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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 11-03-2013 13:35

Une ONG dit merci à Ali Bongo pour le quota de femmes dans les listes électorales

La présidente de l’ONG Malachie, Pépécy Ogouliguéndé a vivement remercié le chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba pour avoir imposé un quota de 30% de femmes dans les listes électorales pour les élections locales et législatives au Gabon.

 

 

« Nous lui disons très sincèrement merci », a martelé Mme Ogouliguendé au cours d’un grand rassemblement de femmes à l’occasion de la journée internationale de la femme.

 

« 30% c’est beaucoup. Il appartient maintenant aux chefs de partis d’appliquer cette directive », a-t-elle ajouté.

 

Mme Ogouliguéndé, a suggéré aux femmes de se lever pour occuper ces postes afin de faire avancer la cause de la femme au Gabon.

 

La présidente de Malachie a reconnu que le Gabon est l’un des pays leaders en matière de promotion de la femme. Avec le Libéria, le Gabon est le deuxième pays en Afrique à avoir eu une femme chef de l’Etat.

 

Rose Francive Rogombé, actuelle présidente du Sénat a occupé de juin à octobre 2009 les fonctions de chef de l’Etat par intérim au Gabon après la mort d’Omar Bongo Ondimba.

 

« Le chef de l’Etat peut poursuivre dans cette lancée en veillant à ce que le quota de 30% de femmes au gouvernement soit également appliqué », a suggéré Mme Ogouliguéndé.

 

Ancienne directrice générale adjointe de la Direction générale de la concurrence et de la consommation (DGCC), Mme Ogouliguéndé a mobilisé plusieurs femmes du Réseau des femmes Sunamites du Gabon (RFSG) pour une commémoration inoubliable de la journée mondiale de la femme.

 

Vendredi, le réseau s’est rendu à la prison centrale de Libreville pour un soutien aux femmes détenues. Il a remis un don de produits vivriers et de nettoyage à ces femmes privées de liberté.

 

Dans l’après midi, le réseau a organisé une rencontre d’échange d’expérience avec les femmes du Congo (Brazzaville), du Cameroun et du Nigeria sur l’autonomisation de la femme. Zouéra Youssoufa, la représente de la Banque mondiale au Gabon et en Guinée Equatoriale a participé à cette rencontre.

 

Loxia, la filiale de BGFIBank, consacrée aux financements des micros projets a exposé à cette occasion sa politique en faveur des groupements féminins.

 

 

Yves Laurent GOMA

 


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le 11-03-2013 13:31

Une fille de 15 ans retrouvée morte à STFO, avec une barre de fer dans le sexe.

C’était hier, samedi 9 mars 2013 que le corps d’une jeune fille de moins de 15 ans a été découvert à la hauteur du carrefour STFO. Le corps était posé dans un couloir qui séparait un bâtiment à usage commercial et une habitation.

 

 

C’est l’un des résidents de l’habitation qui a découvert le corps aux environs de 9 heures. C’est en allant se soulager qu’il découvre le corps sans vie de la jeune fille. Elle pouvait être âgée de moins de 14 ans. D’après les témoignages, un morceau de barre de fer était enfoncé dans le vagin de la jeune fille.

 

Aussitôt alerté, le Procureur de la République, Madame Sidonie Flore Ouwé, est venue faire le constat. Elle a essayé d’identifier la jeune fille, mais malheureusement, aucun riverain n’a pu la reconnaitre. Aussitôt, une enquête a été diligentée par le Procureur de la République pour retrouver les coupables du meurtre. Dans cette logique, le propriétaire de la maison a été mis en garde à vue, dans le but d’éclaircir certaines zones d’ombres qui surgissent autour de cette affaire.

 

Il convient de signaler les circonstances de la mort de cette jeune fille qui rentre dans une série de crimes en série. En l’espace de deux mois, l’on notre des crimes sur les femmes avec la particularité qu’elles sont retrouvées avec un objet dans le vagin. Il y a quelques semaines les circonstances de cette découverte ont eu lieu aux quartiers Charbonnages, Bel Air et Awendjé. Ce qui constitue déjà une piste. S’agit-il d’une pratique rituelle ou tout simplement d’un psychopathe  amateur de films d’horreurs américains, qui a choisi les femmes comme cible de ses fantasmes ? Ce sont là autant de questions que l’on se pose autour de cette série de meurtres qui ne garantit plus la sérénité des gabonais et gabonaises et qui gagnerait à l’apport des sciences humaines, notamment les psychologues, pour essayer d’élucider ces meurtres.

 

Il est aussi nécessaire de remarquer que cette découverte s’est faite en présence des forces de l’ordre qui veillent sur ce carrefour nuit et jour. Si la fille n’habitait pas les lieux, c’est que son corps a été déposé là. Mais nos agents de la Police Militaire disent ne rien avoir vu de suspect durant toute la nuit. Mais comment peut-on déposer un corps à moins de 50 mètres des policiers, sans que ces derniers n’aient rien remarqué ?

 

Cette question révèle deux hypothèses : soit la fille serait venue là vivante pendant la journée et qu’elle aurait été tuée par un des habitants de la maison. D’où l’arrestation du propriétaire de la maison. Il y a aussi une autre hypothèse qui, au-delà d’une supposition, apparait comme une interrogation. Depuis trois ans, des recrutements importants s’effectuent dans la plupart des corps de défense et de sécurité. Pour les autorités, ces recrutements visent à réduire l’insécurité dans notre pays, particulièrement à Libreville. Mais comment comprendre que l’on continue à commettre des meurtres devant les forces de l’ordre sans que ces dernières n’interviennent ? Tout semble révéler que ces policiers ne sont pas là pour la sécurité des citoyens, mais pour prévenir d’une quelconque manifestation de l’opposition. C’est là que l’on voit le véritable déploiement de nos forces de sécurité et de défense.

 

Au moment où le Président de la République et le Gouvernement prônent l’instauration d’un appareil judiciaire efficace et juste, c’est là l’occasion pour les acteurs de la justice de démontrer leur détermination. Retrouver les coupables de ces meurtres et les mettre en prison serait la seule consolation que les familles des victimes puissent avoir.

 
 


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le 10-03-2013 22:11

Le Roi du Maroc, Mohamed VI attendu à Libreville

La visite de travail et d’amitié de Sa Majesté Mohamed VI du Royaume du Maroc, du 20 au 21 mars 2013 ; la remise du rapport de la commission sur la Biométrie au Chef de l’Etat ; la participation du Chef de l’Etat au Forum de Coopération    Afrique / Amérique du Sud (ASA) du 22 au 23 février 2013 ; la mission d’une délégation gabonaise à Berlin auprès de Transparency International du 25 au 27 février 2013 ; la remise du document-cadre de la Politique Nationale de la Jeunesse  du Gabon au Président de la République, le 25 février 2013 ; la visite des chantiers le 27 février 2013 par le N°1 gabonais, telles sont les grandes articulations de la traditionnelle conférence de presse hebdomadaire animée le vendredi 8 mars dernier à Libreville, par Alain Claude Bilié Bi-Nze, Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise.

 

 

« Sa Majesté, Mohamed VI est attendu le mercredi 20 mars à Libreville, pour une visite de travail et d’amitié. Au programme de cette visite : un tête à tête avec le Président de la République, Chef de l’Etat ; la signature de plusieurs accords de coopération ; des audiences avec certaines hautes personnalités de la République entre autres les Présidents de l’Assemblée Nationale et du Sénat, le Premier Ministre, Chef du Gouvernement », a fait savoir le Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise.

 

Et d’ajouter : « Le Gabon et le Maroc entretiennent des relations diplomatiques soutenues par un cadre juridique assez riche, depuis 1961 et une profonde amitié le long de l’exercice du président Omar Bongo Ondimba arrivé au pouvoir en 1967 ».

Avant de poursuivre : « Le couronnement de ces quatre décennies d’excellentes relations de coopération a donné lieu à plusieurs commissions mixtes,  entre autres celles qui se sont tenues en 1980 et en 1984 à Rabat et celles de 1983 et 1992 à Libreville. Autour de ce cadre juridique, de nombreux accords de coopération et conventions ont été passés entre les deux pays ; ce qui justifie l’excellente qualité des échanges entre le royaume chérifien et le Gabon ».

 

Si l’on en croit l’orateur, l’éducation et le commerce ont toujours été les points focaux de ces échanges. Le royaume du Maroc accueille et forme des centaines d’étudiants et enseignants gabonais depuis plusieurs années. La coopération dans ce domaine est d’ailleurs des plus fructueuses. L’on note aussi sur le plan industriel une coopération basée sur la promotion des PME-PMI.

 

« Au cours de la prochaine visite de travail et d’amitié du Roi du Maroc, Sa Majesté Mohammed VI, il s’agira de renforcer et de raffermir les liens de coopération et d’amitié entre nos deux pays frères », a indiqué Alain Claude Bilié Bi-Nze.

 

Sur tout autre plan, le 22 janvier 2013, le Président gabonais Ali Bongo Ondimba, avait réuni à la « Cité de la Démocratie » de Libreville les acteurs politiques nationaux en vue du lancement des travaux des commissions sur la biométrie et la CEMAC comme annoncé au cours de son intervention devant le Parlement, le 12 septembre 2012 et lors de son message de fin d’année à la Nation, le 31 décembre dernier.

 

D’après le Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise, les conclusions de la  concertation majorité-opposition sur la Biométrie ont été remises au Chef de l’Etat, par le Premier Ministre, au cours d’une cérémonie qui a eu lieu à la Présidence de la République, le 27 février 2013, en présence des acteurs des deux camps politiques.

 

En recevant ce document, a-t-il éludé, le Président de la République a félicité les différents commissaires pour leur disponibilité au service de l’intérêt général. « Il  s’est réjoui par ailleurs de l’esprit de patriotisme, de fraternité et de responsabilité dont ils ont fait montre tout au long des travaux ».

 

Cette attitude, a-t-il souhaité « devrait faire école et se renforcer dans le cadre des activités politiques à venir ».

 

« Les acteurs politiques réunis autour du Premier Ministre, à la demande du Président de la République, avaient pour mission de proposer les meilleures pistes de solutions pouvant nous conduire à la mise en œuvre de la biométrie dans notre système électoral », a rappelé l’orateur aux hommes et femmes des médias.

 

Avant de poursuivre : « Il est à retenir que dans ce rapport, certains points relèvent de l’Administration et d’autres sont du ressort de la loi. A ce titre, des orientations du Président de la République sur la question sont attendues dans les prochains jours ».

 

Sur invitation du Président de la République de Guinée Equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo,  le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, s’est rendu à Malabo les 22 et 23 février dernier pour prendre part au troisième Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement du Forum de Coopération de l’Amérique du Sud et de l’Afrique (ASA), placé sous le thème « Stratégies et Mécanismes pour le renforcement de la Coopération Sud-Sud ».

 

Le Forum de l’ASA est une rencontre au Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Amérique du Sud et de l’Afrique qui ont décidé en 2006 de créer une dynamique de partenariat de coopération dans les domaines politique, économique, culturel et une solidarité entre les peuples des deux continents.

 

Ce rendez-vous intercontinental a réuni de nombreux Chefs d’Etat et de Gouvernements provenant de la plupart des pays du Forum ASA. On a noté la présence entre autres des présidents du Brésil, de la Bolivie, du Nigéria, de l’Afrique du Sud, de la Somalie, du Surinam, du Burundi, du Congo, du Cap Vert et de l’Éthiopie à cette rencontre, ainsi que la Présidente de la commission de l’Union Africaine (UA), Nkosazana Dlamini-Zuma.

 

Plusieurs discours ont été prononcés lors de la cérémonie d’inauguration parmi lesquels ceux du président de l’UA et Premier Ministre de l’Éthiopie, Hailemariam Desalegn, du Président de la République du Nigéria, Goodluck Jonathan, de la présidente du Brésil Dilma Rousseff et, du Président de la Guinée Equatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.

 

Selon Alain Claude Bilié Bi-Nze, le Président Ali BONGO ONDIMBA n’a pas manqué de réaffirmer la volonté de son gouvernement de mener à terme les réformes engagées en vue de conduire le Gabon vers un pays émergent en 2025. Il a également rappelé l’importance de la matérialisation dans les actes du Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), élément déterminant pour un Gabon compétitif sur le plan international.

 

« Il a par ailleurs saisi l’occasion de sa présence dans la capitale équato-guinéenne pour s’entretenir avec ses pairs africains et ceux d’Amérique du Sud, sur les questions de coopération bilatérale », a souligné l’orateur.

 

Et d’ajouter : « Le Forum a permis aux Chefs d’Etat d’échanger sur les voies et moyens de renforcer la coopération Sud-Sud et a donné lieu à la déclaration dite de Malabo qui devra donner un véritable coup d’accélération aux échanges économiques entre les pays de l’hémisphère sud ».

 

Sur les instructions du Président gabonais, a relevé le Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise, une délégation gabonaise s’est rendue à Berlin du 25 au 27 février 2013, afin d’échanger avec les responsables de l’organisation Transparency International sur les questions de gouvernance économique et financière au Gabon.

 

« La délégation gabonaise était composée de membres du cabinet du Président de la République, du Ministre de l’Economie, de l’Emploi et du Développement Durable accompagné de quelques experts, ainsi qu’une équipe d’experts du Ministère du Budget, des Comptes Publics et de la Fonction Publique », a précisé Alain Claude Bilié Bi-Nze.

 

« Les discussions entre la direction de Transparency International et la délégation gabonaise ont porté sur la gouvernance économique ; l’environnement des affaires ; la législation fiscale et douanière ; la législation pénale en ce qui concerne la corruption active ou passive ; les mécanismes de lutte contre la corruption », a-t-il poursuivi.

 

Et d’ajouter : « Au cours des échanges,  la Direction de Transparency International dont la mission principale consiste à travailler avec les gouvernements, la société civile et le secteur privé en vue de lutter contre la corruption dans le monde et l’amélioration de la gouvernance par les gouvernements et les Etats, a accordé une importance particulière aux dispositifs et aux réformes mis en place par l’Etat gabonais, mais également à la place que le secteur privé, la société civile et les citoyens en général devraient occuper dans le dispositif général de gouvernance ».

 

Avant de marteler : « La délégation gabonaise a, pour sa part, présenté la nouvelle vision du Gabon Emergent qui vise l’amélioration de la gouvernance et la révision à la hausse de tous nos indicateurs économiques et sociaux. Le Ministre de l’Economie a rappelé  les différentes réformes engagées et les instruments mis en place pour leur application, notamment la réforme du budget de l’Etat, le Code des marchés publics, l’environnement fiscal et douanier, le cadre du contrôle des ressources et des charges de l’Etat, ainsi que le dispositif de lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent ».

 

« Il a également été précisé à Transparency International les dispositifs juridiques existant en matière de législation pénale et de mécanismes de lutte contre l’enrichissement illicite au Gabon. Au terme des échanges, Transparency International, qui a noté avec satisfaction la volonté du Chef de l’Etat de faire avancer les différentes réformes engagées depuis son accession à la magistrature suprême, a proposé de nouer un partenariat avec le gouvernement gabonais afin de l’accompagner dans ses efforts de réformes et d’amélioration de la gouvernance économique, sociale et environnementale sur une période de deux ans. Cette visite au siège de l’organisation Transparency International à Berlin, intervient après la rencontre avec l’ONG Amnesty International en novembre 2012 dans leur siège parisien et après la rencontre avec l’ONG Reporters Sans Frontières en décembre

 

2012. Cette dernière rencontre a d’ailleurs été suivie d’une mission de Reporters Sans Frontières au Gabon en février 2013, mission au cours de laquelle le Directeur du Bureau Afrique et le Secrétaire Général de Reporters Sans Frontières ont été reçus par le Président Ali Bongo Ondimba ».

 

A en croire le Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise, ces différentes rencontres entrent dans le cadre de la promotion des réformes engagées par le Président de la République, afin de concrétiser sa vision d’un Gabon Emergent basé sur un développement durable et équitable pour tous, grâce à une bonne gouvernance économique, financière et sociale.

 

A titre de rappel, le 25 février dernier, le Chef de l’Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba a participé au Forum organisé au Palais dit de Rénovation à Libreville sous le thème « Contrat de Partenariat pour une Jeunesse responsable » au cours duquel il lui a été remis le document-cadre de Politique Nationale de la Jeunesse du Gabon (PNJG).

 

Ce texte constitue une base précieuse de recommandations issues des réflexions du Forum national de la jeunesse organisé en septembre 2011

 

« Comme l’a clairement indiqué le Président Ali Bongo Ondimba, ce document-cadre servira à guider l’action nationale en faveur de la jeunesse, améliorer, sur le plan qualitatif et quantitatif, les opportunités offertes aux jeunes et à répondre au soutien international en faveur de cette catégorie de la population », a souligné Alain Claude Bilié Bi-Nze.

 

Avant de poursuivre : « Chef de l’Etat s’est engagé devant les deux chambres du Parlement réunies en congrès le 12 septembre dernier sur la présence des jeunes à hauteur de 30% sur les listes des candidatures aux élections locales ; taux de 30% qu’il a également prescrit pour les femmes. Le Président s’est fermement engagé sur ces deux points et il veillera à ce que ses prescriptions soient respectées ».

 

Le Mercredi 27 février 2013, le Président Ali Bongo Ondimba a effectué une visite de quelques grands chantiers de la capitale gabonaise afin de constater l’état d’avancement d’un certain nombre de travaux.

 

Le Chef de l’Etat gabonais, qui fait de la question de l’amélioration de l’habitat son cheval de bataille a déclaré l’orateur, s’est ainsi rendu sur les sites d’Angondjé (nord de Libreville) où plusieurs logements sont sortis de terre au cours de ces derniers mois.

 

« Cette visite des chantiers s’inscrit dans le cadre de la vision du Président de la République telle qu’annoncée lors du dernier Conseil de cabinet sur l’habitat tenu en mai 2012, au cours duquel le Chef de l’Etat a réaffirmé sa ferme volonté de résorber le déficit en logement afin de permettre à chaque citoyen gabonais d’accéder au logement à des coûts et des conditions raisonnables », a dit le Porte parole de la Présidence de la République Gabonaise.

 

« Dans cette optique, lors du dernier Conseil des Ministres, le 07 mars, le Chef de l’Etat a entériné la création de deux organes à même d’impulser le programme d’urbanisation et de logements à savoir : la Société Nationale de Gestion et de Construction du Logement Social de l’Etat et le Pôle Habitat », a-t-il ajouté.

 

Source:INFOSGABON

 


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le 09-03-2013 20:45

Fac aux Juges du Tribunal Correctionnel de Libreville ce Vendredi, Marc Ona Essangui Perd la Mémoire:Les Faits

Aujourd’hui le tribunal correctionnel de Libreville a examiné l’affaire Soleman contre Ona Essangui à la suite de la plainte en diffamation de Liban Soleman.  D’entrée de jeu, Marc Ona Essangui a tenté d’esquiver les questions du tribunal en brandissant des préalables notamment la communication de la bande vidéo originale de l’émission à laquelle pourtant il avait participé.

Le Tribunal s’étant opposé aux exigences deMarc Ona Essangui celui-ci a alors décidé de garder le silence. Après avoir vainement tenté d’imposer ses propres règles du jeu au tribunal,Marc Ona Essangui a finalement admis la substance des propos aux termes d’explications confuses et peu convaincantes.
 
A la suite d’une audience marathon de cinq heures dont le thème principal portait sur des actes de diffamation à l’encontre de Liban SolemanMarc Ona Essangui n’a finalement pas été en mesure de rapporter au Tribunal la preuve de ses allégations ni d’une quelconque collusion entre Liban Soleman et le Groupe Olam au Gabon. 
 
Les propos peu clairs, hésitants et parfois contradictoires et souvent hors sujet ont permis à l’assistance de constater que Marc Ona Essangui n’était pas en mesure de rapporter la moindre preuve de ses allégations ni même capable de répondre aux avocats de Liban Soleman même à des questions simples.
 
Alors qu’il est souvent très expansif voire véhément dans ses propos, notamment sur sa page Facebook, le justiciable Marc Ona Essangui a été incapable d’assumer jusqu’à la teneur de ses propos, fuyant toutes les questions jusqu’à apparaître incapable d’affronter la réalité du débat judiciaire.
 
A la suite des plaidoiries des avocats de Liban Soleman, le Procureur de la République a prononcé un réquisitoire sévère à l’encontre deMarc Ona Essangui et a sollicité sa condamnation à une peine de prison d’un an ainsi qu’une amende de 300,000 FCFA.
 
Dans son réquisitoire le Procureur a fustigé le comportement de Marc Ona Essangui qui à l’instar d’autres personnes distillent des fausses informations et portent atteinte aux institutions de la République, en faisant part d’informations fausses, non vérifiées, finalement des affabulations. 
 
Source:ujpdg-France  
 


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