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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 29-08-2010 23:14

Le logo de la CAN Orange 2012 Gabon -Guinée Equatoriale, homologué par la CAF


 Le Logo de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN Orange 2012) Gabon -Guinée Equatoriale a été homologué par la Confédération Africaine de Football (CAF), première instance de ce sport sur le continent et publié sur le site officiel de cette institution.

 

Le logo « CAN Orange 2012 Gabon – Guinée Equatoriale » a été publié par le site de la CAF, ce qui légitime définitivement les pays co-organisateurs de cet évènement en Afrique Centrale.

Le Gabon qui peaufine actuellement la construction des différentes infrastructures de la 28ème édition de la CAN 2012 et lesquels travaux avancent conformément aux chronogrammes fixé se voit définitivement conforté en sa qualité de Co- organisateur.

Le Président de la République Ali Bongo Ondimba a fait du dossier de la CAN Orange 2012 une des priorités de son magistère. Une détermination qui a permis que les choses bouges notamment dans la réfection et la construction des différentes infrastructures placées sous la responsabilité du COPICAN.

Pour sa part, le COCAN peaufine à travers ses différentes commissions l’organisation proprement dite entre autre, la formation des agents de sécurité (sécurité), des secouristes (santé), le répertoire des différentes structures hôtelières, l’organisation du catalogue touristiques, le transport etc.

Cette 28ème édition qui aura comme sponsor officiel la maison de téléphonie mobile Orange est un évènement placé sous le signe de l’écologie.

Aussi, l’homologation et l’officialisation du logo a lieu quelques jours avant la dernière visite d’inspection des chantiers de cet évènement en terre gabonaise par la CAF, précise-t-on

Le COCAN emmené par son président René Adiahenot, a effectué une énième visite d’inspection des chantiers et lors de cette tourné l’homme n’a pas caché sa satisfaction générale du travail réalisé par les différentes entreprises adjudicataires.

Après le logo de la CAN Orange 2012, les uns et les autres attendent désormais de voir à quoi va ressembler la mascotte de cette compétition dont le nom serait GaGui.

 

 Le Logo de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN Orange 2012) Gabon -Guinée Equatoriale a été homologué par la Confédération Africaine de Football (CAF), première instance de ce sport sur le continent et publié sur le site officiel de cette institution, a-t-on constaté ce samedi.

 

Le logo « CAN Orange 2012 Gabon – Guinée Equatoriale » a été publié par le site de la CAF, ce qui légitime définitivement les pays co-organisateurs de cet évènement en Afrique Centrale.

Le Gabon qui peaufine actuellement la construction des différentes infrastructures de la 28ème édition de la CAN 2012 et lesquels travaux avancent conformément aux chronogrammes fixé se voit définitivement conforté en sa qualité de Co- organisateur.

Le Président de la République Ali Bongo Ondimba a fait du dossier de la CAN Orange 2012 une des priorités de son magistère. Une détermination qui a permis que les choses bouges notamment dans la réfection et la construction des différentes infrastructures placées sous la responsabilité du COPICAN.

Pour sa part, le COCAN peaufine à travers ses différentes commissions l’organisation proprement dite entre autre, la formation des agents de sécurité (sécurité), des secouristes (santé), le répertoire des différentes structures hôtelières, l’organisation du catalogue touristiques, le transport etc.

Cette 28ème édition qui aura comme sponsor officiel la maison de téléphonie mobile Orange est un évènement placé sous le signe de l’écologie.

Aussi, l’homologation et l’officialisation du logo a lieu quelques jours avant la dernière visite d’inspection des chantiers de cet évènement en terre gabonaise par la CAF, précise-t-on

Le COCAN emmené par son président René Adiahenot, a effectué une énième visite d’inspection des chantiers et lors de cette tourné l’homme n’a pas caché sa satisfaction générale du travail réalisé par les différentes entreprises adjudicataires.

 

Après le logo de la CAN Orange 2012, les uns et les autres attendent désormais de voir à quoi va ressembler la mascotte de cette compétition dont le nom serait GaGui.

 

 

 

 


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le 29-08-2010 14:54

Le Gabon interdit l'utilisation commerciale du nom du président

En raison de l’abus de l’utilisation de l’image et du nom du président Ali Bongo Ondimba, les autorités gabonaises ont décidé d'interdire son utilisation. Une note, datée du 9 août 2010, rappelle à l’ordre les médias et les imprimeries du pays, et soumet son utilisation à autorisation. 
 

Du tournoi de foot aux séminaires, rares sont les manifestations au Gabon qui n'affichent pas la mention « sous le patronage du chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba ». L'intéressé lui, n'est parfois même pas au courant. D'après Flavien Enongoué, professeur de philosophie politique, la tradition est ancienne. « L’habitude a été acquise en raison de la présence du président Omar Bongo dans la société gabonaise et de son parti unique, explique-t-il. Cette présence a développé un certain nombre de reflexes, y compris de la part des acteurs sociaux qui ne pouvaient parfois rien entreprendre, sans prétendre avoir obtenu la primature du chef. La figure du père, donc d’Omar Bongo, on s’en éloigne progressivement. Il va falloir que les gens assument leurs activités… qu’ils mettent leur nom ».

Une utilisation à des fins mercantiles

Après un premier rappel à l'ordre à la fin du régime Bongo père, les autorités promettent désormais des sanctions à ceux qui continueraient d'utiliser le nom et l'image du président sans autorisation, d'autant que certains le font à des fins mercantiles. Comme le rappelle Sebastien Ntoutoume, directeur de la presse présidentielle : « Il faut signaler aussi qu’il ya une vision de racket. C'est-à-dire, vous utilisez le nom du chef de l’Etat, vous vous attirez les sympathies de ceux qui le soutiennent - et ils sont nombreux - son action. Et ceux-là peuvent faire des dons en argent et en nature. Et lorsqu’il n’y a pas de contrôle, ceux qui mènent ces activités en profitent... ». Le Gabon ne fait pas exception. Au Cameroun aussi, les autorités ont récemment mis les points sur les i. Qui sait, c'est peut être l'affaire Madoff au Bénin qui a servi de leçon. Pris dans la tourmente, le président Boni Yayi accuse les escrocs d'avoir utilisé son image à leur profit.

 

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le 28-08-2010 18:12

« Plus rien ne devrait s’opposer au développement de l’axe routier PK12-Ntoum », Flavien Nziengui Nzoundou


Le ministre de l’Equipement, des Infrastructures et de l’Aménagement du Territoire, Flavien Nziengui Nzoundou, a déclaré, cette semaine, que « plus rien ne devrait s’opposer au développement de l’axe routier  PK12-Ntoum » et que le « déguerpissement était une affaire de jours après dédommagement des populations riveraines ».

 

Selon le ministre, « tous les financements sont disponibles » pour le début effectif des travaux qui avaient été lancés en février 2009 avant d’ajouter qu’il s’agissait maintenant de finaliser les évaluations ».

Lors d’une visite sur le site, Flavien Nziengui Nzoundou a pu se rendre compte des travaux de nettoyage de l’emprise de la voie, première opération en vue du démarrage du chantier sur la nationale 1.

Au préalable,  les autorités examinent le niveau des dédommagements des populations riveraines. A cet effet, le chef du département de l’Equipement a assuré : « le déguerpissement est une affaire de jours après dédommagement ».

Globalement,  le projet concerne la construction d’un linéaire de 168,5 KM pour un montant de 239 milliards de francs CFA obtenus auprès de la Deutsche Espagnole Bank.

Il s’agit l’axe PK 12-Ntoum pour deux fois deux voies (autoroute); Ntoum-Nsilé (élargissement de la voie à 10 mètres) et Nsilé-Bifoun (renforcement de la chaussée).

Conduits par l’entreprise ENTRACO en association avec l’espagnole CEDEX, les travaux prévus pour une durée de 40 mois devraient prendre fin en 2013.

Des infrastructures  qui s’ajouteront  à une série de grands travaux  dont l’axe routier Mayumba-Tchibanga (106 km) et le pont sur la Banio (524mètres) pour 167 milliards de francs CFA, dans le sud du pays.

Dans son message à la Nation, le 16 août dernier, le président Ali bongo Ondimba a décidé le lancement de ce qui constitue, a-t-il indiqué « l’épine dorsale de notre économie, c'est-à-dire la route Libreville-Franceville, dont le financement vient d’être acquis, grâce à un partenariat avec des  pays émergents qui croient à la capacité économique du Gabon de se hisser parmi eux » et « cet important chantier ouvre de réelles perspectives sur la construction du port de Mayumba et de la route Tchibanga-Koulamoutou ».

 


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le 28-08-2010 18:09

Sylvia Bongo Ondimba, sur le site de l’Exposition « Gabon, Ma terre, Mon futur», félicite le comité d’organisation


 Plusieurs jours après l’exposition thématique qu’elle a initiée à Libreville, la première Dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba, s’est de nouveau, rendue ce vendredi au site de Gabon expo, où elle a dit sa « fierté »  au  comité d’organisation de « Gabon, Ma terre, Mon futur », et a annoncé le projet de construction d’un centre culturel gabonais.

Au cours de la rencontre, qui a été alimentée par de longs échanges entre la première Dame et les membres du comité d’organisation, Sylvia Bongo Ondimba a exprimé sa satisfaction quant au travail réalisé par les experts. Elle s’est également réjouie de l’impact populaire de l’exposition.

« Je suis très fière du travail du comité d’organisation de Gabon, Ma terre, Mon futur. Je suis fière d’être gabonaise (…) je l’ai ressenti au fond de moi, à l’intérieur, et je pense que beaucoup de Gabonais le ressentent comme moi. On a vu des gens pleurer à la sortie de l’exposition, et je vous avoue que moi-même, j’ai eu des larmes », a-t-elle confié à la presse.

Selon la première Dame, les efforts que ses collaborateurs ont consentis pour la préparation de l’exposition a également suscité l’intérêt des bailleurs de fonds qui  ont donné leur accord pour la construction d’un centre culturel national.

« Grâce au travail du comité d’organisation, nous avons la chance  d’avoir une personne, un gros groupe qui va nous financer un centre culturel gabonais, qui sera propre à nous, avec une salle de théâtre, un musée, des salles de conservatoire d’art dramatique, de musique, où les artistes pourront exprimer leur talent », a-t-elle annoncé.

Pour le Conseiller du Président de la République, Paméla Gassita, membre du Directoire de l’exposition, plusieurs jours après le lancement de l’exposition les « retombées » sont visibles.

« Cela a provoqué un véritable engouement, parce qu’on ne savait pas combien de visiteurs, il devait y avoir. Et quand on en arrive aujourd’hui à une moyenne de sept-cent (700) visiteurs/ jours, c’est vraiment un sentiment de satisfaction », a-t-elle confié à GABONEWS.

Selon le membre du comité-Histoire de l’Exposition, engagé dans la section « Regard sur le passé, République cinquantenaire », « le sentiment qui se dégage »,  depuis le lancement de l’initiative, « c’est une très grande fierté ».

« Les Gabonais sont fiers de voir ce qui est exposé, sont étonnés et satisfaits de voir que des Gabonais peuvent faire un certain nombre de choses. Ils sont avides de savoir. Beaucoup ne connaissaient pas leur pays, maintenant, ils le découvrent. Mais surtout, ils veulent que l’exposition perdure ».

L’exposition thématique «Gabon, Ma terre, Mon futur » a été inaugurée le 16 août dernier, dans le cadre des festivités du cinquantenaire de l’indépendance, par le président Ali Bongo Ondimba.

De source officielle, la clôture, initialement prévue pour le 30 novembre prochain, pourrait être repoussée au 31 décembre 2010, afin que les scolaires puissent également en bénéficier.

L’Exposition «Gabon, Ma terre, Mon futur » constitue l’axe culturel de l’engagement de la première Dame pour accompagner la mise en œuvre de la politique du Gabon émergent du Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba. Elle entend mettre en exergue et de contribuer à la promotion du  patrimoine culturel du pays dans un monde où la diversité trouve sa place dans la mondialisation.

Cette manifestation qui draine toutes les générations est l’occasion de présenter entre autres des pics bi-pointe et des galets aménagés datant de l’époque du paléolithique inférieur (120 000 à 60 000 ans avant notre ère), des reliquaires kota et des œuvres d’artistes contemporains gabonais.

 


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