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Parti Démocratique Gabonais branche Europe de l'Est: Avançons Ensemble!!!

le 08-01-2012 19:57

Le Gabon veut remporter la Can Orange 2012

 

Le ministre gabonais des sports, René Ndemezo’o Obiang a demandé mardi soir aux panthères du Gabon de remporter la 28e édition de la Coupe d’Afrique des nations, pour l’Afrique centrale, mais pour le Gabon en particulier, à l’occasion de sa traditionnelle visite aux joueurs, à la veille des matchs internationaux.

 


« 40 ans après l’édition de 1972 disputée au Cameroun et remportée par le Congo Brazzaville que personne n’attendait à ce stade, nous voulons que la Coupe d’Afrique des nations reste en Afrique centrale mais au Gabon», a dit le ministre René Ndemezo’o Obiang dans son adresse aux joueurs.
Quart des finalistes en 1996, le Gabon sera à sa cinquième participation lors de la Can Orange 2012 qu’il va conjointement organiser du 21 janvier au 12 février prochain avec la Guinée Equatoriale.

 


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le 04-01-2012 20:43

Brun Ben Moubamba officiellement membre de l’UPG

 

Après  la demande d’adhésion à l’Union du peuple gabonais (UPG) de Bruno Ben Moubamba ancien candidat indépendant de l’élection présidentielle d’Août 2009, c’est le Conseil exécutif de ce parti qui était réuni hier au siège du parti sis à Awendjé dans le quatrième arrondissement de la capitale gabonaise, a validé sa demande après une enquête de moralité.
« C’est une réaction de grande satisfaction et je me sens profondément touché  par cette arrivée dans une famille politique dans laquelle se trouvent énormément des substances grises, beaucoup de sincérité », a-t-il déclaré à chaud.

Bruno Ben Moubamba promet désormais de dépenser son énergie pour l’UPG, pour tous ceux qui l’aiment et pour ses militants et de donner le meilleur de lui-même dans la mesure de ses possibilités.

Revenant sur la crise qui secoue en ce moment la formation politique laissée par Pierre Mamboundou, il s’est voulu rassurant, estimant que ce que l’on a appelé une crise est en voie d’apaisement. Par ailleurs, il s’est félicité du désir des uns et des autres de préserver l’unité du parti car indique-t-il,
« il nous faut maintenant  rassurer l’ensemble des Gabonais ».

Il reste conscient que ce n’est pas en France, son pays de résidence actuel qu’il va servir le parti. « Ben Moubamba est définitivement rentré au Gabon et je suis entrain de m’organiser pour m’installer correctement », a-t-il déclaré.

Selon les observateurs de la vie politique ;
« Il est trop impulsif Ben Moubamba, son adhésion au sein de l’UPG on l’espère va l'assagir, comme il l’a dit franchement descendu de l’avion ‘’ je vais marcher sur les pas de Pierre Mamboundou’’, homme de fair-play qui s’avait jouer dans la coure des grands hommes politiques. Car la politique est un combat d’idées, et non combat de boxe comme beaucoup le confondent en incitant à la violence, aux clivages ethniques, en oubliant que le Gabon reste un et indivisible ».  
 


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le 04-01-2012 20:17

Le Gabon réaffirme son soutien à la candidature du Dr Jean PING à la présidence de la Commission de l’Union Africaine

 

Le Gouvernement gabonais, à travers son Ambassade, Mission Permanente à Addis Abeba en Ethiopie en concertation avec le candidat a, par Note Verbale n° 1146/AMBAGAB/ADDIS/MP-UA, du 8 septembre 2011, déposé officiellement auprès du Bureau du Conseiller Juridique de la CUA, la candidature du S.E. Dr Jean PING à la Présidence de ladite Commission.

 

Cette candidature du Dr Jean PING introduite par le Gabon bénéficie du soutien total des Autorités gabonaises en tête desquelles SEM Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat.

 

Cet engagement du Gabon vis-à-vis de son candidat s’est traduit, ensuite par l’envoi d’émissaires auprès des Chefs d’Etat africains assurant la présidence des Communautés Economiques Régionales (CER), afin de solliciter le soutien de leurs régions respectives. Plusieurs membres du Gouvernement gabonais ont ainsi été dépêchés en qualité d’émissaires dans les différentes CER en vue de promouvoir la candidature du Dr Jean PING :

 

- Namibie pour la Southern African Development Community (SADC);
- Tchad pour la Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale (CEEAC) ;
- Burundi pour East African Community (EAC);
- Nigeria pour Economic Community of West African states (ECOWAS);
- Ethiopie pour Intergouvernemental Autority for Development (IGAD);

 

Au mois d’août 2011, il a adressé une correspondance au Président en exercice de l’Union Africaine, SEM Teodoro OBIANG NGUEMA MBASOGO, Chef de l’Etat de Guinée Equatoriale, sur la décision du Gabon de présenter la candidature du Dr PING pour la présidence de la CUA.

 

Ensuite, une correspondance a été adressée par le Président de la République à tous ses Pairs Africains sollicitant leur appui au candidat du Gabon, à travers leurs Représentations/Missions Permanentes à l’ONU à New York et à l’UA à Addis Abeba.

 

Des émissaires du Président de la République continuent de sillonner le continent pour remettre aux Chefs d’Etats africains des messages personnels sollicitant leur appui au Dr Jean Ping.

 

Par ailleurs, le Gabon a mis à la disposition de son candidat des moyens logistiques pour lui permettre de parcourir le continent au cours de sa campagne électorale. Le Président Jean PING peut ainsi rallier les différentes capitales africaines à souhait et en fonction des calendriers de ses hôtes. C’est ainsi que la Présidence de la République met à la disposition du candidat ses aéronefs ou en affrète d’autres.

 

De même, le Gabon tient à affirmer que les informations véhiculées laissant entendre le financement de la campagne du candidat Jean PING par un pays non africain sont dénuées de tout fondement et que toutes autres allégations similaires constituent, au regard des informations ci-dessus indiquées, une insulte à l’égard du Gabon, son Gouvernement et son Peuple ainsi que de l’ensemble du continent.

 

Fort de son engagement et de sa remarquable mobilisation nationale derrière la candidature de M. Jean Ping, connu pour sa riche expérience diplomatique, ses compétences professionnelles et ses qualités humaines, mon pays le Gabon ne peut naturellement qu’espérer le succès de son candidat tout en respectant la règle du fair-play qui doit prévaloir lors de cette échéance électorale extrêmement importante pour l’avenir du continent.

 

Source : extrait du communiqué de African Union Commission (AUC)

 


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le 03-01-2012 21:43

Le Bilan Economique du Gabon en 2011 Vanté et Résumé par le " Oxford Business Group"

 

L’économie gabonaise a enregistré de bons résultats en 2011, soutenue par une hausse des prix des matières premières sur les marchés internationaux et par l’impact positif de la stratégie gouvernementale de développement sur le long terme, baptisée « Gabon émergent ».
Selon les dernières estimations, le PIB aurait progressé de 5,6% ; le pays a connu une forte reprise de sa croissance, une fois passés les premiers effets de la crise économique mondiale de 2008-2009.
Après avoir subi un recul de 1,4% en 2009, l'économie gabonaise a renoué avec une croissance à 5,7% en 2010. Selon les prévisions du Fonds Monétaire International (FMI), la croissance devrait se poursuivre en 2012, mais à un rythme plus modéré de 3,3%.
La tendance à la hausse de la balance des opérations courantes, passée de 10,5% du PIB en 2010 à 14,8% en 2011, a également contribué à consolider la situation économique du pays. Le Gabon présente habituellement un solide excédent de sa balance courante, dû en grande partie aux exportations de ressources naturelles, mais cet excédent s’est contracté, passant de 24,1% du PIB en 2008 à seulement 6,1% en 2009 du fait de la crise économique qui a entrainé une baisse de la demande mondiale de pétrole et d’autres matières premières. De plus, le gouvernement a réduit sa dette publique, la faisant passer de 25,1% du PIB en 2010 à 21,8%.
L’amélioration de la situation économique du Gabon est surtout due à l’augmentation des recettes pétrolières, qui représentent toujours 50% du PIB et 75% des recettes d’exportation. Le Gabon, dont les réserves de pétrole déclinent, a certes accusé une forte baisse de sa production, mais la hausse des prix mondiaux du pétrole a donné lieu, ces dernières années, à une augmentation globale des recettes d’exportations.
Le montant des exportations pétrolières du Gabon s'affiche en nette progression, passant de 6,7 milliards de dollars en 2010 à 8,8 milliards de dollars en 2011 et devrait, selon les projections du FMI, se maintenir autour de 8,4 milliards de dollars en 2012. Plusieurs compagnies, parmi lesquelles Total et Tullow Oil, ont annoncé pour 2012 une augmentation de leurs investissements dans le pays. On peut également citer l’exemple, rapporté par Reuters, de la compagnie publique indienne de prospection pétrolière Oil India, qui examine à l’heure actuelle la possibilité d’un partenariat avec le gouvernement gabonais en vue de l’acquisition des actifs gabonais de l’entreprise française Maurel & Prom.
Les activités du secteur pétrolier semblent être en voie de stabilisation suite à l’accord auquel sont parvenus en novembre le gouvernement et l’Organisation Nationale des Employés du Pétrole (ONEP) qui réclame l’embauche de plus d’employés locaux dans le secteur. Les employés de l’ONEP se sont engagés à ne plus déposer de préavis de grève pendant deux ans minimum – un changement crucial de la part d’une organisation particulièrement revendicative – contre la promesse d'offrir plus d’emplois aux Gabonais.
Le secteur minier a également contribué à renforcer les bons résultats économiques de 2011. Le Gabon est le deuxième producteur mondial de manganèse avec des réserves qui s’élèvent, selon les estimations, à 200 millions de tonnes. L’entreprise minière gabonaise Comilog (Compagnie Minière de l’Ogooué) enregistrait début décembre une production record de 3,4 millions de tonnes et espère atteindre son objectif annuel de 3,5 millions de tonnes d’ici la fin de l’année. Cette production record n’a cependant pas empêché une chute de 4% des bénéfices de Comilog sur les neuf premiers mois de l’année 2011 par rapport à la même période de 2010, provoquée par une baisse des prix du manganèse sur le marché international.
Le secteur continue à susciter l’intérêt et à attirer des capitaux étrangers. CICM Huangzhou Gabon, société chinoise d’exploitation minière et filiale de CITIC Group, a démarré ses activités à la mine de M’Bembelé au second semestre 2011. L’exploitation du site devrait aboutir à la production de 500,000 tonnes de manganèse par an ainsi qu’à la construction d’une centrale électrique et une voie ferrée pour relier le site à Ndjolé, à 225 km au sud de Libreville.
Le géant australien BHP Billiton envisage lui aussi un engagement dans le secteur. En 2011, la compagnie a lancé une étude d’impact environnemental relative à un projet d’extraction de manganèse dans la province du Haut-Ogooué au sud-est du pays. D’après le gouvernement, l’augmentation des taux de production et l’arrivée de nouveaux acteurs dans le secteur devrait permettre à la production gabonaise d’atteindre 5,3 millions de tonnes de manganèse en 2012 contre 3,2 millions de tonnes enregistrées en 2010.
Or, dans le cadre du programme de diversification de l’économie « Gabon émergent » – qui met l’accent sur le développement de trois secteurs clés : les services, l’industrie et l’environnement – le gouvernement gabonais est désireux d’élargir le spectre d’investissement au-delà du secteur primaire et, dans le cadre de cette diversification, cherche à développer certains secteurs comme par exemple le bâtiment, l’industrie de transformation du bois et les technologies de l’information et de la communication (TIC).
La Zone économique spéciale de Nkok représente un important potentiel pour le secteur forestier, considéré comme un moteur essentiel de la future croissance économique du pays. La première phase du projet est terminée : en septembre a eu lieu l’inauguration de 400 hectares sur les 1126 prévus pour la zone. Environ 40% de la surface de la zone, située à environ 30 kilomètres de Libreville, sera consacrée à l’industrie forestière.
Le secteur des TIC est déjà, de par sa petite taille et le nombre important d’acteurs et de services, l’un des secteurs les plus concurrentiels d’Afrique.
Il devrait poursuivre sa progression en 2012 avec le renforcement de l’accès à l’Internet haut débit et aux technologies numériques. Le deuxième câble à fibres optiques du pays, qui fait partie du projet Africa Coast to Europe (ACE), a atterri sur les côtes de Libreville en octobre. Ce nouveau câble, qui permet une connexion Internet haut débit de 1,92 Tbits/seconde, devrait permettre la réduction des coûts de télécommunication et le renforcement du taux de pénétration de l’Internet, qui se situe à l’heure actuelle autour de 1%. Une nouvelle agence est chargée de superviser un projet d’extension du câble jusqu’à Port-Gentil d’ici février 2012 avec pour objectif final de relier les neuf capitales de provinces du Gabon.
L’opérateur de télécommunications gabonais Airtel a obtenu en octobre la première licence 3G du Gabon. Le Gabon est l’un des premiers pays d’Afrique centrale à adopter la technologie 3G, qui fournit un service de transmission de données à haut débit et un accès à l’Internet à moindre coût. Les responsables d’Airtel ont déclaré que le commerce mobile serait l’un des premiers services qu’ils mettraient en place. Cette technologie sera d’abord accessible à Libreville mais le gouvernement espère que la couverture 3G s’étendra à l’ensemble du pays dans les six mois.
Avec le développement des secteurs non pétroliers en 2011 et le boom de la construction que connait actuellement le pays, qui investit massivement dans de nouvelles infrastructures à l’approche de la Coupe d’Afrique des nations de football 2012, le Gabon se lance dans un programme ambitieux de diversification économique et de croissance pour les années à venir.
Source : Oxford Business Group
 


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