Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 07-04-2010 01:03

Ali Bongo Ondimba de retour à Libreville

 
 Le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba a regagné Libreville mardi en milieu d’après-midi après un mini périple ouest-africain qui l’a conduit tour à tour au Mali, au Sénégal et au Bénin.


Au Mali, Ali Bongo Ondimba a rendu visite au président malien, Amani Toumani Touré, avec lequel il a eu des entretiens dans le cadre du renforcement de la coopération entre les deux pays.


Le président gabonais s’est ensuite envolé pour Dakar au Sénégal où il a assisté dimanche, aux coté d’une dizaine d’autres chefs d’Etat africains aux manifestations des 50 ans d’indépendance de ce pays, marquées par l’inauguration de la statue de la Renaissance africaine et la grande parade civilo-militaire.


A cette occasion, le chef de l’Etat a témoigné son attachement et le soutien du Gabon au peuple sénégalais pour ces manifestations à la dimension de l’évènement.


Cotonou, la capitale du Bénin a constitué la dernière de cette tournée ouest-africaine. Les présidents Ali Bongo Ondimba et Thomas Boni Yayi ont signé deux accords de coopérations portants sur l’exemption des visas pour les passeports diplomatiques, de services ou officiels, et sur la coopération militaires.


Le président Ali Bongo Ondimba lors de ces visites était accompagné de son épouse, Mme Sylvia Bongo Ondimba.


BNN/
 
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le 06-04-2010 20:50

Le ministre de l’intérieur s'exprime au sujet de la situation administrative de l’Union Nationale

 
 Le ministre de l’Intérieur, Jean-François Ndongou, au cours d’un entretien avec la presse nationale, lundi à Libreville, a, entre autres sujets, évoqué la situation administrative de l’Union Nationale (UN, opposition), qui a déposé une demande d’autorisation auprès de son administration.

Répondant aux interrogations des media, le ministre de l’Intérieur a rappelé sur l’antenne de la première chaîne nationale (RTG1) que  le 10 février dernier, « le responsable » de l’UN déposait auprès de son administration un dossier  de demande de reconnaissance juridique de cette formation politique. 

Cependant, « à la suite de la déclaration de M. Mba Obame dans la presse française », et conformément à son statut de « garant des libertés publiques », Jean-François Ndongou d’indiquer : « j’ai convoqué M. Zacharie Myboto qui, selon ce qui est écrit dans le dossier est le président de cette formation politique, pour m’entretenir de la gravité de ces propos ». 

M. Ndongou a également rapporté avoir rappelé à M. Myboto les dispositions de l’article 24 de la loi relative aux partis politiques, qui stipule que le ministre de l’Intérieur peut dissoudre toute formation politique qui « remet en cause l’autorité établie ».

« Les  déclarations de  M. Mba Obame sont graves, et tentent de remettre en cause l’autorité établie », a-t-il poursuivi, avant d’ajouter : « Ces propos peuvent amener à surseoir la démarche entreprise par mes services en vue éventuellement de la reconnaissance juridique de cette formation politique ».

Le ministre de déplorer : « Jusqu’à présent je n’ai pas entendu une seule personnalité de cette formation politique en création remettre en cause les déclarations de M. André Mba Obame. Je suis tenté de dire que ce parti ne veut pas enrichir le débat politique, ne veut pas enrichir la démocratie en République Gabonaise ».

Dans ce contexte, Jean-François Ndongou a déclaré avoir instruit son administration à poursuivre les enquêtes jusqu’à pleine assurance que l’UN observe le respect de l’autorité établie, le respect de la Constitution de la République et le respect des lois qui gèrent l’activité politique sur le territoire national.

« Si toutes ces informations que nous allons recueillir nous permettent de reconnaitre que ce parti est un parti qui veut participer au débat politique et démocratique en République gabonaise, nous allons voir et remettre un récépissé à ce parti », a-t-il affirmé. 

Dans une interview accordée à l'hebdomadaire L'Express, publiée le 11 mars dernier, André Mba Obame dressait un tableau sombre de la situation au Gabon et affirmait que  si celle-ci perdurait, le pays risquait de connaître, avant la fin de l'année 2010, un « coup d'Etat à la nigérienne ».

Cette déclaration de l'ancien ministre de l'Intérieur avait provoqué de vives réactions au sein de l’opinion publique, au point où le gouvernement, réuni en conseil des ministres s’était penché "sur ces propos graves et particulièrement tendancieux " et avait "marqué sa profonde indignation".  

GN/MO/MS/10 
 
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le 06-04-2010 17:43

PDG/4è arrondissement/12 Mars en différé : Jacques Adiahenot reste au PDG

L’ancien Secrétaire général du parti démocratique gabonais et actuel député du quatrième arrondissement de la commune de Libreville, a réaffirmé le vendredi 26 mars 2010, lors de la célébration en différé des 42 ans du PDG, son attachement au parti pour lequel il siège au palais Léon Mba.

L’honorable Jacques Adiahénot Coupe ainsi court, les rumeurs faisant état de sa démission du PDG. Dans son mot de circonstance, il a précisé qu’entre le PDG et lui, c’est un mariage de raison. ‘Après le décès du président Bongo Ondimba, j’avais voulu me mettre en marge de la scène politique’ a-t-il souligné. Il a également affirmé que s’il fallait quitter cette formation politique, il fallait une raison valable et non des allégations de ceux qu’il considère comme ses détracteurs. Il faut rappeler que le député Adiahénot a occupé des années durant, des hautes fonctions ministériels et au sein du PDG sous le président Omar Bongo Ondimba.

 

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le 06-04-2010 17:38

La majorité présidentielle une structure à renouveler (Par J.H.OKOUMA M'ENGANDZI)


 
 
À la suite de l'élection présidentielle de novembre 2005, on dénombrait une quarantaine de partis politiques qui avaient fait le choix d'associer leurs forces à celles du Parti Démocratique Gabonais (PDG) pour assurer au Président de la République sortant, Omar Bongo Ondimba, une victoire confortable. Le PDG et ces partis amis ont formé un bloc connu sous le vocable " majorité présidentielle ". 

En vérité, ce bloc existait depuis 1993. Il avait pris corps dans la perspective de l'élection présidentielle du 5 décembre de la même année. On l'avait alors baptisé " Nouvelle Alliance pour le Développement et le Changement ", en abrégé " Nouvelle Alliance ". Le Parti de l'Unité du Peuple (PUP) de Maître Louis Gaston Mayila, le Cercle des Libéraux Réformateurs (CLR) de Jean Boniface Assélé, le Parti des Gaulois de Max Anicet Koumba et d'autres formations politiques en faisaient déjà partie. Mais la Nouvelle Alliance n'était pas aussi étoffée que le rassemblement de 2005.

Que constate-t-on aujourd'hui ? On constate que depuis le décès du Président Omar Bongo Ondimba, un grand nombre de partis de la majorité présidentielle a fait défection. Le fait a été remarquable à la veille du démarrage de la campagne électorale pour la présidentielle anticipée du 30 août 20009. Quelques exemples suffiront. En effet, Paul Mba Abessole, leader du Rassemblement pour le Gabon (RPG), a présenté sa propre candidature au nom de sa formation politique, avant de se désister au profit du candidat indépendant André Mba Obame. Pierre Claver Maganga Moussavou s'est également lancé dans la bataille présidentielle pour le compte de son parti, le Parti Social Démocrate (PSD). 

Le Vice-président de la République, Didjob Divungi Di Ndinge, par ailleurs président de l'Alliance Démocratique et Républicaine (ADERE), a annoncé, à l'issue d'un congrès extraordinaire, que son parti avait décidé de laisser aux militants le libre choix de leurs candidats. L'ADERE n'a donc pas soutenu le candidat du PDG, Ali Bongo Ondimba. Le Professeur Pierre André Kombila, numéro un du Rassemblement National des Bûcherons (RNB) qui avait intégré la majorité présidentielle en janvier 2008, lui a tourné le dos pour soutenir la candidature de l'opposant Pierre Mamboundou. 

D'autres partis qu'on peut qualifier de " partis gazelles ", selon l'expression de Paul Mba Abessole, qui venaient faire le (faux) nombre dans cette majorité, se sont alignés derrière d'autres candidats que celui du PDG. C'est le cas notamment du Mouvement Africain pour le Développement (MAD) de Pierre Claver Nzeng Ebome qui a battu campagne en faveur du candidat indépendant Casimir Oyé Mba.

A partir de là, on ne peut s'empêcher de dire que la majorité présidentielle a volé en éclats. On a fini par se rendre compte que beaucoup de gens et de partis s'y étaient engouffrés pour les beaux yeux du Président Omar Bongo Ondimba. Au dernier congrès extraordinaire du PDG, tenu du 13 au 14 mars dernier, une dizaine de partis amis seulement étaient allés témoigner leur solidarité aux pédégistes. Mais dans ce lot, il n'y avait que deux formations politiques ayant une certaine étoffe : le CLR et Gabon Avenir. Tous les autres y compris le Morena Unioniste, tendance Samuel Mvé Mba, ne pèsent pas grand-chose.

C'est pourquoi le réalisme politique devrait conduire les tenants du PDG et du pouvoir à réorganiser la majorité présidentielle pour la rendre plus cohérente, plus solidaire, plus dense et plus dynamique. Et cela doit commencer à se faire maintenant, à moins de deux ans des prochaines législatives. Le temps, il ne faut pas l'oublier, passe vite.

JHOM/JRBM
 
 
 
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