Fédération P.D.G Russie et Europe de l'Est

Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 05-07-2011 01:35

JT du 04 Juillet 2011 a 20 heures

1 ere partie
 
 

 
2 e partie 
 
 
 


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le 04-07-2011 23:04

La Majorité républicaine pour l’émergence favorable à son application dans le processus électoral

 Les partis de la Majorité républicaine pour l’émergence, à travers leurs portes paroles, Alain Claude Bilié Bi Zé du Rassemblement pour la Démocratie et le Progrès (RDP), et Charles Ella du Parti Démocratique Gabonais (PDG, au pouvoir), ont réaffirmé ce lundi, la volonté de leur camp d’accueillir favorable la biométrie dans le processus électoral en cours.

Pour Alain Claude Bilié Bi Zé, Secrétaire général du RDP, l’adoption des textes à l’Assemblée Nationale par les 98 députés issus des partis de la Majorité républicaine pour l’émergence, sur les 120 siégeant est la preuve tangible de cette volonté affichée.

Selon lui, la Majorité n’a pas à jouer pour une question aussi capitale que celle relative à l’introduction de la biométrie dans le système électoral du pays.

S’exprimant sur l’alternative de la voix référendaire proposée par l’opposition, le porte parole des partis de la Majorité a qualifié de ‘’saugrenue’’ et de ‘’farfelu’’ cette piste qui selon lui, ne repose sur aucun fondement pour justifier un cas de force majeur.  Toute chose soutenue par son collègue, Charles Ella.

D’après Charles Ella, la question relative à l’introduction de la biométrie dans le système électoral n’est pas une panacée. Ce dernier estime que le vrai problème n’est pas la biométrie, mais la fiabilité du fichier électoral.

Aussi, ces derniers ont rappelé la société civile à l’ordre. « Que ceux qui veulent faire la politique enlèvent leurs cagoules et adhèrent à nos partis respectifs », a conseillé Charles Ella estimant que la société civile s’est détournée de son rôle.

A noter qu’à l’entame de cette conférence de presse, les portes paroles des partis de la Majorité pour l’émergence ont qualifié de ‘’satisfaisant’’ l’ensemble des décisions prises par le Chef de l’Etat, lors du 6ème Conseil des ministres délocalisé du Moyen-Ogooué, à Lambaréné.

 


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le 04-07-2011 23:00

Première campagne d’achat de café-cacao dans le Moyen-Ogooué


Trois ans après la relance de la culture du cacao et du café dans le Moyen-Ogooué (Centre), la Caisse de stabilisation et de péréquation (Caistab) vient de racheter la première production de la province. Plafonnée à une tonne, la production a été récoltée sur 7 des 45 hectares cultivées à Lambaréné et ses environs.
 
© D.R.
 
Le Moyen-Ogooué (Centre) vient d’enregistrer la première campagne d’achat de sa production de cacao-café par la Caisse de stabilisation et de péréquation (Caistab). Estimée à une tonne, la production a été récoltée sur 7 des 45 hectares cultivés à Lambaréné et ses environs. 

Selon plusieurs techniciens de la Caistab, la production escomptée à la fin de cette campagne se situe autour de deux tonnes, pour une masse salariale mensuelle des journaliers estimée à 3 millions de francs. Par ailleurs, les autorités de la province préconisent des mesures visant à pérenniser le financement des prochaines campagnes.

«Si les cultivateurs de cacao et de café de la province du Moyen-Ogooué se félicitent du début de l’achat de leurs produits, l’Idéal serait de créer un Fonds d’Aide de garantie avec l’aide du gouvernement pour financer et pérenniser les prochaines campagnes d’achat ainsi que toutes les autres activités qui sont menées dans les plantations. Ceci permettrait d’éviter la situation de la fin des années 1990 quand les planteurs de tout le pays ont du abandonner leurs exploitations cafetières et cacaoyères suites à l’arrêt de l’achat de leurs produits», a proposé Pascal Léhindah, maire du 2e arrondissement de Lambaréné, cité par Gabonews.

Il y a trois, la Caistab a relancé la culture du cacao et du café dans le Moyen-Ogooué afin de relancer cette filière dans la province où elle existe depuis les années 50, mais avait abandonnée au profit de l’activité forestière, de la pêche et du pétrolière. La production du café et du cacao avait atteint son niveau record au Gabon en 1975 avec 17 000 tonnes. Depuis cette date, elle stagne à 300 tonnes par an, selon les statistiques de la direction générale de l’économie.
 


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le 04-07-2011 23:00

Le gouvernement attend de la DGI, l'issue des réformes du plan d’action 2010-2013

 Le Ministre déléguée à l’économie, Françoise Assengone Obame, a exhorté la Direction générale des Impôts (DGI), à faire aboutir dans les délais raisonnables les réformes prévues dans le plan d’action au titre de la période 2010-2013.

« Concernant la mise en œuvre de ce plan, quelques réalisation sont visibles. Je peux citer les deux nouveaux bâtiments abritant les Centres des Impôts: l’un dans la zone industrielle d’Oloumi à Libreville et l’autre dans la commune d’Owendo », a déclaré Françoise Assengone qui s’est saisi de l’occasion de la seconde édition de la Journée portes ouvertes des impôts pour inviter cette direction à faire davantage.

Cette journée, a-t-on appris, s’inscrit dans le plan de communication de la DGI qui vise aussi à sensibiliser les contribuables à plus de civisme fiscal et à l’adhésion volontaire de toute la collectivité locale à s’acquitter de l’import », a-t-elle poursuivi.

Pour le Directeur Général des impôts, Joël Ogouma, cette journée marque la détermination des pouvoirs publics à construire un système plus attractif.

Ce dernier a fait le rappel de quelques mesures fiscales amorcées entre 2009 et 2010 relatifs à l’amélioration du pouvoir d’achat en vue de la modernisation des services fiscaux.

D’où l’importance du thème choisi: « Impôt et développement » qui répond à la nécessité d’intégrer l’impôt dans les mentalités en vue de permettre un développement harmonieux de l’économie nationale.

Cela va se traduire entre autres par la mise en œuvre d’une fiscalité favorisant l’élargissement de l’assiette par la « maîtrise de la population », le « développement d’un réseau de centres de gestion agrées », l’«application judicieuse des régimes d’exception », l’ « application du principe de neutralité de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) », et par le « respect strict des obligations fiscales », des « mesures en faveur des entreprisses nouvelles » ainsi que des « mesures incitatives pour l’embauche des nationaux ».

Pour la DGI, cette journée fut également l’occasion de dévoiler leurs préoccupations, attentes,  incompréhensions et difficultés dans l’application des textes fiscaux.

Service public, la Direction Générale des Impôts a en charge d’asseoir l’impôt dans les conditions définies par la collectivité, c'est-à-dire de mettre en place un environnement propice au civisme fiscal de tous les contribuables et d’assurer le recouvrement rapide et efficace des cotisations afin de donner à l’Etat les moyens nécessaires à son fonctionnement et à son action.

 


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