau frère avec ses dents et l’a avalé au cours d’une rixe dans un quartier à l’Ouest de Franceville, a rapporté à l’AGP la victime. 

« Il avait pris coutume de battre mes enfants. Un jour je me suis fâché et je lui ai dit qu’il ne fallait plus continuer. Mais il n’a pas apprécié que je lui interdise de les battre. Il s’est alors rué sur moi et nous sommes échangés de coups jusqu’à ce qu’il me morde l’annulaire et avale le bout », a expliqué Hilaire O.

Le bourreau, un ancien détenu qui venait de recouvrer la liberté à Port-Gentil s’était fâché avec son beau-frère parce que ce dernier lui exigeait d’observer avec rigueur les consignes d’hygiène afin de ne pas propager l’insalubrité dans la maison.

Mais il l’avait mal apprécié et a profité d’une gaffe qu’avaient faite ses nièces pour se venger de l’humiliation que lui a faite leur père.

Le beau-frère victime n’a pas daigner porter plainte, indique-t-on.

 

Comme dit le dicton < le linge sale se lave en famille>. 

 
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le 17-05-2010 14:33

Le premier ministre en homme de terrain visite les quartiers sous-intégrés de Libreville


 
 
 
 
 
 
 

Le Chef du gouvernement, Paul Biyoghé Mba, a procédé, vendredi, à une visite inattendue des quartiers populaires de Libreville, notamment ceux du troisième arrondissement, à l’instar de Kinguélé, Belle Vue II et Plein ciel, où des travaux sont imminents dans l’optique d’aménager les voies de communication et l’adduction d’eau.

Cette sortie du premier ministre à Kinguélé, faisait suite à celle effectuée par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, au mois d’avril dernier, dans ce même quartier et où, en compagnie des riverains, il s’était imprégné des difficultés de la population régulièrement confrontée au problème d’eau et d’électricité, sans mentionner l’état calamiteux de la voie qui y mène.

Accompagné dans cette descente sur le terrain par le ministre de la Communication, de la Poste et de l’Economie numérique, Laure Olga Gonbdjout, du ministre de l’Habitat, du Logement et de l’Urbanisme, Pacôme Ruffin Ondzounga, du ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Pr Léon Nzouba, ainsi que du maire du troisième arrondissement, Serge Akassaga, le premier ministre, dès sa descente de véhicule a vu la population de Kinguélé, lui crier « on veut de l’eau ».

Paul Biyoghé Mba, enclin au dialogue, n’a pas hésité à écouter, discuter avec la population pour voir dans quelles mesures réaliser les promesses du chef de l’Etat faites lors de son passage dans ce quartier.

Selon certains habitants, dans ces quartiers visités, l’eau n’y arriverait que parfois très tard dans la nuit exposant les familles aux nombreux maux qui minent la nuit.

« L’eau n’arrive ici qu’à deux heures dans la nuit. Et parfois, on passe même des jours sans une seule goutte. On veut de l’eau !», a lancé un jeune homme.

Pour illustrer leur précarité, certaines femmes et enfants en sont sortis avec des bidons vides pour montrer le calvaire dans lequel ils baignent en interpellant toujours le chef du gouvernement et sa délégation par un « on veut de l’eau ».

Dans ce contexte, en présence également du président directeur général de la Société d’énergie et d’eau du Gabon (SEEG), François Ombanda, à qui des instructions ont été données, sur place, tout comme aux ministres Gondjout et Ondzouga, ainsi qu’aux cadres du ministère des Travaux publics, l’on peut s’attendre ce que dès les prochains jours, il y ait le lancement de divers travaux dans ces zones.

« Quelque chose va être fait », a déclaré le chef du gouvernement devisant avec la population qu’il a rencontré devant une bonne fontaine à l’allure insolite.

Là, des enfants, des femmes et même des hommes de Kinguélé se bousculaient pour puiser une goutte de ce précieux liquide qui venait à peine d’arriver, après de nombreuses heures d’interruption, selon les riverains.

Des bidons de toutes sortes étaient parsemés alentours, les propriétaires attendant leur tour pour passer à la pompe.

De constats en constats, le premier ministre et sa suite se sont enfoncés dans les profondeurs de Kinguelé jusqu’à Belle Vue II, puis à Plein Ciel où l’on a pu se rendre compte que certaines personnes avaient agit avec incivisme, construisant sur la voie publique ou déversant leurs eaux usées à tout va. D’où des problèmes qui subsistaient quand à l’arrivée de ces travaux qui devraient, très certainement, conduire à la destruction de certaines maisons.

Mais, le premier ministre a rassuré. Après étude, ceux qui devront être détruits seront indemnisés, a fait savoir Paul Biyoghé Mba.

C’est dans ce sens que le chef du gouvernement a eu le soutien du collectif des jeunes de Kinguélé qui ont pris l’engagement de faciliter l’action au gouvernement.

A Kinguélé, Belle Vue II ou Plein Ciel où la délégation du premier ministre est passée et où le constat a été le même, plusieurs foyers passent des journées entières avec moins de dix litres d’eau.

« C’est dur ! », a lancé une jeune étudiante de l’université Omar Bongo qui réside dans la zone. « C’est vrai qu’on n’a pas encore dénombré d’épidémies de je ne sais quelle maladie dans ce quartier. Mais, il ne faut pas que les dirigeants attendent que cela se produisent avant d’agir. Il y a les problèmes d’eau, d’assainissement, d’électricité et de voirie, voyez-vous-mêmes ! », a-t-elle lancé.

Pour certains, le déplacement du chef du gouvernement qui a sillonné tous ces quartiers, sans coup férir, et sous un soleil accablant, est le signe d’un espoir et surtout de la vitalité du gouvernement.

« Même si rien ne se fait après, on a au moins le sentiment qu’ils veulent vraiment trouver des solutions à nos problèmes. Le président est venu ici. Le PM est venu ici. Ça veut dire que ça bouge et on espère qu’ils ne vont pas rentrer et nous oublier », a énoncé un autre jeune.
 
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le 17-05-2010 00:18

L’interdiction d’exporter les grumes du Gabon a pris effet le 15 mai


 
 

 Le 27 avril dernier, le chef du gouvernement gabonais, Paul Biyoghé Mba, dans le cadre de sa sortie semestrielle pour faire le bilan d’étape des activités et de l’action gouvernementales, avait déclaré, face à la presse qu’à compter du 16 mai, toute exportation de grumes devrait être interdite au Gabon; une décision qui a pris effet hier soir à partir de minuit.

Si l’on s’en tient aux propos du premier ministre lors de cette sortie, étant donné que « la filière bois est un volet très important dans le programme d’émergence
», il était donc nécessaire, dans ce contexte, de procéder à la transformation des grumes sur place afin de mettre sur pied le pilier Gabon industriel, en vue du développement du pays.

« Le bois, nous avons décidé de le transformer ici », avait déclaré Paul Boyoghé Mba, répondant à une question sur l’industrialisation de la filière et sur l’action de la Société nationale des bois du Gabon (SNBG).

« Nous ne devons plus exporter des grumes, à l’état brut, mais les faire transformer sur place, quelque soit le lieu. Il peut être scié ou raboté, mais aucune grume ne sortira plus du Gabon au-delà du 16 mai, parce que nous avons fait une dérogation de 3 mois depuis le 15 février », avait, en outre, précisé le premier ministre.

Les petits exploitants qui s’inquiètent de leur avenir » sont déjà montés au créneau, lors d’un point de presse, afin de relever les difficultés qui seront les leurs dès l’effectivité de cette décision.

Leur association a, de ce fait, « fondé beaucoup d’espoirs sur les capacités dont pourrait bénéficier la Société nationale des bois du Gabon (SNBG) afin d’absorber leur production. Ce qui permettrait, par ailleurs, d’éviter la mise au chômage de milliers d’employés ».

Le cas de la Société nationale des bois du Gabon (SNBG) avait d’ailleurs été évoqué lors de cette rencontre avec les média par le premier ministre qui avait relevé que le rôle de cette société étatique était d’acheter et de vendre du bois à l’extérieur. Or, aujourd’hui, elle n’était plus apte à vendre à l’extérieur, au regard de cette mesure.

« La SNBG travaille à mettre sur pied une unité de transformation du bois à Owendo (…) avec deux ou trois types de transformations », avait affirmé Paul Biyoghé Mba qui aussi relevé que la nouvelle SNBG générera près de 500 emplois.
 
 
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