Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 06-03-2010 22:59

Politique/PDG : PAUL BUNDUKU LATHA REGAGNE LA MAISON

En désaccord avec l’Union gabonaise pour la démocratie et le développement (UGDD, opposition) depuis son entrée au gouvernement en janvier 2009, Paul Bunduku Latha, ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, du Commerce, de l’Industrie et du Tourisme, naguère militant de première heure du Parti démocratique gabonais (PDG au pouvoir) a réintégré le parti au pouvoir le samedi 6 mars 2010, par une déclaration faite à Libreville devant les hiérarques du PDG, ses partisans,de nombreuses personnalités, membres du gouvernement et amis.

                                                               

Dans une salle de conférence de l’hôtel Laïco palace pleine comme un œuf, les militants et sympathisants du PDG dont le président de l’Assemblée nationale, vice-président du parti, M. Guy Nzouba Ndama, Paul Bunduku Latha a retracé son passé militant dans la formation politique créée par feu Omar Bongo Ondimba en évoquant entre autre, les péripéties qui l’ont émaillé. Il a rappelé les raisons pour lesquelles il avait quitté le bateau PDG et rallié le camp d’en face jusqu’au jour où il a accepté de faire partie du gouvernement d’ouverture proposé par le président Omar Bongo Ondimba.

Ayant donc foi au projet du nouveau chef de l’Etat qu’il a dit d’ailleurs avoir soutenu tout au long de la récente campagne présidentielle, l’ancien nouveau militant du PDG a dit être déterminé à œuvrer pour la bonne marche du parti aux côtés de ses désormais camarades, afin que ce parti demeure la première force sur l’échiquier politique national. Pour lui, sa famille toute entière trouvera, à travers sa décision, la preuve de son engagement constant en faveur des grands idéaux et, surtout, de l’intérêt supérieur du Gabon. Avant de clore son propos, Paul Bunduku Latha a promis de transmettre de suite, sa lettre de réintégration au secrétaire général du PDG. Il faut rappeler que cette décision tombe à quelques jours seulement de la tenue du congrès extraordinaire du PDG.

Junior M.

 

  Source: PDG

 

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le 05-03-2010 20:10

Echo après l’annonce des nouvelles mesures gouvernementales : « Le Président Ali Bongo ne cesse de nous surprendre »


 – La population gabonaise, notamment celle de la capitale, Libreville, s’est prononcée, ce vendredi, à l’issue d’un micro-trottoir, sur les grandes annonces qui ont été faites jeudi après le premier Conseil des ministres tenu à l’intérieur du pays, par le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, qui a, entre autres, personnellement mis en lumière la création de « Gabon Oil Company».

« En vérité, personne n’aurait cru le Président capable de tenir ses promesses. Le fait qu’il l’ait fait jusqu’à aujourd’hui, montre qu’il veut travailler. Cela nous met automatiquement en confiance et ce qu’il a déclaré hier au dernier Conseil des ministres, j’en suis sûr, il le réalisera également. Ce d’autant plus que ce sont des mesures positives, en parlant par exemple de la société nationale du pétrole ou encore  de l’institut supérieur de formation aux métiers du pétrole et du gaz… », a soutenu M. Nguema Mba, qui a ajouté que « le Président Ali Bongo ne cesse de nous surprendre. Qu’il continue ainsi et il aura le soutien du pays tout entier sans exception y compris les opposants ».

« Même si c’était un opposant qui avait gagné, il n’aurait pas fait ce que fait l’actuel président, alors je dis bravo !», a-t-conclu.

Au titre de ces mesures, l’on note la création d’un Institut supérieur de formation aux métiers du pétrole et du gaz à Port-Gentil, le lancement des travaux d’une nouvelle Ecole de commerce pour mieux répondre à l’adéquation formation-emploi, le renforcement des capacités des Forces de Sécurité par un concours, la création d’une  société nationale pétrolière dénommée « GABON OIL COMPANY », la création d’une caisse de relance pour rendre étanche le solde de chaque année budgétaire et la suppression de la parafiscalité, entre autres.

De son côté, Armand Nkolo, a affirmé que « c’est véritablement le président qu’il nous fallait après ces longues années d’inerties ».

«C’est vrai que le président Ali Bongo fait vraiment des efforts et on ne peut pas, même si on est opposant refuser de le lui reconnaître. Il se déploie sur tous les fronts, il fait des annonces d’envergures. C’est déjà un signe et ce que nous voulons, c’est maintenant les résultats de tous ces réformes - parce que ça se résume en réforme- dans le panier de la ménagère », a déclaré un fonctionnaire de l’Education nationale sous couvert de l’anonymat.

«On lui accorde, pour le moment un satisfécit, mais il faut des résultats. Il faut créer des emplois, il faut remplir le panier de la ménagère, il nous faut des routes et des hôpitaux…c’est ce qui nous fera vraiment dire que le président Ali Bongo a réussi son challenge. Qu’il a mis le pays dans l’émergence », a indiqué, pour sa part, un jeune bachelier, manouvre dans une société de construction.

Ainsi, pour la grande partie des Gabonais le président a su toucher le cœur du peuple gabonais et pour ce faire, le slogan « laissez nous avancer » serait très approprié pour qualifier la politique d’émergence emmenée qu’il conduit.

«Il a dit ‘’laisser nous avancer’’. Ok, maintenant qu’il a le pouvoir, c’est clair que nous devons lui laisser le temps de prouver qu’il avance, qu’on avance. Pour le moment, c’est clair qu’il y a des évolutions, même si pour le moment, c’est dur dans les foyers. Mais on a espoir que dans peu de temps, toutes ces mesures et décisions qu’il annonce vont créer des conditions d’une croissance certaine et bénéfique à tous ».

GN/DAN/DCD/10  

 

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le 05-03-2010 20:01

Le président de la République Ali Bongo Ondimba s’est envolé pour New York


 – Le Président de la République gabonaise Ali Bongo Ondimba, a s’est envolé à destination des Etats-Unis d’Amérique, ce vendredi, à l’effet de prendre part aux travaux du Conseil de Sécurité des Nations Unies à New York, dont la présidence échoit au Gabon (membre non permanent), depuis le 1er mars.


En effet, le Gabon élu comme membre non permanent aux nations  unies et qui siègera pendant deux ans au Conseil de Sécurité des Nations Unies, de janvier 2010 à décembre 2011,  préside actuellement et ce, depuis le 1er mars 2010, ledit Conseil.
 
C’est donc pour prendre part aux travaux de ces importantes assises que le président de la République Gabonaise, Ali Bongo Ondimba, s’est envolé, ce vendredi, à destination de New York, siège du Conseil de Sécurité des Nations Unies.

Selon le communiqué final du conseil des ministres de jeudi dernier, le président de la République, une fois à  New-York, il aura d’importants entretiens avec Son Excellence Monsieur Ban Ki Moon, Secrétaire Général des Nations Unies. 

Le Président de la République rencontrera aussi, à Washington, le Secrétaire d’Etat américain, Son Excellence Madame Hillary Cliton, avec qui il échangera sur d’importantes questions stratégiques internationales ainsi que sur le renforcement des relations bilatérales profitables aussi bien à la puissance américaine que conforte le Président Barack Obama, qu’à la vision d’émergence gabonaise irréversiblement impulsée par le Président de la République gabonaise, Son Excellence Ali Bongo Odimba.

GN/DAN/MS/10 

 

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le 05-03-2010 19:57

Ali Bongo met de l’huile dans les finances publiques


Dans le cadre de la politique nationale d’assainissement des finances publiques, le chef de l’Etat a annoncé le 4 mars à Port-Gentil une série de mesures concernant la rationalisation des instruments de financement et le renforcement de l’efficacité de la chaîne de la dépense publique. Ces mesures prévoient notamment la fusion de plusieurs fonds publics, ou encore la réorganisation de la direction générale des services du Trésor.
 
© D.R.
 
« L’émergence » est sur tous les fronts et chaque Conseil des ministres annoncent sa série des réformes pour le pays. Le 4 mars dernier à Port-Gentil, l’assainissement des finances publiques a occupé un bon chapitre du chapelet de réformes décidées par le gouvernement. 

Concernant la rationalisation des instruments de financement de l’Etat, qui malgré leur grand nombre peinent à soutenir la croissance et le développement socio-économique, le gouvernement a notamment décidé la sortie de la Banque de l’Habitat de la tutelle de la Banque gabonaise de Développement (BGD).

Ainsi «le Compte de refinancement de l’habitat (CRH), le Fonds national de l’habitat (FNH) et le Fonds hypothécaire, sont transférés à la Banque de l’habitat. Ces fonds sont de ce fait dissouts», a annoncé Ali Bongo. «Le ministre de l’Economie est chargé de procédé à la réorganisation de la Banque de l’habitat et à l’ouverture du capital aux investisseurs locaux et internationaux», a-t-il ajouté.

La BGD subira, elle, un recentrage sur ses métiers traditionnels, notamment le financement des PME/PMI et de l’artisanat, le financement de l’agriculture et le financement des investissements lourds privés et publics. A cet effet, «le Fonds de développement et d’expansion (FODEX) et le Fonds d’aide et de garantie (FAGA), sont transférés à la BGD», a décidé le Conseil des ministres. 

Sur le volet du renforcement de l’efficacité de la chaîne de la dépense publique, le gouvernement a également décidé de la «création d’une direction générale de la dette, (…) chargée de l’élaboration de la politique d’endettement et de la gestion de la dette, [et](…) de l’échéancier du remboursement de la dette».

Mais les principaux changements interviendront à la Direction générale des services du Trésor, qui comprendra désormais en son sein «les services centraux chargés de la réglementation comptable, de l’agence judiciaire du trésor, de l’administration générale, de la gestion active de la trésorerie et de la décentralisation des comptables principaux». 

Elle comprendra également «un réseau de comptables principaux composé de contrôleurs budgétaires et comptables ministériels affectés auprès de chaque ministères, d’agents comptables affectés auprès des institutions dotées d’économies de gestion, de trésoriers provinciaux, receveurs percepteurs, et percepteurs affectés dans les provinces et les départements», a précisé le chef de l’Etat dans son compte rendu.

Seront également installés «des comptables spéciaux chargés d’exécuter les comptes spéciaux dûment constitués dans les lois et règlements. Chaque poste comptable principal comprendra en son sein un service de contrôleurs comptables, financiers et techniques pour effectuer le visa et le contrôle du service fait avant et après paiement», a-t-il ajouté. 

La centralisation des services doit permettre le renforcement du contrôle et la lutte contre les détournements des fonds publics. A ce titre, et dans le cadre de la lutte contre la corruption, «toutes les recettes publiques devront être versées aux caisses du trésor public qui en délivrera quittance. De fait, en dehors du réseau des comptables publics, aucun autre opérateur économique ne sera désormais autorisé à effectuer un quelconque paiement au titre des impôts directs et indirects, redevances de toute nature, d’amendes et contraventions, de taxes au profit de l’Etat et des collectivités locales», a enfin fermement annoncé le chef de l’Etat. 

En d’autres termes, il s’agit de mettre un terme à la parafiscalité qui grèvent les recettes des opérateurs économiques locaux, de l’Etat et freinent le développement économique du pays. 

    Source : Gaboneco 

 

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