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le 06-01-2010 23:42

Ali Bongo Ondimba, s’est déclaré favorable, sous sa gouvernance, à l’application stricte de la loi


 -  En recevant, ce mercredi après-midi, les présidents des institutions constitutionnelles, pour le compte de la deuxième journée de la série de vœux à lui adressés à l’occasion du nouvel an, le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, s’est déclaré favorable, sous  sa gouvernance,  à l’application stricte de la loi, aux réformes souhaitées dans le système judiciaire et au respect de la séparation des pouvoirs, a ordonné la création d’une filière de journalisme à l’UOB  et flétri les détentions illégales dans les prisons, sans compter l’établissement fantaisiste de certificats de nationalité, devenu le sport prisé de certains administrateurs  indélicats.

Réagissant aux allocutions respectivement prononcées par les Présidents du Sénat, de l’Assemblée Nationale, des Cours Constitutionnelles et de Cassation, du Conseil National de la Communication et du Conseil Economique et Social, Ali Bongo Ondimba n’a guère tardé de dire toute la satisfaction, l’assurance et le réconfort moral, qui sont les siens propres, traduisant également ceux de sa famille, consécutivement à la sincérité, a-t-il relevé, ayant caractérisé les différents propos.  
 
En se réjouissant de la tenue actuelle de sessions budgétaires extraordinaires tant au Sénat qu’à l’Assemblée Nationale, avec en filigrane l’accélération de la mise en route de la Politique Générale des nouvelles autorités administratives du pays, le Président de la République, Ali Bongo Ondimba a pris le ferme engagement devant les représentants du Peuple que son « gouvernement ne faillira pas à son rôle cardinal », lequel est résumé dans le triptyque « Paix – Développement – Partage », englobant son projet de société approuvé par ses compatriotes, le 30 août dernier, à la faveur de l’élection présidentielle anticipée qui fut imposée par la mort brutale d’Omar Bongo Ondimba.   
 
« Je me réjouis du soutien de toutes les institutions constitutionnelles à mon endroit et à celui du gouvernement que j’ai mis en place depuis bientôt trois mois. Vous vous êtes toujours déployés à consolider l’état de droit dans notre pays. En retour, je puis vous assurer que j’appuie fortement l’application stricte de la loi, sans laquelle nous ne pourrions efficacement atteindre les attentes de la population. Il ne peut d’ailleurs en être autrement. C’est dans la même lancée que j’approuve le principe de la séparation des pouvoirs », a rassuré Ali Bongo Ondimba, avant de préciser qu’il a besoin de la constance de l’appui et du soutien des institutions républicaines pour, dit-il, mener à bien la redoutable et exaltante mission qui est la sienne.
 
 
Aussi, Ali Bongo Ondimba a-t-il  fortement apprécié et encouragé les efforts méritoires étalés, en 2009, par Mesdames Rose Francine Rogombé et Marie Madeleine Mborantsuo, respectivement ancien président intérimaire de la République et Président de la Cour Constitutionnelle, faisant de la transition gabonaise un bel exemple à travers le monde.
 
 
Au chapitre du toilettage des textes régissant le système judiciaire,  sollicité par le porte-voix de la Cour de Cassation, histoire d’adapter ceux-ci aux  normes universelles, Ali Bongo Ondimba est, on ne peut mieux explicite : « J’instruis à présent le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, de prendre toutes les dispositions qui s’imposent pour la mise en route des réformes souhaitées par le Président la Cour de Cassation. J’appuie l’introduction d’un juge pour enfants, une couche sociale méritant la protection sans faille de tous et de chacun ».
 
Fidèle à ses engagements relatifs au respect des droits de l’homme et des libertés collectives et individuelles, Ali Bongo Ondimba, manifestement outré par la récurrence de la  pratique des détentions illégales et extrajudiciaires dans les maisons d’arrêt du pays, de proposer « l’institution d’un juge d’application des décisions judiciaires pour éviter les violations de la loi, notamment en ce qui concerne les détentions irrégulières », avant d’émettre le souhait que « les prisons au Gabon cessent d’être de simples lieux de privation de libertés, mais également d’éducation et de réinsertion sociale ».
 
Sur un autre plan, le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, s’est montré particulièrement courroucé par la pratique malsaine de l’établissement frauduleux de certificats de nationalité gabonaise, défrayant actuellement la chronique. En la matière, le numéro un gabonais de lancer à son ministre de la justice : « Madame le ministre, à compter de ce jour, je ne veux plus entendre parler de cette histoire de faux certificats de nationalité ». Sans commentaire.  
 
 
Le volet concernant la presse n’a nullement échappé à l’attention particulière d’Ali Bongo Ondimba qui, tout en acquiesçant quelques manquements relevés par le  président du Conseil National de la Communication sur le compte d’une  catégorie de médias au courant de 2009, a vivement salué « le rôle prépondérant joué par certains journalistes pendant la période cruciale de la transition et leur professionnalisme indéniable les ayant guidés à encadrer d’autres qui risquaient de déraper. Je félicite ces professionnels de tout cœur, qui appartiennent aussi bien à la presse écrite et en ligne qu’à l’audio-visuelle ».
 
Conscient de l’importance et de la délicatesse de la mission dévolue aux communicateurs dans les sociétés modernes, Ali Bongo Ondimba d’appuyer « le projet de création d’une filière de journalisme à l’Université Omar Bongo Ondimba », pour dit-il, assurer une formation spécialisée et solide à tous les Gabonais éprouvant une passion pour ce noble et ingrat métier.
 
 
Enfin, Ali Bongo Ondimba estime qu’avec le maintien de l’appui et du soutien dont il bénéficie actuellement de toutes parts, l’accomplissement de sa mission sera certes difficile, mais pas impossible : « Confiants en nos possibilités et nos capacités, mais aussi et surtout au soutien indéfectible du peuple, nous parviendrons à surmonter  tous les obstacles qui se dresseront sur notre chemin », a-t-il conclu.
 
GN/MS/MO/10 

 

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le 06-01-2010 20:12

Les Présidents des Corps constitués de la République adressent leurs vœux au Chef de l’Etat, ce mercredi



 –  La deuxième journée consacrée à la cérémonie de présentation des vœux du nouvel an  au Président de la République, Ali Bongo Ondimba, se déroule, ce mercredi après-midi au Palais de la Présidence à Libreville, avec les vœux des présidents des Corps Constitués de la République, a-t-on appris de sources officielles.

Hier mardi, l’honneur est revenu aux membres du gouvernement et aux diplomates accrédités au Gabon d’ouvrir cette série de présentations  de vœux au Chef de l’Etat, qui sera bouclée, jeudi 7 janvier, par les élus locaux de Libreville, avec à leur tête le maire central, Jean François Ntoutoume Emane, augmentés des forces de défense et de sécurité.

GN/MO/MS/10

 

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le 06-01-2010 14:40

Le Gouvernement adresse ses vœux au Chef de l’Etat sur fond de matérialisation du programme de l’émergence


- Le premier ministre, Paul Biyoghé Mba, qui,  au nom du gouvernement a solennellement adressé ses vœux ce mardi, au président  de la République, Ali Bongo Ondimba, a réitéré son engagement à matérialiser le programme de l’émergence, prôné par le Chef de l’Etat.

Lors de son allocution de circonstance, qui s’inscrivait dans le cadre de la première journée des vœux au Président de la République, le premier ministre, a loué la volonté du numéro un gabonais d’assurer « l’envol » du pays et son maintien durable « vers la croissance, le développement performant, en un mot vers l’Emergence ».

Volonté par ailleurs, affichée à travers la « montée en puissance déjà bien perceptible à plusieurs niveau », du Chef de l’Etat, véritable « réacteur de l’aéronef Gabon ».
 
« Le mot réacteur renvoie, à la solidarité, à la vitesse et à la puissance. se sont trois adjectifs qui doivent qualifier en toutes circonstances la politique et le programme de l’Emergence qui nous tiennent tous désormais à cœur aussi bien dans le discours que dans l’action », a-t-il précisé.
 
Celui-ci de poursuivre : « Aller vers l’Emergence, c’est aussi adopter un comportement contraignant. En effet, l’émergence induit la stricte nécessité d’opérer des changements, des restructurations, des remises en cause, de redistribuer les cartes, de revoir, dans plusieurs cas, des situations établie...avec pour seul souci d’améliorer. Il faut travailler, se donner de la peine et mériter ».

Exposant les grandes mutations, entamées ou futures, dans l’administration gabonaise, il renchérit : « l’Administration publique et le secteur parapublic seront désormais et progressivement mis aux standards internationaux de productivité et de rendement », tout comme le secteur privé, qui se devra d’être « plus compétitif ».

Pour sa part, répondant à cette allocution de M. Biyoghé Mba, le Président, Ali Bongo Ondimba s’est engagé à ne ménager « aucun effort », et n’épargner « aucun sacrifice »  pour offrir au peuple gabonais « le bonheur qu’il souhaite de tous ses vœux ».
 

« Nous ne pouvons plus user d’artifices ou d’alibis pour justifier les manquements que les Gabonais seront amenés dorénavant à constater », a t-il mis en garde, tout en indiquant que  peu de temps après  l’adoption du budget par le parlement, des « actes palpables » apparaîtrons dans les « grands chantiers » et les domaines jugés  prioritaires par le gouvernement de l’émergence.
 
« Plus que par les déclarations de bonnes intentions, je veux monsieur le Premier ministre, (…) des actes.Oui des Actes. Car nous serons désormais jugé par nos concitoyens à l’aune des résultats que vous produirez dans le sens de la satisfaction de leurs attentes » a –t-il conclu.
 
GN/DAN/MS/MO/10

 

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le 05-01-2010 22:08

Discours du Président de la République face aux diplomates accrédités près le Gabon, à l’occasion de la présentation des vœux



 – A l’ occasion de la présentation des vœux du nouvel an du corps diplomatique et consulaire accrédité près le Gabon au Président de la République, Ali Bongo Ondimba, ce mardi, celui-ci a prononcé  un discours volontariste d’ouverture et prometteur d’espoir pour le renforcement de la diplomatie gabonaise, dont GABONEWS vous livre l’intégralité.

TEXTE INTEGRAL

Mr le Représentant du Doyen des corps diplomatiques,

Mesdames et Messieurs les membres des Corps diplomatiques,

Mesdames et Messieurs,

En vous accueillant aujourd’hui à la Présidence de la République, il m’est agréable de former pour vous-mêmes et vos familles, mes vœux de bonne santé, de paix et de bonheur.

Je vous demande de transmettre les mêmes à vos chefs d’Etat respectifs, en même temps que les souhaits que  je forme à leur intention et pour vous.

Excellences Mesdames et Messieurs les membres des Corps diplomatiques, l’accroissement des tensions internationales, comme vous l’avez si bien souligné, appelle d’autre part une réponse urgente et collective. Celle-ci, pour être durable, devra être basée sur le dialogue, mais aussi sur un diagnostic objectif des causes profondes qui les sous-tendent.

Il me plait de rappeler devant cette assistance que le Gabon a fait du dialogue et de la recherche de la paix les fondements de son action politique.

Aussi voudrais-je affirmer que je continuerai à m’inscrire dans cette voie, qui est la condition première pour le développement de nos pays.

Le Gabon, comme vous le savez, a eu le privilège d’être élu au conseil de sécurité des Nation Unies, pour la période 2010/2011.

Les principaux thèmes  de notre agenda au cours de notre mandat s’articuleront principalement  autour des points suivants :

Interpellation du Conseil de sécurité dans la prévention et la résolution des conflits en Afrique, médiations et règlements des conflits armés, trafic illicite d’armes légères, des enfants et des femmes dans les conflits armés, et la question du réchauffement climatique.

Sans négliger les autres parties du globe, force est de constater que le continent africain reste malheureusement l’aire géographique la plus vulnérable de la planète, tant sur le plan du développement que sur celui de la sécurité.

Tout le monde s’accorde à dire je cite « il ne peut y avoir de sécurité sans développement, et de développement sans sécurité ».

Vous comprendrez dès lors que notre défi principal aujourd’hui reste l’intégration des objectifs de développement dans les stratégies de sécurité.

En effet, la pauvreté d’une manière générale, accroît les risques de l’effondrement économique du pays et favorise le développement des extrémismes, et partant, du terrorisme.

Il nous revient dès lors, de tous mettre en œuvre pour trouver les voies et moyens, pour lutter contre les déséquilibres en matière de développement pour tous, afin d’acquérir stabilité et prospérité pour tous.

C’est ce développement, garant de la prospérité, que je propose au Gabonaises et aux Gabonais dans mon projet de société « l’avenir en confiance ».

Au-delà des efforts propres à mon pays, la communauté internationale, que vous représentez ici aura un rôle déterminant à jouer dans l’édification du Gabon émergent dont les trois (3) piliers fondateurs sont « Gabon vert », « Gabon industriel » et « Gabon des services ».

En effet le développement des relations de coopération entre le Gabon et les pays du Nord en général, mais aussi entre le Gabon et les pays du Sud en particulier, doivent être plus fructueuses que par le passé.

Elles doivent permettre un développement économique et social qui corresponde aux attentes de nos peuples respectifs. Il reste que de tels objectifs ne sauraient être atteints que si des efforts notoires sont faits dans le domaine de la bonne gouvernance.

En effet, une bonne gouvernance permet une meilleure redistribution des richesses au niveau national et l’établissement de rapports sains avec la communauté internationale.

S’il revient aux Gabonais de bâtir leur propre avenir, il revient toutefois aux partenaires que vous êtes, de nous accompagner dans l’édification d’un pays prospère, en un mot d’un Gabon émergent.

Mesdames et Messieurs les membres des corps diplomatiques,

Je voudrais conclure mon propos en soulignant que mes déplacements  sur la scène régionale et internationale, s’inscrivent d’une part dans ma volonté affichée de bâtir une diplomatie au service du développement, et d’autre par de l’attention particulière que je porte aux autres nations, et ce, afin de créer un réel climat de confiance entre les peuples,

Je vous remercie ».

 GN/10

 

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